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La métamorphose de Brigitte Bardot, « l’icône de la beauté », sans recourir à la chirurgie esthétique
Comment l'icône française Brigitte Bardot, transcende le passage du temps sans chirurgie esthétique, célébrant la beauté authentique.
Brigitte Bardot, surnommée « la plus belle femme », a marqué l’histoire du cinéma et de la mode. Son charme naturel et sa beauté emblématique ont captivé des générations. Aujourd’hui, il est fascinant d’observer comment elle a évolué au fil des ans. Cette évolution ne résulte pas uniquement du passage du temps, mais aussi d’un choix délibéré : refuser la chirurgie esthétique.
La métamorphose de Brigitte Bardot, « l’icône de la beauté », sans recourir à la chirurgie esthétique
Un choix de vie authentique
Brigitte Bardot a souvent exprimé son opinion sur la beauté et le vieillissement. Au lieu de succomber aux pressions de l’industrie du cinéma pour passer sous le bistouri, elle a choisi de rester fidèle à elle-même. Pour elle, la beauté réside dans l’authenticité. Ce choix a suscité des réactions variées. Certains admirent sa décision courageuse de ne pas céder aux standards de beauté imposés par la société. D’autres, cependant, font sentir que le vieillissement peut être difficile à accepter.
Refuser la chirurgie esthétique a permis à Brigitte de conserver son image. Elle incarne une beauté naturelle, souvent mise en valeur par des gestes, des sourires et une attitude pleine de confiance. Cette authenticité renforce son statut d’icône. À l’heure des filtres et des retouches, Bardot revient aux sources. Son allure unique rappelle que la véritable beauté ne se limite pas à des critères superficiels. Bardot a aussi adopté un style de vie qui reflète ses valeurs. Elle s’engage dans diverses causes, notamment la protection des animaux.
Cette passion ajoutée à son image renforce son charme. Brigitte a toujours été une femme à part. Elle a su imposer son propre style, loin des conventions de son époque. Son message est clair : il est possible d’être belle en restant fidèle à soi-même.
Une influence durable
L’impact de Brigitte Bardot va au-delà de sa beauté. Elle a pavé la voie pour beaucoup de femmes. Loin des stéréotypes, elle prône un message fort. Accepter son corps et son âge est devenu sa philosophie. Cette évolution est d’autant plus inspirante dans un monde où la pression de l’apparence est omniprésente. Son parcours influence de nombreuses générations. De jeunes actrices aux stars de la mode, toutes regardent Bardot comme un modèle. Elles admirent son audace et son indépendance.
En effet, Brigitte est souvent considérée comme la première femme moderne. Sa bravoure face aux normes sociétales demeure un puissant levier d’émancipation. Elle a radicalement changé la perception de la beauté. Il est indéniable que Brigitte Bardot a redéfini les standards de la beauté au fil des décennies.
Son refus de la chirurgie esthétique prouve que l’âge ne diminue en rien le charisme. Au contraire, il l’enrichit. Elle incarne une beauté intemporelle. Cela remet en question les diktats imposés par la mode et le cinéma. Aujourd’hui, nombre de femmes s’inspirent de cette philosophie.
Brigitte Bardot, « la plus belle femme », se démarque par son choix de vie. En refusant la chirurgie esthétique, elle affirme son héritage.
Son message résonne encore aujourd’hui : la beauté authentique vient de l’intérieur. Cette leçon de vie est précieuse. Elle nous rappelle que l’acceptation de soi est le plus beau des atouts.
PROCLAMATION OFFICIELLE DE LA DÉCLARATION EUROPÉENNE DES DROITS DE L’ANIMAL
La Fondation Brigitte Bardot s’engage aujourd’hui aux côtés de 85 autres organisations et 325 personnalités dans une nouvelle étape cruciale de son combat pour les droits des animaux en devenant signataire de la Déclaration Européenne des Droits de l’Animal (DEDA). Cette initiative majeure, portée par d’éminents juristes et chercheurs français, marque un tournant dans la reconnaissance juridique des droits des animaux au niveau européen.
À l’origine de cette déclaration novatrice se trouve le Professeur Jean-Pierre Marguénaud, figure emblématique du droit animalier en France. Son parcours exceptionnel témoigne de son engagement de longue date pour la cause animale. Dès 1987, il bousculait les codes universitaires avec sa thèse de doctorat sur « L’animal en droit privé », ouvrant la voie à une nouvelle conception juridique de l’animal.
Le Professeur Marguénaud a depuis multiplié les initiatives pionnières :
– Création du premier diplôme universitaire en droit animalier à l’Université de Limoges en 2016
– Codirection du premier Code de l’animal publié chez LexisNexis en 2018
– Direction de la Revue semestrielle de droit animalier
– Contribution majeure au développement du droit animalier en tant que discipline académique
La Déclaration Européenne des Droits de l’Animal répond à une demande sociale croissante. Les sondages démontrent de manière constante que les citoyens français et européens sont majoritairement favorables à un renforcement significatif de la protection animale. La DEDA vient donner un cadre juridique précis à ces aspirations.
