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Alyssa Milano et Brigitte Bardot même amour des animaux

Publié le par Ricard Bruno

 Alyssa Milano joue les marraines pour un chien handicapé...Alyssa Milano joue les marraines pour un chien handicapé...

En France on a Brigitte Bardot, aux Etats-Unis ils ont Alyssa Milano ! Très sensible à la cause de nos amis les animaux, l’actrice s'est récemment prise d'affection pour un chien né sans pattes de devant...

Chez Fuzzy Rescue, un centre d’accueil pour animaux handicapés ou abandonnés de Los Angeles, on est habitué à voir débarquer l 'ex gamine de la série Madame est servie , Alyssa Milano. L'actrice que l'on a retrouvée plus tard en jolie sorcière dans Charmed n'hésite pas à s'investir et à donner de sa personne pour venir en aide aux chiens, chats et autres animaux de compagnie recueillis par l'association.

Récemment, c'est le petit Scooby Roo, un chien né avec une malformation, qui a reçu toute son attention. Dépourvu de pattes avant, l'animal avait jusque-là bien des difficultés à se mouvoir... Mais heureusement, sa marraine Alyssa lui est venu en aide ! L'actrice a en effet payé de sa poche un équipement spécial constitué de petites roues, qui permet à Scooby Roo de se déplacer avec moins d'efforts.

Il y a quelques jours, après une visite à son filleul, l'actrice postait quelques photos sur son profil Twitter et commentait : "Je suis dingue de Scooby Roo. Je l’ai aidé à avoir de petites roues. Comment aurais-je pu faire autrement ? Je ne suis pas sa mère, mais je suis sa marraine. Désormais il a ses roues, et il suit une thérapie de réeducation."

Décidément, Alyssa a un cœur gros comme ça...

Source : http://people.premiere.fr/News-People/Alyssa-Milano-joue-les-marraines-pour-un-chien-handicape/(gid)/2183774

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Cette semaine au cinéma Landowski de Boulogne Billanourt : Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Cette semaine au cinéma Landowski de Boulogne

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Cinéma Landowski - Boulogne-Billancourt Accueil

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La fourrure animale provoque le débat : les anoraks de la discorde

Publié le par Ricard Bruno

Le froid et la neige n'ont pas calmé la colère de Bertrand Camus, moniteur de ski à Courchevel. Surtout en cette journée nationale contre la fourrure animale. "Et dire qu'on a failli porter des anoraks avec une capuche entourée de fourrure !" s'étrangle le montagnard, qui partait déjà en guerre l'an dernier contre ce retour en grâce des fourrures en tous genres dans les stations de ski.

Un métier où "l'on fait passer un message de protection de la nature et des espèces"

Le syndicat national des moniteurs de ski commandait alors plusieurs milliers de tenues qui devaient être la nouveauté de la saison 2010/2011. Fureur de Brigitte Bardot et de sa fondation qui envoyait au syndicat des moniteurs un film tourné en Chine. Il montrait les conditions dans lesquelles sont traités les animaux pour que la peau demeure intacte. Un document sans concession, faisant découvrir la violence de l'abattage des animaux élevés dans des cages minuscules. "Plusieurs milliers de renards, et autres espèces vendues sous cette appellation, seront électrocutés...La décharge grillera les organes internes..."

On passe sur les détails, mais Bertrand Camus protestait auprès du syndicat pour demander qu'il ne cautionne pas de telles pratiques. Le groupement d'achat du syndicat stoppait la commande en avril dernier, mais quelques centaines de tenues étaient quand même livrées. "Je ne me suis pas fait que des amis copains, mais je ne le regrette pas. Il faut être cohérent. Un moniteur ne peut pas se compromettre avec ça sur le dos. C'est un métier sportif, dans lequel on fait passer un message de protection de la nature et des espèces." Le défenseur des animaux se sent d'autant plus isolé que la fourrure naturelle revient à la mode chez les fabriquants de vêtements de sports d'hiver. "Regardez en ce moment à Courchevel avec les Russes, dont certaines sont mes propres clients. Je sais bien que ce n'est pas facile de leur dire sans se mettre à dos ceux qui nous font vivre."

