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brigitte bardot

Brigitte Bardot a eu une statue pour son anniversaire...

Publié le par Ricard Bruno

Une statue située à l’entrée de Saint-Tropez a été offerte à Brigitte Bardot pour ses 83 ans. Il est à noter que cette ancienne actrice avait apporté sa contribution à la renommée mondiale de la station balnéaire jet-set...

Quelques détails sur la statue de Brigitte Bardot

Le directeur de l’office de tourisme de la ville, Claude Maniscalco a fait ressortir que la statue de Brigitte Bardot est « assez imposante ». Celle-ci a une hauteur de 2,5 mètres et un poids de 700 kg. Ce bronze s’inspire d’une aquarelle du maître italien de la bande dessinée Milo Manara.

Le lien entre la star et Saint-Tropez

Grâce à Brigitte Bardot, la station balnéaire est devenue un mythe. Elle s’est installée dans la région en 1958 et réside toujours dans son domaine de La Madrague. Selon Claude Maniscalco, il existe un « lien très fort » entre la star et la commune française. En offrant cette sculpture, c’est un hommage que la ville a voulu lui rendre pour ses 83 ans.

 

Brigitte Bardot a eu une statue pour son anniversaire...
Brigitte Bardot a eu une statue pour son anniversaire...
L’actrice a remercié les Tropéziens pour ce cadeau

Brigitte Bardot a remercié les Tropéziens pour ce geste, et a déclaré qu’elle était honorée de recevoir cette statue. « C’est un grand MERCI, les larmes aux yeux, que je vous adresse à tous », a dit la star de 83 ans dans un petit mot manuscrit.

L’inauguration de la statue

Le bronze est face au musée de la gendarmerie et du cinéma. Le public a eu la possibilité d’assister à l’inauguration grâce à une invitation qu’il fallait télécharger sur le site de la mairie de Saint-Tropez.

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Noël sous le signe des années 60 avec Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Noël sous le signe des années 60 avec Brigitte Bardot...

Merci à Elodie pour cette information...

...

EN IMAGES - Sélection de cadeaux du style de BB.

Avez-vous vu l'Esmeralda de Saint-Tropez? Celle qui dansait le tchatcha en robe rouge et retournait les cœurs comme on retourne des chaussettes. De 1952 à 1973, Brigitte Bardot joua le même rôle, encore et encore. La blonde fragile et prédatrice. Celle qui vous balade en pleine nuit, vous attire dans un atelier, branche la radio et, lorsque vous vous penchez sur elle, détourne le visage: «Je suis trop triste.» «Elle est faite pour perdre les hommes», avertit, par solidarité masculine, une de ses victimes (Et Dieu créa la femme). Mais, au fond, qui l'a écouté? «J'adore me marier», lance joyeusement l'icône.

On la retrouve dans Le Mépris, quelque part entre ciel et béton. Elle bronze sur le toit de la Villa Malaparte. Un livre couvre ses fesses. Son titre? «Frappez sans entrer.» No comment. Brigitte Bardot appartient au soleil et aux bords de mer. Quand on la touche, on se brûle. Est-ce pour se venger d'avoir été quitté que Roger Vadim la fit tourner dans les Alpes en plein hiver (La Bride sur le cou) ?

Pour ses 83 ans, fin septembre, Saint-Tropez a inauguré une sculpture kitschissime: BB anadyomène dans une coquille Saint-Jacques. Nue, évidemment. L'illustre résidente n'est pas allée saluer son double. Dans un Scopitone (Je me donne à qui me plaît), le col et les poignets de son manteau étaient en angora. À La Madrague, désormais, elle occupe son temps sur Twitter à s'indigner contre les chasseurs, les zoos et les cirques. Et regrette, sans doute, le temps du tchatcha.

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Police : Ils ont tué Tito !

Publié le par Ricard Bruno

Un chien de 11 mois a reçu d'un policier une balle entre les deux yeux. Ça s’est passé dans la cour de l’immeuble où habite son maître. Sans raison apparente.

Ce chien n'a jamais fait de mal ni peur à personne", témoigne un voisin...

Ce chien n'a jamais fait de mal ni peur à personne", témoigne un voisin...

