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brigitte bardot

Filmographie Brigitte Bardot : Les bijoutiers du clair de lune

Publié le par Ricard Bruno

Filmographie Brigitte Bardot : Les bijoutiers du clair de lune
Filmographie Brigitte Bardot : Les bijoutiers du clair de lune
Filmographie Brigitte Bardot : Les bijoutiers du clair de lune
Filmographie Brigitte Bardot : Les bijoutiers du clair de lune
Filmographie Brigitte Bardot : Les bijoutiers du clair de lune
Filmographie Brigitte Bardot : Les bijoutiers du clair de lune

Synopsis

Une jeune fille orpheline, Ursula, sort du couvent et se rend en Espagne pour vivre chez son oncle Ribera et sa tante Florentine. À son arrivée, elle est témoin d’un drame : une jeune fille s'est suicidée en se précipitant dans un puits. Le frère de la morte, Lambert, accoste Ursula avec l’intention de rencontrer son oncle qu’il rend responsable du décès de sa sœur, l’accusant d’avoir abusé d’elle. Lambert est roué de coups et jeté à la porte par les hommes de Ribera. Ursula lui porte secours et ne tarde pas à en tomber amoureuse. Elle doit bientôt repousser les avances violentes de son oncle et Lambert, en essayant de se défendre lorsque Ribera l’agresse, le tue d’un coup de couteau. Les événements vont se précipiter, entraînant Ursula, Lambert et Florentine, qui est sa maîtresse, dans une spirale à l’issue tragique…

Fiche technique

 

Pays Box-office

Drapeau de la France France

Box-office

Drapeau de l'Italie Italie

Sortie
Les Bijoutiers du clair de lune 2 134 822 entrées 1 900 000 entrées

Distribution

  • Maruchi Fresno : Conchita
  • Nicolás D. Perchicot : le prêtre
  • Antonio Prieto : le chef carabinier
  • José Tasso Tena : le palefrenier
  • Rafaël Torrobo : le vétérinaire
  • Tosi : le capitaine
  • Antonio Vico : le chauffeur du comte
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Filmographie Brigitte Bardot : Une Parisienne

Publié le par Ricard Bruno

Filmographie Brigitte Bardot : Une Parisienne

Synopsis

Brigitte Laurier (Brigitte Bardot), fille du Président du Conseil (André Luguet), est éperdument éprise de Michel Legrand (Henri Vidal), le chef de cabinet de son père. Elle s'arrange si bien pour le compromettre et se compromettre que le jeune homme est obligé de l'épouser sur le champ. Devant l'indifférence de Michel, Brigitte décide de tout mettre en œuvre pour le rendre jaloux, provoquant un rendez-vous entre son mari et sa volcanique maîtresse, puis s'offrant une escapade sur la Côte d'Azur avec un séduisant prince consort (Charles Boyer) en visite officielle.

Fiche technique

Distribution

Filmographie Brigitte Bardot : Une Parisienne
Filmographie Brigitte Bardot : Une ParisienneFilmographie Brigitte Bardot : Une Parisienne
Filmographie Brigitte Bardot : Une ParisienneFilmographie Brigitte Bardot : Une ParisienneFilmographie Brigitte Bardot : Une Parisienne
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Le Mépris... Et Godard recréa Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Le Mépris... Et Godard recréa Bardot

OCS Géants diffuse ce soir le chef d’œuvre inépuisable de Jean-Luc Godard dans lequel Bardot au faîte de sa beauté, vampirise le cadre et les émotions.

 

Il est des œuvres qui changent à jamais le cours des choses. Des œuvres, dont le contact vous laisse à terre et qui révèlent au commun des mortels des sentiments jusqu’alors insoupçonnés. Le fait, par exemple, qu’un film ne doit pas reposer seulement sur une belle histoire, racontée avec de jolis comédiens dans des décors sublimes, avec des dialogues soigneusement écrits.