Pour Gilles Chabert, président national du syndicat des moniteurs, "on a fait beaucoup de bruit pour rien. Cette polémique était disproportionnée pour de simples peaux de lapins que l'on voulait mettre sur les capuches. On ne tue quand même pas des bébés phoques ! Mais face à l'agression de la fondation Bardot, j'ai préféré renoncer. J'ai grandi dans une ferme où la peau de lapin ne valait rien. Il y a des problèmes plus importants dans la vie." Une demi-victoire pour le moniteur Bertrand Camus. "C'est maintenant aux commerçants et aux stations de prendre conscience du fait que cet étalage de fourrure animale est très mauvais pour l'image de la montagne."

Source : http://ledauphine.com/index.jspz?article=245872

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Touché-coulé en plein océan : Sea Shepherd et Paul Watson...

Publié le par Ricard Bruno

En plein océan Antarctique, un baleinier japonais a éperonné puis coulé mercredi le navire d'une ONG de défense des espèces marines qui essayait de le freiner. Les gouvernements australien et japonais ont tenté de calmer le jeu, tout en affirmant qu'ils n'interviendraient pas.

L'écologiste Paul Watson, un des membres les plus célèbres de Greenpeace dans les années 60, mène son combat contre les chasseurs de baleine depuis trois décennies. Mais cette fois, il est tombé sur plus fort que lui. Alors qu'il partait à l'assaut d'un navire japonais qui pratiquait la pêche aux mammifères marins géants dans les eaux australiennes, son trimaran ultrarapide, l'Ady-Gil, a été éperonné et coulé mercredi par ses opposants.

Selon Paul Watson, qui dirige l'ONG Sea Shepherd, spécialisée dans la défense des espèces marines, l'Ady-Gil a été "coupé en deux par le Shonan Maru 2, le baleinier japonais, alors qu'il naviguait à proximité". Les six membres d'équipage de l'ONG ont été sauvés mais l'un d'entre eux a eu deux côtes cassées et le trimaran high-tech d'un coût de 1,4 million de dollars a coulé. L'équipage japonais, dont un membre a filmé la scène (voir la vidéo ci-dessous) affirme que les militants leur "lançaient des projectiles" et que "la collision était inévitable". Un autre navire de la flotte baleinière japonaise se trouvait non loin de cette bataille navale improvisée.

Océan mouvementé

Face à l'événement, les gouvernements australien et japonais ont vivement réagi, sans pour autant promettre une intervention. Cambera a lancé un appel à la retenue à toutes les parties, disant qu'il n'enverrait pas de patrouilleur sur place. "Je voudrais insister sur le fait que le risque d'accident est élevé et que les capacités de secours sont faibles dans cet endroit du globe. Il est donc fondamental que toutes les parties fassent preuve de retenue et de prudence", a déclaré à la presse le ministre de l'Environnement, Peter Garrett. Tokyo s'est réfugié derrière sa position habituelle, faisant valoir le droit à pratiquer la chasse à la baleine, tout en critiquant la réaction démesurée des navires japonais.

Pour ou contre la chasse à la baleine, dont certaines espèces sont aujourd'hui menacées de disparition? Le débat n'est pas nouveau. Paul Watson, lui, en a fait son sacerdoce, quitte à être taxé d'écoterroriste ou de pirate. Après avoir fondé en 1977 l'association Sea Shepherd, il s'est dit prêt à parcourir les mers pour "gêner tous les chasseurs de baleine". Dans l'océan Pacifique, le Japon et la Corée du Sud sont dans sa ligne de mire. Ces consommateurs, modérés, de mammifères marins continuent d'harponner les cétacés, alors que les Nations unies ont interdit ce type de chasse depuis 1986. Cela n'empêche pas les Japonais de continuer à pratiquer cette pêche, la présentant comme "d'intérêt scientifique", et échappant ainsi au droit international. Tokyo considère surtout la chasse à la baleine comme inscrite dans la culture nippone.

