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brigitte bardot

Requins: "Rapprocher les appâts des plages va encore augmenter le risque"

Publié le par Ricard Bruno

Requins: "Rapprocher les appâts des plages va encore augmenter le risque"

Le collectif des associations Sea Shepherd, Aspas, Fondation Brigitte Bardot, Longitude 181, Sauvegarde des requins, One Voice, Tendua, Vagues et Requin Intégration réagit aux mesures annoncées par le préfet pour réduire le risque requins. Voici le communiqué de Jean Bernard Galves, le porte-parole :

Notre collectif a pris note des 8 mesures annoncées par le Préfet pour réduire, selon lui, le risque requins. 

Nous déplorons le maintien d'un pêche rapprochée et intensifiée près des plages.  Rapprocher les appâts des plages va encore augmenter le risque pour les baigneurs et surfeurs .  
 

Monsieur le préfet a-t-il pris la mesure de l'étude sur les contenus stomacaux ?

La présence de nombreux poulets, déchets de poissonnerie comprenant jusqu'à des étiquettes confirmerait un appâtage délibéré des requins par certains pêcheurs .

Va-t-il étendre et  continuer à cautionner cette mise en danger, en rapprochant la pêche des plages ? exigera-t-il, enfin, une enquête ? Fera-t-il cesser ces pratiques volontaires criminelles ? 

La meilleure façon de réintroduire les requins de récifs est d'éviter d'en faire les victimes accessoires des drum lines et donc de ne pas aller pêcher prés du récif.

L'extension du rôle des vigies parait louable, mais son coût est un frein certain le rôle de la brigade marine reste à déterminer

Les mesures autour de la "ciguatera" sont d'ordre sanitaire  et relèvent de l'ANSES. Le préfet n'a sur ce point aucun pouvoir de s'y opposer .

Malgré le flou de ces mesures, Nous notons cependant une évolution positive sur certains points. 

Monsieur le Préfet évoque le basculement des eaux, le rejet des eaux d'épuration et l'urbanisation comme cause possibles du problème. Il souligne l'absurdité d'aller chercher au large des requins pour les tuer .

Malgré le maintien d'une pêche démagogique dont il a hérité, il semble exister chez le nouveau préfet une volonté réelle de comprendre les causes du problème et de s'y attaquer .

Nous attendrons la mise en oeuvre des différentes mesures pour nous prononcer sur la sincérité de la préfecture.

Nous poursuivons par contre notre action contre la pêche dangereuse et démagogique des requins.  

Jean-Bernard Galves, porte parole du collectif des associations Sea Shepherd, Aspas, Fondation Brigitte Bardot, Longitude 181,Sauvegarde des requins, One Voice, Tendua, Vagues, Requin Intégration

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L'image vintage du week-end : Brigitte Bardot en 1958...

Publié le par Ricard Bruno

L'image vintage du week-end : Brigitte Bardot en 1958...

Idole des jeunes et adoubée par la critique suite au succès de "Et Dieu... Créa la femme", Brigitte Bardot s'accorde une pause enneigée lors de l'hiver 1958 en Italie. La preuve en image.

Actrice chérie de la France dans ces années-là, Brigitte Bardot profite de la neige italienne en 1958. Sur ce cliché pris sur le vif, la célèbre interprète de Juliette cette naïade dans Et Dieu... Créa la Femme de Roger Vadim deux ans auparavant a choisi la station de ski Cortina d'Ampezzo pour l'hiver. Joueuse, elle s'apprête à récompenser le photographe d'un lancer de boule de neige. Fraîchement séparée de Roger Vadim, elle se consacre à sa carrière florissante à cette époque. Son regard mutin, ses courbes mythiques et sa chevelure ensoleillée comme signatures prisées des réalisateurs. Babette s'en va-t-en guerre, Le Mépris, Viva Maria !... Cette année, ses futurs succès lui tendaient les bras.

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Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...
Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...
Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...
Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...
Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...
Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...
Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...
Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...
Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...
Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...
Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...
Brigitte Bardot : ses photos quand elle était jeune...

Chaque vendredi, Paris Match retrace en images la jeunesse d’une star. Au tour de l’icône BB.

