Brigitte Bardot : 1ère fois devant une caméra document RARE !
Brigitte Bardot : 1ère fois devant une caméra document RARE ! essais pour le film "Les lauriers sont coupés" Marc Allegret essais Bardot...
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Brigitte Bardot : 1ère fois devant une caméra document RARE ! essais pour le film "Les lauriers sont coupés" Marc Allegret essais Bardot...
Sorti le 11 octobre, l’album “En studio avec Serge Gainsbourg” est un rêve devenu réalité pour tous les fans de l’homme à la tête de chou. Sur 3 CD s’étendent ainsi de nombreuses versions inédites de ses plus gros tubes, des musiques de films composées par ses soins et des interviews de ses arrangeurs, ingénieurs du son et musiciens.
À l’automne 1967, le sex-symbol intercontinental Brigitte Bardot demande à son amant de lui écrire la plus belle chanson d’amour qu’il puisse imaginer. Serge Gainsbourg, alors jeune compositeur meurtri, se met à la tâche. Dans la nuit qui suit, il compose le célebrissime Je t'aime moi non plus. Le musicien enregistre un orchestre à Londres puis revient à Paris, dans un studio de l'avenue Hoche, pour immortaliser sa passion derrière un microphone. Le lendemain, dès midi, les soupirs et les gémissements du couple illégitime résonnent déjà sur les ondes d’Europe 1.
Mais Gunther Sachs, le richissime mari de Brigitte Bardot, n’apprécie pas du tout cette chanson (trop) sensuelle. Ridiculisé, il menace sa femme de poursuites judiciaires. L’actrice implore Gainsbourg de ne pas diffuser l’œuvre et évite le scandale de justesse. Je t'aime moi non plus disparaît, la bande est enfermée dans un coffre pendant près de huit ans et les nouveaux Bonnie et Clyde se séparent amèrement.…
Deux ans plus tard seulement, en 1969, Gainsbourg profite de cette année érotique pour devenir un véritable bourreau des cœurs. Il s’éprend d’une jeune actrice anglaise avec laquelle il tourne un long-métrage dramatique. Il demande alors à Jane Birkin, sa nouvelle muse, d'interpréter le morceau Je t'aime moi non plus, une octave plus haute que la version de BB. C’est cette version que l’on connaît tous aujourd’hui.
La première version de ce tube fait partie des enregistrements originaux qui figurent sur l’album En studio avec Serge Gainsbourg, sorti le 11 otobre dernier. On y trouve également la version instrumentale de L'homme à la tête de chou, la prise complète de Melody ou encore L’ami Caouette avec un texte alternatif. De plus, prévu pour le 17 octobre, Le Gainsbook est un ouvrage qui retrace la fabrication et l’élaboration de chacun des 45 tours de Serge Gainsbourg. Entre Paris, Londres, New York et Kingston, tous ceux qui ont accompagné l’auteur de Sea Sex and Sun, témoignent pour créer l’odyssée musicale de la carrière de cet artiste sans égal.
Brigitte Bardot s’est vu attribuer le “Lifetime Achievement Award” de GAIA. Ce prix est un hommage à une icône de la lutte pour les droits des animaux.
La star, qui a fêté ses 85 ans ce 28 septembre, a reçu une statuette très symbolique: deux mains ouvertes portant sept animaux, dont un cheval, un agneau et un phoque avec l’inscription: “Et Dieu créa la militante qui combat pour les droits des animaux”.
L’actrice, très engagée dans la défense des droits des animaux, a déjà soutenu plusieurs campagnes de GAIA, comme celle sur l’interdiction par l’UE du commerce des produits dérivés du phoque, contre les transports d’animaux vivants sur de longues distances, ou encore contre les cruelles courses de chevaux de rue.
“Brigitte Bardot défend inlassablement les animaux depuis près d’un demi-siècle. Ce prix est un hommage à une icône de la lutte pour les droits des animaux”, a déclaré Michel Vandenbosch, président de GAIA, dans un communiqué. “Je l’ai rencontrée plusieurs fois et, chaque fois, j’ai été impressionné par son charisme et sa tendresse. Personne ne mérite cet award plus qu’elle”.
Dans une lettre personnelle adressée aux fondateurs de GAIA, Brigitte Bardot a exprimé sa gratitude: “J’ai rarement de belles nouvelles, mais quelle merveilleuse surprise d’apprendre que vous m’avez remis ce magnifique ‘Lifetime Achievement Award’. C’est un symbole si précieux que j’en ai les larmes aux yeux!”
