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Laetitia Casta : Article bis...

Publié le par Ricard Bruno

Laetitia Casta : "Si un tournage doit m’emmener loin, les enfants suivront"



Laetitia Casta , qui vient d’achever le tournage de " Gainsbourg ", dans lequel elle interprète la mythique Brigitte Bardot , est une maman épanouie ! Alors qu’elle attend actuellement son troisième enfant, la belle plante explique au magazine Elle sa philosophie de vie : "Je ne planifie rien, je ne calcule rien, je profite seulement de tout."

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le mannequin devenue actrice mord la vie à pleines dents ! "Ma vie professionnelle est pleine ? Ma vie privée l’est tout autant... Mais je ne suis pas une boulimique de travail. Je fais un ou deux films par an, c’est un choix. Et, si un tournage doit m’emmener loin, les enfants suivront." Laetitia Casta, fera toujours passer ses BB avant tout...

Source : http://people.premiere.fr/News-People/Laetitia-Casta-Si-un-tournage-doit-m-emmener-loin-les-enfants-suivront/(gid)/1697356


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Laetitia Casta en Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Laetitia Casta pose et se confie à Elle France


Aujourd’hui elle est blonde et elle aime ça. Elle attend son troisième enfant et elle adore ça. Sur les photos, cela ne se voit pas encore mais son ventre rond, moulé dans un t-shirt à rayures horizontales, et fière d’annoncer l’heureux événement :’ Je n’ai rien à cacher’. C’est du mois ce que souligne Marie-Françoise Colombani, journaliste du magazine Elle, dans son introduction de l’entrevue qu’accorde Laetitia Casta au numéro de ce mois-ci du mensuel féminin.
Actrice pleine de talent, pleine de charme, pleine de fraîcheur, maman de deux enfants, amoureuse discrète, gourmande de la vie et capable de s'imposer auprès des plus grands, la comédienne française vient de terminer le tournage de ‘Gainsbourg’, où elle campe le rôle de l’indétrônable Brigitte Bardot.

Source : http://www.eparsa.fr/people/index.php?2009/04/20/2877-laetitia-casta-pose-et-se-confie-a-elle-france-extrait-et-photos

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Emission "l'objet du scandale" le dimanche 5 avril 2009 : Réagissez !

Publié le par Ricard Bruno

Chers amis de combat,
 
nous vous proposons de réagir suite à la diffusion de l'émission "l'objet du scandale" le dimanche 5 avril 2009. Le communiqué de presse ci-dessous rappelle les faits.
 
Suite à cette diffusion, nous avons demandé au médiateur de France 2 d'inviter Christian Laborde (auteur de "Corrida Basta", pamphlet contre la corrida qui sortira le 9 avril en librairie) qui fut déprogrammé à la demande des amis aficionados de Guillaume Durand, et Marie-Claude Bomsel, vétérinaire qui a participé à l'émission et qui a été en très grande partie censurée au montage.
 
Nous vous proposons de soutenir cette demande en écrivant au médiateur de France 2 et en envoyant copie de votre message au directeur de France 2, à la directrice de l'information de France 2 et au directeur de France télévision (mails ci-dessous).
 
Merci d'avance pour votre participation et pour la diffusion la plus large possible de ce message.
 
Bien à vous
Pour l'équipe
Jean-Pierre Garrigues
Vice-président du CRAC Europe
 
 
 
Christian-Marie Monnot
 
le directeur de France 2 est François Guilbeau:
 
le directeur de France Télévision
Patrick de Carolis
 
la directrice de l'info
Arlette Chabot:
 
 
 
=============================================
 
 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

 

« SÉVICES PUBLICS » : QUAND LA MAFIA DES ARÈNES IMPOSE SA LOI SUR L’ANTENNE DE FRANCE 2 AVEC L’AIMABLE COMPLICITÉ DE GUILLAUME DURAND…

 

 

 