Politisation d'un débat écologiste

Les baleiniers japonais n'échappent toutefois pas au droit international s'ils braconnent un surplus de cétacés hors de leurs eaux territoriales. Or, des rapports d'ONG écologistes ont démontré que les Japonais pêchaient surtout la baleine dans les eaux australiennes et néo-zélandaises – et en nombre trop important, au regard de ce que "l'intérêt scientifique" tolère. Du coup, la polémique enfle en Australie: pourquoi Canberra ferme-t-il les yeux sur cette présence nippone dans ses eaux? A Sydney, des députés ont appelé le gouvernement à empêcher les "vols espions" par les baleiniers japonais à partir d'aéroports australiens pour "déjouer les plans des militants écologistes" dans l'Antarctique. Selon ces parlementaires, ces vols aident Tokyo à enfreindre les conventions internationales.

Avec ce nouvel incident, les exécutifs australiens et japonais se trouvent en position délicate. D'autant qu'il apparaît, selon plusieurs témoins et selon des enregistrements vidéo, que le baleinier japonais Shonan Maru 2 aurait tout simplement "chargé" sur le trimaran de l'ONG Sea Shepherd. Un "acte délibéré", selon l'association, qui alimente un peu plus la polémique


Source : http://www.lejdd.fr/International/Oceanie/Actualite/Touche-coule-en-plein-ocean-162839/

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Réaction de Brigitte Bardot après éperonnage catamaran Sea Shepherd

Publié le par Ricard Bruno

Article plus bas après les vidéos :


Après l’éperonnage, en Antarctique, du catamaran de l’organisation Sea Shepherd par un baleinier japonais, la Fondation Brigitte Bardot renouvelle son soutien au «berger des mers»

7 janiver 2010

La réaction de Brigitte Bardot après cette nouvelle agression : Nous ne devons plus tolérer ces attaques permanentes des navires japonais au cœur même d’un sanctuaire baleinier censé protéger les espèces menacées. Des sanctions doivent être prises à l’encontre de ces tyrans des mers qui ne respectent rien ni personne.

Le gouvernement français est à l’initiative du sanctuaire en Antarctique alors il doit réagir et dénoncer fermement cette intolérable violation. Je trouve invraisemblable que les règles internationales soient bafouées dans l’indifférence de tous et suis très admirative de l’action menée par Paul Watson qui pallie aux manquements coupables des gouvernements.

Il m’a accueillie, il y a 33 ans, sur la banquise canadienne pour dénoncer le massacre des phoques alors il me revient aujourd’hui de lancer un appel à la générosité publique en faveur de ce type formidable et de son équipe courageuse.

Dans l’urgence, ma Fondation vient de débloquer 20 000 € pour aider Sea Shepherd mais cette somme reste bien insuffisante devant les dégâts occasionnés par l’attaque du baleinier japonais. Nous devons former une chaîne internationale pour soutenir cette organisation et lui permettre de poursuivre sa mission pacifiste car si le bon sens ne l’emporte pas, alors nous n’aurons pas d’autres choix que de nous battre à armes égales face aux navires de guerre qui répandent la mort dans les mers et océans du globe.


Brigitte Bardot
Présidente
Fondation Brigitte Bardot


Source: Fondation Brigitte Bardot

Link: Le Japon ressort les harpons
Link: Sea Shepherd

Source : http://www.evana.org/index.php?id=51977&lang=en

AVANT :
Après :

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Elvis Presley rêvait de rencontrer Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno


Issu d’un milieu très modeste, Elvis Presley a su se forger un destin hors du commun. Trente-deux ans après sa mort, son nom reste une légende.

N’est pas King qui veut. Pour prétendre à ce titre de légende, il faut avoir du talent, danser comme un dieu, afficher un sourire ravageur, un charisme digne des plus grands dandys, entonner des tubes et emballer les filles. Des qualités de séducteur et d’artiste qu’avait le grand Elvis Presley. Sans aucun doute, il est l’un des hommes qui ont marqué le XXe siècle. Avec des milliers de concerts à son actif, une trentaine de films à son palmarès et une cinquantaine de conquêtes féminines au compteur, Elvis Presley restera à jamais le roi du rock… et de la drague.