« Ça s’est passé mardi 5 décembre, vers 19h30. »Khedr était chez lui. Un studio en rez-de-chaussée, qui donne sur la cour intérieure du 31 rue Ernest-Renan. Cette cour fermée, toute en longueur, dessert les différents logements situés à cette adresse. Vu qu’un portail sépare cette voie privée de la rue, les enfants de la résidence investissent souvent cet espace pour s’y amuser en toute sécurité. Pour la même raison, Khedr avait l’habitude de laisser son chien Tito s’y dégourdir les pattes.Ce petit corniaud de onze mois, n’avait rien du molosse, « tout le monde l’aimait bien. Les enfants jouaient avec, il était très gentil ». Ce soir-là, son maître l’a entendu aboyer à deux reprises. « Tout de suite après, il y a eu un très grand bruit, je suis vite sorti. » Son chien gît dans une mare de sang, abattu par un policier d’une balle entre les deux yeux.

"Il m'apportait du bonheur"

« Mais pourquoi a-t-il fait ça ? », continue de se demander Kehdr. Ce jeune homme de 25 ans, arrivé d’Égypte en 2009, n’avait déjà pas une vie facile. « Je ne cherche pas les histoires. J’ai beaucoup de problèmes... Je suis malade », explique-t-il en montrant une pyramide de médicaments et sa carte « handicapé ». Pas pour que l’on s’apitoie sur son sort mais simplement pour justifier sa peine. « Il m’apportait du bonheur… » Si lui tente de ravaler son chagrin, dans le quartier les témoignages d’indignation et de colère sont partout.« Ce chien n’a jamais fait de mal ni peur à personne, s’énerve son voisin Bensassi. Pauvre bête… On ne peut même pas lui reprocher d’être sortie dans la rue, c’est le policier qui est rentré chez nous ! »

Le commissariat de Saint-Denis, qui n’a pas souhaité s’exprimer, est revenu vers Khedr pour tenter de justifier cet acte. Les policiers auraient interpellé quelqu’un juste avant. Le policier auteur du coup de feu serait entré pour voir si le gars n’avait rien jeté derrière le portail. Tito serait allé vers lui. Il aurait eu peur. Et a tiré. Des explications qui n’en sont pas pour les habitants qui ont averti la Fondation Brigitte Bardot et comptent déposer plainte. « Il n’avait aucune raison de l’abattre. Il pouvait aussi appeler à l’aide, utiliser sa bombe lacrymo ou même tirer en l’air, renchérit l’un d’entre eux.Tito ne l’a même pas mordu. Sa réaction est totalement incompréhensible. » Une voisine d’ajouter :« On ne peut pas tolérer qu’un policier fasse usage de son arme et tue simplement parce qu’il a peur ! Un policier doit avoir du sang-froid, sinon c’est un danger public. »

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Le film qui... de Benicio del Toro...Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

 ©Lucas Film LTD

©Lucas Film LTD

À l'affiche de Star Wars : Les Derniers Jedi, Benicio del Toro nous parle des films qui l'ont marqué. 

À l'occasion de la sortie de Star Wars : Les Derniers Jedi de Rian Johnson, Première s'est plongé dans ses archives pour vous faire découvrir les films qui ont marqué Benicio del Toro. Nous l'avions rencontré en 2013, pour la sortie de Jimmy P. d'Arnaud Desplechin.

Le film qui...

... parle le mieux de l’Amérique centrale ?

Il y en a deux : Mémoires du sous- ddéveloppement, de Tomas Guttiérez Alea, et The Harder They Come, avec Jimmy Cliff. L’un est cubain, l’autre jamaïcain. Ce sont des films superbes qui dressent des tableaux très représentatifs de l’époque et de la culture dont ils sont issus, mais qui en même temps paraissent totalement universels et intemporels. Ils sont un peu meilleurs à chaque fois que je les revois.

... vous faisait faire des cauchemars quand vous étiez enfant ?

Les Nerfs à vif, de J. Lee Thompson. Parce que l’histoire de ce cinglé qui harcèle une famille est terrifiante, bien sûr, mais surtout à cause de Robert Mitchum, de sa gueule, de sa démarche. Petit, j’étais fasciné par les films de monstres avec Bela Lugosi, Boris Karloff, Lon Chaney... Mais là, c’était la première fois qu’un mec bien réel – pas une créature – me flanquait la chair de poule. Vraiment flippant.

... devrait être montré dans tous les cours d’art dramatique ?

Un tramway nommé Désir, d'Elia Kazan. L’alliance parfaite entre le cinéma et le théâtre, entre un texte brillant et de grands acteurs – Marlon Brando, Vivien Leigh, Kim Hunter, Karl Malden... Mais je cite peut-être ce film-là parce que j’ai étudié avec Stella Adler, qui avait été la prof de Brando. Pour tous les apprentis comédiens de ma génération, c’était la référence absolue.

... vous a donné envie de faire ce métier ?