Lors de la préparation de son émission du dimanche 5 avril 2009 (enregistrement le 31 mars), Guillaume Durand avait invité Christian Laborde à l’occasion de la sortie de son livre, Corrida, basta !, le 9 avril prochain. L’auteur de ce pamphlet avait accepté l’invitation, mais, le 26 mars, sous la pression du petit monde de la mafia tauromachique, Christian Laborde est déprogrammé. Et dans le même temps, André Viard, torero raté, chroniqueur taurin, supposé artiste qui peint « avec le sang des taureaux », se vante sur son site Internet : « Nous avons obtenu qu’aucun représentant des associations anti-taurines ne soit invité, ce qui d’un point de vue stratégique, représente une grande victoire… » Ainsi, Claire Starozinski, fondatrice de l’Alliance Anticorrida, et Jean-Pierre Garrigues, du CRAC Europe, ont été récusés par les tortionnaires des arènes. De la même façon, ce personnage se vante d’avoir obtenu la déprogrammation de Christian Laborde. Nous serions trop « violents »…

 

Mais, au fait, où se situe la violence ? Dans nos propos, quand nous dénonçons la torture tauromachique ? Faut-il une nouvelle fois rappeler que l’alinéa 7 de l’article 521.1 du Code pénal parle de « sévices graves et d’actes de cruauté » ? Faut-il rappeler que Mme Muriel Marland-Militello, députée UMP, a déposé une proposition de loi pour l’abolition de la corrida le 27 septembre 2007 et que plus de 50 députés l’ont rejointe ? Qui pratique des sévices graves et des actes de cruauté pour le plaisir, si ce n’est des tortionnaires et des sadiques ? Est-il possible dans ce pays, face à des individus qui se réclament de la démocratie, d’appeler enfin les faits par leur nom ? Et faut-il enfin rappeler que le torero, en dehors de sa zone de « tradition locale ininterrompue », est un vulgaire délinquant qui risque deux ans de prison et 30 000 euros d’amende ? Et, bien entendu, tout cela n’a pas été évoqué un seul instant dans « L’Objet du scandale », ce dimanche 5 avril 2009, à l’heure du thé. Il est vrai que l’émission se voulait « festive et conviviale ». On comprend mieux comment le petit monde de la tauromachie a pu sans aucun problème choisir qui pourrait s’exprimer ou pas pour dénoncer la barbarie des arènes. Entre Guillaume Durand et Bernard Dombs, alias Simon Casas, tortionnaire en chef des arènes de Nîmes, bises et tutoiement étaient de rigueur en ce jour d’enregistrement, le 31 mars 2009. Guillaume Durand, qui trouve la corrida « magnifique » et qui précise qu’il n’en a vu qu’une seule. Une seule, vraiment ? Cette émission a par ailleurs été le lieu de beaux exemples de désinformation. Lors de l'enregistrement, l'historienne Elisabeth Hardouin-Fugier avait expliqué, chiffres à l'appui, que Simon Casas mentait en prétendant que la corrida était en expansion. Son intervention fut coupée au montage...

 

Alors que 53 villes se sont déclarées anticorrida en Catalogne espagnole, alors qu’un référendum d’initiative populaire a recueilli plus de 100 000 signatures pour obtenir un débat parlementaire et qu’un vote aura lieu cette année avec pour résultat la probable abolition définitive de la corrida en Catalogne espagnole, en France, nous en sommes encore là… Quelle est donc l’éthique de l’animateur d’une chaîne de télévision publique qui laisse les amateurs de torture décider pour lui ? Quelle peut être sa crédibilité ? Et quel est donc le rôle du service public ?

 

 

                                          A Alès, le 5 avril 2009

 

Pour l’équipe

Jean-Pierre Garrigues

Vice-président du CRAC Europe

                    www.anticorrida.com
                    Tél. 06 75 90 11 93

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Communiqué de presse du" CRAC" Europe

Publié le par Ricard Bruno

« SÉVICES PUBLICS » : QUAND LA MAFIA DES ARÈNES IMPOSE SA LOI SUR L’ANTENNE DE FRANCE 2 AVEC L’AIMABLE COMPLICITÉ DE GUILLAUME DURAND.