Un destin

Né le 8 janvier 1935 à Tupelo, dans le Mississippi, d’une famille pauvre, Elvis Aaron Presley est le fils unique de Gladys Love Smith et de Vernon Elvis Presley. Il a eu un frère jumeau, mort-né, appelé Jesse Garon Presley. Sa mère était ouvrière et son père travaillait dans une épicerie. En grandes difficultés financières, la famille Presley déménage à Memphis, dans le Tennessee, alors qu’Elvis n’a que 13 ans. Très vite, il affirme un goût prononcé pour la musique noire.

Eté 1953, Elvis a 18 ans. Il pousse alors la porte d’un petit studio d’enregistrement, Sun Records, à Memphis. Afin de faire un cadeau à sa mère, il décide d’enregistrer à ses frais (4 dollars) deux titres, My Happiness et That’s When Your Heartaches Begin, La secrétaire du studio note les coordonnées du jeune homme –encore inconnu– pour son boss, Sam Phillips. Même si le jeune chanteur n’emballe pas plus que cela le directeur du label, son style lui tape dans l’œil. En 1954, après de nombreux essais, peu concluants, Elvis entonne That’s All Right Mama, d’Arthur Crudup. C’est la stupéfaction. Il métamorphose ce titre, un blues à l’origine, en chanson rock and roll. Le jeune chanteur vient de trouver sa voie.

Un amour interdit

Après quatre ans de succès, de fans hystériques, de tubes et de tournées (surtout dans le sud des Etats-Unis), le bel Elvis part faire son service militaire avec l’US Army. Il coupe sa banane pour une coiffure de rigueur et décide de servir en Europe, « parce qu’il rêvait de rencontrer « Brigitte Bardot », nous confie Patrick Mahé, auteur du Roman des amours d’Elvis (éd. du Rocher). En Allemagne, en 1959, il rencontre celle qui deviendra « la » femme de sa vie : Priscilla Beaulieu. Elle n’a que 14 ans et demi, lui 23. Il tombe sous le charme de la jeune fille, brune et pâle, en tenue d’écolière, qui collectionne ses photos… Quelques mois plus tard, Priscilla emménage à Graceland, avec le consentement de ses parents. Ils se marient en 1967 à Las Vegas. Neuf fois plus tard, le 1er février 1968, leur fille unique, Lisa Marie Presley, voit le jour.

Un mari volage

Bourreau des cœurs – même si pour tous son grand amour fut Priscilla –, le rocker s’est attiré bien des faveurs féminines, plus ou moins avérées. Avec son sourire en coin, ses yeux plissés et son Perfecto, il séduit les plus belles femmes : danseuses de cabaret, actrices, réceptionniste des hôtels les plus prestigieux… Blondes, brunes, rousses, toutes sont folles de lui et tombent dans ses bras : Anita Carter, Cheryl Holdridge, Alice ou Helen Kessler (peut-être même les deux), Nancy Sinatra (fille de), Dolores Hart… Patrick Mahé précise : « Il aurait plu à Mme de Fontenay, parce qu’il adorait les Miss. »

Un homme rattrapé par ses démons

De concert en concert, d’Etat en Etat, de soirées en mondanités, dès 1975, Elvis s’épuise. Il oublie même les paroles de ses chansons sur scène. En 1977, il entre en dépression à la suite de la sortie du livre « brûlot » de son ancien garde du corps (un ami d’enfance qu’il a renvoyé après que ce dernier eut violenté un fan), il se replie dans sa solitude à Graceland. A cette époque, il est marié à Ginger Alden, sa dernière compagne. Il avale des pilules prescrites par son « bon docteur Nichopoulos » qui lui prescrit une quarantaine de médicaments par jour… Il vit en retrait du monde. Se lève à 21 heures et se couche sur les coups de 9 heures du matin. Il grossit à vue d’œil et pèse cette année-là 106 kg.