Sans doute Papillon, de Franklin J. Schaffner. Mais ça n’a pas été conscient, je ne suis pas sorti du cinéma en me disant : "Je veux devenir acteur !" C’est juste que cette histoire était si forte, si fascinante...  Dans ce film, les performances de Steve McQueen et de Dustin Hoffman sont d’une puissance inégalable.

... s’apprécie mieux dans un état second ?

Les Lumières de la ville. Voir Chaplin jouer l’ivrogne te permet de te sentir moins seul si tu as toi aussi un coup dans le nez. (Rire.) Sinon, pour planer, rien ne vaut Pinocchio, Dumbo ou n’importe quel Disney de la grande époque. Des trips visuels qui marchent très bien sans le son.

... vous a fait tomber amoureux de son actrice ?

Je ne suis pas le genre de spectateur qui fantasme facilement sur les actrices. Cela dit, je dois reconnaître que la beauté de Brigitte Bardot dans Le Mépris, de Godard, a quelque chose de surréel qui m’avait scotché à mon fauteuil. J’ai cru comprendre que je n’étais pas le seul, d’ailleurs. À part ça, quand j’étais gosse, j’avais le béguin pour la fiancée de Frankenstein.

... devrait être envoyeé dans l’espace pour informer les extraterrestres de notre existence ?

Ça dépend du message qu’on souhaite faire passer. Un Capra pour leur souhaiter la bienvenue ? Ou le Chien andalou de Bunuel pour les refroidir ? (Rire.) Vraiment, impossible de trancher. On ne pourrait pas plutôt leur faire parvenir un coffret avec une sélection de chefs-d’œuvre ? Adressez-leur de ma part Le Parrain, Les Sept Mercenaires  et Le Trésor de la Sierra Madre.

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The New-York Times : En France, depuis 1945, il y a eu 3 stars : de Gaulle, Brigitte Bardot et Hallyday !

Publié le par Ricard Bruno

The New-York Times : En France, depuis 1945, il y a eu 3 stars : de Gaulle, Brigitte Bardot et Hallyday !

The Star Power of Johnny Hallyday (Jimi Hendrix Was His Opening Act)

 

Johnny Hallyday in concert at the Parc des Princes stadium in Paris in 1993, shortly after his 50th birthday.

Johnny Hallyday in concert at the Parc des Princes stadium in Paris in 1993, shortly after his 50th birthday.

Few in the United States had, or have, heard of Johnny Hallyday, the rock star known as the Elvis of France, who died this week at the age of 74. But, as the French public relations guru Gilles Paquet once said, “In France, since 1945, there have been three stars: de Gaulle, Brigitte Bardot and Johnny Hallyday.”

As proof, to celebrate his 50th birthday, in June 1993, Mr. Hallyday mounted three mega-concerts at the Parc des Princes stadium in Paris, each drawing an audience of 60,000 and replete with a 400-foot stage; a set, built at a military base in the French city of Strasbourg, featuring New York skyscrapers; 100 members of his Harley motorcycle club, the Desperados, escorting him across a bridge over the crowd; a 20-piece band; a bevy of sexy backup singers; a ballet of American muscle cars; bungee-jumping off the roof; and fireworks.

Beforehand, Mr. Hallyday sat down at his home in the 16th Arrondissement of Paris to reflect on his career, in an interview that is being published here for the first time.

How many albums have you recorded?

I don’t know. Really, I don’t know. A lot. In the ’70s, we used to do albums like we’d go to the movies. We could do an album in six weeks. Now we take six months. On the last album, which we did in New York, I worked with Richie Sambora from Bon Jovi. Jon Bon Jovi is writing two songs for my next album, with Richie. Richie is a good friend of mine, and I’m proud of it, because honestly, I like what he does.

What is rock ’n’ roll?

There’s no more rock ’n’ roll. For me, rock ’n’ roll died at the end of the ’60s. There’s basic music, but not rock ’n’ roll. I don’t like rap. I mean, I don’t hate it. A good one, I’d listen to it, but I would never do it.

Is there good pop music?

Not a lot. In France, the only one is Vanessa Paradis. What she has inside — what she gives — that you can never learn. She’s like Brigitte Bardot. Brigitte Bardot, she was not a good actress but nobody could play a role like she did, because she had something more. Vanessa is the same.

What is rock ’n’ roll?

There’s no more rock ’n’ roll. For me, rock ’n’ roll died at the end of the ’60s. There’s basic music, but not rock ’n’ roll. I don’t like rap. I mean, I don’t hate it. A good one, I’d listen to it, but I would never do it.

Is there good pop music?