Avec Le mépris tourné en 1964, Jean-Luc Godard a transcendé tous ces éléments décoratifs pour tutoyer la grâce des dieux. Dieux au pluriel car la mythologie du film est bien liée à la Grèce antique dont la présence physique, morale et intellectuelle traverse tous les pores de la pellicule. On trouve ici le Dieu cinéma. Le mépris a, en effet, pour toile de fond scénarisitique, un film dans le film tourné dans les mythiques studios de cinéma de Cinecittà, à Rome, où nos héros se débattent avec leurs sentiments. L’objectif de la caméra du chef opérateur Raoul Coutard nous dévisage d’ailleurs dès le premier plan, dans ce qui reste l’un des génériques les plus puissants de l’Histoire du septième art.

Il y a Dieu en personne, avec le figure de Fritz Lang – le cinéaste des cinéastes !- l’auteur de Metropolis, Le testament du Docteur Mabuse, M le maudit, Les contrebandiers de Moonfleet, jouant ici son propre rôle. Il y a aussi le Dieu qui créa la femme : Brigitte Bardot, 30 ans à l’époque, au faîte de sa gloire et sa beauté. Ajoutez à cela, la baie de Capri et ses eaux bleu turquoise, la musique sublimement mélancolique de Georges Delerue ou les imposantes statues de L’odyssée que la caméra encercle pour mieux nous rappeler qu’ici-bas, nous en sommes que des êtres sans défense. Près de cinquante après les faits, le monument de Jean-Luc Godard continue d’imposer sa loi suprême. Le temps n’a pas de prise sur lui. Un gage d’éternité pour un film pourtant hanté par le spectre de la mort.

BARDOT ET LES DIEUX

Le mépris est une très libre adaptation d’un roman de l’italien Alberto Moravia paru en 1954. Le livre raconte les moments qui précèdent une rupture amoureuse où l’homme et la femme ne peuvent que constater, impuissants, leur éloignement progressif. Nous sommes à Rome, la jolie Camille a suivi Paul, son compagnon, engagé comme scénariste sur un film produit par des Américains autour de L’odyssée d’Ulysse. Sur place, le couple se disloque peu à peu. Camille, insaisissable, s’éloigne inexplicablement de Paul qui ne parvient pas à la retenir. Pour évoquer le roman de Moravia, Godard, à son humour pince-sans-rire, disait : « C’est un vulgaire et joli roman de gare, plein de sentiments classiques et désuets, en dépit de la modernité des situations. Mais, c’est avec ce genre de roman que l’on tourne souvent de beaux films. » Godard, on s’en doute, a gentiment pris ses distances avec la prose de Moravia.  

Et ce lifting va se bâtir principalement autour d’un corps. Une présence flagrante qui va envahir le cadre, le submerger de son évidente beauté. Cet oiseau « rare », c’est Brigitte Bardot. Dans les années 60, B.B est la femme la plus photographiée du monde, emblème d’une jeunesse libre et vivante dans une société conservatrice. La beauté puissante de Bardot, où le naturel efface toute tentative de sophistication, sa moue faussement boudeuse où se mêlent distance juvénile et maîtrise absolue des sentiments, fascine autant qu’elle dérange. Simone de Beauvoir synthétisera en quelques mots ce tempérament évanescent : « Le désir et le plaisir sont pour elle plus convaincants que les préceptes et les conventions (…) Elle fait ce qui lui plaît, et c’est cela qui est troublant. »

Or en 1964, ce qui lui plaît, c’est de tourner avec Jean-Luc Godard. Elle a lu le roman de Moravia et fait savoir au cinéaste qu’elle veut bien être sa Camille. L’intéressé a pourtant en tête un fac-à-face entre Kim Novak et Frank Sinatra, soit la Carlotta de Vertigo repoussant l’étreinte de L’homme au bras d’or ! C’est que, pour la première fois de sa carrière, débutée quelques années plus tôt avec le film manifeste de la Nouvelle Vague, A bout de souffle, Godard a la possibilité de tourner une production avec un budget confortable.

