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brigitte bardot

Cinéma de la plage : Bardot en avant-première !

Publié le par Ricard Bruno

Cinéma de la plage : Bardot en avant-première !

Comme chaque année, le grand public pourra assister gratuitement et sans accréditation aux projections en plein air du cinéma de la plage. Au programme : « Bardot », documentaire sur Brigitte Bardot (en salles le 17 septembre)

Brigitte Bardot est la première icône du cinéma français à acquérir une renommée mondiale. À la fois muse, star adulée et militante engagée, elle incarne une femme libre mais incomprise. Trop aimée ou mal aimée, elle traverse les feux des projecteurs avant de se retirer à La Madrague, fuyant les regards et les scandales. Aujourd’hui, elle revient sur sa vie aux multiples contrastes : son ascension fulgurante, son statut d’icône féminine, ses propos parfois trop radicaux dans sa lutte pour la cause animale. Avant-gardiste dans ses engagements, elle a bouleversé l’image des femmes et anticipé des combats écologiques toujours plus d’actualité aujourd’hui.

Réalisé par : Alain BERLINER
Année de production : 2025
Pays : France, Belgique
Durée : 90 minutes

 

Bruno Ricard

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Brigitte Bardot offre un beau cadeau aux parlementaires devenus sourds !

Publié le par Ricard Bruno

  Brigitte Bardot offre un beau cadeau aux parlementaires devenus sourds !

 

Brigitte Bardot offre un beau cadeau aux parlementaires devenus sourds ! Sourd aux appels de Brigitte Bardot pour l'abolition pure et simple de la chasse à courre, qui avec l'Irlande reste le dernier pays européen à pratiquer cette horreur !

​​​​​​​Bruno Ricard 

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Le premier entretien filmé de Brigitte Bardot depuis dix ans : retrouvez son interview exclusive ce lundi 12 mai sur BFMTV

Publié le par Ricard Bruno

Le premier entretien filmé de Brigitte Bardot depuis dix ans : retrouvez son interview exclusive ce lundi 12 mai sur BFMTV
Son combat pour la protection des animaux, la lutte contre la chasse à courre mais aussi le cinéma, sa légende et sa vie aujourd'hui... Brigitte Bardot se confie à Steven Bellery, chef du service Culture de BFMTV. 
 

Ce lundi 12 mai, dans un entretien exclusif accordé à BFMTV, le premier face à la caméra depuis plus de 10 ans, Brigitte Bardot revient en longueur sur son combat pour la défense des animaux, la lutte contre la chasse à courre.

Brigitte Bardot se confie également sur sa carrière au cinéma, ses chansons et évoque en profondeur les grandes étapes de sa vie.

Un entretien exclusif qu’elle a accordé, dans sa maison de Saint Tropez à Steven Bellery, chef du service Culture de BFMTV.

Des extraits seront présentés dès 7h45, puis tout au long de la journée, et cet entretien exceptionnel sera ensuite diffusé en intégralité à 21h et disponible en digital en direct sur le site, l’application de BFMTV, sur BFM RADIO et replay sur la plateforme RMC BFM Play.

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Brigitte Bardot : Documentaire inédit sélection officielle du festival de Cannes 2025 !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : Documentaire inédit sélection officielle du festival de Cannes 2025 !

 Documentaire totalement inédit auquel j'ai participé ainsi que Brigitte Bardot elle même interviewée chez elle à Saint-Tropez également Bernard d'Ormale son mari et, d'autres intervenants comme Claude Lelouch, Paul Watson, Naomi Campbell... ce documentaire est sélectionné au festival de Cannes 2025 !

Bruno Ricard

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Brigitte Bardot : sa soeur Mijanou aurait pu devenir une grande actrice… avant de s’exiler aux États-Unis !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : sa soeur Mijanou aurait pu devenir une grande actrice… avant de s’exiler aux États-Unis !