«J’ai donné ma jeunesse et ma beauté aux hommes», disait Brigitte Bardot. Repérée à seulement 14 ans en couverture du magazine «Elle» par Marc Allégret, Bardot devient très vite le fantasme de toute une génération, l’objet de désir le plus convoité de toute la planète. Il faut dire que la nature lui a tout donné: des lèvres pulpeuses, une poitrine généreuse, une taille imparable. Alors le public en a fait une icône, pardon un mythe. Dans les années 60, quand elle est au sommet du cinéma français, BB n’hésite pas à bousculer les codes. Insoumise, débridée, volcanique. Brigitte devient même pour de nombreuses femmes l’incarnation de la femme parfaite, une sorte de créature venue d’ailleurs à la fois sublime et envoûtante.

Mais peu à peu, ses prises de position ont raison d'elle et de son image. Celle qui a longtemps incarné la liberté se retrouve "enfermé" dans une cage dorée à Saint-Tropez.

Une beauté intemporelle

Pourtant, bien des années plus tard, BB est toujours au centre de toutes les attentions. Sa beauté juvénile est devenue intemporelle, son visage l’effigie de plusieurs grandes marques dans le monde de la mode. Bardot est aussi une grande militante pour la cause animale : ses combats sont salués, sa fondation un véritable succès. Et preuve de l’attachement des français à l’éternelle BB, pour son 83e anniversaire, la ville de Saint-Tropez lui a offert une statue. De quoi se souvenir pour toujours de cette légendaire blonde qui un jour à chanter «Sur la plage abandonnée…». Culte.

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1968 dans le rétro : L'Express du 1er janvier, numéro 863 avec Brigitte Bardot !

Publié le par Ricard Bruno

1er janvier 1968: l'année américaine de L'Express. l'express

1er janvier 1968: l'année américaine de L'Express. l'express

Pour le 1er numéro de l'année 1968, L'Express s'intéresse aux Français, à ce qu'on n'appelait pas encore la high-tech aux Etats-Unis, au chômage, à la police, à Brigitte Bardot et à mode rétro.

Sommaire

Numéro du 1er janvier 1968 

- Retour vers le futur 

 
 

- La révolution technologique aux Etats-Unis 

- La mode est aux années 30 

 

- Le chômage en France 

- La police à l'aube de mai 68 

- Avec BB et la télé couleur, l'année débute bien 

- La minute des réclames 

Retour vers le futur

Dans ce numéro inaugural de l'année 1968, Françoise Giroud commente une enquête de "l'I.F.O.P" sur l'image que les Français se faisaient de l'an 2000: 

"Une grande majorité de Français pensent que les conséquences seront favorables sur le confort matériel (88%), ce qui va de soi, mais aussi sur la vie intellectuelle (71%), la liberté individuelle (55%), les relations entre les hommes et les femmes (55%). [...] 72% des Français indiquent qu'ils ne voient pas pour autant le problème du chômage définitivement résolu. Il y a également une majorité pour penser que ne sera pas résolu le problème des logements insuffisants (52%), des difficultés de circulation (70%) et du bruit (74%)." 

Comment ne pas sourire devant la vision du chômage, qui ne sera pas "définitivement" terrassé en 2000? Quant aux grandes abstractions, telles que les progrès de "la vie intellectuelle", difficile en 2018 de ne pas songer (objectivement et sans déclinisme) à toutes les grandes plumes qui faisaient de la France l'une des places-fortes de l'intelligentsia mondiale en 1968. 

La révolution technologique aux Etats-Unis

Sur le visuel de Une, le visage du président américain Lyndon Johnson, entrelardé d'images anxiogènes mêlant guerre du Vietnam et émeutes raciales, une fusée de la Nasa et une jeune fumeuse. Mais le ton du long reportage aux Etats-Unis, qui justifie cette couverture, est beaucoup plus optimiste, mettant l'accent sur les promesses des révolutions technologiques: 

Le journaliste Michel Salomon dans l'antre de la bête informatique.
Le journaliste Michel Salomon dans l'antre de la bête informatique.L'Express

"Drapée dans les bandelettes magnétiques de la science nouvelle, l'Amérique est entrée dans l'âge 'technétronique'. [...] A propos de ses inventions, Thomas Edison avait coutume de dire qu'elles représentaient '1% d'inspiration et 99% de transpiration'. 