 

 Lors de la préparation de son émission du dimanche 5 avril 2009 (enregistrement le 31 mars), Guillaume Durand avait invité Christian Laborde à l’occasion de la sortie de son livre, Corrida, basta !, le 9 avril prochain. L’auteur de ce pamphlet avait accepté l’invitation, mais, le 26 mars, sous la pression du petit monde de la mafia tauromachique, Christian Laborde est déprogrammé. Et dans le même temps, André Viard, torero raté, chroniqueur taurin, supposé artiste qui peint « avec le sang des taureaux », se vante sur son site Internet : « Nous avons obtenu qu’aucun représentant des associations anti-taurines ne soit invité, ce qui d’un point de vue stratégique, représente une grande victoire. » Ainsi, Claire Starozinski, fondatrice de l’Alliance Anticorrida, et Jean-Pierre Garrigues, du CRAC Europe, ont été récusés par les tortionnaires des arènes. De la même façon, ce personnage se vante d’avoir obtenu la déprogrammation de Christian Laborde. Nous serions trop « violents ».

 

Mais, au fait, où se situe la violence ? Dans nos propos, quand nous dénonçons la torture tauromachique ? Faut-il une nouvelle fois rappeler que l’alinéa 7 de l’article 521.1 du Code pénal parle de « sévices graves et d’actes de cruauté » ? Faut-il rappeler que Mme Muriel Marland-Militello, députée UMP, a déposé une proposition de loi pour l’abolition de la corrida le 27 septembre 2007 et que plus de 50 députés l’ont rejointe ? Qui pratique des sévices graves et des actes de cruauté pour le plaisir, si ce n’est des tortionnaires et des sadiques ? Est-il possible dans ce pays, face à des individus qui se réclament de la démocratie, d’appeler enfin les faits par leur nom ? Et faut-il enfin rappeler que le torero, en dehors de sa zone de « tradition locale ininterrompue », est un vulgaire délinquant qui risque deux ans de prison et 30 000 euros d’amende ? Et, bien entendu, tout cela n’a pas été évoqué un seul instant dans « L’Objet du scandale », ce dimanche 5 avril 2009, à l’heure du thé. Il est vrai que l’émission se voulait « festive et conviviale ». On comprend mieux comment le petit monde de la tauromachie a pu sans aucun problème choisir qui pourrait s’exprimer ou pas pour dénoncer la barbarie des arènes. Entre Guillaume Durand et Bernard Dombs, alias Simon Casas, tortionnaire en chef des arènes de Nîmes, bises et tutoiement étaient de rigueur en ce jour d’enregistrement, le 31 mars 2009. Guillaume Durand, qui trouve la corrida « magnifique » et qui précise qu’il n’en a vu qu’une seule. Une seule, vraiment ? Cette émission a par ailleurs été le lieu de beaux exemples de désinformation. Lors de l'enregistrement, l'historienne Elisabeth Hardouin-Fugier avait expliqué, chiffres à l'appui, que Simon Casas mentait en prétendant que la corrida était en expansion. Son intervention fut coupée au montage...

 

Alors que 53 villes se sont déclarées anticorrida en Catalogne espagnole, alors qu’un référendum d’initiative populaire a recueilli plus de 100 000 signatures pour obtenir un débat parlementaire et qu’un vote aura lieu cette année avec pour résultat la probable abolition définitive de la corrida en Catalogne espagnole, en France, nous en sommes encore là.

 Quelle est donc l’éthique de l’animateur d’une chaîne de télévision publique qui laisse les amateurs de torture décider pour lui ? Quelle peut être sa crédibilité ? Et quel est donc le rôle du service public ?

Source : CRAC Europe

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L'hypocrisie Canadienne révélée...