Dans la nuit du 15 au 16 août 1977, Elvis – l’oiseau de nuit – entreprend une grande partie de squash. Entre 5 heures et 6 h 40, il se lance à corps perdu dans une grande bataille avec son cousin Billy Smith. Une fois l’affrontement sportif terminé, le King rejoint sa chambre à coucher vers 9 heures. Il avale un cachet de somnifère, comme à son habitude, mais cette fois-ci son cœur ne supporte pas. Il s’écroule sur le sol de la salle de bains, victime d’une d’arythmie cardiaque. Ginger Alden se réveille vers 14 heures. Son mari n’est pas au lit. Elle le cherche, l’appelle. Puis le retrouve étendu au sol. C’est la fin : le King est mort.

Source : http://www.francesoir.fr/culture/2010/01/07/elvis-presley.html

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Elvis Presley rêvait de rencontrer Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno


Issu d’un milieu très modeste, Elvis Presley a su se forger un destin hors du commun. Trente-deux ans après sa mort, son nom reste une légende.

N’est pas King qui veut. Pour prétendre à ce titre de légende, il faut avoir du talent, danser comme un dieu, afficher un sourire ravageur, un charisme digne des plus grands dandys, entonner des tubes et emballer les filles. Des qualités de séducteur et d’artiste qu’avait le grand Elvis Presley. Sans aucun doute, il est l’un des hommes qui ont marqué le XXe siècle. Avec des milliers de concerts à son actif, une trentaine de films à son palmarès et une cinquantaine de conquêtes féminines au compteur, Elvis Presley restera à jamais le roi du rock… et de la drague.

Un destin

Né le 8 janvier 1935 à Tupelo, dans le Mississippi, d’une famille pauvre, Elvis Aaron Presley est le fils unique de Gladys Love Smith et de Vernon Elvis Presley. Il a eu un frère jumeau, mort-né, appelé Jesse Garon Presley. Sa mère était ouvrière et son père travaillait dans une épicerie. En grandes difficultés financières, la famille Presley déménage à Memphis, dans le Tennessee, alors qu’Elvis n’a que 13 ans. Très vite, il affirme un goût prononcé pour la musique noire.

Eté 1953, Elvis a 18 ans. Il pousse alors la porte d’un petit studio d’enregistrement, Sun Records, à Memphis. Afin de faire un cadeau à sa mère, il décide d’enregistrer à ses frais (4 dollars) deux titres, My Happiness et That’s When Your Heartaches Begin, La secrétaire du studio note les coordonnées du jeune homme –encore inconnu– pour son boss, Sam Phillips. Même si le jeune chanteur n’emballe pas plus que cela le directeur du label, son style lui tape dans l’œil. En 1954, après de nombreux essais, peu concluants, Elvis entonne That’s All Right Mama, d’Arthur Crudup. C’est la stupéfaction. Il métamorphose ce titre, un blues à l’origine, en chanson rock and roll. Le jeune chanteur vient de trouver sa voie.

Un amour interdit

Après quatre ans de succès, de fans hystériques, de tubes et de tournées (surtout dans le sud des Etats-Unis), le bel Elvis part faire son service militaire avec l’US Army. Il coupe sa banane pour une coiffure de rigueur et décide de servir en Europe, « parce qu’il rêvait de rencontrer Brigitte Bardot », nous confie Patrick Mahé, auteur du Roman des amours d’Elvis (éd. du Rocher). En Allemagne, en 1959, il rencontre celle qui deviendra « la » femme de sa vie : Priscilla Beaulieu. Elle n’a que 14 ans et demi, lui 23. Il tombe sous le charme de la jeune fille, brune et pâle, en tenue d’écolière, qui collectionne ses photos… Quelques mois plus tard, Priscilla emménage à Graceland, avec le consentement de ses parents. Ils se marient en 1967 à Las Vegas. Neuf fois plus tard, le 1er février 1968, leur fille unique, Lisa Marie Presley, voit le jour.