L'ordinateur, en quelque sorte, 'libère' le chercheur, l'économiste, les gestionnaires d'une entreprise, en supprimant la plus grande partie de ces '99%'. Il apporte d'abord aux administrateurs une information complète et effectue les opérations qu'on lui demande sur cette information. La célérité dans l'obtention du renseignement a été encore accrue par l'usage du 'teleprocessing', qui permet de relier chaque dépôt, chaque usine, par telex, à l'ordinateur central. Ce dernier constitue une véritable banque d'informations, mises à jour à chaque instant. Pour les entreprises plus modestes, qui ne peuvent s'offrir le luxe du 'teleprocessing', il existe une autre formule: le 'time sharing'. Elle revient à partager un ordinateur à plusieurs, sur abonnement." 

Le journaliste Michel Salomon ne se laisse pas pour autant éblouir et revient sur les problèmes sociaux, ethniques et sociétaux qu'affrontent la première puissance mondiale. Il dessine un portrait assez critique de la contre-culture, qui trouvera quelques mois plus tard une résonance en France:  

"Tout est ambigu, comme tout est ambigu dans la puissance et dans la richesse [...] Et l'ambiguïté se situe, bien entendu, au coeur même de la protestation. M. Henri Lefebvre, à qui la pensée marxiste contemporaine doit beaucoup, a analysé pour 'L'Express' le phénomène 'hippie': 'Dire que les hippies protestent contre la consommation, commente-t-il, est dérisoire. Ils en profitent et ils en vivent. Ce sont, plus justement, des ratés de la consommation... Au lieu d'utiliser Che Guevara entant que leader politique, ils l'utilisent comme 'poster' (affiche). Ils digèrent ainsi une révolution, une doctrine structurée et ils en font un bien de consommation'" 

Et de conclure: "Tous les pays industriels avancés voient se creuser le fossé entre les facultés créatrices de la science et de l'industrie et d'autre part la sclérose des hommes politiques classiques." 

La mode "Années 30"

Contrastant avec cette couverture internationale prospective, un article s'amuse d'un phénomène de mode régressif, "La folie des années 30". Preuve que le vintage et le recyclage ne sont pas l'apanage de nos années 2000... Patrick Thévenon en recense tous les symptomes, depuis la déco jusqu'à Bonnie and Clyde, en passant par la longueur des jupes et les expositions: 

"Courrèges annonce une collection de printemps cachant le genou. 'En tout cas, plus de minijupe', a signifié Brigitte Bardot à Marc Bohan, qui suivra probablement cet ordre." 

La Folie des années 30: le vintage à la sauce 68.L'Express

La Folie des années 30: le vintage à la sauce 68.L'Express

Le chroniqueur termine sur une note plus sombre: 

"Les années 30 ont annoncé l'holocauste de plusieurs millions d'hommes. 1930 en 1968 n'annoncera qu'une opération commerciale. Il sera temps, si elle réussit, de découvrir pourquoi, même sur les jeunes gens, le passé exerce plus de fascination que l'avenir." 

Du fait de la pyramide des âges, en 1968 la France regardait beaucoup moins vers le passé que vers l'avenir. Né en mai 53, L'Express a tout juste quinze ans et un lectorat jeune, comme s'en réjouit sa rédactrice en chef: "Le nombre de lecteurs du journal a augmenté de 48% en un an", soit un total de un million et demi de lecteurs, dont la moitié a moins de 34 ans et le quart moins de 24 ans. 