Mijanou, la sœur de Brigitte Bardot, souffle ce 5 mai 2025 sa 87e bougie. Comme son aînée, elle a tenté de faire carrière dans le cinéma, mais elle a fini par se diriger vers une toute autre voie.

Ce lundi 5 mai 2025, la petite sœur de Brigitte Bardot, Marie-Jeanne Bardot, dite Mijanou, célèbre ses 87 ans. Pour l’occasion découvrez la carrière que la femme discrète aurait pu embrasser avant de partir vivre aux États-Unis. Une fois que la jeune femme a obtenu son baccalauréat, ses parents l’autorisent à jouer dans des films, comme le fait déjà Brigitte Bardot de quatre ans son aînée. À 18 ans et son baccalauréat en poche, ses parents acceptent de la laisser tourner, comme sa soeur avant elle. Mijanou Bardot décroche un premier rôle dans Club de femmes, réalisé par Ralph Habib, qui sort au cinéma en 1956. S’en suivront d’autres films, tels que Jusqu’au dernier de Pierre Billon, Une balle dans le canon de Michel Deville et Charles Gérard ou encore Ramuntcho de Pierre Schoendoerffer. Dans ce dernier film sorti en 1959, Mijanou Bardot incarne l’héroïne principale.

Mais sur le tournage, elle ne veut pas tourner une scène où elle doit se baigner nue. «Moi, je ne m’exhibe pas. Demandez à Brigitte de me doubler pour cette scène. Elle adore retirer son soutien-gorge et fera ça avec plaisir. Mais moi, je ne suis pas B.B», prévient-elle, en s’adressant au réalisateur Pierre Schoendoerffer, selon des propos rapportés par Dominique Choulant dans son livre Bardot pour toujours (éditions Fernand Lanore). Les projets s’enchaînent mais Mijanou Bardot reste timide et réservée. Au point que ces tournages et les shootings photo pour les magazines la paralysent. «Je ne peux pas être mise en avant, quelqu’un devant moi, au besoin de mon chien... Que tout le monde me regarde me rendait malade, maintenant aussi... même si c’est un groupe d’enfant avec un iPhone, je suis paralysée», reconnaît-elle dans l’ouvrage. «J’ai cru pendant un court moment que tout le monde éprouvait la même chose, alors je me suis forcée», a-t-elle raconté avant de faire le choix de tout arrêter. Elle part vivre aux États-Unis où elle se reconvertit dans l’univers du design et fonde sa propre entreprise baptisée Espace Loggia.

Brigitte Bardot : pourquoi sa carrière d’actrice a failli ne jamais voir le jour

«Gamine, je ne rêvais pas d’être actrice mais danseuse étoile », a déclaré en 2024 Brigitte Bardot à Paris Match. Avant de devenir l’une des actrices incontournables du cinéma français, B.B avait déjà son avenir tout tracé dans le monde de la danse. Très jeune, l’épouse de Bernard d’Ormale se passionne pour le ballet et fait ses premiers pas à seulement l’âge de 7 ans dans la célèbre école de danse de Marcelle-Claire Bourgat. Elle remporte même le premier prix de danse de son école. En 1947, l’adolescente passera le concours d’entrée au Conservatoire national de musique et de danse. Parmi les 150 candidates, elle arrive à terminer septième, mais le rythme des cours et la danse devenaient de plus en plus difficiles à suivre. «Deux heures de danse quotidiennes, plus les études... Je souffrais sur mes entrechats, mes pieds saignaient de trop recolla car un pas que je n’arrivais pas à faire parfaitement.» En 1948, B.B quitte le conservatoire pour suivre l’enseignement du prestigieux professeur de danse Boris Kniazeff. Quelques années plus tard, Brigitte Bardot part direction Rennes avec la troupe du danseur étoile Christian Foye où elle donne une série de représentations. À 16 ans, elle enchaîne les castings de films tout en continuant de pratiquer la danse, puis elle finit par se consacrer uniquement au cinéma.

