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Brigitte Bardot: "Ma vie avec les animaux est ma plus belle histoire d’amour"

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot: Brigitte Bardot n'a pas vu Gainsbourg, vie héroïque, mais elle est très fière d'être interprétée par la sublime Laetitia Casta. Il faut dire que la pasionaria des droits des animaux n'a pas mis les pieds dans une salle de cinéma depuis plus de quarante ans !

"Je ne sors pas de chez moi, sauf pour aller à ma fondation à Paris. Je suis entourée d’animaux, ils sont mon équilibre, mon bonheur, vient-elle de confier au quotidien suisse 24 Heures. C’est un sacerdoce qui mène ma vie. C’est un choix que j’ai fait en 1973 et pour lequel j’ai tout quitté, tout donné. C’est un but, une raison de vivre."

Mais la star mythique refuserait catégoriquement que son combat pour les bêtes fasse l'objet d'un film. Selon elle, le sujet est bien trop grave. "Ma vie avec les animaux est ma plus belle histoire d’amour. Chacun m’a donné sa vie, sa confiance, son amour. Et moi je donne en retour ma vie et mon amour, ma protection et parfois mon immense désespoir lorsqu’ils meurent."

Désespoir, et surtout colère. Brigitte Bardot l'a prouvé encore récemment, en montant au créneau après le massacre d'un troupeau de dromadaires en Australie. "Je hais ceux qui tuent pour le plaisir de tuer, de manger, de se soigner (alors qu’on s’empoisonne), de se vêtir. La vie est sacrée, toute vie est respectable." Bref, à 76 ans, B.B n'a pas perdu son franc-parler...

Source : http://www.starnimo.com/2010/02/02/359-actu-people/brigitte-bardot-vie-avec-les-animaux-est-plus-belle-histoire-amour.html

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Brigitte Bardot continue d’attirer la foule à Boulogne-Billancourt

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot continue d’attirer la foule à Boulogne-Billancourt (faites le mot croisé spécial BB)
| 07:05  Vu son succès, la magnifique exposition consacrée au phénomène BB est prolongée jusqu’au 7 mars. A ne pas manquer lors d’une virée à Paris.

 






Edmée Cuttat | 02-02-2010 | 07:05

Les mots croises de B.B

 

Pour Brigitte Bardot, pas question de commencer la journée sans jouer les cruciverbistes. Pour vous amuser, voici ses mots croisés. Mais planchez un peu quand même avant de céder à la tentation d’aller voir les solutions sur  www.expositionbrigittebardot.com

 

 

 

 

 

 

 

Balade émerveillée à travers l'expo parisienne

 

Les générations se confondent, et les commentaires se mélangent. Séquences émotion et souvenirs entre ces deux phrases qu’on ne cesse d’entendre  au Musée des années trente  de  l’Espace Landowski  à Boulogne-Billancourt :  «Je ne savais pas qu’elle était aussi connue » et «qu’est-ce qu’elle pouvait être belle, cette Brigitte Bardot… ».

 


Emblème de la femme libérée

 

 

Sublimement belle et célébrissime même,  depuis la mort de Marilyn Monroe qu’elle adorait.  Sensuelle, sauvage, bouleversante, provocante, gamine, capricieuse, ou généreuse. Mais  aussi et surtout emblème de la femme libérée.

 

 

Au-delà de la perfection du visage et du corps, cette influence génératrice de changement dans la société s’impose lorsqu’on pénètre  dans l’univers de celle qui affola la planète entre 1952 et 1973.  Et continue à passionner les foules. Initialement prévue jusqu’à la fin janvier, Brigitte Bardot, les années » insouciance », superbe exposition, organisée et mise en scène par son grand ami ,  l’écrivain-journaliste  Henri- Jean-Servat,  connaît un tel succès  qu’elle a été prolongée jusqu’au 7 mars.

 

 

La folie Bardot

 

 

Aujourd’hui on parlerait de bardotmania. A l’époque, les médias américains avaient inventé un mot pour traduire l’hystérie que déchaînaient  partout les apparitions publiques de la star: la bardolâtrie. Il faut en effet parcourir les 1000 2 qui lui sont consacrés pour saisir l’ampleur du phénomène. Un véritable raz-de-marée surgi dans la France austère et conservatrice du président Coty. Déclenché  par une jeune fille aimant danser, née en 1934 à Paris dans un milieu bourgeois, égérie du magazine Elle à l’âge de seize ans et révélée en 1956 par le célèbre film de Vadim « Et Dieu créa la femme ».