Not a lot. In France, the only one is Vanessa Paradis. What she has inside — what she gives — that you can never learn. She’s like Brigitte Bardot. Brigitte Bardot, she was not a good actress but nobody could play a role like she did, because she had something more. Vanessa is the same.

Mr. Hallyday in 1971...

Mr. Hallyday in 1971...

Yes. My favorite musicians are American. In the early ’60s, Eddie Cochran and Gene Vincent. After that, Creedence Clearwater Revival, and after that, Rick James a little bit. And Jimi Hendrix.

You know, he was my opening act for a while. I discovered him in London at a club one night. I was with Otis Redding, and we were eating at the restaurant of the club, and we heard that incredible guitar. We went to see who was playing, and it was Jimi. I was about to start a tour in Europe, and I needed an opening act and said, “Do you want to do it?” And he said, “Yeah.” So he toured with me for six months, and we became friends.

After he did “Hey Joe,” he said, “I have a version I’m not using. Do you want it?” I said, “Yeah.” I went to London and recorded “Hey Joe” in French, with Jimi Hendrix playing acoustic behind. It became a No. 1 hit for two months.

After that, he became — well, you know about Jimi. He started to take all those drugs, and then he died. One thing I miss in my life is Jimi. Jimi was one of my few best friends. I hate drugs for that. Drugs take all the good fellows I know.

Do you like being a star?

No. No, not so much.

Why?

Well, because it’s difficult to live a life being a star. I was so young when I started. I really feel like I missed my adult male life. Like being with a woman — being a star has spoiled everything. I mean, I cannot live a normal life with a woman. A woman who wants to have children. I would love to have a normal life, with a wife and kids I could take to school, but I don’t know if I’d be able. It’s difficult to find a woman, first. I’m trying, I hope before I die I’ll find her.

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Vaches maltraitées cherchent pension

Publié le par Ricard Bruno

Toute personne susceptible d’accueillir les vaches peut contacter la FBB au 01 45 05 14 60 ou par mail : christophe.marie@fondationbrigittebardot.fr

La Fondation Brigitte Bardot (FBB) est intervenue ce jeudi auprès de la préfecture du Doubs pour tenter de sauver le cheptel de Saint-Vit. Un appel est lancé pour trouver des pensions provisoires dans le Doubs et la grande région.

Vaches maltraitées cherchent pension

L’avenir s’assombrit pour les moins de 300 vaches survivantes de Saint-Vit, laissées quasiment à l’abandon par leur propriétaire, avec très peu de nourriture, depuis de nombreux mois (lire nos éditions de samedi dernier et de ce jeudi ). Daniel Prieur, président de la Chambre d’agriculture du Doubs, confirme que la première solution envisagée par les services vétérinaires (SV), lors de la cellule de crise de mardi en préfecture du Doubs, est l’abattage du troupeau en début de semaine prochaine.

« Je n’ai pas envie d’enfoncer le propriétaire », souligne Daniel Prieur. « Mais il faut qu’il prenne ses responsabilités. Il est de mauvaise foi et n’a pas respecté les normes sanitaires depuis plusieurs années. » Pierre Nicod, le marchand de bestiaux en question, injoignable au téléphone ce jeudi, évoquait vendredi dernier ses gros soucis administratifs avec les SV.

« Ils bloquent mes bêtes depuis quatre ans parce qu’ils ont fait des erreurs », affirmait-il. « Je ne gagne plus ma vie. Elles se sont reproduites. J’en ai trop. Comment voulez-vous que je les nourrisse toutes ? » Le souci, selon la Chambre d’agriculture et le maire de Saint-Vit, est qu’il n’a jamais appelé au secours.

Cherche agriculteurs dans la région, sans élevage

Ce jeudi, après avoir pris connaissance de l’affaire par l’intermédiaire de Rolande Bouvard, la Fondation Brigitte Bardot (FBB) a réagi depuis Paris. Elle a pris attache avec la préfecture du Doubs pour tenter de sauver le cheptel. Les bêtes, non vaccinées, à l’origine incertaine, ne peuvent pas bouger hors de la région. « Nos pensions se trouvent en Normandie », précise Christophe Marie, le porte-parole de FBB.