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La Fondation Brigitte Bardot enrage des partenariats entre chasseurs et gendarmes

Publié le par Ricard Bruno

La Fondation Brigitte Bardot enrage des partenariats entre chasseurs et gendarmes

Les chasseurs et les gendarmes de France sont de plus en plus nombreux à travailler ensemble pour faire avancer les enquêtes de terrain et réduire les incivilités en zone rurale. Ces partenariats départementaux ne sont pas vu d’un très bon œil par les anti-chasse, à l’image de la Fondation Brigitte Bardot qui s’insurge de cette avancée sur les réseaux sociaux.

Les partenariats entre gendarmeries et Fédérations de chasse se multiplient.

Plusieurs Fédérations de chasse ont signé des partenariats avec les gendarmeries locales afin de s’entraider sur des dossiers en zone rurale. Ces partenariats permettent aux gendarmes de bénéficier des observations des chasseurs qui sont sans cesse sur le terrain et agissent comme des sentinelles. Cela permet bien souvent d’avancer rapidement sur des enquêtes de terrain ou même de faire remonter des informations comme les dépôts sauvages ou l’occupation illicite de territoires par exemple.

A l’inverse, les chasseurs bénéficient d’un interlocuteur privilégié en gendarmerie pour les dossiers qui les concernent et peuvent communiquer avec des gens compétents, capables d’appréhender leurs problématiques.

Récemment, la Fondation Brigitte Bardot s’est insurgée de la mise en place de ces partenariats en visant précisément l’un des derniers en date en Seine-et-Marne.

 

La perspective que quelqu’un comprenne l’importance du travail réalisé par les chasseurs sur le terrain semble les placer dans un certain inconfort

Pour signaler son mécontentement et tenter d’influencer le débat, la Fondation a posté un message sur ses réseaux sociaux en indiquant qu’elle associait ces partenariats avec des « faits préoccupants ».

 

🦌 Un partenariat entre chasseurs et gendarmes en Seine-et-Marne Il y a quelques jours, la Fédération départementale des chasseurs de Seine-et-Marne (77) a tenu son assemblée générale sous le regard bienveillant des élus et du préfet du même département. Fait préoccupant : Une convention vient d'être signée entre la Fédération de chasse, la préfecture et la Gendarmerie nationale. Une convention dont le contenu reste flou. En effet, la préfecture annonce : “lutter contre les attaques à l’environnement, lutter contre les atteintes aux biens dont peuvent être victimes les chasseurs et lutter contre les atteintes aux personnes pouvant avoir un attrait au monde cynégétique”, de quoi veulent se protéger les chasseurs ? Des lanceurs d’alertes ? De ceux qui documentent leurs actions et abus ? ❓ Cette alliance soulève des questions légitimes : Comment une activité responsable de nombreux accidents et le massacre de millier d’animaux chaque année peut-elle prétendre "lutter contre les atteintes à l'environnement" ? Pourquoi utiliser les forces de l'ordre pour protéger spécifiquement "les biens et personnes du monde cynégétique" ? ➡️ Rappelons que la chasse impacte gravement la faune sauvage et provoque chaque année des accidents mortels. En 2023-2024, l'Office français de la biodiversité a recensé 103 accidents de chasse dont 6 mortels. 👉 La Fondation Brigitte Bardot reste vigilante face à cette institutionnalisation de la chasse et continuera de défendre les droits des animaux sauvages face au lobby cynégétique.

La Fondation Brigitte Bardot enrage des partenariats entre chasseurs et gendarmes
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Delon & Elles

Publié le par Ricard Bruno

Exposition Photographie Tout public

Exposition Photographie Tout public

Delon & Elles

Cannes fait le mur
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"C'est dégueulasse !" : nouveau rebondissement dans l'affaire des sangliers de La Ferté-Saint-Aubin

Publié le par Ricard Bruno

La cour d'appel d'Orléans vient à nouveau de donner tort à un couple de La Ferté-Saint-Aubin, condamné en première instance par le tribunal correctionnel pour avoir détenu illégalement deux sangliers. Il a annoncé former un pourvoi en cassation, mercredi 30 avril.