Publié le par Ricard Bruno

Depuis 40 ans, les autorités canadiennes prétendent que la chasse aux phoques est une chasse « non cruelle », et depuis 40 ans les observateurs dénoncent, chaque année, ce massacre d’une rare cruauté.

Dans son avis scientifique, adopté en 2007, L’EFSA (Autorité Européenne de Sécurité des Aliments) précise que les phoques peuvent être « dépecés alors qu’ils sont encore conscients […] les phoques sentent les coups de couteau du dépeçage, avant de perdre connaissance ou de mourir du fait de la saignée ».

L’ancienne réglementation canadienne prévoyait que « quiconque frappe un phoque à l’aide d’un gourdin ou d’un hakapik doit le frapper sur le front jusqu’à ce que le crâne soit écrasé et vérifier manuellement que tel est le cas ou le soumettre à un test de réflexe de clignement de l’œil pour confirmer qu’il est mort avant de passer à l’abattage d’un autre phoque ». La nouvelle réglementation n’apporte rien de plus si ce n’est l’interdiction d’écorcher un phoque avant « qu’au moins une minute ne se soit écoulée après lui avoir tranché, afin de le saigner, les deux artères axillaires situées sous les nageoires avant »…

Sur le papier, les autorités canadiennes peuvent écrire ce qu’elles veulent mais sur le terrain il est impossible de contrôler ce massacre qui n’a qu’un objectif : tuer un maximum de phoques en un minimum de temps.

Il y a urgence car lorsque Brigitte Bardot s’est engagée, en 1976, dans la défense des phoques, le Canada s’était fixé un quota d’abattage de 130 000 animaux… Le quota présenté pour l’année 2009 atteint les 338 200 phoques ! Or l’Europe est le premier débouché de la chasse commerciale canadienne avec plus de 60% de parts de marché (source Le Monde).

 

L’Europe ne sera plus complice du massacre !

D'après les informations en notre possession, l'Union Européenne s'apprète à interdire les importations des produits issus de la chasse aux phoques. Plus encore, l'intercition porte également sur le commerce au sein de l’UE, le transit et l’exportation de ces produits dérivés. Cette interdiction est totale et sans aucune dérogation.

Cette première étape devra cependant être confirmée par l'ensemble du Parlement, fin avril, ainsi que par les pays européens.
Le texte prévoit une exemption pour les Inuits, à condition que les produits vendus soient dérivés de la chasse traditionnelle, et répondent à « des besoins substantiels, traditionnels, rituels et éducatifs ».

La Fondation Brigitte Bardot, membre d’Eurogroup for Animals, et l’association IFAW sont intervenus auprès des instances européennes pour réclamer une définition stricte de l’exemption Inuit qui doit se limiter à une chasse « de subsistance » et ne peut être assimilée à une chasse commerciale. Nous avons proposé plusieurs amendements qui tentent de limiter la portée de l’exemption « à l’utilisation coutumière et traditionnelle, par les communautés Inuits, de produits dérivés du phoque pour leur consommation personnelle ou familiale directe ».

Enfin, le règlement européen proposé ne vise pas uniquement le Canada mais le commerce des produits dérivés des phoques et otaries abattus dans le monde. Cela représente environ 900 000 animaux ; le Canada, le Groenland et la Namibie représentant à eux trois près de 60 % du total…

Coup de théâtre : la France milite désormais pour une interdiction totale !
Alors que nous déplorions jusqu’alors la position de la France et après nos nombreuses interventions auprès de lui, le ministre de l’Ecologie a décroché son téléphone pour nous informer, le 23 mars dernier, que la France changeait de position et qu’elle militait désormais pour une interdiction totale du commerce. L’Elysée nous l’a confirmé dans la soirée et le 30 mars nous avons reçu une lettre de M. Sarkozy en personne.
Lire la lettre du Président adressée à Brigitte Bardot>>