Le chômage en France
Ce chiffre laisse rêveur: en décembre 1967, la France compte 224 900 chômeurs.Fin 2017, ce sont 3 483 600 de Français qui sont à la recherche d'un emploi.
Ce chiffre laisse rêveur: en décembre 1967, la France compte 224 900 chômeurs.Fin 2017, ce sont 3 483 600 de Français qui sont à la recherche d'un emploi.L'Express
La police à l'aube de mai 68

Enquêtant sur la guerre des polices (sujet décidément intemporel), Jacques Derogy en tire une infographie éloquente sur ces fonctionnaires qui vont jouer un rôle si important dans les événements de Mai: 68 400 policiers en tenue, dont 22 300 dans la police municipale de Paris et 13 156 dans les CRS. Les policiers en civil sont au nombre 14 400. 

L'organigramme de la police nationale, en 1968.
L'organigramme de la police nationale, en 1968.L'Express
Avec BB et la télé couleur, l'année débute bien

"Les Français qui ont la télévision ont de la chance. Ils sont nombreux. Les Français qui ont la télévision en couleur ont encore plus de chance. Ils sont rares. Entre l'enterrement de la vieille année, le 31 décembre, à 20 heures, par le général de Gaulle, et le baptême de l'année nouvelle, le 1er janvier à 20 heures, par Brigitte Bardot, l'O.R.T.F. n'a pas lésiné sur les vedettes. 

La double page que L'Express du 1er janvier 1968 consacre au "show Bardot" à la "T.V.".
La double page que L'Express du 1er janvier 1968 consacre au "show Bardot" à la "T.V.".L'Express

Une Brigitte Bardot somptueuse, radieuse, dansante, chantante, touchante aussi. Qui, pendant 55 minutes et 14 chansons, savoure une liberté reconquise, affirme sa joie d'être belle, vivante, aimée; ses métamorphoses fugaces, poétisées par une caméra kaléidoscope, l'entraînent de Saint-Tropez à Carnaby Street. Cambrée, grimée, déchaînée, elle présente d'elle-même une éblouissante carte d'échantillons: 'Regardez-moi, je suis hippie, je suis Bonnie, je suis nue ou presque, je suis heureuse. Moi, finie? Vous voulez rire!'" (Danièle Heymann) 

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Bonne année 2018 aux lecteurs du blog Brigitte Bardot !

Publié le par Ricard Bruno

Bonne année 2018 aux lecteurs du blog Brigitte Bardot !

L’An 2017 s’est cassé.

L’An 2018 prend sa place.

Faisons de nouvelles résolutions, de bonnes résolutions du jour du Nouvel An…en vérité ne durent qu’un temps..

Alors rigolons. Soyons naturels et oublions toutes les bonnes intentions, oublions les cons qui nous emmerdent la vie, ne lâchons RIEN dans nos combats pour les animaux, que mes vœux de 2018 ne se résume qu’à une seule chose…VIVEZ ! Ah oui ! Une dernière chose VIVE Brigitte Bardot, vive MOI ! Et si cela dérange…je m’en cogne royalement le coquillard !

La bonté est le principe du tact, et le respect pour autrui la condition première du savoir-vivre…

« Les animaux, eux, ont une pureté que l'homme a définitivement perdue »

Bonne année 2018 à celles et ceux que j’aime, que j’apprécie, que je ne vois pas souvent ou jamais…

Bruno

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Elle se bat pour sauver les lévriers galgos, victimes d'atrocités en Espagne

Publié le par Ricard Bruno

aurence Ballereau se bat pour sauver les galgos, les lévriers espagnols.

aurence Ballereau se bat pour sauver les galgos, les lévriers espagnols.

Là-bas, les galgos, les lévriers espagnols, subissent les pires atrocités, au nom d'une tradition ancestrale des plus barbares. Ils sont utilisés par les galgeros, ces chasseurs qui ne ressemblent en rien à ceux de Sologne. Ceux-là n'ont pas de fusils, mais ces lévriers, des chiens très rapides, qui pistent le gibier, l'attrapent et le ramènent à leur maître.