« La crise de la fièvre catarrhale ovine en France les limite dans leurs mouvements. Les SV nous ont indiqué que les vaches peuvent être recueillies dans le Doubs, le Jura, l’Ain et la Savoie. Aussi, nous cherchons des agriculteurs de ces départements, à la retraite ou en activité hors élevage, qui possèdent des étables vides susceptibles de les accueillir en pension provisoire pendant deux mois. Nous nous chargerons financièrement de leur transport, de leur entretien et de leur nourriture. »

Toute personne susceptible d’accueillir les vaches peut contacter la FBB au 01 45 05 14 60 ou par mail : christophe.marie@fondationbrigittebardot.fr

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La Fondation Bardot choquée par le sort réservé au petit panda qui vient de naître au zoo de Beauval

Publié le par Ricard Bruno

La Fondation Bardot choquée par le sort réservé au petit panda qui vient de naître au zoo de Beauval

Le 4 août 2017, le zoo de Beauval a fait les gros titres de la presse française et internationale, suite à la naissance d’un bébé panda, une première dans l’Hexagone. Fils de Huan Huan et Yuan Zi, le petit a été au centre de toutes les attentions, tant sa venue revêtait un caractère exceptionnel : la reproduction des pandas en captivité est rare. Le gouvernement chinois a même dépêché des soigneuses sur place afin qu’elles assistent l’équipe vétérinaire du zoo. Dans trois ou quatre ans, le petit panda rejoindra la Chine. Mais ce sort n’a pas manqué d’émouvoir la Fondation Brigitte Bardot, qui dénonce les traitements réservés aux pandas dans certains zoos de l’Empire du Milieu.

FONDATION B. BARDOT‏Compte certifié @FBB_PORTEPAROLE 4 déc.

"Donc, dans 3 ans Yuan Meng quitte Beauval et sa mère pour intégrer un programme chinois de reproduction en captivité où des employés sont accusés de maltraiter les pandas... le prix de l'amitié franco-chinoise..."

Un cas de maltraitance avait notamment défrayé la chronique : un employé d’un zoo chinois, filmé par les caméras de vidéosurveillance, avait malmené violemment deux bébés pandas. Les images avaient fait scandale sur le réseau social chinois Weibo, tant et si bien que le soigneur avait tenté de se justifier, en précisant que les petits l’avaient mordu. La Fondation Brigitte Bardot s’inquiète ainsi du sort qui attend le panda, une fois qu’il sera retourné en Chine, et reproche à la France et à la Chine de n’en faire qu’un vulgaire outil diplomatique.

Le nom du bébé, une cérémonie à part entière

Durant près de trois mois, le bébé panda du Zoo de Beauval n’a pas eu de nom à proprement parlé. Simplement surnommé Mini Yuan Zi, en hommage à son père, le petit a dû attendre le 4 décembre pour enfin être baptisé, en présence de Brigitte Macron, sa co-marraine avec la première dame chinoise, Peng Liyuan – absente pour l’occasion. C’est lors de cette cérémonie, très médiatisée, que le panda a reçu son nom, Yuan Meng, « souhait qui se réalise », en chinois.

La Fondation Bardot choquée par le sort réservé au petit panda qui vient de naître au zoo de Beauval

Brigitte Macron a profité de l’occasion pour rappeler l’amitié franco-chinoise, en déclarant :

 

"Il est dans la vie des bonheurs simples et dont la profondeur vous étonne: c’est précisément ce que je viens de ressentir en rencontrant Yuan Meng. […] Le geste que nous accomplissons aujourd’hui est issu d’une tradition chinoise fondée sur le partage et la confiance mutuelle. [La naissance de Yuan Meng] est l’illustration du dialogue toujours fécond entre nos deux peuples qui se regardent, s’écoutent et se comprennent depuis deux siècles."

La Fondation Bardot choquée par le sort réservé au petit panda qui vient de naître au zoo de Beauval

Emmanuel et Brigitte Macron se rendront en Chine au début de l’année 2018, dans le cadre d’un voyage officiel.

 

La diplomatie du panda, ou le « soft power » à la chinoise

À l’heure actuelle, seuls 23 zoos détiennent des pandas géants dans le monde. Chaque animal a été prêté par la Chine, pour une durée bien précise et moyennant bien évidemment finance. Pour Huan Huan et Yuan Zi, le zoo de Beauval a accepté de payer la modique somme de 850 000 euros par an, pendant dix ans.

La Fondation Bardot choquée par le sort réservé au petit panda qui vient de naître au zoo de Beauval

Considéré comme trésor national, le panda est un outil diplomatique très efficace. Jusqu’en 1984, le gouvernement chinois en a même offert plusieurs à des gouvernements étrangers, avant d’abandonner cette pratique pour se tourner vers le simple prêt, sous la pression des écologistes. L’utilisation du panda dans les relations avec l’étranger n’est pas nouvelle : l’impératrice Wu Zetian l’avait mise à profit lors de son règne, entre 690 et 705. Mais c’est surtout après la guerre que la « diplomatie du panda » a connu son paroxysme, lors de la période maoïste.