Bonne nouvelle donc puisque ce changement de position est décisif et devrait inciter d’autres pays à faire de même et ainsi faire basculer le vote…

La Russie contre la chasse aux phoques…
La Russie a interdit la chasse aux phoques âgés de moins d'un an. Le ministère avait déjà interdit la chasse aux bébés phoques de moins d'un mois en février sur demande du Premier ministre Vladimir Poutine.
"La chasse sanguinaire est désormais interdite dans notre pays comme dans la plupart des pays développés, c'est une mesure importante pour préserver la biodiversité en Russie", a souligne le ministre des Ressources naturelles Iouri Troutnev.

…et même le Canada !
Le sénateur libéral de l’Ontario, Mac Harb, a déposé mardi 3 mars un projet de loi prônant l’interdiction de la chasse aux phoques au Canada. M. Harb espère ainsi convaincre ses collègues de mettre fin à la chasse commerciale qui, selon lui, nuit considérablement à la réputation internationale du Canada et n’est plus rentable pour les chasseurs.
Dans un communiqué, le sénateur ajoute : « Vu le déclin du marché des produits du phoque et l’opposition internationale très vive à cette activité, il est temps que le Canada reconnaisse qu’il n’est plus possible de ranimer cette industrie moribonde ».
Il est intéressant de constater que l’opposition n’est pas seulement hors des frontières canadiennes. Rappelons qu’une majorité de Canadiens souhaitent que cette chasse chasse prenne fin.

Source : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40189

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Andy Warhol. L'homme aux 1.000 portraits

Publié le par Ricard Bruno

Après Picasso, c'est au tour de l'autre artiste mythique du XXesiècle, Andy Warhol, d'investir le Grand Palais. 250 portraits éclairent la personnalité du «Pape du pop».



Sur les murs blancs, les portraits réalisent une explosion de couleurs. Oranges, rouges, roses, bleus... illuminent les 15 salles de l'exposition. Andy Warhol a immortalisé les personnalités du monde du cinéma (Elizabeth Taylor, Brigitte Bardot), de la musique (Mick Jagger, Elvis Presley), de l'art (Man Ray, Keith Haring), de la politique (Mao, Nixon), de la mode (Sonia Rykiel, Armani)... Pour l'artiste, ces portraits devaient former un grand tableau intitulé: «Portrait de la société». Ce fils d'immigrés tchèques, pratiquants catholiques, est né en 1928 aux États-Unis, à Pittsburgh, au début de la crise économique.

Machine à peindre

Il s'installe à New York où il devient publicitaire. En 1962, il crée ses fameuses boîtes de soupes Campbell. Mais c'est aussi l'année de la mort de Marilyn Monroe. Il peint alors le portrait de celle qui a toujours été son idole. Désormais, tout le monde, célébrités et inconnus, veut avoir son portrait peint par Andy Warhol. Travailleur acharné, il ne s'arrêtera plus, hormis un bref passage par le cinéma. Il réalisera plus d'un millier de portraits de commande dans la célèbre Factory où il engage de nombreux collaborateurs. Son atelier est transformé en machine à peindre. Warhol prend les photos de ses modèles avec un Polaroïd. Une fois les photos agrandies à la taille standard (un carré d'environ un mètre de côté), le travail sérigraphique sur la toile commence. Le procédé permet de réaliser plusieurs versions du modèle avec des couleurs différentes. Brouillant l'identité du modèle, ces tableaux inédits bouleversent les codes traditionnels du portrait. Andy Warhol meurt le 22février 1987 à la suite d'une banale intervention chirurgicale. Une messe est célébrée à la cathédrale Saint-Patrick de New York où il aimait prier. «Toute son oeuvre est marquée par la religion», explique Alain Cueff, le commissaire de l'exposition. De fait, à la fin de la rétrospective, des têtes de mort laissant apparaître le profil d'un nouveau-né et 112 représentations du Christ laissent le visiteur perplexe...