Marie-José Nat, figure familière des écrans dans les années 60 et 70 dont le grand rôle est « Élise ou la vraie vie », est décédée jeudi à Paris à l’âge de 79 ans.
L’actrice née en 1940 à Bonifacio d’un père kabyle et d’une mère corse a été dirigée par des metteurs en scène connus comme Henri-Georges Clouzot, Gérard Oury ou Claude Autant-Lara, lors d’une carrière menée autant au cinéma qu’à la télévision.
Son premier rôle important lui est confié par Denys de La Patellière pour Rue des Prairies (1959), où elle est la fille de Jean Gabin. Elle sera aussi la sœur de Brigitte Bardot dans La Vérité (1960) de Henri-Georges Clouzot.
Cette femme aux yeux et aux cheveux très noirs avait reçu en 1974 le prix d’interprétation féminine à Cannes pour Les Violons du Bal de Michel Drach, histoire autobiographique du réalisateur avec qui elle partagea sa vie plus d’une décennie.
Avant cela, il lui avait offert en 1967 un de ses plus beaux rôles dans Élise ou la vraie vie, l’histoire d’une jeune fille qui se lie d’amour avec un militant algérien du FLN (Front de libération nationale, en lutte pour l’indépendance de l’Algérie), qui fit alors polémique.
Marie-José Nat a aussi travaillé pour la télévision, comme dans la série à succès Les Gens de Mogador, saga en 13 épisodes, diffusée à partir de 1972.
En 1977, elle tourne avec Victor Lanoux Passé simple, sous la direction de Michel Drach. Plus tard, elle épousera Lanoux.
Elle s’est remariée en 2005 avec l’écrivain et peintre Serge Rezvani, connu du grand public pour être l’auteur de chansons célèbres, dont « J’ai la mémoire qui flanche » et « Le tourbillon de la vie », interprétées par Jeanne Moreau.
En mars 1980, B.B dans son jardin de Bazoches. Si le domaine est désormais ouvert au public pour les adoptions, seuls les chats ont le droit de rentrer dans la maison de Brigitte Bardot.
A Bazoches-sur-Guyonne (Yvelines), la propriété de Brigitte Bardot est désormais ouverte au public tous les samedis afin de proposer chats et chiens à l’adoption.
A chaque instant, on a le sentiment qu’elle va surgir de sa maison, pieds nus et cheveux au vent. C’est ici, à Bazoches-sur-Guyonne, dans les Yvelines, que Brigitte Bardot se réfugiait de juin à octobre, fuyant les touristes et les voyeurs qui rôdaient autour de sa demeure tropézienne dès le soleil venu. En 1960, Brigitte Bardot a le coup de foudre pour cette ancienne bergerie blottie dans un farfouillis d’arbres, de fleurs, de marre et de prairie, situé à 40 minutes de Paris. Elle y vit en harmonie avec ses animaux et ses rares amis, puis, en 2006, décide de faire don de sa propriété à sa Fondation qui, à son tour, rachète d’autres parcelles voisines. Ainsi le refuge de Brigitte Bardot est-il devenu celui des rescapés de l’enfer humain.
Aujourd’hui, cette propriété de 4 hectares est un coin de paradis, un lieu de convalescence sans cage, ni box, afin de permettre à près de 700 animaux abandonnés et maltraités de panser leurs plaies et de retrouver confiance en l’homme. Parmi eux, il y a des moutons joufflus et des chèvres câlines sauvés de l’Aïd, une joyeuse troupe de cochons vietnamiens qui a échappé à la mort quand les obsédés de la peste porcine menaçaient. Des chats et des chiens victimes de cruautés, d’autres qui ont fait les frais d’une rupture de couple ou qui ont été laissés sur le carreau suite au décès de leur propriétaire, les héritiers ne voulant pas « s’encombrer ».
Jusqu’alors fermé au public, le refuge de Bazoches ouvre désormais ses portes tous les samedis pour proposer ses chats et quelques chiens à l’adoption. Installés dans deux chatteries avec lampes chauffantes et accès à l’extérieur, bichonnés par une équipe au cœur d’or (une dizaine d’employés et des bénévoles), les petits félins attendent patiemment leur nouvelle famille. Le plus difficile ? Devoir « choisir » : tous sont des boules de tendresse qui accourent dans vos jambes pour se faire caresser.