 

 

L’exposition s’ouvre  d’ailleurs sur la folie Bardot. Drames, passions, polémiques,  censure de l’Eglise catholique. Le  mythe Bardot et ses multiples facettes se déclinent en vingt sections différentes.  Des extraits et des projections de films cultes, des affiches originales, des interviews  de réalisateurs, des bandes-annonces,  racontent sa vie de cinéma.

 

 

«La Parisienne» et  le « Bardot Show »

 

 

Puis, guitare à l’appui, on  retrouve également Brigitte, immortalisée par les plus grands photographes, peinte par Van Dongen ou Warhol, en interprète de quelque  80 chansons, dont  celles que lui a écrites Gainsbourg. Avec en prime l’une des trois Harley-Davidson utilisées pour le tournage du célèbre clip. «La Parisienne» permet de découvrir ses campagnes de publicité, et  le « Bardot Show » de revivre ses meilleurs moments télévisés.


De l'insolite

 

 

Documents, objets insolites, chambre d’adolescente, rien n’a été oublié. De  la  B.B. attitude ­-moue ravageuse, choucroute, taille de guêpe, corsaire, collant noir et ballerines Repetto-  en passant par l’icône de la mode,  muse des  grands couturiers et modèle  des  filles des sixties avec ses bandeaux, ses jupes cerceau et sa robe Vichy.

Après un détour par  La Madrague qu’elle achète en 1958 et où se pressait le gratin du show biz, l’exposition se termine par les combats que Brigitte Bardot ne cesse de livrer pour défendre les animaux, dénonçant les traitements iniques dont beaucoup sont victimes.  Créant  sa fondation  en 1986, elle vend un an plus tard aux enchères bijoux et effets personnels,  pour satisfaire aux exigences financières  de la législation française. Aujourd’hui la FBB rassemble 60.000 donateurs  de plus de 20 pays.
Musée des années trente, Espace  Landowski,  28 Avenue André Morizet, Boulogne-Billancourt.  Métro Billancourt.

Source : http://www.lesquotidiennes.com/soci%C3%A9t%C3%A9/brigitte-bardot-continue-d%E2%80%99attirer-la-foule-%C3%A0-boulogne-billancourt-faites-le-mot-crois%C3%A9-sp%C3%A9c

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Midi Libre.com « Bardot a bouleversé les codes »

Publié le par Ricard Bruno

Nimes. Henri-Jean Servat : « Bardot a bouleversé les codes »

Henri-Jean Servat a réalisé une biographie de Brigitte Bardot


ENTRETIEN
Pourquoi avoir commis une biographie sur Bardot ?
Je n'avais pas envisagé de réaliser une biographie. Mais il y a eu l'exposition (à Boulogne-Billancourt jusqu'au 7 mars) pour laquelle j'ai réuni beaucoup de documents dont bon nombre inédits. Ensuite m'est venue l'idée du livre. Je ne voulais pas un catalogue d'exposition mortifère. Je voulais un ouvrage vivant qui montre des choses inédites. Apparemment le public apprécie puisque nous en sommes à près de trente mille exemplaires vendus et 95 000 personnes ont vu l'expo.

Comment a-t-elle réagi à cette idée ?
Dans un premier temps, elle a trouvé cela étrange, puis elle a accepté. Elle a d'ailleurs découvert des photos qu'elle ne connaissait pas.

Où avez-vous

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Gainsbourg : "Vie héroïque." JE DIS OUI.

Publié le par Ricard Bruno

Gainsbourg : "Vie héroïque." JE DIS OUI.
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Au commencement, j'avais prévu de faire une note à la con. Oui, comme souvent. Elle allait même commencer par une phrase du genre : Laetitia Casta, par sa seule présence et son talent de danseuse vetue d'un seul drap devant le piano de "Gainsbarre", vous garantit un moment inoubliable de cinéma et de contemplation de la beauté féminine. Cette note aurait donné le ton d'un billet dans lequel j'aurais mis en valeur les talents de séducteur de Serge Gainsbourg, qui a séduit les plus belles femmes de l'époque par ses mots et son attitude. Mais ce serait faire offense à Joann Sfar qui, et cela n'engage que moi, nous a livré avec ce "Vie héroïque" une oeuvre absolument magistrale...