Le don de pandas a parfois permis le dégel de relations tendues ou le désamorçage d’incidents diplomatiques. Leur attribution et leur arrivée dans un pays peuvent aussi subir les aléas de l’actualité internationale. Les deux pandas du zoo de Beauval auraient dû prendre leurs quartiers en 2008, mais les manifestations de protestation entourant le passage de la flamme olympique en France, avant les JO de Pékin, et surtout, la rencontre entre le président Nicolas Sarkozy et le Dalaï-lama avaient repoussé leur arrivée au 15 janvier 2012.

La « pandamania », un engouement lucratif pour les zoos

Le panda jouit d’une excellente réputation auprès du grand public et exerce un pouvoir d’attraction particulier. Avec la naissance de Yuan Meng, la France n’a pas échappé au phénomène, et les moyens déployés par le zoo de Beauval n’ont pas été en reste. Communication journalière sur la santé du bébé, vidéos, écrans géants, présence des journalistes lors de la cérémonie du nom… L’engouement pour les pandas est réel, comme Delphine Delord, chargée de la communication à la direction du parc, le confiait au journal L’Express lors de la naissance du bébé :

Il y a eu 25,8 millions de vues sur l’ensemble des posts Facebook du zoo de Beauval. Nous avons dû gagner environ 40 000 fans en une semaine et près de 2000 followers sur Twitter.

La Fondation Bardot choquée par le sort réservé au petit panda qui vient de naître au zoo de Beauval

Le zoo de Beauval a d’ailleurs aussitôt créé une ligne de produits dérivés dédiés au petit Yuan Meng. Le parc, qui s’attend à une augmentation significative de sa fréquentation, a même embauché pour faire face à l’afflux de visiteurs en fin d’année, pourtant période habituellement creuse. Le phénomène « Yuan Meng » n’est donc pas près de retomber.

La Fondation Bardot choquée par le sort réservé au petit panda qui vient de naître au zoo de Beauval
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L’actrice et mannequin française Brigitte Bardot est devenue une activiste des droits des animaux

Publié le par Ricard Bruno

Comme l’a dit un jour l’emblématique actrice française, Brigitte Bardot : « Une photographie peut être un instant de vie capturé pour l’éternité qui ne cessera jamais de se retourner contre vous. » Elle a certainement eu sa part d’instants légendaires imprimés sur papier et dans la mémoire de beaucoup de ses fans. Bardot a abandonné la célébrité en 1973, au sommet de sa carrière et de sa beauté, pour commencer à vivre une vraie vie.

L’actrice et mannequin française Brigitte Bardot est devenue une activiste des droits des animaux

Brigitte Anne-Marie Bardot, 83 ans, célèbre actrice, danseuse, mannequin et chanteuse, était une ballerine prometteuse dans ses jeunes années. Sa carrière d’actrice a commencé en 1952 quand elle est apparue dans des comédies. Mais sa grande pause a eu lieu en 1957 après le film controversé “Et Dieu créa la femme”, attirant l’attention de l’élite intellectuelle française. C’était l’histoire d’un adolescent immoral, qui vivait dans une région réputée. Le film est devenu un énorme succès, non seulement en France, mais aussi à l’étranger, en particulier en Grande-Bretagne. Brigitte s’est transformée en star du jour au lendemain et a même eu droit à un surnom spécialement inventé pour elle : « le chaton sexuel ».

L’actrice et mannequin française Brigitte Bardot est devenue une activiste des droits des animaux

Plus tard, elle a joué dans le film “Le mépris” de Jean-Luc Godard, et pour son rôle dans le film de 1965 “Viva Maria !”, l’actrice a été nominée pour le BAFTA Award de la meilleure actrice étrangère.

Brigitte Bardot est devenue la star de 47 films au total, prenant part à plusieurs spectacles musicaux et enregistrant plus de 60 chansons. Mais elle a décidé de mettre fin à sa carrière dans le show business en 1973 pour devenir une activiste des droits des animaux.

L’actrice et mannequin française Brigitte Bardot est devenue une activiste des droits des animaux

L’actrice a créé la Fondation Brigitte Bardot pour le bien-être et la protection des animaux en 1986. Elle s’est tourné vers le végétarisme et a recueilli 3 millions de francs pour la cause en mettant aux enchères ses objets personnels et ses bijoux précieux.

Bardot lutte contre la chasse au phoque au Canada et, en 1999, elle a écrit une lettre au président chinois, accusant le gouvernement de « torturer les ours et de tuer les derniers tigres et rhinocéros du monde pour en faire des aphrodisiaques ». Bardot a donné plus de 140 000 dollars pour la stérilisation massive et l’adoption des chiens errants à Budapest. Elle a également appelé le monarque danois à cesser de tuer les dauphins dans les îles Féroé.