Victimes d'une croyance d'un autre temps

Sauf que leur maître a, le plus souvent, aucune considération pour eux : « Ils ne sont que des outils. » Des outils déjà usés à leurs yeux au bout de trois petites années. « Alors, s'ils ont été de bons chasseurs, ils les tuent. Mais s'ils ont été mauvais, ils les torturent, pour conjurer le mauvais sort, et que le prochain soit meilleur. » Des croyances d'un autre temps qui perdurent encore au XXI e siècle et qui font chaque année « 50.000 victimes ». 50.000 lévriers maltraités, torturés, mutilés. « Ces chiens-là n'ont pas une once d'agressivité, ils ne se rebiffent même pas. »

Devant un tel massacre, Laurence Ballereau a décidé d'agir. En surfant sur Internet, elle découvre l'association Galgo's dream Belgium, basée à Tournay, en Belgique, et la rejoint. Depuis trois ans, elle est même leur déléguée Centre-France. « On travaille en partenariat avec un refuge, en Espagne ».

Il s'agit du refuge Ciudad animal, à Pedro Munoz (en Castille). Le refuge d'une certaine Loli Cantero, qui consacre sa vie à sauver les lévriers espagnols. « On aide le refuge. On organise des campagnes de collecte de dons, de sacs de croquettes, de médicaments… en France, en Belgique et en Allemagne, puisque l'association est sur les trois pays. » Et « on accompagne les familles qui veulent adopter des lévriers. »

« Le but, ce n'est pas d'interdire la chasse, mais au moins que les galgos ne soient plus brutalisés. »

À ce jour, le refuge espagnol compte trois cents chiens à l'adoption. « Mais quand certains sont vraiment trop abîmés, trop traumatisés, Loli Cantero les garde chez elle. »

Au départ, Laurence Ballereau s'était portée volontaire pour être l'une de ces familles d'accueil où les galgos se refont une santé, ou ils découvrent ce qu'est la vie d'un animal de compagnie, le confort d'une maison, l'amour d'une famille. « Mais mon mari et moi, on n'est pas fait pour être famille d'accueil : on s'attache trop », glisse-t-elle, un sourire aux coins des lèvres.

Laurence Ballereau et son mari.

Laurence Ballereau et son mari.

C'est d'ailleurs ainsi qu'Elina, 7 ans, a rejoint la famille, puis trois autres, et enfin, Destino. « Il a été trouvé par Loli Cantero au bord d'une route départementale, dans un fossé. Il avait une fracture du tibia, une fracture de la hanche… Il a subi trois opérations. » Comme d'autres, il avait été maltraité, puis abandonné.

« Brigitte Bardot a déjà écrit au roi d'Espagne à ce sujet (en 2016, NDLR), mais ça n'a rien changé, regrette-elle. Le roi d'Espagne est chasseur, alors… »

Et ils sont ainsi des milliers. « Le pire, c'est au mois de février, à la fin de la période de chasse : le refuge récupère des centaines de chiens abandonnés, blessés. Et ce ne sont pas des petites blessures. » Des soins coûteux qui mobilisent les bénévoles de cette association qui milite depuis de longues années surtout pour que cesse ce massacre. Mais ce sera sans doute un long combat.

Elle se bat pour sauver les lévriers galgos, victimes d'atrocités en Espagne

« Brigitte Bardot a déjà écrit au roi d'Espagne à ce sujet (en 2016, NDLR), mais ça n'a rien changé, regrette-elle. Le roi d'Espagne est chasseur, alors… »

« Le but, ce n'est pas d'interdire la chasse, mais au moins que les galgos ne soient plus brutalisés. »

Comme les bénévoles de son association, Laurence Ballereau garde pourtant espoir. « Les choses commencent un peu à bouger en Espagne. Il y a de plus en plus de manifestations d'Espagnols contre ça. » Et certains galgeros viennent aujourd'hui « abandonner leur galgos. » Si on ne peut se réjouir d'abandons massifs, « au moins, ils ne les torturent pas, et ils ne les tuent pas. » Reste qu'il y a encore fort à faire « pour que les choses changent vraiment là-bas. »

Pratique. Contact : Laurence Ballereau au 06.59.19.91.16 ou par courriel à laurencegalgosdreambelgium@gmail.com 

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Danièle Heymann, janvier 1968: le show Bardot

Publié le par Ricard Bruno

La double page que L'Express du 1er janvier 1968 consacre au "show Bardot" à la "T.V.". L'Express

La double page que L'Express du 1er janvier 1968 consacre au "show Bardot" à la "T.V.". L'Express

En 1968, Brigitte Bardot est LA star à la française. La "T.V." ne pouvait éviter le phénomène: Danièle Heymann a vu l'émission, elle a aimé et le raconte avec une verve qui fait envie, peut-être plus encore cinquante ans plus tard.