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Le vrai, le faux, peu importe. Il a créé et m'a raconté une histoire prenante, pleine de fantaisie, de joie, de détresse et de sentiments ambivalents autour du mythe Gainsbourg. Certains passages, surtout lors de son enfance, sont un poil longs, mais dans l'ensemble, je n'ai pas décroché de mon siège. Une demie heure dans ce film vaut à mon avis tout l'or du monde : le passage dans lequel sa romance avec Brigitte Bardot est contée ainsi que sa rencontre avec Jane Birkin. C'est lumineux, poétique, plein de passion et le jeu des acteurs (en plus de leur ressemblance hallucinante) est à tomber. Bref, franchement, allez le voir. Non seulement pour sa qualité cinématographique (film vraiment original dans sa narration), mais également pour la piqure musicale "de rappel". Gainsbourg, c'est un nombre incalculable de chansons sublimes, dont "Initials B.B." et "Je t'aime, moi non plus" que je vous propose dans la suite de cette note.

Jane Birkin et Brigitte Bardot furent incontestablement les deux femmes de sa vie. Si son histoire avec Bardot fut courte mais incroyablement intense et sexuelle, elle aura quand même permis à ce duo fascinant de travailler sur quelques chansons légendaires, comme "Bonnie & Clyde", "Harley Davidson" ou encore "Comic Strip". Mais ma préférence va à "Initials B.B."qu'il a composé en son honneur et dont le refrain et la mélodie sont à tomber par terre. Je pense qu'il s'agit de mon morceau préféré de Serge Gainsbourg. J'ai appris que la mélodie fut inspirée d'une Symphonie du compositeur Dvorak, mais peu importe, ca ne lui enlève aucun crédit.

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Jane Birkin fut sa véritable histoire d'amour. Elle fut sa muse, son épouse, son amie et sa maîtresse à la fois. De leur "collaboration", je retiens surtout "69 année érotique" et le grandiose "Je t'aime, moi non plus", initialement composé pour Brigitte Bardot cependant, mais que celle ci n'a jamais voulu rendre publique pour des raisons personnelles. Jane accepta, et "Dieu vit que cela était bon". Cette chanson est un excellent résumé de la carrière sulfureuse de Gainsbourg, un éternel provocateur qui a osé chanter une version reggae de la marseillaise, impliquer sa fille Charlotte dans une chanson "un poil" incestueuse (Lemon incest) alors qu'elle n'avait que 13 ans ou encore brûler en direct un billet de banque à la télévision.

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Découvrir Paris autrement : 11e parcours cinéma autour de Gainsbourg...

Publié le par Ricard Bruno

A l’occasion de la sortie du film « Gainsbourg, Vie héroïque » réalisé par Joann Sfar, la Mission Cinéma présente son 11e parcours cinéma.

Les Parcours cinéma invitent à découvrir Paris, ses quartiers célèbres ou insolites, des lieux connus ou inconnus à travers des films réalisés dans la capitale.

Ce parcours vous invite à découvrir Paris autrement à travers les lieux culturels du tournage du film, notamment dans 6 quartiers avec le 5 bis rue de Verneuil, la rue André del Sarte, le Port de Montebello, la cité internationale des arts, le 2 place du colonel Fabien, siège du Parti communiste et les studios Ferber.

"Gainsbourg, Vie héroïque"
C’est l’histoire, drôle et fantastique, de Serge Gainsbourg et de sa fameuse gueule. Où un petit garçon juif fanfaronne dans un Paris occupé par les Allemands ; où un jeune poète timide laisse sa peinture et sa chambre sous les toits pour éblouir les cabarets transformistes des Swinging Sixties. C’est une vie héroïque où les créatures de son esprit prennent corps à l’écran et sa verve se marie aux amours scandaleuses. De là est née une oeuvre subversive avec en vedette un citoyen fidèle et insoumis qui fera vibrer la planète entière.