INTERDIT AUX MOINS DE 18 ANS

Cofinancé par la France, l’Italie et… Hollywood, Le mépris, c’est un peu le rêve « bigger than life » qui se concrétise pour l’ancien critique des Cahiers du Cinéma. Bardot à bord, et c’est soudain tous les feux qui passent au vert. Le cinéaste ne renonce pas pour autant à son casting international : Jack Palance, le colosse au visage d’Indien taillé à la serpe, sera le producteur Jeremy Prokosch, l’Italienne Giorga Moll, son assistante. Quant au cinéaste allemand exilé à Hollywood, Fritz Lang, il jouera donc… Fritz Lang. Face à Brigitte Bardot, Godard choisit « l’admirable » Michel Piccoli, encore peu connu du grand public, à qui il donne comme unique indication pour camper Paul, l’amoureux éconduit : « C’est un personnage de Marienbad qui veut jouer le rôle d’un personnage de Rio Bravo. » Le parallèle entre le film expérimental, volontairement statique d’Alain Resnais et le chef-d’œuvre d’Howard Hawks, symbole de l’âge d’or du western hollywoodien, décrit assez bien les intentions de Godard. Si le cinéaste-cinéphile veut présenter au public une belle pièce en CinémaScope avec toute la grandeur que cela suppose, il ne renoncera pas à ses préoccupations d’auteur, et notamment à son montage tout en rupture ou encore sa façon de déstructurer l’image et le son… Le tournage du Mépris se déroulera sans heurt à l’abri du regard indiscret des producteurs américains tenus soigneusement à distance et des paparazzi traquant sans relâche Bardot.

Les prises de vues débutent le 22 avril 1963 à Rome. Entre la star et son réalisateur, c’est l’entente cordiale, à défaut d’être passionnée. Michel Piccoli fait office de trait d’union entre les deux parties. « Bardot, ce n’est pas la peine d’essayer de la faire jouer comme Natalie Wood ou Simone Signoret, explique alors le cinéaste. Il faut la prendre comme elle est et essayer de garder d’elle ce qu’elle a de bien, de le rendre vrai et plausible. » De son côté, Fritz Lang, le « dinosaure », admire le travail de « bébé » Godard. Pour Jack Palance, en revanche, c’est plus compliqué. L’acteur américain se plaint de la petitesse de ses dialogues et de l’attitude désinvolte de sa partenaire de jeu. Godard arrive toutefois au bout de son épopée – du moins le croit-il ! – le 8 juillet 1964. Il rend sa copie quelques semaines plus tard. Outre-Atlantique c’est la consternation : « Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire d’amour où l’on ne comprend rien aux sentiments qui animent les personnages ? Pourquoi engager Bardot, s’il n’y a aucune scène sexy avec elle ? » L’actrice n’est pas non plus contente du résultat. Et le film, qui devait faire l’évènement du festival de Venise, retourne illico en salle de montage.

Les Etats-Unis ont envoyé des cow-boys pour veiller au grain. Il est convenu d’ajouter des séquences, et notamment une scène de lit avec B.B. Godard écrit dans la foulée la fameuse ouverture qui appartient aujourd’hui à la mémoire collective : « Et mes seins, tu les aimes mes seins ? Et mes fesses, tu les aimes mes fesses ?... » Georges Delerue compose une musique au lyrique assumé dont la mélancolie semble sortir tout droit « de la souffrance des personnages. », dixit Michel Piccoli. Ultime combat, Godard devra affronter la censure qui interdit en France le film aux moins de 18 ans et le mutilera aux Etats-Unis et en Italie. Heureusement, le temps a effacé les cicatrices. Le mépris est bien cette grande œuvre crépusculaire qui parle « totalement », « tendrement », « tragiquement » de cinéma et de passion amoureuse, dans lequel la mise en scène – à l’image de la magnifique séquence dans l’appartement romain – est au diapason du mystère de l’existence.  En cela, l’axiome énoncé par le cinéaste ne souffre d’aucune discussion : Le mépris prouve en 149 plans que, dans le cinéma comme dans la vie, il n’y a rien de secret, rien à élucider, il n’y a qu’à vivre- et à filmer. »

 

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Filmographie Brigitte Bardot : Hélène de Troie...

