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brigitte bardot

La Wallonie interdit l’abattage des animaux sans étourdissement !

Publié le par Ricard Bruno

Alors qu’en France, l’Assemblée Nationale s’illustre tristement en rejetant l’amendement portant sur l’installation de caméras de surveillance dans les abattoirs de France, la Belgique, elle, prend position. Désormais, l’abattage sans étourdissement préalable est rigoureusement interdit en région de Wallonie.

 

Et si nous prenions un peu exemple sur nos voisins belges ? La région Wallonne vient en effet de voter, en cette fin de mois de mai 2018, l’entrée en vigueur d’une loi interdisant tout abattage d’animaux d’élevage sans étourdissement préalable.

Exemplarité 

Cette législation entrera en vigueur dès le 1er juin 2018. Pourtant, l’adoption de cette loi n’était pas gagnée d’avance. En effet, le débat a divisé la région Wallonie durant de nombreuses semaines entre pro et anti étourdissement obligatoire.

D’un côté, on trouvait les défenseurs de la cause animale qui avançaient les arguments de la cruauté et de la souffrance pour rendre obligatoire l’étourdissement des bêtes avant la mise à mort.

De l’autre, on trouvait de nombreux représentants Juifs et Musulmans qui défendaient farouchement l’abattage rituel (c’est à dire une saignée sans étourdissement) dans un souci de protection de leurs cultes.

Priorité aux animaux 

Au bout du compte, le parlement Wallon a donné raison à la défense des animaux et a donc adopté le texte de loi proposé par les députés belges Josy Arens et Christine Defraigne.

Désormais, il sera interdit de mettre à mort des animaux sans les avoir étourdis au préalable. Le décret, néanmoins, accorde une dérogation pour les seuls abattages rituels jusqu’à la fin du mois de septembre 2019.

Cette loi nouvellement passée chez nos voisins belges devrait donner à réfléchir, à une époque où l’Assemblée Nationale a décidé de rejeter l’amendement proposé par le député Olivier Falorni rendant obligatoire l’installation de caméras de surveillance dans les abattoirs de l’Hexagone…

Agathe Perreault

Lire aussi : L'Assemblée Nationale rejette l'installation de caméras dans les abattoirs

Voir aussi : Rémi Gaillard et Brigitte Bardot s'engagent contre les abattoirs dans une vidéo choc

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Les quatre daims du Nord Ardèche ont-ils été tués?

Publié le par Ricard Bruno

L'arrêté "de destruction" signé il y a trois mois par le préfet de l'Ardèche pour abattre ces daims est arrivé à son terme dimanche 27 mai. Une question persiste: ces bêtes sont-elles toujours vivantes ou non?

Quatre daims ont été repérés en divagation dans le Nord Ardèche il y a quelques mois. Ont-ils été abattus, comme le prévoyait l'arrêté préfectoral? (image d'illustration)

Quatre daims ont été repérés en divagation dans le Nord Ardèche il y a quelques mois. Ont-ils été abattus, comme le prévoyait l'arrêté préfectoral? (image d'illustration)

L'arrêté pris par le préfet de l'Ardèche pour abattre quatre daims dans le Nord du département courait jusqu'à dimanche dernier (le 27 mai). Ces animaux se sont échappés de leur enclos et errent depuis dans le secteur de Preaux, entre Saint-Félicien et Annonay. Ils ont été repérés en liberté par des chasseurs, il y a quelques mois. 

Les daims menacent les cultures

Les autorités redoutent que l'espèce devienne envahissante et qu'elle compromette notamment la sécurité des cultures. Un arrêté préfectoral a donc été signé le 27 février dernier, pour les "détruire" avant le 27 mai. Après la date butoir, difficile pourtant d'y voir clair.

La préfecture de l'Ardèche refuse de communiquer

C'est le flou le plus total! La préfecture de l'Ardèche, contactée, ne fait plus qu'une seule et même réponse, peu importe la question, sur le sujet: "Nous ne communiquons plus sur ce dossier". 