En mai 2023, les sangliers Mimi et Pumba étaient capturés dans leur enclos de La Ferté par les agents de l'Office français de la biodiversité. Et transférés dans un parc du Calvados.

En mai 2023, les sangliers Mimi et Pumba étaient capturés dans leur enclos de La Ferté par les agents de l'Office français de la biodiversité. Et transférés dans un parc du Calvados.

Rebondissement dans l'affaire des deux sangliers de La Ferté-Saint-Aubin, que l'on a bien cru tirés d'affaire, fin 2024, quand le couple qui les recueillait au printemps 2022 obtenait l'autorisation préfectorale de les héberger sur la propriété du château dont ils sont les gardiens.

 

Pour mémoire, le frère et la sœur marcassins, orphelins de surcroît, après que leur mère a été abattue en Sologne, avaient été adoptés par Cindy Pinon et Nicolas Braconnier (qui les découvrait en forêt). Ils leur construisaient alors un vaste enclos sur la propriété du château.

Un an plus tard, Mimi et Pumba leur avaient été retirés au cours d'une scène déchirante, Nicolas et Cindy n'ayant pas l'autorisation d'élever des animaux sauvages.

Condamnation...

Le tribunal allait de surcroît les condamner, en novembre 2023, à une amende, et acter le maintien des bêtes au parc animalier de Grimbosq, dans le Calvados, là où elles avaient été transférées par les agents de l'Office français de la biodiversité (OFB).

Autorisation préfectorale

Pas de quoi décourager le couple. Il n'avait pas renoncé à récupérer les deux animaux auxquels il s'était très vite attaché, ses "bébés", et obtenait alors l'autorisation d'élevage, fin 2024.

"Après avoir fait des dépenses faramineuses au niveau de notre parc", précise Cindy Pinon. Sur demande de la préfecture,
il s'agissait "de le rendre conforme à la législation" et à l'ouverture "d'un établissement d'élevage de type refuge sanctuaire pour sangliers".

Les sangliers menacés d'euthanasie ?

Le 5 mars 2025, le couple a été jugé en appel dans l'espoir de faire annuler la décision de première instance qui, donc, le condamnait à une amende et confirmait la confiscation de Mimi et Pumba. Une décision mise en délibéré  au mardi 29 avril.

La cour d'appel d'Orléans a finalement confirmé la confiscation des bêtes, maintenu l'amende originelle, auquel elle ajoute, nous apprend Cindy, "les frais de gardiennage des sangliers pendant deux ans et le coût de leur transfert dans le Calvados", en 2023, à l'époque de leur saisie.

Le couple a décidé de passer à l'étape supérieure, en contestant la décision rendue en appel. Il a formulé un pourvoi en cassation (la plus haute juridiction française), a annoncé le procureur général dans un communiqué, mercredi 30 avril. 

"À noter que la détention de cette espèce est strictement encadrée dès le premier spécimen, a-t-il précisé. Au-delà de la détention d’un spécimen, la réglementation impose d’être titulaire d’un certificat de capacité et d’une autorisation préfectorale."

"On a tout fait pour rentrer dans les cases"

"Combien ça va nous coûter, sûrement très cher ?" Cindy Pinon fait état d'une infinie tristesse : "C'est dégueulasse ! On a montré notre bonne foi, on a tout fait pour rentrer dans les cases." Et enfin récupérer Mimi et Pumba à La Ferté. Une décision de justice qui ouvre, selon Cindy, la voie "à l'euthanasie" du frère et de la sœur sangliers, "si c'est pas déjà fait..."

Cindy a eu, mardi 29 avril, la chargée de faune sauvage de Brigitte Bardot au téléphone : "Elle m'a dit que Brigitte Bardot (qui s'était déjà manifestée en 2023 dans l'affaire des sangliers de La Ferté) continuait de suivre l'affaire de près".