Provocateur mais...

Pour beaucoup, Andy Warhol n'est qu'un provocateur qui a toujours choisi l'argent et la facilité. Mais derrière cette apparence superficielle, l'exposition révèle un grand artiste insaisissable et tourmenté. À la fois timide et audacieux, mondain et sauvage, généreux et radin, glamour et mystique, la personnalité d'Andy Warhol est remplie de paradoxes. Dans son autoportrait, on peut lire ses rêves d'enfant pauvre épris de lumière et ses angoisses d'homme vieillissant. Il se révèle drôle, attentif et modeste dans son livre «Ma philosophie de A à B (et vice versa)».Exposition pratique Galeries nationales du Grand Palais. Jusqu'au 13juillet. Réservations: www.rmn.fr

Source : http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/andy-warhol-l-homme-aux-1-000-portraits-29-03-2009-311836.php

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Paris-Match souffle ses 60 bougies...

Publié le par Ricard Bruno

Le magazine français de photoreportage Paris-Match souffle ses 60 bougies!

Paris-Match souffle ses 60 bougies et, pour l'occasion, le magazine français rendu célèbre par sa devise " le poids des mots, le choc des photos" publie un numéro spécial soulignant l'événement.

Les amoureux du célèbre papier glacé retrouveront des reportages dans les sujets qui font le succès de la publication depuis 1949, la politique internationale, les célébrités, et depuis quelques années, l'écologie.

Cette semaine, un reportage sur la préparation du sommet du G20, une alerte rouge pour le réchauffement climatique et une séance photo avec 34 actrices sont à l'honneur, dont la Québécoise Marie-Josée Croze, Isabelle Huppert et Monica Bellucci.

Pour prouver qu'il sait s'adapter aux évolutions du temps et à la technologie, Paris-Match vient tout juste de lancer sa version numérique, "e-Match" qui pourra être gratuitement consultée sur l'Internet pendant une semaine.

Le magazine réserve également une place spéciale à Brigitte Bardot, dont il a accompagné la carrière au cinéma, au point qu'elle sera surnommée " la petite fiancée de Paris-Match". Depuis, la célèbre actrice et protectrice des animaux, des bébés phoques notamment, a occupé 39 couvertures hebdomadaires au fil des soixante dernières années.

Le magazine, qui avait frôlé les deux millions de tirage sous l'ère "B.B." (les initiales qui ont rendu célèbre Brigitte Bardot), avoisinait les 630 000 exemplaires en 2008.

Paris-Match est distribué dans 120 pays, dont le Canada et les Etats-Unis.

Source : http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5hN8Dkd-NspuwofEUjgLu8rRxK8qg

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Brigitte Bardot : les confidences de BB

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot a accordé une longue interview au magazine Paris Match. Carrière, amours, maternité... BB dévoile des facettes méconnues de sa vie.

Et Dieu créa la femme, et Dieu créa Bardot... Brigitte Bardot est l'icône glamour par excellence dans les années 60. Par sa blondeur et sa sensualité, elle a longtemps incarné l'idéal féminin. Au-delà du sex-symbol, Brigitte Bardot a dissimulé bien des joies mais aussi des peines. Exceptionnellement, l'actrice âgée de 74 ans a accepté de livrer une interview-vérité à Paris Match. L'hebdomadaire, qui célèbre cette semaine son 60e anniversaire, suit Brigitte Bardot depuis ses débuts.
 
Paris Match a accordé à BB sa première couverture, avant même qu'elle ne se lance dans le cinéma. A 16 ans, elle succombe au charme de Roger Vadim, alors reporter au célèbre magazine, d'où son attachement à Match : "J'étais chez moi. C'était ma deuxième maison". Puis Brigitte Bardot a très vite connu la consécration. Mais en devenant BB, elle a souffert des dérives de la médiatisation, notamment pendant sa grossesse.
 