[...] Le "Spécial Brigitte Bardot", diffusé cinq ans, jour pour jour, après ses débuts de chanteuse à la T.V., a une histoire. 

D'abord, la version présentée est expurgée. Le film, en effet, commençait par l'apparition victorieuse de Brigitte enroulée dans un drapeau tricolore. Tenant hardiment la hampe, laissant aisément deviner que les plis glorieux de notre emblème étaient ses seuls voiles, résistant à une cocardière tempête qui plaquait l'étendard à son corps, elle était superbe. 

La direction de la télévision a apprécié. Puis menacé l'émission du carré blanc: "Vous comprenez, les enfants, les anciens combattants..." Les réalisateurs ont plaidé: "Ne trouvez-vous pas que Brigitte ainsi est un magnifique symbole de la vitalité en France? Une espèce de "Marseillaise" de Rude 1968?..." La direction ne s'est pas laissé fléchir. Les réalisateurs ont préféré couper. 

La double page que L'Express du 1er janvier 1968 consacre au "show Bardot" à la "T.V.".L'Express

La double page que L'Express du 1er janvier 1968 consacre au "show Bardot" à la "T.V.".L'Express

Mais cette anecdote n'est qu'une péripétie. [...] Brigitte, de plus en plus enchantée, de plus en plus acharnée à bien faire et à faire du Gainsbourg, voulait tourner, encore tourner. Sans coiffeuse, sans maquilleuse, elle accepta même d'être traquée par la meute, autrefois honnie, des photographes de presse: on balaya, au soir d'une journée de studio, douze cents emballages de pellicule sur le plateau. 

"Brigitte doit aller douze heures à Londres"

L'improvisation, alors, se met à régner. Eddy Matalon et François Reichenbach découvrent le cinétisme à la Biennale des Jeunes, de Paris. Il faut aussitôt utiliser ce décor scintillant et futuriste: Gainsbourg écrit, dans la nuit, "Contact", épopée d'une Vénus cosmonaute, aux seins bardés de métal tendre et qui cherche à travers les galaxies son amour satellisé. 

Serge Gainsbourg reçoit alors commande par la Warner Bros d'une chanson intitulée "Bonnie and Clyde", et qui aidera à la promotion du film en France. Qu'importe: on inclura ce parasite providentiel dans le show. En vingt-quatre heures, Gainsbourg compose une déchirante ballade de passion et de mort. Il sera Clyde. Elle sera Bonnie. Chanson vécue. 

LIRE AUSSI >> Les Français de 1968, par Françoise Giroud 

Brigitte doit aller douze heures à Londres pour essayer les costumes de "Shalako", le western qu'elle doit tourner avec Sean Connery. Eddy Matalon la suit et tourne à la sauvette, à la barbe des "bobbies", une extraordinaire promenade de B. B. dans les rues de la nouvelle Angleterre. 

Au retour, Gainsbourg, toujours lui, improvise sur ce thème et écrit: "Le Diable n'est pas anglais". Enfin, après quinze jours de tournage effectif, étalés sur trois mois, le "Spécial Brigitte Bardot" est terminé. Ce show est sans doute le spectacle le plus plaisant que la TV pouvait nous offrir. Il est sûrement le plus beau cadeau que Brigitte Bardot pouvait se faire à elle-même. 

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Le cliché d'Emmanuel Macron que l'Élysée voulait éviter !

Publié le par Ricard Bruno

Le cliché d'Emmanuel Macron que l'Élysée voulait éviter !

Mi-décembre, Emmanuel Macron passait son week-end au château de Chambord, où il avait participé à l'exposition du tableau de chasse après la battue. Pas de chance : malgré les réticences de l'Elysée, une photo a été prise et publiée sur les réseaux sociaux.