5 bis rue de Verneuil, Paris 7e
Situé dans une rue calme, « l’hôtel particulier » comme aimait l’appeler Serge Gainsbourg est acheté par l’artiste lors de son aventure avec Brigitte Bardot.
Il se charge de faire décorer cette petite maison, tout en noir ou presque, les murs, les plafonds, et soigne son aménagement. Véritable décor, il reproduit cet intérieur au cinéma dans Je vous aime de Claude Berri et dans Charlotte for Ever. Gainsbourg y vivra heureux avec Jane Birkin, Kate Barry et Charlotte Gainsbourg et y résidera jusqu’à la fin de ses jours en 1991. Aujourd’hui, la façade est entièrement recouverte de graffitis, messages, dessins réalisés par ses admirateurs. Le projet de transformer la maison en musée semble pour l’instant abandonné.

rue André del Sarte, Paris 18e
En 1958, Gainsbourg rencontre Boris Vian, auteurcompositeur, écrivain et trompettiste de jazz, qui fait naître chez lui un vrai goût pour la composition.
Cette séquence a été tournée à Montmartre, au pied du Sacré-Coeur, au croisement des rues André del Sarte, Paul Albert et Charles Nodier. Les grilles que l’on aperçoit sont celles du square Louise Michel, créé en 1927 qui s’étend sur les pentes de la Butte sur plus de 20 000 m2. Non loin de là, vivait Boris Vian à la Cité Véron près de la place Blanche.

Port de Montebello, Paris 5e
Au pied du Quartier latin, le port de Montebello est situé entre le Pont au Double et le Pont de l’Archevêché. Il offre au bord de la Seine, une jolie vue en contrebas de la cathédrale Notre-Dame sur l’Île de la Cité. Le Pont de l’Archevêché est un pont routier en pierre de trois arches et le plus étroit de Paris (11 m). Le Pont au Double fut construit en 1643 lors de l’agrandissement de l’Hôtel-Dieu afin de relier les bâtiments de part et d’autre du petit bras de la Seine. Le public qui l’empruntait devait s’acquitter d’un double denier, d’où il tient l’origine de son nom. Maintes fois reconstruit il sera remplacé en 1882 par le pont actuel en fonte, ne comportant qu’une seule arche.

La cité internationale des arts, Paris 4e
En 1966 et 1967, Gainsbourg réside dans un atelier au 5ème étage de la Cité Internationale des Arts, au 18 rue de l’Hôtel de Ville. Face à l’Île Saint-Louis, la Fondation a pour vocation d’accueillir des artistes du monde entier dans toutes les disciplines (peintres, musiciens, photographes, vidéastes…) pour des résidences de 2 mois à 1 an, dans ses 315 ateliers logements (283 situés dans le Marais et 32 à Montmartre). Depuis sa création en 1965, elle a reçu plus de 15 500 artistes, soit proposés par les institutions ayant souscrit un atelier logement, soit admis en candidature libre après sélection sur projet. On peut découvrir la Cité des Arts lors des concerts et expositions qu’elle présente.

2 place du colonel Fabien, Paris 19e
Situé au 2 Place du Colonel Fabien, le siège du Parti Communiste, classé Monument Historique, est l’oeuvre de l’architecte brésilien Oscar Niemeyer. Esquissé en 1965, le bâtiment fut construit en 1971 mais le parvis, la coupole et le souterrain furent achevés en 1980. Composé de béton et de verre, le corps du bâtiment principal est en retrait, ses lignes courbes évoquent un drapeau flottant au vent. Confronté à des problèmes financiers, le Parti Communiste loue, depuis 2008, l’un des six étages à la société de production de Joann Sfar, Autochenille, spécialisée dans la BD et les films d’animation. Le site a déjà servi de décors pour des longs métrages, récemment pour Le concert de Radu Mihaileanu.

Les studios Ferber, Paris 20e
La séquence d’enregistrement au studio Dynamic Sounds à Kingston a été réalisée… aux Studios Ferber à Paris où Gainsbourg enregistrait ses BO de films et de nombreuses réalisations artistiques. Depuis leurs ouverture en 1973, Les Studios Ferber n’ont jamais cessé d’accueillir des artistes français et internationaux de renom. Le mélange de haute technologie numérique et de matériel vintage au service d’une acoustique exceptionnelle a fait leur réputation, en témoigne la liste des artistes de ces dernières années : Alain Bashung, Vanessa Paradis, Manu Chao, John McLaughlin, Jean- Louis Aubert, Jane Birkin, Luz Casal, Feist, Nick Cave, Noir Désir, Alain Souchon, Arielle Dombasle, Claude Nougaro, Philippe Katerine, Charlotte Gainsbourg…

Ces parcours sont des guides pour tous les amoureux de Paris et du cinéma, les Parisiens mais aussi les touristes français et étrangers.
Edités à 10 000 exemplaires, en français et en anglais, les Parcours cinéma sont proposés à l’Office du Tourisme de Paris, dans les salles de cinéma, dans les Mairies d’arrondissement et dans les lieux présentés ayant participé au tournage. Ils sont également téléchargeables sur le site de la Mairie de Paris, www.cinema.paris.fr , rubrique Parcours Cinéma.