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La Fondation Brigitte Bardot appelle à la vidéosurveillance obligatoire suite au scandale de Charlieu

Publié le par Ricard Bruno

La Fondation Brigitte Bardot appelle à la vidéosurveillance obligatoire suite au scandale de Charlieu
La Fondation Brigitte Bardot appelle à la vidéosurveillance obligatoire suite au scandale de Charlieu
La Fondation Brigitte Bardot appelle à la vidéosurveillance obligatoire suite au scandale de Charlieu

La Fondation Brigitte Bardot est cosignataire -avec les cinq autres ONG membres du CNEAb (Comité national d’éthique des abattoirs) – d’une lettre ouverte envoyée aujourd’hui à la ministre de l’Agriculture, Annie Genevard. La FBB réagit fermement aux nouvelles images choquantes documentant des maltraitances graves à l’abattoir de Charlieu (Loire).

« Une nouvelle fois, les animaux subissent d’insupportables souffrances en raison de mauvaises pratiques qui perdurent dans les abattoirs français » dénonce cette lettre ouverte. Ce constat alarmant intervient alors qu’en 2016, une inspection nationale révélait que 80% des abattoirs présentaient des non-conformités dans le traitement des animaux. Qu’a fait l’Etat depuis 2016 pour améliorer les pratiques ? Combien d’autres animaux devront subir ces cruautés parfaitement évitables ?
Il est plus que jamais urgent d’installer la vidéosurveillance obligatoire dans tous les abattoirs français. Cette mesure essentielle permettrait non seulement de prévenir les mauvais traitements, mais aussi d’assurer un contrôle transparent et permanent des conditions d’abattage, redonnant ainsi confiance aux consommateurs et aux éleveurs.

Ces images sont insupportables et de telles dérives intolérables.

 

Voici la lettre : 

Madame la Ministre,

La diffusion d’une nouvelle vidéo, mettant en cause l’abattoir de Charlieu (Loire) pour d’importantes non-conformités dans le process d’abattage des animaux, suscite l’incompréhension et la légitime colère de nos concitoyens et de nos organisations.
Une nouvelle fois, les services de la Préfecture déclarent mener les investigations nécessaires. Une nouvelle fois, les autorités judiciaires ouvrent une enquête préliminaire pour maltraitances animales et sévices sur animaux. Une nouvelle fois, le ministère de l’Agriculture mandatera ses services spécialisés (Force d’inspection nationale des abattoirs (FINA), Référents nationaux en abattoirs (RNA), Brigade nationale d’enquête vétérinaire).
Une nouvelle fois… jusqu’à la prochaine vidéo ?
Ce scénario se répète invariablement depuis plusieurs années et les animaux subissent d’insupportables souffrances en raison de mauvaises pratiques qui perdurent dans les abattoirs français.
Nos organisations, membres du Comité national d’éthique des abattoirs depuis sa création, n’ont de cesse de solliciter les services de la Direction Générale de l’Alimentation (DGAl) afin que des inspections « protection animale » renforcées soient menées dans l’ensemble des établissements d’abattage français.
Une telle inspection nationale avait d’ailleurs été ordonnée par l’un de vos prédécesseurs en 2016 et avait conclu que 80 % des abattoirs révélaient des non-conformités dans le traitement des animaux.
Il nous paraît indispensable, Madame la ministre, de renouveler une inspection généralisée « protection animale » des abattoirs, afin d’identifier les causes des non-conformités, de mettre en place les actions correctives et de prendre les sanctions qui s’imposent.
Cette démarche permettra également de redonner confiance aux consommateurs et aux éleveurs, régulièrement choqués par ces révélations de mauvais traitements en abattoirs. A l’heure de la Souveraineté alimentaire et de la nécessaire défense de nos filières, tout doit être mis en œuvre pour que le label « viandes de France » ne puisse être assimilé à un label de souffrances.

Vous remerciant de votre bienveillante attention et des actions fortes que vous ne manquerez pas d’initier, nous vous prions d’agréer, Madame la ministre, l’expression de notre haute considération.

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