"J'ai été traquée, manipulée, agressée, planquée jour et nuit (...). Les volets fermés, avec mon gros ventre, j'ai tourné en rond pendant deux mois sous la menace de téléobjectifs sortant de toutes les chambres de bonne, louées depuis des semaines, qui entouraient le 7e étage de mon immeuble", révèle la star.
 
Malheureusement cette surmédiatisation a contribué à ternir les relations de Brigitte Bardot avec son fils Nicolas, fils de l'acteur Jacques Charrier : "Ce fut une naissance d'une incroyable violence, à tous points de vue. J'avais l'impression que j'allais mourir ou devenir folle. Nicolas en a subi les retombées".
 
A propos de ses liens avec son fils, Brigitte Bardot confesse : "Quarante-neuf ans plus tard, je sais que la plus grande injustice que j'ai infligée à mon fils, c'est que je lui en ai voulu de naître dans des conditions pareilles. C'est pourquoi, dans mon bouquin, j'ai écrit ces lignes si dures concernant sa naissance. Je me disais : pourquoi dois-je mettre au monde un enfant qui me bouffe la vie à ce point-là ? Je sais que, pour lui, ce fut une injustice incroyable".
 
Très lucide, Brigitte Bardot reconnaît qu'elle n'est pas une "bonne grand-mère". Elle explique qu'elle ne voit jamais ses petites-filles car "elles vivent en Norvège avec leur père, elles ne parlent pas français". L'actrice conclut en disant "je n'ai jamais cru aux liens du sang". Brigitte Bardot préfère ainsi se consacrer à son combat en faveur de la protection animale. Elle souhaite d'ailleurs que Dieu lui "donne enfin du pouvoir pour (ses) combats et qu'il change l'homme". BB reste toujours égale à elle-même !   


Source : http://people.plurielles.fr/news-people/brigitte-bardot-les-confidences-de-bb-4317803-402.html

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Et Dieu créa l'érotisme au cinéma

Publié le par Ricard Bruno



Le cycle "Un siècle de désir au cinéma" se tient dès mercredi et jusqu'au 24 mai au Forum des images à Paris. L’occasion de revoir Brigitte Bardot dans ses meilleures années mais aussi Béatrice Dalle dans un de ses rôles les plus sensuels.

Depuis les premières projections des frères Lumière en 1895, les cinéastes de tous bords ont tenté de traduire l'érotisme à l'écran. Le Forum des images s'intéresse à la question et propose à travers son cycle "Un siècle de désir» une rétrospective de 150 films qui ont marqué l’histoire du cinéma.


Parmi cette sélection, deux films avec Brigitte Bardot et Béatrice Dalle, chacune icône de son époque. Premier flashback dans les années 60, avec une Brigitte Bardot, qui se tient, à l'époque, encore loin des banquises. Débordant de chaleur humaine, notre BB apparaît dans le légendaire film de Roger Vadim, Et Dieu Créa la Femme: elle incarne une jeune orpheline qui sème le trouble dans un petit village réputé pour son glamour: Saint-Tropez.
Un film culte, caractéristique d’une époque ou la féminité se conjuguait avec le nom Bardot. Cette même époque, les années 70, où Serge Gainsbourg et Jane Birkin érotisaient les ondes à coups de Je T’aime Moi Non Plus.

2000: autre flashback, autre sex-symbol à la française, nouvelle façon de retranscrire le désir, Béatrice Dalle, dans Trouble Every Day de Claire Denis. L’ancienne compagne de Joey Starr, héroïne inoubliable de 37°2, y campe le rôle d’une femme croqueuse d’hommes dans une interprétation animale. Pedro Almodovar, David Cronenberg ou Stanley Kubrick, pour ne citer qu'eux, sont également à l'affiche de cette riche programmation du Forum des images, (situé au cœur du Forum des Halles).

Source : http://www.gala.fr/l_actu/on_ne_parle_que_de_ca/brigitte_bardot_star_d_un_siecle_de_desir_150939

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