Publié le par Ricard Bruno

Filmographie Brigitte Bardot : Hélène de Troie...
Filmographie Brigitte Bardot : Hélène de Troie...
Filmographie Brigitte Bardot : Hélène de Troie...
Filmographie Brigitte Bardot : Hélène de Troie...
Filmographie Brigitte Bardot : Hélène de Troie...
Filmographie Brigitte Bardot : Hélène de Troie...

Synopsis

Le prince troyen Pâris quitte son royaume pour porter un message de paix au roi Ménélas de Sparte. Mais, lors d'une tempête, le mât de son navire se brise et l'entraîne en tombant dans les flots. Pâris échoue sur une plage de la côte grecque  Hélène, la femme de Ménélas, le trouve à bout de force. Elle le soigne en secret et ils ne tardent pas tomber amoureux. Avant de rencontrer Ménélas, Pâris doit se plier aux coutumes et affronter Ajax dans un combat singulier dont il sort brillamment vainqueur. Ménélas voit aussitôt en lui un dangereux adversaire doublé d'un grand rival et le fait emprisonner. Hélène, surprise alors qu'elle préparait l'évasion de son amant, s'enfuit avec lui à Troie. Sa trahison, outre qu'elle bafoue Ménélas, déclenche immédiatement un énorme mouvement offensif des Grecs qui s'embarquent pour aller attaquer Troie.

Fiche technique

Distribution

Production

Casting
  • Brigitte Bardot : « Je finis par décrocher un rôle dans un film américain, Hélène de Troie, avec Rossana Podesta. Je devais jouer son esclave. Mon anglais était minable et mon trac formidable. Le jour des essais, il y avait 80 candidates. J’appris mon rôle sur le bout des doigts, je ne savais même pas ce que je disais, mais je le disais avec tant d’assurance que je fus choisie. Sans le savoir, j’avais mis mon petit doigt dans le grand engrenage des superproductions américaines. Là, on ne plaisante pas ! J’apprenais, avec beaucoup de mal, la discipline et l’anglais. Étant allergique aux deux, je considérais ce film comme une sorte de service militaire ! […] Les américains étaient charmants, mais pourquoi fallait-il se lever à 5 heures pour commencer à tourner à 9 ? Ma philosophie du travail les amusait, ils étaient ravis de la petite « French girl » et s’en furent le dire par-delà le grand océan. »
Tournage

Accueil

Variety écrit que « ce nouveau récit de la légende homérique, entièrement tourné en Italie, use du CinemaScope avec prodigalité. Warner Bros. et le réalisateur Robert Wise ont accumulé les dépenses en armée grecque et siège de Troie. […] Comme souvent dans les péplums, l’interprétation est parfois guindée. Warner réunit deux inconnus, Rossana Podesta, une exquise beauté italienne, et Jacques Sernas, un musculeux et beau Français. Ils correspondent visuellement tous les deux à leurs rôles », tandis que Bosley Crowther note dans The New York Times « toutes les techniques de guerres antiques développées et affinées à Hollywood sont admirablement et bruyamment restituées grâce à des dépenses supplémentaires italiennes. […] Mais l’intrigue dramatique est complètement perdue ou totalement desservie par la banalité du scénario, la maladresse des dialogues anglais, et des clichés inexcusables. […] Dans le rôle d’Hélène, Rossana Podesta est assez éblouissante, c’est vrai, mais son émotivité et les expressions de son visag

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Filmographie Brigitte Bardot : La mariée est trop belle

Publié le par Ricard Bruno

Filmographie Brigitte Bardot : La mariée est trop belle
Filmographie Brigitte Bardot : La mariée est trop belle
Filmographie Brigitte Bardot : La mariée est trop belle
Filmographie Brigitte Bardot : La mariée est trop belle
Filmographie Brigitte Bardot : La mariée est trop belle
Filmographie Brigitte Bardot : La mariée est trop belle

Synopsis[modifier | modifier le code]