Les Parcours cinéma ont été initiés à l’occasion de la sortie de « Paris je t’aime » en 2006, depuis une dizaine de promenades a vu le jour :
Paris je t’aime (film collectif) : la place des Fêtes, le faubourg Saint Denis, la Bastille,
Le diable s’habille en Prada de David Frankel, le Pont des arts, le Musée Galliera, le quartier de la Bûcherie…
La Môme d’Olivier Dahan le cimetière du Père Lachaise, la place Edith Piaf, l’escalier de la rue Drevet,
Ratatouille de Brad Bird, le Musée des Egouts, Aurouze le dératiseur,
Rush Hour 3 de Brett Ratner, les Invalides, la Tour Eiffel, la place de l’Opéra
Paris de Cédric Klapisch , l’Hôtel de Lauzun, le jardin du Palais Royal, les catacombes…
Chéri de Stephen Frears, le Paris des années 30, Hôtel Mezzara, immeuble les Chardons, Maxim’s, Place Colette.
Musée Haut Musée Bas de Jean Michel Ribes : Ecole des Beaux Arts, Petit Palais, Cité de la Musique…
L’armée du Crime de Robert Guédiguian, premier parcours historique : rue au Maire, rue des Immeubles Industriels, rue du Groupe Manouchian…
Le Petit Nicolas de Laurent Tirard : rue René Goscinny, rue Jules Siegfried, Place Monge…

Source : http://www.evous.fr/Decouvrir-Paris-autrement-11e,1120107.html

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Gainsbourg encore et toujours avec l'album BO du film...

Publié le par Ricard Bruno

Quand on touche à un classique, il faut être très précautionneux, sinon, T’ar ta gueule à la récré ! Mais de toute évidence « Gainsbourg : vie héroïque » dans les salles depuis le 20 janvier dernier est le bébé de Joann Sfar. Tout commence avec la BD jusqu’au film en passant par l’album bande originale (dans les bacs depuis début janvier) et le monsieur n’a pas fait les choses à moitié. Se penchant du côté artistique de la force de Serge Gainsbourg, la bande-son est très bien faite…

Une chanson : une histoire

Joann Sfar est un rêveur et quand on rêve, il n’est pas incongru de rêver en musique. Et la musique est un leitmotiv’ évident. Gainsbourg lui aussi rêvait et s’inspirait de tout ce qui était autour de lui pour avancer d’où une collection de chanson qui évolue avec le temps, avec l’image. Du noir et blanc avec « Le Poinçonneur Des Lilas » (version les Frère Jacques) après la rencontre -majeur dans sa vie- de Boris Vian s’inspirant de cette plume si singulière à l’époque, jusqu’aux couleurs jamaïquaines avec « Aux Armes Et Caetera » (où il sera incompris), on passe donc de la poésie à la provocation. Du chant à la narration avec « Hotel Particulier » qui marque la cession tirée de l’album Mélody Nelson (1971) qui a inspiré de nombreux artistes anglo-saxons pour la plupart, pour ne citer que Lenny Kravitz.

Des rencontres, des femmes et un jeu de provocation

Gainsbourg est un charmeur et comme Cyrano, il séduit avec la plume et avec les notes. Après sa rencontre avec Juliette Greco (avec « La Javanaise », une reprise fidèle à l’originale) Serge tombe amoureux. Brigitte Bardot incarnée par Laetitia Casta sera sa muse. Très belle performance vocale avec « Bonnie and Clyde » et « Comic Strip », puisqu’elle va jusqu’à reprendre les intonations de BB. Les titres sur l’album sont des extraits du film avec la poésie de la création. Autre moment avec Lucy Gordon (Jane Birkin) qui prête également sa voix. Une voix travailler pour ressembler au plus près de celle de Jane sur « Le Canari est sur le Balcon ». Les autres chansons sont des versions originales.