L'arrêté pris fin février donnait 3 mois à deux lieutenants de louveterie pour abattre les daims, jusqu'à dimanche 27 donc. Les animaux ont-ils été tués? Sont-ils toujours vivants? Si oui, un nouvel arrêté de "destruction" va-t-il être pris? Vous l'avez compris: pas de réponse. 

Mi-mai, l'association Ardèche Drôme Défense Animale a relancé une pétition pour sauver les daims du Nord Ardèche. Elle avoisine les 5.500 signatures.
One Voice, elle, avait fait un recours devant le Tribunal administratif de Lyon mi-mars, d'autant qu'une autre structure basée dans les Ardennes proposait d'accueillir les daims. Mais sa demande a été rejetée. One Voice s'est pourvue en cassation et attend toujours que la justice statue. 

La fondation Brigitte Bardot, elle n'attend plus rien. B.B. en personne avait écrit au préfet fin mars pour lui demander de gracier les daims et proposait de les récupérer. Un courrier resté lettre morte.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Brigitte Bardot à Emmanuel Macron "une épouvantable lâcheté"...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot dans une lettre cinglante à Emmanuel Macron sur les caméras dans les abattoirs: "une épouvantable lâcheté"
Brigitte Bardot à Emmanuel Macron "une épouvantable lâcheté"...
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Valenton : les chevaux laissés à l’abandon sauvés par la fondation Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Tous les jours, des habitants venaient nourrir ces chevaux laissés au stade de la Fontaine-Saint-Martin à Valenton. Une procédure pour occupation illicite de terrain avait été lancée par la ville contre les propriétaires.

Tous les jours, des habitants venaient nourrir ces chevaux laissés au stade de la Fontaine-Saint-Martin à Valenton. Une procédure pour occupation illicite de terrain avait été lancée par la ville contre les propriétaires.

Les équidés ont intégré une de ses structures.

Leur sort préoccupait beaucoup certains riverains. Au point qu’ils venaient eux-mêmes les nourrir. Depuis cet été, cinq chevaux étaient parqués sur le stade de la Fontaine-Saint-Martin. Deux poneys erraient sur deux autres terrains à Valenton, laissés à leur sort par un propriétaire privé négligent.

Pour leur venir en aide, certaines âmes charitables ont tapé aux portes de nombreuses associations. En novembre 2017, l’association Stéphane Lamart avait déposé plainte pour acte de cruauté.

Mais en fin de semaine dernière, c’est la Fondation Brigitte Bardot (FBB) qui a annoncé avoir récupéré les chevaux. « Ils sont maintenant à l’abri dans nos structures », a indiqué la FBB.

Depuis 2005, l’association a récupéré 117 équidés lors de saisies judiciaires, soit plus d’un tiers des chevaux qu’elle a en charge.

 

Source de l'article : Cliquez ICI

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BRIGITTE BARDOT PLEURE POUR LES ANIMAUX… ET ON N’AIME PAS VOIR PLEURER BB !

Publié le par Ricard Bruno

BRIGITTE BARDOT PLEURE POUR LES ANIMAUX… ET ON N’AIME PAS VOIR PLEURER BB !

Le modèle industriel, dans ce domaine, est à questionner sérieusement.

Alors que le projet de loi sur l’agriculture et l’alimentation est en cours d’examen à l’Assemblée nationale depuis mardi 22 mai, des personnalités comme Sophie Marceau se sont manifestées publiquement pour sensibiliser les consommateurs face aux conditions d’élevage ou d’abattage des animaux, révélées par des vidéos clandestines, diffusées notamment par L214, une association « tournée vers les animaux utilisés dans la production alimentaire (viande, lait, œufs, poisson), et révélant leurs conditions d’élevage, de transport, de pêche et d’abattage »(L214.com).

Accompagnée de l’humoriste Rémi Gaillard, Brigitte Bardot – qui mène un légitime combat autour de la condition animale depuis plusieurs décennies – s’est aussi exprimée dans une courte vidéo, accompagnée « de nouvelles images [qui auraient été] réalisées […] dans l’abattoir municipal d’Alès. Les scènes, insoutenables, ont été tournées par un lanceur d’alerte en février 2018 » (Paris Match).