Flash-back sur le parvis de l’église : Catherine (Brigitte Bardot) raconte ce qui s’est passé auparavant, avant que Judith (Micheline Presle) ne se jette dans les bras de Michel (Louis Jourdan), en lui disant qu’elle est divorcée et que Catherine ne s’évanouisse. Catherine, jeune provinciale, est repérée par Michel, amant de Judith, directrice d’un journal de mode. Elle devient mannequin sous le nom de « Chouchou » et elle forme un couple pour le magazine avec Patrice (Jean-François Calvé), un ex-acteur. Judith décide de marier Catherine et Patrice, faussement, pour faire un coup médiatique. Catherine et les autres vont faire des photographies et filmer le mariage dans le village natal de Catherine. Tout le monde est hébergé chez les tantes de Catherine, qui l’ont élevée. Catherine repousse la demande en mariage de Patrice, qui part dans la nuit. Michel est contraint de prendre la place de Patrice pour faire les photos, réalisées par Toni (Marcel Amont) et Marc (Roger Dumas, en blond !). Catherine s’aperçoit qu’elle aime Michel et elle finit par le lui avouer. Il ne veut pas la croire. Elle va s’offrir à Toni et à Marc, mais il y a des contretemps à chaque fois. Judith a récupéré Patrice et vient annoncer son divorce à Michel, après la fausse cérémonie à l’église (retour au début du film). Michel finit par repousser Judith. Il se marie vraiment avec Catherine. Judith veut qui’ils soient accompagnés par Marc et Toni pendant leur voyage de noces. Michel refuse et part avec Catherine. Patrice et Judith se regardent longuement…

Fiche technique

Distribution

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CONFINEMENT : LA CHASSE EST (ENFIN) INTERDITE !

Publié le par Ricard Bruno

CONFINEMENT : LA CHASSE EST (ENFIN) INTERDITE !
eu après le confinement du pays, une dérogation avait été obtenue par le lobby de la chasse pour que les chasseurs puissent poursuivre leur "gestion" de la nature. Désormais, plus aucune chasse n'est autorisée par le gouvernement. Un répit pour la faune sauvage de notre pays !
 

UNE DÉROGATION POUR TUER DES ANIMAUX SAUVAGES

C’est un cinglant désaveu pour Willy Schraen, le président de la Fédération Nationale des Chasseurs, qui annonçait juste après la mise en place du confinement général des mesures dérogatoires pour les chasseurs, obtenues auprès du ministère de l’Intérieur et en accord avec le ministère de la Transition écologique ! 

Toute chasse collective comme la chasse à courre étant de fait interdite pour respecter la consigne de distanciation sociale, Willy Schraen invitait les chasseurs à poursuivre leurs activités individuelles, à peine le confinement général mis en place et malgré l’urgence de la crise sanitaire.

Devant le tollé suscité par cette dérogation exceptionnelle accordée par l’État à une minorité, le gouvernement a très vite rétropédalé et annoncé 48H plus tard que toute forme de chasse serait désormais proscrite en France à compter du 19 mars.

 

UN LOBBY TRÈS ÉCOUTÉ À L'ÉLYSÉE

 

CONFINEMENT : LA CHASSE EST (ENFIN) INTERDITE !

Au moment où le Président de la République a annoncé la mise en quarantaine du pays, la plupart des activités cynégétiques s’étaient arrêtées avec la fin de la saison officielle, le 1er mars. 

Seule la chasse à courre restait active, ainsi que la chasse au sanglier dans quelques départements, en vertu d’un arrêté du 29 janvier 2020 prolongeant ces chasses jusqu’au 31 mars.

Pendant deux jours, grâce au lobby de la chasse très écouté par l’État, un chasseur pouvait bénéficier d’une autorisation de déplacement dérogatoire pour pratiquer son « loisir ».  

Ainsi, n’importe quel individu muni d’un permis de chasse et d’une attestation pouvait sortir dans la nature, armé, et tirer sur des animaux sauvages. Un contresens total avec les mesures de quarantaine imposées aux Français !

 

CHASSE INTERDITE : UN RÉPIT POUR LA FAUNE !