Aussi en plein cœur de l’époque des yéyés, pour le poète, il serait intéressant d’aller frapper à la porte des jeunes représentants de cette scène. C’est donc tout naturellement que France Gall (Sara Forestier) sera la nouvelle égérie de la mode Gainsbourg qui veut s’amuser à débaucher les jeunes. Cette rencontre est un autre temps fort dans la vie de Gainsbourg. La jeune femme en fleur (encore mineure quand elle rencontre Gainsbourg) fait toujours ce qu’on lui demande et l’homme tête de chou aime les jeunes vierges artistiquement. Il va lui apprendre toutes les choses les plus délectables au point de proposer et remporter l’eurovision avec « Poupée de cire, Poupée de son ».


Il va lui écrire également entre autre « Baby Pop » que l’on retrouve sur la BO. Alors là par contre, c’est un vrai bémol. Il est vraiment difficile d’écouter la chanson dans son intégralité. Un clin d’œil à la réputation de la jeune femme qui à ses débuts ne comprenait pas toujours ce qu’elle chantait. Un vrai jeu d’autant plus amusant pour le compositeur.

On reprend mais on ne copie pas

Alors, il est vrai qu’en allant voir le film nous avons en tête les classiques. Toutefois Gainsbourg c’est une histoire et pas n’importe quelle histoire. Le choix des morceaux illustre parfaitement les moments majeurs de la vie de Serge comme avec « Nazi Rock » qui est la piqûre de rappelle que Lucien Ginsburg est juif, russe, vivant dans une France occupée. Alors, ici pas question de confondre bande originale du film avec un autre best of. Chaque acteur participe à la version musicale sous la houlette de Olivier Daviaud qui signe les arrangements. Ainsi, « Elaeudanla Téitéia » est bien plus jazzy que l’original, tout comme la reprise de Dionysos de « Nazi Rock » qui pour le coup est vraiment rock, avec les grosses guitares indé !

Source : http://www.actualitte.com/actualite/16629-Gainsbourg-encore-toujours-BO-film.htm

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Aussi percutante et surprenante que Bardot en son temps!

Publié le par Ricard Bruno

Aussi percutante et surprenante que Bardot en son temps

Actuellement à l’affiche du magnifique conte de Joan Sfar, Gainsbourg Vie Héroïque, Laetitia Casta incarne une Brigitte Bardot (presque) plus vraie que nature et dévoile un petit ventre, des seins charnus, et des cuisses galbées... Pas parfaite, et alors? Sa silhouette nous fait quand même rêver, c’est pour ça qu’on vous a concocté un shopping spécial «formes» pour avoir autant d’allure qu’elle.

Ah, la Casta… Les hommes se damneraient pour passer un peu de temps à ses côtés. Les femmes, elles, lui envient ses courbes affolantes. Inspirons-nous de son style vestimentaire pour accentuer notre féminité!



A la première du film Gainsbourg Vie Héroïque, la jolie Corse arborait un look à mi-chemin entre la punk attitude et l’univers merveilleux des contes de fées dans une robe Viktor&Rolf (collection printemps/été 2010). Un petit perfecto coloré pour la touche modern’rock, une robe noire froufroutante qui ne grossit pas, et des escarpins plateformes pour le côté néo-chic. Côté accessoire, Laetitia Casta ne surcharge pas sa tenue déjà riche et arbore simplement un ras de cou argenté qui donne de éclat à l’ensemble. Bien joué!
Source : http://www.gala.fr/lifestyle_de_star/mode/les_stars_et_la_mode/j_adopte_le_look_rock_n_fantastique_de_laetitia_casta_196075#

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Epilogue judiciaire d'une opération « coup de groin »