Un mari volage

Bourreau des cœurs – même si pour tous son grand amour fut Priscilla –, le rocker s’est attiré bien des faveurs féminines, plus ou moins avérées. Avec son sourire en coin, ses yeux plissés et son Perfecto, il séduit les plus belles femmes : danseuses de cabaret, actrices, réceptionniste des hôtels les plus prestigieux… Blondes, brunes, rousses, toutes sont folles de lui et tombent dans ses bras : Anita Carter, Cheryl Holdridge, Alice ou Helen Kessler (peut-être même les deux), Nancy Sinatra (fille de), Dolores Hart… Patrick Mahé précise : « Il aurait plu à Mme de Fontenay, parce qu’il adorait les Miss. »

Un homme rattrapé par ses démons

De concert en concert, d’Etat en Etat, de soirées en mondanités, dès 1975, Elvis s’épuise. Il oublie même les paroles de ses chansons sur scène. En 1977, il entre en dépression à la suite de la sortie du livre « brûlot » de son ancien garde du corps (un ami d’enfance qu’il a renvoyé après que ce dernier eut violenté un fan), il se replie dans sa solitude à Graceland. A cette époque, il est marié à Ginger Alden, sa dernière compagne. Il avale des pilules prescrites par son « bon docteur Nichopoulos » qui lui prescrit une quarantaine de médicaments par jour… Il vit en retrait du monde. Se lève à 21 heures et se couche sur les coups de 9 heures du matin. Il grossit à vue d’œil et pèse cette année-là 106 kg.

Dans la nuit du 15 au 16 août 1977, Elvis – l’oiseau de nuit – entreprend une grande partie de squash. Entre 5 heures et 6 h 40, il se lance à corps perdu dans une grande bataille avec son cousin Billy Smith. Une fois l’affrontement sportif terminé, le King rejoint sa chambre à coucher vers 9 heures. Il avale un cachet de somnifère, comme à son habitude, mais cette fois-ci son cœur ne supporte pas. Il s’écroule sur le sol de la salle de bains, victime d’une d’arythmie cardiaque. Ginger Alden se réveille vers 14 heures. Son mari n’est pas au lit. Elle le cherche, l’appelle. Puis le retrouve étendu au sol. C’est la fin : le King est mort !

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Elvis Presley rêvait de rencontrer Brigitte Bardot...

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Issu d’un milieu très modeste, Elvis Presley a su se forger un destin hors du commun. Trente-deux ans après sa mort, son nom reste une légende.

N’est pas King qui veut. Pour prétendre à ce titre de légende, il faut avoir du talent, danser comme un dieu, afficher un sourire ravageur, un charisme digne des plus grands dandys, entonner des tubes et emballer les filles. Des qualités de séducteur et d’artiste qu’avait le grand Elvis Presley. Sans aucun doute, il est l’un des hommes qui ont marqué le XXe siècle. Avec des milliers de concerts à son actif, une trentaine de films à son palmarès et une cinquantaine de conquêtes féminines au compteur, Elvis Presley restera à jamais le roi du rock… et de la drague.

Un destin

Né le 8 janvier 1935 à Tupelo, dans le Mississippi, d’une famille pauvre, Elvis Aaron Presley est le fils unique de Gladys Love Smith et de Vernon Elvis Presley. Il a eu un frère jumeau, mort-né, appelé Jesse Garon Presley. Sa mère était ouvrière et son père travaillait dans une épicerie. En grandes difficultés financières, la famille Presley déménage à Memphis, dans le Tennessee, alors qu’Elvis n’a que 13 ans. Très vite, il affirme un goût prononcé pour la musique noire.

Eté 1953, Elvis a 18 ans. Il pousse alors la porte d’un petit studio d’enregistrement, Sun Records, à Memphis. Afin de faire un cadeau à sa mère, il décide d’enregistrer à ses frais (4 dollars) deux titres, My Happiness et That’s When Your Heartaches Begin, La secrétaire du studio note les coordonnées du jeune homme –encore inconnu– pour son boss, Sam Phillips. Même si le jeune chanteur n’emballe pas plus que cela le directeur du label, son style lui tape dans l’œil. En 1954, après de nombreux essais, peu concluants, Elvis entonne That’s All Right Mama, d’Arthur Crudup. C’est la stupéfaction. Il métamorphose ce titre, un blues à l’origine, en chanson rock and roll. Le jeune chanteur vient de trouver sa voie.