Les larmes aux yeux, celle que l’on réduit trop souvent à une icône de la libération sexuelle – par ignorance, peut-être, de sa filmographie et sa vie en général –, a ainsi lancé : « Dites-vous que vous mangez la souffrance, la douleur, l’épouvante, la torture. »

Bien entendu, ces sortes de déclarations sont accueillies fraîchement par la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles). Sa présidente, Christiane Lambert, a ainsi parlé, sur Europe 1, de « militantisme radicalisé ». Elle est en cela fidèle au modèle productiviste de la FNSEA, qui a prouvé ses limites si l’on se réfère à la situation dramatique des éleveurs et agriculteurs.

Certes, on trouve des extrémistes parmi les défenseurs de la cause animale, mais il serait malhonnête de nier l’évidence : nous traitons fort mal les espèces que nous consommons. Et cela ne concerne pas exclusivement, comme on voudrait le faire croire parfois, l’abattage rituel halal. Cela dit en dehors des considérations sanitaires, qui sont un autre sujet.

Rappelons que dans l’article R214-65 du Code rural et de la pêche maritime, il est stipulé que « toutes les précautions doivent être prises en vue d’épargner aux animaux toute excitation, douleur ou souffrance évitables pendant les opérations de déchargement, d’acheminement, d’hébergement, d’immobilisation, d’étourdissement, d’abattage ou de mise à mort » (Légifrance).

En oubliant d’emblée les divagations du véganisme – qui rejette tout produit issu de l’exploitation animale, même le miel –, et rappelant que l’homme est un omnivore, des méthodes d’abattage sans cruauté existent pourtant. Cependant, la question de la souffrance animale doit être réglée collégialement et sans cette inflexibilité prônée par les uns ou les autres. Toutefois, le modèle industriel, dans ce domaine, est à questionner sérieusement. Un modèle dont s’écartent des petits éleveurs avec les abattoirs mobiles se déplaçant à la ferme, ce qui est bien moins stressant pour les animaux.

Quoi qu’il en soit, on n’aime pas voir BB pleurer !

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BRIGITTE BARDOT LE BLOG FÊTE SES 11 ANS !

Publié le par Ricard Bruno

BRIGITTE BARDOT LE BLOG FÊTE SES 11 ANS !

Le Blog Brigitte Bardot, fête aujourd’hui ses 11 ans d’existence,  vous avez pu découvrir mes coups de gueule, mes coups de cœur, et bien sûr et surtout ma passion pour cette femme d’exception et UNIQUE que Dieu a créé un soir ayant eu, une révélation,Brigitte Bardot

Femme avec un très grand F, une femme par excellence qui défend ses convictions « bec et ongle », elle ne lâche RIEN ! Si parfois elle plie, je vous rassure JAMAIS elle ne rompt un peu comme un roseau…

Brigitte son combat  pour les animaux, c’est le combat de sa vie ! car « « Toutes Les Bêtes Sont à Aimer », il faut continuer à faire changer les mentalités vis-à-vis des animaux « Ça Pourrait Changer » beaucoup de choses,  « Je Reviendrai Toujours Vers Toi » Brigitte,  « Je me donne à qui me plait », même si cela ne plait pas à tout le monde « Jamais trois sans quatre » comme on dit…mais « 

« Moi Je Joue » la partition d’une vie consacrée aux animaux…Brigitte joue cette partition à merveille, …Brigitte Bardot n’est pas « La Fille De Paille» que l’on croit, chez elle à «La Madrague »  elle n’est pas « nue au soleil », elle aime certes la tranquillité chez elle entouré de ses compagnons à poils et à plumes,  chaque combat pour l’amélioration de la condition animale est un combat de chaque instant, elle ne vas pas à reculons ni même en « Harley Davidson », elle ne prend pas non plus « les omnibus », elle aurait pu  dire « Tu Veux, Tu Veux Pas »,  « On Déménage ».