Pour fêter ce bel évènement, la Fondation Brigitte Bardot a réuni, le 5 octobre, ses amis les plus fidèles. On comptait ce jour-là de nombreuses célébrités (Arielle Dombasle, Raphaël Mezrahi, Dave, Aymeric Caron…), mais aussi des personnalités politiques (Samantha Cazebonne, Aurore Bergé, Gabriel Attal…), et un seul message à diffuser le plus largement possible : n’achetez pas, adoptez !
Refuge de Bazoches
Chemin de la Buissonnerie
78490 Bazoche-sur-Guyonne
01 34 86 23 70 ou 01 45 05 14 60
adoption.fondationbrigittebardot.fr
Bazoches-sur-Guyonne. Ici, pas de cages ni de box : les 700 animaux se promènent en semi-liberté. FONDATION BRIGITTE BARDOT.
Il fut le refuge tranquille d'une des plus grandes stars du cinéma français mais désormais, ce sont les animaux qui y sont chouchoutés comme des stars. A Bazoches-sur-Guyonne (Yvelines), le refuge de la Fondation Bardot ouvre ses portes au public ce samedi, jour de son inauguration officielle, après deux années de travaux de rénovation.
C'est en 2006 que l'inoubliable interprète d'« Et Dieu créa la femme » (1956), a fait don de cette maison qu'elle avait achetée dans les années 1960 afin de s'y reposer, loin des projecteurs et des paparazzis.
« C'était une toute petite maison de campagne, une bergerie sans eau ni électricité, explique Ghyslaine Calmels-Bock, directrice générale de la Fondation. Puis elle l'a rénovée et a pu réunir des parcelles et des bâtiments voisins. Après le don, nous aussi avons acheté d'autres parcelles pour aboutir à ce refuge situé dans un parc de 3 ha. »
Un parc, en fait une véritable ferme, où gambadent près de 700 animaux en semi-liberté. Car là est l'originalité des trois refuges de la Fondation, ceux de Bazoches, de Montpont (Dordogne) et de La Mare Auzou (Eure). « C'est un concept atypique : il n'y a pas de cage, pas de box, reprend Ghyslaine Calmels-Bock. Au moment de créer des refuges, Brigitte Bardot avait été très choquée de voir que dans les sites des autres associations, les animaux étaient enfermés. Ici, ils sont accueillis dans un environnement idéal. Ils sont en famille ! Pour eux, c'est un vrai quatre étoiles ! »
Un palace à ciel ouvert qui accueille en ce moment quelque 300 chats à adopter, mais aussi des chèvres, moutons, poules, oies, canards et autres poneys ou ânes. Des bêtes recueillies par la Fondation souvent après un signalement d'abandon ou de maltraitance, mais en tout cas, jamais en situation d'errance. « Nous n'avons pas le droit car nous n'avons pas le statut de fourrière, rappelle la directrice générale. Ce sont souvent des animaux qui arrivent là après une saisie juridique pour cause de maltraitance, parce que leur propriétaire est expulsé ou décédé. Nous entretenons beaucoup de relations avec les services sociaux, les services de police ou vétérinaires. »
A l'arrivée, ce sont des « milliers d'animaux » qui, chaque année, rejoignent un des trois refuges ou des pensions disséminées dans toute la France. « On ne refuse jamais un animal, on a trop peur qu'il soit euthanasié, souligne Ghyslaine Calmels-Bock. Quoi qu'il arrive, on trouve toujours de la place même quand on se retrouve devant un lot de 600 chèvres comme ce fut le cas récemment. »
La Fondation a ainsi proposé à des agriculteurs ou des éleveurs dont l'activité est en baisse, voire en passe de péricliter, d'accueillir ces animaux contre une rémunération. « Les bêtes trouvent une place et cela permet à l'agriculteur de poursuivre son métier », sourit la directrice.
Bazoches-sur-Guyonne. Brigitte Bardot a fait don de sa propriété à sa Fondation en 2006. Le parc s’étend désormais sur 3 ha. FONDATION BRIGITTE BARDOT.
A Bazoches-sur-Guyonne, une dizaine d'employés s'occupent à plein temps du refuge et de ses pensionnaires, aidés en cela parfois par des bénévoles. « Maintenant que les travaux sont terminés, nous allons pouvoir accueillir les élèves des écoles, se félicite Ghyslaine Calmels-Bock. On peut aussi compter sur les résidants d'une maison de retraite toute proche qui nous fabriquent des jouets pour les chats. » Quant au grand public, il pourra désormais venir tous les samedis dans le but de rencontrer les chats à adopter, mais aussi quelques chiens.