Un amour interdit

Après quatre ans de succès, de fans hystériques, de tubes et de tournées (surtout dans le sud des Etats-Unis), le bel Elvis part faire son service militaire avec l’US Army. Il coupe sa banane pour une coiffure de rigueur et décide de servir en Europe, « parce qu’il rêvait de rencontrer Brigitte Bardot », nous confie Patrick Mahé, auteur du Roman des amours d’Elvis (éd. du Rocher). En Allemagne, en 1959, il rencontre celle qui deviendra « la » femme de sa vie : Priscilla Beaulieu. Elle n’a que 14 ans et demi, lui 23. Il tombe sous le charme de la jeune fille, brune et pâle, en tenue d’écolière, qui collectionne ses photos… Quelques mois plus tard, Priscilla emménage à Graceland, avec le consentement de ses parents. Ils se marient en 1967 à Las Vegas. Neuf fois plus tard, le 1er février 1968, leur fille unique, Lisa Marie Presley, voit le jour.

Un mari volage

Bourreau des cœurs – même si pour tous son grand amour fut Priscilla –, le rocker s’est attiré bien des faveurs féminines, plus ou moins avérées. Avec son sourire en coin, ses yeux plissés et son Perfecto, il séduit les plus belles femmes : danseuses de cabaret, actrices, réceptionniste des hôtels les plus prestigieux… Blondes, brunes, rousses, toutes sont folles de lui et tombent dans ses bras : Anita Carter, Cheryl Holdridge, Alice ou Helen Kessler (peut-être même les deux), Nancy Sinatra (fille de), Dolores Hart… Patrick Mahé précise : « Il aurait plu à Mme de Fontenay, parce qu’il adorait les Miss. »

Un homme rattrapé par ses démons

De concert en concert, d’Etat en Etat, de soirées en mondanités, dès 1975, Elvis s’épuise. Il oublie même les paroles de ses chansons sur scène. En 1977, il entre en dépression à la suite de la sortie du livre « brûlot » de son ancien garde du corps (un ami d’enfance qu’il a renvoyé après que ce dernier eut violenté un fan), il se replie dans sa solitude à Graceland. A cette époque, il est marié à Ginger Alden, sa dernière compagne. Il avale des pilules prescrites par son « bon docteur Nichopoulos » qui lui prescrit une quarantaine de médicaments par jour… Il vit en retrait du monde. Se lève à 21 heures et se couche sur les coups de 9 heures du matin. Il grossit à vue d’œil et pèse cette année-là 106 kg.

Dans la nuit du 15 au 16 août 1977, Elvis – l’oiseau de nuit – entreprend une grande partie de squash. Entre 5 heures et 6 h 40, il se lance à corps perdu dans une grande bataille avec son cousin Billy Smith. Une fois l’affrontement sportif terminé, le King rejoint sa chambre à coucher vers 9 heures. Il avale un cachet de somnifère, comme à son habitude, mais cette fois-ci son cœur ne supporte pas. Il s’écroule sur le sol de la salle de bains, victime d’une d’arythmie cardiaque. Ginger Alden se réveille vers 14 heures. Son mari n’est pas au lit. Elle le cherche, l’appelle. Puis le retrouve étendu au sol. C’est la fin : le King est mort !

Source : http://www.francesoir.fr/culture/2010/01/07/elvis-presley.html

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Film Vie héroïque : Laéticia Casta est Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Casta-Gainsbourg
Laetitia Casta aime les mythes. A l’écran, elle incarne Brigitte Bardot dans le film Gainsbourg, Vie héroïque. A la ville, elle a appelé sa petite dernière, Athéna.

L’actrice explique dans le magazine Elle pourquoi elle a choisi ce prénom.

“Enceinte, je lisais des ouvrages sur la mythologie grecque, et il s’est imposé, confie Laetitia Casta. J’aime les dieux antiques qui ressemblent aux hommes – ils aiment manger, faire l’amour, ils sont jaloux –, et parmi eux, plus que tout, Athéna. Elle est une image de la féminité où l’intelligence prime sur l’apparence. Elle nous ramène à nos origines.”

Source : http://www.bb-buzz.com/2010/01/07/pourquoi-laetitia-casta-a-appele-sa-fille-athena/

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