Cette menace étant proscrite, la faune sauvage commence à revivre et reprend ses droits sur son environnement. Plus généralement, les animaux sauvages profitent du confinement. En ville, on entend à nouveau les oiseaux chanter ! L’ornithologue Maxime Zucca a d’ores et déjà observé l’arrivée de nouveaux oiseaux en région parisienne.

L’air est plus pur, grâce à la baisse de la pollution due aux gaz d’échappement, et le bruit infernal de la circulation automobile a disparu. La pollution sonore aurait baissé de 80% en Île-de-France !

La période est également propice à la reproduction. Les animaux n’auront plus à craindre les humains pendant quelques temps…

L’épidémie de Covid-19 qui frappe le monde entier donne à réfléchir sur notre société et peut éventuellement changer notre regard sur les animaux. Nous espérons que la place accordée aux animaux sauvages dans nos campagnes et nos villes sera reconsidérée à l’issue de cette crise sans précédent.

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La vérité lundi à 20h55 sur ARTE

Publié le par Ricard Bruno

La vérité lundi à 20h55 sur ARTE

Résumé du film

Accusée d'avoir tué son amant Gilbert Tellier, jeune chef d'orchestre, Dominique Marceau passe en cour d'assises. Le début du procès donne lieu à une bataille entre l'avocat de la défense, qui tente de ternir l'image du défunt, et le procureur qui revient sur la vie débauchée de la séduisante jeune femme pour en dessiner un portrait peu flatteur : égoïste, instable et provocatrice, Dominique aurait volé le petit ami de sa sœur Annie par pure jalousie. Devant le jury, l'accusée clame désespérément qu'il s'agit d'un crime passionnel. Mais nul ne la croit.
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Filmographie Brigitte Bardot : Et Dieu créa la femme de 1956

Publié le par Ricard Bruno

Filmographie Brigitte Bardot : Et Dieu créa la femme de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Et Dieu créa la femme de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Et Dieu créa la femme de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Et Dieu créa la femme de 1956
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Filmographie Brigitte Bardot : Et Dieu créa la femme de 1956
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Filmographie Brigitte Bardot : Et Dieu créa la femme de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Et Dieu créa la femme de 1956

Synopsis

Juliette, belle et sensuelle, fait chavirer les cœurs dans le petit port traditionnel de Saint-Tropez. Trois hommes se disputent l'amour de cette orpheline de 18 ans dont la soif de liberté est grande et qui redoute les lendemains.

Le film commence par une scène dans laquelle Eric Carradine, riche entrepreneur quinquagénaire, pénètre dans la courette où Juliette, allongée nue derrière des draps qui sèchent, prend un bain de soleil. Orpheline recueillie dans une famille d’accueil, elle est belle et la réputation de n’être pas farouche. Survient la tutrice de Juliette, exaspérée : celle-ci en a par-dessus la tête de cette gamine fantasque, qui ne fiche rien et ne sait qu’aguicher les hommes, tandis que son mari, grand invalide, passe ses journées derrière les volets à la guetter, plus ou moins dénudée.

Pour réaliser une vaste et fructueuse opération immobilière, Carradine a besoin de la cale où les trois frères Tardieu possèdent un petit atelier de réparation de bateaux. Il profite du passage d’Antoine, l’aîné des trois frères, qui travaille à Marseille, pour faire une offre. Mais celui-ci refuse, au grand dam de ses deux jeunes frères, Michel et Christian.

Un soir, Juliette, amoureuse d’Antoine et qui doit le rejoindre sur le port, surprend une conversation au cours de laquelle celui-ci explique ce qu’il pense d’elle : pour lui, il s’agit d’une marie-couche-toi-là, d'une fille d’un soir, rien de plus. Ulcérée, Juliette se rend sur le yacht de Carradine, qui mouille au port. Grand seigneur, Carradine résiste à la tentation, la sermonne un peu et la laisse repartir. Juliette quitte son bateau sous l’oeil courroucé d’Antoine. S’ensuit une explication entre Antoine et Juliette, au terme de laquelle les deux jeunes gens décident qu’ils partiront dès le lendemain vivre ensemble à Marseille. Mais, le lendemain, le car qui doit prendre Juliette au passage ne s’arrête pas, Antoine, rancunier, n’ayant donné aucune instruction au chauffeur. Et Juliette reste plantée avec sa valise sur le bord de la route.