L’actrice et mannequin française Brigitte Bardot est devenue une activiste des droits des animaux

Les trois mariages de Brigitte se sont soldés par un divorce. Elle s’est mariée pour la première fois avec le réalisateur Roger Vadim à l’âge de 18 ans, en 1952, et a divorcé cinq ans plus tard. En 1959, elle a échangé ses vœux avec l’acteur Jacques Charrier. Après avoir donné naissance à son fils, Bardot a de nouveau divorcé en 1962, laissant la famille de Charrier élever son fils.

L’actrice et mannequin française Brigitte Bardot est devenue une activiste des droits des animaux

Son troisième mariage avec le millionnaire allemand Gunter Sachs en 1966, s’est terminé trois ans plus tard. Mais la quatrième fois a été la bonne pour Bardot : elle s’est mariée avec son mari actuel, Bernard d’Ormale, qui était auparavant conseiller de Jean-Marie Le Pen, ancien dirigeant du parti d’extrême-droite le Front National.

L’actrice et mannequin française Brigitte Bardot est devenue une activiste des droits des animaux

Brigitte Bardot n’a aucun regret sur son passé et n’y changerait rien. Au lieu de cela, elle est pleinement engagée dans sa bonne cause actuelle et continue son travail, luttant pour la protection des droits des animaux.

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De plus en plus de Français désavouent les pratiques de chasse !

Publié le par Ricard Bruno

Selon un sondage IFOP pour la Fondation Brigitte Bardot, 84 % des sondés sont opposés à la chasse à courre et 71 % se sentent en insécurité en se baladant dans la nature.
 
Chasse au gibier d’eau à Vaas, dans la Sarthe, en octobre...

Chasse au gibier d’eau à Vaas, dans la Sarthe, en octobre...

L’argumentaire des chasseurs a du plomb dans l’aile. Alors que la France se prévaut régulièrement de sa tradition en la matière, la Fondation Brigitte Bardot publie les résultats d’un sondage, commandé à l’IFOP et dévoilé par Le Monde jeudi 7 décembre, sur les rapports des Français à la chasse. Il montre que de plus en plus d’entre eux sont opposés à la chasse à courre, favorables à la mise en place d’un dimanche non chassé et se sentent en insécurité en se baladant en forêt en période de chasse.

D’après les résultats de cette étude, réalisée les 21 et 22 novembre auprès d’un échantillon de 1 014 personnes selon la méthode des quotas, 71 % des interrogés ne se sentent pas en sécurité lorsqu’ils se promènent dans la nature en période de chasse. Un chiffre en forte augmentation – ils étaient 54 % en 2009 et 61 % en 2016 – qui « pourrait s’expliquer par la multiplication des accidents depuis l’ouverture de la chasse » en septembre, juge Christophe Marie, le porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot.

 

Il en veut pour preuve les neuf accidents mortels qui ont déjà marqué la saison, notamment l’adolescent de 13 ans tué en Vendée en septembre et la femme de 69 ans abattue dans son jardin par un chasseur qui l’avait prise pour un cerf, en octobre en Aveyron. Il y a quelques jours encore, le 3 décembre, deux chasseurs ont péri lors de battues, l’un dans le Var et l’autre dans le Tarn. L’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) a comptabilisé 143 accidents de chasse au cours de la saison 2016-2017, dont 18 mortels.

84 % des sondés contre la chasse à courre

Autre sujet qui résonne dans l’actualité : la chasse à courre, qui a créé la polémique en octobre avec l’abattage d’un cerf dans une propriété privée d’une petite commune de l’Oise ; 84 % des sondés se disent contre cette pratique. Là encore, les chiffres sont en progression, alors que 73 % des Français y étaient opposés lors d’un précédent sondage en 2005. Fait intéressant, les opposants se retrouvent autant chez les Parisiens que les habitants des autres régions, dans les communes rurales comme dans les agglomérations, ainsi que de manière égale dans toutes les tranches d’âge.

Les différences sont en revanche plus marquées entre les hommes (80 % contre) et les femmes (88 % opposées), entre les catégories socio-professionnelles supérieures (77 %) et les employés et ouvriers (85 %) et entre l’appartenance politique à gauche (90 % d’opposants) et à droite (79 %).