Fondation Brigitte Bardot, chemin de la Buissonnerie à Bazoches-sur-Guyonne. Rens. : fondationbrigittebardot.fr
La SPA lance un appel
La Société Protectrice des Animaux (SPA) a constaté une augmentation de 10 % de chiens et chats abandonnés dans ses refuges cet été par rapport à 2018. Pour faire « adopter ces animaux et sensibiliser le public au bien-être animal », l’association organise ce samedi et ce dimanche un week-end « portes ouvertes ». Les membres des refuges proposeront diverses animations au public afin de mieux présenter leurs protégés. Dans le département, trois refuges participent : à Hermeray (situé à La Berthière), Plaisir (bois de Sainte-Apolline, sur la D 134) et Orgeval (1, route Royale).Rendez-vous ce samedi et ce dimanche, de 10 heures à 17 heures.
Kuuma a bien grandi, elle s'appelle désormais Cersei et est âgée de 11 mois. / © Tonga Terre d'Accueil.
Le lionceau saisi par la douane dans un garage automobile à Marseille l'an dernier partira jeudi prochain en Afrique du sud pour vivre dans une grande réserve. La jeune femelle a été soignée et sociabilisée dans un zoo de la Loire par une association, spécialisée dans le recueil d'animaux sauvages.
Asa découverte par les douaniers marseillais en octobre 2018, la chétive Kuuma n'avait que 3 semaines et ne pesait que quelques kilos. Onze mois plus tard, c'est une magnifique jeune lionne au caractère bien affirmé, rebaptisée Cersei.
L'association Tonga Terre d'Accueil basée à Saint-Martin-les-Plaines dans la Loire, s'est occupé d'elle. A son arrivée, son état était très inquiétant. Cersei a été sevrée trop tôt de sa mère et a dû être nourrie au biberon plusieurs fois par jour, pendant plusieurs semaines.
Une autre jeune femelle et deux jeunes mâles, Horus, Dadou et Théa, saisis comme elle l'an dernier sur le territoire français ont été soignés par Tonga. "C'est la première fois qu'on récupère des lionceaux si jeunes, note Pierre Thivillon, président de l'association.
Les lionceaux ont grandi ensemble et c'est ensemble qu'ils s'envoleront jeudi sur la terre de leurs ancêtres, en Afrique du Sud. Ils vont vivre dans le sanctuaire de la fondation britannique Born Free, au sud du pays, qui accueille déjà une quinzaine de félins.
Le garagiste qui détenait illégalement la jeune lionne n'a pas encore été jugé. "D'habitude les animaux sont bloqués jusqu'au procès mais les autorités marseillaises ont autorisé son départ", se réjouit Pierre Thivillon.
18 fauves sont actuellement en attente de placement à l'association. "Ils ont été saisis dans des cirques, trois lions mâles sont castrés et sans crinière, une lionne est âgée de 20 ans, une tigresse a les pattes tordues, du coup, ils n'intéressent personne", constate amer Pierre Thivillon.
La chance de Cersei et de ses compagnons de voyage, c'est leur jeune âge. "Ce placement rapide est inespéré. Cela s'est fait grâce à la fondation Brigitte Bardot et 30 Millions d'amis qui nous a mis en contact avec la Fondation Born Free qui a ce sanctuaire en Afrique du Sud."
"Ils ne vont pas être en liberté, ils ne peuvent pas vivre tous seuls, "
explique Pierre Thivillon. Ils ne savent pas chasser, ils ne savent pas se nourrir, mais ils vont être dans une réserve contrôlée par des humains, où ils seront nourris".
"Je n'imaginais pas quand on a créé Tonga qu'un jour, des fauves recueillis en France pourraient aller vivre dans la nature, se réjouit-il. C'est arrivé pour ces quatre jeunes lionceaux et nous espérons que pour eux tout se passera bien".
"Jean-Christophe, notre vétérinaire, part avec eux. Il filmera le voyage et leur vie", rassure Pierre Thivillon, très heureux d'avoir mené à bien ce projet.
Créée en 2007, Tonga Terre d'Accueil recueille des animaux sauvages saisis par les autorités françaises auprès de particuliers, de cirques ou de laboratoires qui les détiennent illégalement ou leur font subir de mauvais traitements.
L’association rappelle que la possession d'un animal sauvage est interdite par la loi. "Les gens achètent ces lions à des cirques qui font de la reproduction, raconte Pierre Thivillon, par ignorance et stupidité. Ils s'imaginent qu'ils peuvent élever un lionceau et qu' il restera gentil, alors qu'adulte il pèsera 200 kilos et n'en fera qu'une bouchée".