À son retour, sa tutrice lui signifie que, cette fois, c’en est trop, qu’elle va partir en pension chez les sœurs jusqu’à ses 21 ans (âge de la majorité à l’époque), à charge pour elles de discipliner cette petite dévergondée. Seul le mariage pourrait la sauver de cet enfermement qui s’annonce. Alors que Juliette erre, désemparée, Michel, le jeune frère d’Antoine, profondément amoureux d’elle, lui propose de l’épouser. D’abord réticente, car elle ne l’aime pas, Juliette finit par se faire à cette idée car c’est le seul moyen pour elle d’échapper à la pension.

La nouvelle de ce projet de mariage est mal accueillie par tous, non seulement par sa tutrice mais aussi par sa future belle-mère, qui crie à la mésalliance. Quant à Antoine, il met en garde son jeune frère, mais rien n’y fait.

Après une dernière hésitation avant le « oui » sacramentel, Juliette est mariée. Ce mariage est mémorable : sur le port, en sortant de la messe, le marié est rossé en voulant défendre l’honneur de sa toute nouvelle femme. Émue par son courage, Juliette commence à éprouver pour lui, sinon de l’amour, du moins de la tendresse. Les deux familles réunies pour la circonstance prennent le repas de mariage sans les deux tourtereaux, qui festoient à l’étage sur un plateau que Juliette est venue garnir entre deux orgasmes.

Pendant ce temps, Carradine a trouvé une solution qui arrache son accord à Antoine : au lieu de lui offrir de l’argent, il lui accordera une participation de 30 % dans une de ses sociétés. Du coup, Antoine revient s’installer à plein temps à Saint-Tropez, au grand désespoir de Juliette, qui l’aime toujours et redoute cette proximité quotidienne alors qu’elle essaie d’aimer son mari.

Un jour que Michel est parti à Marseille pour la journée, désœuvrée, Juliette prend un petit bateau d’Antoine, en réparation car le moteur à tendance à chauffer, pour aller faire un tour. Le moteur prend feu non loin du rivage. Alerté, Antoine plonge pour la secourir ; Juliette sort de l'eau, sa jupe collée au corps et l’inévitable arrive : elle tombe dans les bras d'Antoine.

Dès son retour de Marseille, Michel est informé de son infortune par sa mère. Antoine veut l’empêcher de sortir pour récupérer sa femme, mais Michel se saisit d’un revolver dans un tiroir et le menace. Les deux frères en viennent aux mains, Michel assomme Antoine, et part en quête de sa femme.

Pendant ce temps, Juliette, qui traîne sans trop savoir quoi faire, finit par entrer dans la boîte de nuit de Carradine, d’où provient de la musique. Là, elle se livre, sous l’œil consterné de Carradine, à un mambo lascif et endiablé. Michel arrive et tire sur elle, mais Carradine réussit à faire dévier le coup. Au cours de ce corps à corps, Carradine essuie une balle qui le blesse légèrement. Il demande à Antoine de le conduire en voiture à Nice chez un chirurgien de ses amis qui va panser la plaie. Au cours de route, Carradine intime à Antoine, pour la paix des familles, l’ordre de partir.

Pendant ce temps, Juliette et Michel se retrouvent. Elle ne lui promet rien, mais un avenir possible se dessine.