Ce n’est pas « un Jour  comme un autre » que de fêter les 11 ans de ce blog, c’est un jour de fête, allez « Je Danse Donc Je Suis »,  «Ay Que Viva La Sangria », avec modération, il faut savoir apprécier à sa juste valeur ce breuvage… «Maria Ninguém » est de mon avis,   elle me dit souvent   « Ne me laisse pas l'aimer," mais si il faut aimer et admirer BB, même « Sidonie » est de mon avis…prend « contact » avec elle, elle te dira la même chose que moi, allez levons nos verres, à celle que le monde entier connait pour son engagement sans faille pour nos amis les animaux, à la votre mes amis !

Bruno Ricard

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Pas-de-Calais : une récompense de 10 000 euros pour arrêter les tueurs de phoques

Publié le par Ricard Bruno

Depuis janvier, trois phoques ont été abattus dans des circonstances troubles dans le Pas-de-Calais.

Depuis janvier, trois phoques ont été abattus dans des circonstances troubles dans le Pas-de-Calais.

L’association de défense des océans Sea Shepherd offre une récompense à quiconque permettra de faire avancer l’enquête sur la mort de trois phoques, tués entre janvier et fin avril, sur le littoral du Pas-de-Calais.

Wanted : tueurs de phoques. Récompense : 10 000 euros. « On double la mise (NDLR : 5000 auparavant) en espérant que ça motive d’éventuels témoins », explique Lamya Essemlali, présidente de Sea Shepherd France. Plus connue pour ses interventions spectaculaires contre la pêche illégale partout dans le monde, l’ONG vieille de 41 ans a aussi l’habitude de proposer des « récompenses » en numéraire pour retrouver des braconniers.

« On y a recours quand les enquêtes piétinent, confirme Lamya Essemlali. Récemment, en Asie, une récompense équivalente a permis l’arrestation de braconniers de tortues. Ça surprend encore en France, mais nous voulons agir. Nous ne voulons pas laisser un sentiment d’impunité s’installer chez les tueurs de phoques du Pas-de-Calais, qui est quand même le seul endroit en France où il existe un comité anti-phoques, même si je ne les mets pas directement en cause. »

Impacts de plombs au thorax

Car depuis janvier, trois phoques ont été abattus dans des circonstances troubles. Le premier, retrouvé par un chasseur sur la plage d’Oye-Plage, tué d’une décharge en pleine tête et à bout portant, a scandalisé le département. Toutes les associations ont fait front contre un acte qualifié de barbare. La brigade de gendarmerie de Saint-Omer a été saisie.

Le 29 avril, deux autres cadavres de phoques ont été retrouvés dans un état effroyable sur la plage du Touquet. Ce sont des naturalistes qui ont fait la macabre découverte par marée basse. Selon l’autopsie, le premier petit mammifère, « tuméfié », était atteint de huit impacts de plombs de gros diamètre au niveau du thorax. Il portait également la trace de coups violents au niveau du cou, vraisemblablement infligés alors qu’il agonisait. Le second aurait, lui aussi, été tabassé.

La Fondation Brigitte Bardot veut porter plainte

« Nous n’avions plus eu de mort de cette sorte depuis dix ans, s’inquiète Jacky Karpouzopoulos, président de la coordination mammalogique du Nord (CMNF), très présent auprès des mammifères. « Même si la récompense offerte par Sea Shepherd me surprend, il faut arrêter les imbéciles qui tuent », lance ce passionné qui tient à saluer les chasseurs qui ont dénoncé ces actes mais en appelle d’autres à s’émouvoir.

« Il faut que les pêcheurs du littoral et le parc naturel marin des estuaires picards et de la mer d’Opale (NDLR : chargé depuis 2012 de la protection du littoral) réagissent, plaide-t-il. Pour sensibiliser largement et pour que les morts de nos trois phoques ne soient pas classées sans suite. »

De son côté, la Fondation Brigitte Bardot a décidé de porter plainte. « Les autopsies pratiquées montrent que les phoques ont reçu des coups violents et sont morts dans la souffrance, ils ont de toute évidence été victimes de pêcheurs qui ne supportent pas la concurrence d’espèces qui prélèvent du poisson », s’emporte Christophe Marie, porte-parole de la Fondation. « Brigitte Bardot n’a pas lutté contre le massacre des phoques au Canada pour tolérer de tels actes, d’une grande lâcheté, sur les côtes françaises. Nous demandons à Nicolas Hulot d’accélérer son projet de consultation nationale sur la condition animale, il y a urgence. »