Il y a quelques jours à peine, Brigitte Bardot, toujours aussi engagée dans la lutte pour la protection des animaux, s'emportait contre Emmanuel Macron dans un communiqué.  "La cause animale est la cinquième roue du carrosse présidentiel ! J'en ai marre !", lâchait-elle. "J'ai écrit deux lettres ouvertes à Macron. Je n'ai eu aucune réponse (...) Je suis connue dans le monde entier pour être la protectrice des animaux. C'est scandaleux que mon pays ne fasse rien."

Particulièrement remontée, la présidente de la Fondation Brigitte Bardot ajoutait : "Macron n'a aucune compassion pour les animaux et la nature : à Chambord [où il a récemment fêté son anniversaire avec son épouse, ndlr.], il vient de féliciter des chasseurs devant leurs gibiers encore chauds ! C'est scandaleux et très déplacé." Malgré les efforts de la communication de l'Élysée, une photo du moment dont parle Brigitte Bardot a tout de même été partagée sur les réseaux sociaux via le compte Twitter des "Chasseurs de France."

"'Pas de photo ! Pas de photo !' avait insisté l'Elysée"

Sur la photo, floue, prise de loin et de nuit, on aperçoit en effet le chef de l'Etat. "Emmanuel Macron a défendu la chasse comme une valeur forte du pays. Engager avec Willy Schraen [Président de la fédération nationale des chasseurs] la réforme de la chasse", précise la légende. Ce jour-là, le président de la République avait participé à l'exposition du tableau de chasse après la journée de battue dans le domaine royal. "Une quinzaine de sangliers tirés au fil et entourés de quelques branches de sapin gisaient sur le sol", rapporte Le Monde.

Problème : le cliché n'aurait pas dû sortir. "'Pas de photo ! Pas de photo !', avait insisté l'Elysée, conscient qu'un cliché d'animaux morts ensanglantés risquait de choquer, surtout avant les fêtes de Noël", relate le quotidien. "Mais la Fédération nationale des Chasseurs (FNC) n'a pas résisté à poster une image de la cérémonie sur son compte Twitter. Willy Schraen, son volcanique président, qui comptait parmi les invités, ne rate jamais une occasion de souligner ses accointances avec le pouvoir."

Willy Schraen est en effet un sacré personnage. Sur son compte Twitter, avant les fêtes de Noël, le roi de la chasse multipliait les messages provocateurs. "Mais au fait, est-ce que ça crie une carotte quand on la tue ? Joyeux Noël !" Visiblement, ce monsieur semble avoir raté un cours à l'école primaire. Allez Willy, répétez après nous : les carottes sont des végétaux, les animaux sont des "êtres vivants doués de sensibilités." Oui oui, et c'est même le Code Civil qui le dit. Mais c'est sans doute plus compliqué d'ouvrir un livre que de tweeter. 

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Brigitte Bardot : Intervention de Christophe Marie sur RTL

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : Intervention de Christophe Marie sur RTL dénonçant la fourrure...

"J'aime les animaux… Morts!", le slogan choc de la fondation Brigitte Bardot qui lance une nouvelle campagne d'affichage contre la fourrure ce mardi 26 décembre. Sur une image, on voit notamment un homme portant un blouson avec une fourrure qui ruisselle de sang. Un millier de panneaux d'affichage sont actuellement répartis à Paris et dans d'autres villes de la région parisienne. "Aujourd'hui le marché de la fourrure est revenu en force avec des notamment des accessoires, comme des cols ou des capuches. Le but de cette campagne, c'est d'interpeller les acheteurs, qui ne font pas toujours le lien entre leur col et l'animal qui a été tué pour le confectionner", explique au micro de RTL, Christophe Marie, le porte-parole de la fondation Brigitte Bardot. "Beaucoup de gens pensent d'ailleurs qu'il s'agit de fausse fourrure, mais la plupart des cols sont en fourrure véritable", affirme-t-il. Fondation Brigitte Bardot : http://www.fondationbrigittebardot.fr/

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