82 % favorables aux dimanche non chassés
 
Des chasseurs tiennent un renard mort lors de l’ouverture de la chasse dans la Sarthe, le 24 septembre 2017

Des chasseurs tiennent un renard mort lors de l’ouverture de la chasse dans la Sarthe, le 24 septembre 2017

Parmi les autres thématiques abordées, l’association a posé la question de la période de chasse. Selon le sondage, 79 % des sondés sont favorables à la réduction de sa durée et 82 % des Français se prononcent en faveur du dimanche comme journée non chassée, soit davantage qu’en 2016 (78 %) et qu’en 2009 (54 %). Une fois de plus, les opposants sont aussi nombreux chez les citadins que les ruraux. Ce principe d’un jour sans fusil avait été adopté par la loi Voynet sur la chasse de 2000 – qui avait opté pour le mercredi –, mais ce texte avait été abrogé trois ans plus tard par la loi Bachelot sur le même sujet.

« On a la plus grande étendue de chasse en Europe, et l’on reste le seul pays européen où cette pratique est autorisée sept jours sur sept. Or, près de 60 % des accidents de chasse ont lieu le dimanche, lorsque la nature est fréquentée par des familles en promenade, des randonneurs, des joggeurs ou des cyclistes », regrette Christophe Marie, qui dénonce un « monde à l’envers » : « Les chasseurs, qui représentent 1,5 % de la population, empêchent 98,5 % des Français de profiter des activités de plein air en toute sécurité. »

89 % pour l’interdiction de la chasse aux trophées

Le sondage s’intéresse à une série d’autres domaines : 66 % des Français sont opposés à la réglementation qui autorise toute l’année la destruction de 19 espèces classées nuisibles (renards, blaireaux, corbeaux, etc) et 89 % se prononcent pour l’interdiction de la chasse aux trophées et leur importation en France, qui représente le 5e pays importateur en Europe.

A noter que si seulement 12 % des sondés ont déjà chassé, ce critère ne semble pas être déterminant pour la majorité des réponses. Ainsi, 60 % des Français interrogés ayant déjà chassé sont tout de même favorables à l’instauration d’un dimanche sans fusil et autant sont opposés la chasse à courre.

La Fondation Brigitte Bardot n’a en revanche pas préféré interroger les sondés pour savoir s’ils sont globalement pour ou contre la chasse afin de ne pas « fermer tout débat mais plutôt pointer des pratiques que l’on peut réformer », indique Christophe Marie.

Sujet passionnel

« Ce sondage prouve que la préoccupation récente de l’opinion publique en faveur de la condition animale concerne également le domaine de la chasse, alors que c’est une tradition ancrée », juge le porte-parole. L’ONG appelle le ministre de la transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, à interdire la chasse à courre – comme l’ont fait l’Allemagne, la Belgique ou l’Angleterre – à instaurer un dimanche sans chasse ou encore à revoir la classification des espèces nuisibles.

« Cette montée de l’opposition à certaines pratiques de chasse n’est pas nouvelle, elle date du milieu des années 1970 », relativise Héloïse Fradkine, sociologue à l’Observatoire sociologique du changement (Sciences Po/CNRS) et auteure d’une thèse sur le monde de la chasse. En cause dans ce sujet « passionnel » : la montée en puissance des préoccupations environnementales et animalistes, la recomposition des catégories sociales venues habiter dans les zones rurales, plus enclines à un « usage contemplatif de la nature », et le fait que moins de gens ont des chasseurs parmi leurs proches. Jusqu’en 1975, plus d’un homme adulte sur dix chassait, rappelle-t-elle, contre trois sur cent aujourd’hui.

Willy Schraen, le président de la Fédération nationale des chasseurs, dénonce de son côté un « sondage orienté ». « Dans les lieux publics, comme les forêts domaniales, la chasse est extrêmement réglementée et sécurisée : elle a lieu deux jours par semaine ni le dimanche ni le mercredi et elle est indiquée par de nombreux panneaux, détaille-t-il. Mais la grande majorité du territoire, ce sont des champs et des forêts privés, dont les propriétaires peuvent jouir comme ils le souhaitent. Les promeneurs doivent donc se souvenir qu’ils sont chez autrui. »

Quant à la chasse à courre, qualifiée de « cruelle » par la Fondation Brigitte Bardot, Willy Schraen parle de « méconnaissance de cette pratique ». « C’est la chasse qui tue le moins d’animaux [3 000 par an] et qui est une des plus populaires : 300 000 à 400 000 non chasseurs suivent les équipages chaque année », assure-t-il. Au final, pour Willy Schraen, la chasse « conserve une bonne image ». L’érosion du nombre de chasseurs a cessé, avance-t-il, et la Fédération enregistre une hausse de la demande de nouveaux permis.

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