Une enquête compliquée

Une enquête judiciaire a été ouverte par le parquet de Boulogne-sur-Mer. Elle va être confiée au commissariat local. « De tels sévices tombent sous le coup de la loi, soit pour destruction d’espèce protégée, car les phoques font partie de cette catégorie, soit pour actes de cruauté, explique un gradé de la police du Pas-de-Calais. Des phoques sont souvent retrouvés sur le rivage mais ils sont décédés de mort naturelle… »

Les policiers, qui se sont rendus sur la plage du Touquet mais attendent toujours d’être saisis officiellement, privilégient la piste d’un acte commis par des pêcheurs. « Il est très vraisemblable que ce soit des pêcheurs qui ont remonté ces phoques dans leurs filets avec d’autres poissons. Ils les auraient ensuite achevés au fusil, soit pour libérer leurs filets, soit par peur d’être attaqués. Les phoques peuvent être agressifs. J’espère que ce n’est pas par plaisir ! » avance une autre source policière.

Les enquêteurs sont pessimistes quant à la possibilité de remonter jusqu’aux auteurs du forfait. « Il y a rarement de témoins en mer. Et, contrairement à d’autres armes, les balles de fusils de chasse ne disposent pas de signature, ce qui aurait pu permettre de retrouver les propriétaires. Il n’y a pas d’empreinte balistique sur des gerbes de plomb. » À moins que les 10 000 € de récompense délient les langues…

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Retour sur… la cohue provoquée par Brigitte Bardot à Cannes en 1967...

Publié le par Ricard Bruno

Retour sur… la cohue provoquée par Brigitte Bardot à Cannes en 1967...

Le 12 mai 1967, l'arrivée de Brigitte Bardot suscitait une véritable émeute sur la Croisette. Au bras de son second mari Gunther Sachs, BB tentait de se frayer un chemin vers le Palais des Festivals, encerclée par une foule survoltée.

Et dieu créa… le mythe Bardot. En 1956, la sirène blonde explose sur grand écran dans le film culte signé Roger Vadim - son futur mari. Pourtant, c’est au bras d’un autre homme que, propulsée au rang d’icône, BB foule le tapis rouge du Festival de Cannes dix ans plus tard. Le 12 mai 1967, la simple apparition de l’actrice et de son second mari Gunther Sachs - un homme d’affaire multimillionnaire – suffit à embraser la Croisette. Une montée des marches aux allures hollywoodiennes, digne de l'accueil reçu par l'acteur américain Gary Cooper, autre invité prestigieux des festivités.

Foule survoltée...

Ce soir-là, les festivaliers sont en émoi. Ils attendent fébrilement l’arrivée de leur idole, cette poupée blonde aux yeux cerclés de noir qui fredonnait Moi je joue trois ans plus tôt. La comédienne se dirige vers le Palais des Festivals, acclamée par les festivaliers. Mais se retrouve au cœur d'une cohue sans précédent, entre photographes survoltés et fervents admirateurs. Sans se départir de son éternel sourire, BB tente tant bien que mal de se frayer un chemin, aidée du service de sécurité.

Vêtue d’un tailleur androgyne - privé de son traditionnel nœud papillon, remplacé par un ruban - Brigitte Bardot créé la sensation, comme aucune de ses pairs auparavant. Triste ironie, ce mouvement de foule inédit marque la dernière apparition de l’actrice au Festival. Un épisode qui achèvera de bâtir sa légende.

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Retour sur… la cohue provoquée par Brigitte Bardot à Cannes en 1967...Retour sur… la cohue provoquée par Brigitte Bardot à Cannes en 1967...
Retour sur… la cohue provoquée par Brigitte Bardot à Cannes en 1967...Retour sur… la cohue provoquée par Brigitte Bardot à Cannes en 1967...
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L’hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre veut sauver ses renards menacés d’extermination

Publié le par Ricard Bruno

L’hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre veut sauver ses renards menacés d’extermination
L’hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre veut sauver ses renards menacés d’extermination
L’hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre veut sauver ses renards menacés d’extermination
L’hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre veut sauver ses renards menacés d’extermination

Animaux. Les renards vivent dans le parc de l’hôpital psychiatrique Pierre-Janet depuis des dizaines d’années, mais, pour des raisons d’hygiène et de risque de morsure, la direction du groupe hospitalier du Havre doit trouver une solution.