Fiche technique

Distribution

Commentaires

  • Ce film propulse Roger Vadim, Brigitte Bardot, Jean-Louis Trintignant et Christian Marquand au rang de stars internationales.
  • Brigitte Bardot devient, avec ce film, à la fois un mythe et un sex-symbol mondial des années 1960, une star médiatique, un emblème de l'émancipation des femmes, une jeune fille à la fois modèle et diablesse, une libre provocatrice ingénue et impudique, un symbole de la féminité, de la liberté sexuelle, d'une révolution des mœurs latente et de la grande vague existentialiste du couple Jean-Paul Sartre / Simone de Beauvoir qui suit. Des milliers de femmes imitent alors le style Bardot, copiant au moins ses ballerines, sa robe de Vichy rose et sa coiffure, voire son attitude face à la sexualité.
  • Ce film déchaîne des cascades de sentiments, autant de passion, d'idolâtrie et de coup de foudre pour les uns, que d'indignation, de colère ou de haine pour les autres. C'est la première fois qu'une femme exprime au cinéma son désir à l'égal d'un homme, et utilise son corps pour s'affirmer et conquérir la liberté, en rupture avec les destins de pensionnaire ou de femme mariée alors proposés par la société aux jeunes femmes de cet âge. Par ailleurs, les scènes de nu choquent, et certaines sont censurées en France et en Grande-Bretagne, soit presque un quart du film en France1. C'est en effet un des premiers films, en France, où la nudité féminine s'écarte vraiment de l'académie picturale traditionnelle et assume volontairement une liaison avec la sexualité2. Aux États-Unis, les défenseurs de la morale tentent de faire interdire le film, et l’archevêque de Lake Placid va même jusqu’à promettre d’excommunier ceux qui iraient le voir. La polémique provoque la curiosité et contribue au succès du film, qui avait pourtant démarré assez timidement en France.
  • Brigitte Bardot achète ensuite La Madrague sur la route des Canebiers à Saint-Tropez en 1958 et contribue à faire de ce village alors peu connu un endroit de légende internationale.
  • Le mariage de Roger Vadim et Brigitte Bardot vole en éclats à cause de l'hystérie médiatique qui suit le film.
  • Le film voit la naissance d'une histoire d'amour entre Brigitte Bardot et Jean-Louis Trintignant.
  • Le film est célèbre pour plusieurs raisons : Saint-Tropez, Brigitte Bardot, la danse tam-tam mambo, le scandale, les premiers nus de Bardot qui vont permettre au film de battre des records de recettes, tout particulièrement aux États-Unis.
  • Un remake américain sort en 1988 : And God Created Woman, également réalisé par Roger Vadim mais avec Rebecca De Mornay dans le rôle principal.
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Brigitte Bardot : «Vos animaux ne sont pas responsables du virus, cessez de les abandonner !»

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot est en colère face à la recrudescence d'abandons d'animaux domestiques depuis l'entrée dans la vague dure de l'épidémie du coronavirus. Bernard D’Ormale

Brigitte Bardot est en colère face à la recrudescence d'abandons d'animaux domestiques depuis l'entrée dans la vague dure de l'épidémie du coronavirus. Bernard D’Ormale

B.B. est en colère face aux abandons d’animaux qui se multiplient en pleine épidémie de coronavirus. Elle nous confie en exclusivité son désespoir face à « cet autre drame ».

Elle décroche rarement son téléphone. Elle se dit fatiguée et n'aime plus s'exprimer, à part quelques tweets vengeurs ici et là, consacrant ses forces à sa petite ferme enchantée à Saint-Tropez, à quelques kilomètres de la Madrague, où elle vit recluse avec son mari et sa véritable arche de Noé. « Ici, on ne croise personne, je ne risque pas d'attraper le virus », lâche-t-elle. Mais aujourd'hui, Brigitte Bardot est en colère face à la recrudescence d'abandons d'animaux domestiques depuis l'entrée dans la vague dure de l'épidémie du coronavirus. Les refuges ont fermé, les bénévoles sont confinés chez eux, les dons cessent. Plusieurs responsables de dispensaires animaliers ont rapporté avoir reçu énormément d'appels depuis le week-end dernier et l'entrée dans le confinement, de gens voulant se séparer de leurs bêtes de compagnie, soit qu'ils quittaient la ville dans l'urgence, ou par peur de contamination. L'actrice appelle au calme.

Source de l'article : Le Parisien

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