Publié le par Ricard Bruno

A la veille de Noël, des éleveurs de cochons de la Marne ont organisé une opération « coup de groin » sur le champ de Mars, et lâché une rafale de porcelets aux pieds de la tour Eiffel. Le même type de « happening » que celui organisé quelques mois plus tôt à Reims. Le message des éleveurs grognons portait sur les difficultés des exploitations à rentabiliser leur production du fait de prix d'achat trop bas. Après moult cris et cavalcades qui ont enchanté touristes et journalistes, les éleveurs ont plié bagage et regagné la Marne, en laissant les cochons dans la ville. D'où la colère de l'OABA (Œuvre d'assistance aux bêtes d'abattoir) et de la Fondation Bardot qui, dans un communiqué, demandent justice et viennent de « saisir le procureur de la République près le TGI de Paris d'une plainte pour abandon d'animaux sur la voie publique, un délit passible de 2 ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende… ».
Il est vrai que les porcelets abandonnés ont vécu une véritable odyssée : « les porcelets sont restés sur place ! Ce sont les services de la Préfecture de police de Paris qui les ont trouvés tremblants dans un chariot de supermarché puis les ont conduits à la fourrière de Gennevilliers. Non identifiés, ces porcelets devaient être euthanasiés. Mais la mobilisation des employés de la fourrière et des associations de protection animale a permis de leur trouver des structures d'accueil (refuges, fermes pédagogiques). Comment des professionnels peuvent-ils se comporter ainsi avec leurs animaux, sachant que ni la FNP, ni les éleveurs de la Marne ne se sont inquiétés du sort qui serait réservé aux porcelets abandonnés sur la voie publique, dans le froid vif, la veille de Noël ? »
Qui sera l'avocat des porcelets dans cette affaire ? On peut tout de même se féliciter d'un happy end qui enchantera tous ceux qui ont aimé les aventures de « Babe », le cochon fétiche de l'auteur britannique Dick King-Smith : « les porcelets lâchement abandonnés sont désormais sauvés et ne connaîtront jamais l'enfer des élevages industriels ». Ils ont été pris en charge par la Fondation Brigitte Bardot et la SPA « afin de finir leur vie en liberté ».

Source : http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/415654/Epilogue_judiciaire_d_une_operation___coup_de_groin__

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Brigitte Bardot / Roger Pierre quitte la scène...

Publié le par Ricard Bruno

Roger Pierre avait joué avec Brigitte Bardot dans le film "Le trou Normand" en 1952 il y interprètait le rôle de "Jean Marco, l'imprésario"
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Le comédien Roger Pierre est décédé samedi matin à l'âge de 86 ans des suites d'un cancer, a annoncé RTL. Son duo avec Jean-Marc Thibault l'avait rendu célèbre dans les années 60.

Tous les samedis soirs au début des années 1970, il a régné sur le petit écran avec la série Les Maudits Rois fainéants, au côté de Jean-Marc Thibault. Aujourd’hui, ce dernier pleure son complice, Roger Pierre, qui a tiré sa révérence hier, à l’âge de 86 ans. Ils se connaissaient depuis plus de soixante ans. Jean-Marc Thibault, actuellement à Marseille, était trop bouleversé à l’annonce de la disparition de son ami pour parler. Son épouse, l’actrice Sophie Agacinski, "très chagrinée", se souvient d’un homme doué, "une bête de scène". "Il m’a appris le sens du travail. Avec Jean-Marc, ils remplissaient des chapiteaux entiers. Pour la première fois, le rire m’a fait peur, tant l’hilarité qu’ils déclenchaient auprès de leur public était forte."

"Un des derniers dinosaures"

"Un des derniers dinosaures est mort, poursuit Sophie Agacinski. Doucement, on est en train de tourner une page, car il reste peu de comédiens de sa trempe et de sa génération encore parmi nous. A son époque, les comiques faisaient ce métier parce qu’ils aimaient profondément ça. Je les ai toujours respectés pour cette raison. Sur scène, il était impressionnant de puissance. Avant même de le voir, les gens jubilaient. Il était resté un enfant. Et je ne connaissais pas plus bel exemple de bonté". Né le 30 août 1923 à Paris, Roger Pierre, fils d’un tailleur et d’une couturière, suit d’abord des cours de commerce avant de céder, en 1946, à l’appel des planches. Il débute dans des cabarets ainsi qu’au cinéma, en figurant dans Le Père tranquille, de René Clément.

La même année, il rencontre Jean-Marc Thibault à la radio. Coup de foudre professionnel. Très rapidement, ils forment l’un des plus célèbres tandems humoristiques français. Tous deux scénaristes et dialoguistes, ils exercent leur talent au théâtre et écrivent près de 3.000 sketches ! Ils s’essaient à la réalisation avec La vie est belle, en 1956. Les fantaisistes mettent un terme à leur collaboration à la fin des années 1970, mais pour mieux se retrouver à de multiples occasions. Régulièrement invité des Grosses Têtes, Roger Pierre s’est illustré dans de nombreuses comédies, son registre de prédilection, chez Francis Blanche et Alain Resnais, qui lui offre un contre-emploi dans Mon oncle d’Amérique (1980) et son dernier rôle dans Les Herbes folles, présenté au dernier Festival de Cannes.

Source: http://www.lejdd.fr/Culture/Theatre/Actualite/Roger-Pierre-quitte-la-scene-167070/

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