Avec leur museau long, leur fourrure rousse et leur démarche craintive, les renards sont un peu l’attraction qui amène de la vie dans le parc de l’hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre. « Les patients, comme les personnels soignants, ont pris l’habitude de les observer », souligne Cécile Dubos, infirmière de nuit à l’hôpital psy. « 18 ans que je travaille à Janet et je les ai toujours vus là, ajoute Céline Lebigot, infirmière elle aussi. « Les renards nous ont apprivoisés ».

Mais il y a quelques jours, la direction du groupe hospitalier du Havre (GHH) a lancé des devis pour éliminer, avec des pièges, ces animaux sauvages qui ne le sont plus vraiment tant ils s’approchent des pavillons de Janet. Le risque de morsure a motivé cette décision. Un choix, qui n’est pas encore arrêté par la direction, qui suscite une grande colère chez les soignants qui ont créé un groupe Facebook d’une vingtaine de personnes.

Coexister tout simplement

« Nous ignorons à quel endroit exactement se situe leur habitat mais nous pouvons les observer régulièrement, ayant ainsi pu constater une absence de dangerosité de leur part et en revanche, un contact adapté. Ils n’ont jamais montré le moindre signe d’agressivité, nous n’avons eu aucun précédent de morsure ni même grognement ou saccage et ils restent craintifs face aux hommes. Il n’y a pas eu de velléité de domestication de notre part, seulement de coexister et cela n’a jamais occasionné le moindre problème, bien au contraire, les lieux semblant plus accueillants car vivants. Plus encore pour les patients qui les attendent et se réjouissent de les observer le soir venu, au même titre que les hérissons ou chats avec qui les renards cohabitent », explique Cécile Dubos en introduction de la pétition qui a été lancée pour sauver les renards. En un week-end, cette dernière a déjà enregistré plus de 2 000 signatures.

« Il s’agit pour nous de ne pas laisser faire cette extermination systématique qui n’a aucune raison d’être et ne répondrait qu’à une volonté de « nettoyage » sans fondement. Dans ce but, nous recherchons tout soutien qui permettrait d’éviter ce qui serait un massacre absurde afin de faire entendre nos convictions qui elles, au même titre que les renards, ont toute légitimité à exister », ajoute la jeune femme.

Un précédent à Rouen

Le personnel, mobilisé, a contacté la fondation Brigitte Bardot pour tenter de trouver une solution alternative. « Il serait possible de demander une dérogation afin qu’une association telle que CHENE puisse capturer les animaux et les relâcher ensuite en forêt. Cette disposition a déjà été prise en 2015 dans un établissement scolaire de Rouen », précise Céline Lebigot. Un courrier doit être envoyé cette semaine à la direction du GHH pour soumettre cette proposition.

« Les patients sont tellement habitués à les voir sur les pelouses. Ils en parlent souvent de ces renards. Que pourrons-nous leur dire lorsqu’ils s’interrogeront sur l’absence des animaux ? », s’inquiètent les infirmières. Du côté de la direction du groupe hospitalier, on assure qu’aucune décision irrévocable n’a encore été prise et que toutes les solutions seront étudiées.

Au Havre, les renards font partie du quotidien des promeneurs tardifs ou lève-tôt qui les surprennent alors que ces animaux, sauvages mais opportunistes, profitent de nos poubelles. Un court-métrage leur a même été consacré par le naturaliste Alain Deschandol. Il y a quelques jours, les préfets de Meurthe-et-Moselle et de l’Aube, suivant l’exemple de la Moselle, ont renoncé aux arrêtés autorisant l’élimination des renards, reconnaissant ainsi leur utilité. De son côté, l’ASPAS, association pour la protection des animaux sauvages, interpelle Nicolas Hulot, ministre de l’Écologie pour que le renard soit retiré de la liste des animaux nuisibles.

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