La déclaration s’articule autour de 14 articles répartis en trois titres essentiels :
1. Les interdictions fondamentales
– Définition des pratiques proscrites
– Établissement de standards de protection
2. La préservation
– Mesures de protection du bien-être animal
– Garanties pour la préservation des espèces
3. La condition juridique
– Redéfinition du statut juridique des animaux
– Établissement de nouveaux droits fondamentaux
Le choix d’une portée européenne n’est pas anodin. L’Union Européenne est aujourd’hui le principal moteur des avancées en matière de protection animale. En tant que signataire, la Fondation Brigitte Bardot s’inscrit dans cette dynamique continentale et renforce sa capacité d’influence sur la législation européenne.
En devenant signataire de la DEDA, notre Fondation réaffirme son engagement historique pour la protection animale et sa volonté d’agir au niveau européen. Cette signature s’accompagne d’actions concrètes :
– Promotion active des principes de la DEDA
– Sensibilisation du public aux droits des animaux
– Collaboration avec les instances européennes
– Soutien aux initiatives juridiques en faveur de la cause animale
La signature de la Déclaration Européenne des Droits de l’Animal par la Fondation Brigitte Bardot marque une étape décisive dans notre combat pour la protection animale. Cette initiative juridique majeure, portée par des experts reconnus, offre un nouveau cadre pour faire progresser les droits des animaux au niveau européen.
Crèches de Noël et égorgement halal : Brigitte Bardot a les idées claires...
Il y a longtemps eu, en France, une tradition de précision rhétorique. Langue universelle des traités de paix (jusqu’au traité de Versailles…), le français permet des clartés univoques que toutes les langues ne possèdent pas. On a oublié tout cela, sous les assauts conjoints de la pauvreté culturelle et du déni politique. Heureusement, nous avons Brigitte Bardot. Notre BB éternelle a toute sa tête et tout son courage : elle vient de poster, sur X, un billet d’humeur (en date du 10 février 2025) plein d’une rafraîchissante et salutaire honnêteté.
Revenant sur l’interdiction, par une Justice décidément déséquilibrée, de la crèche de Noël installée par la mairie de Beaucaire, elle commence par regretter que ce symbole de paix et d’amour soit désormais interdit de séjour dans les bâtiments publics. Et puis, dans une analogie que tout le monde s’interdit de faire, Brigitte Bardot s’intéresse à la présence, totalement tolérée, elle, de l’islam dans l’espace public. Les prières de rue, mais surtout l’égorgement rituel, ne posent de problèmes à personne, apparemment. En tous les cas, pas aux juges. En défenderesse des droits des animaux, BB insiste (à raison) sur la cruauté gratuite des égorgements rituels : elle ne le dit pas, mais il faut environ un quart d’heure d’agonie, à un bovin que l’on égorge, pour se vider de son sang dans des hurlements de souffrance. Les plus anciens, qui ont connu à la campagne la « tue-cochon », savent bien que l’égorgement d’un animal n’est pas un acte anodin.
Manon Aubry, à l'inverse...
Mais enfin, bon, que voulez-vous, c’est la tradition islamique, et celle-ci, pas question de la faire interdire. BB a parfaitement raison de mettre en parallèle ces deux pratiques culturelles, cultuelles même : pourquoi interdire une crèche pacifique au nom de la laïcité quand on se refuse à interdire l’abattage halal, alors même que la question de la souffrance animale n’a jamais été aussi importante dans notre société ? On regardera avec profit l’interview de Manon Aubry par Hugo Clément pour comprendre comment fonctionnent les gauchistes, en complément de la lettre très lucide de Brigitte Bardot. Interrogée, donc, par ce youtubeur célèbre et militant écolo, la députée insoumise commence par souhaiter l’interdiction de la corrida au nom de la souffrance animale. « Et l’abattage rituel ? », interroge Hugo Clément. Bégaiements et erreur 404, du côté de Manon Aubry : ce n’est pas pareil, c’est une pratique culturelle qu’il faut respecter… Ah bon, poursuit Hugo Clément, qui avait déjà prouvé son intégrité morale en se rendant au débat de Valeurs actuelles, et la corrida, ce n’est pas culturel ? Le texte de Brigitte Bardot ne dit pas autre chose.
Décidément, les Trente Glorieuses ont été l’un de nos sommets civilisationnels. Notre chère Brigitte, qui en fut l’icône, nous le prouve à des décennies de distance, et avec quel courage ! Ceux qui, dans les années 60, prenaient BB pour une séductrice pulpeuse et écervelée auraient mieux fait de la fermer. À l’âge où de si nombreuses vieilles dames, lobotomisées par la pensée unique, apprennent la marche du monde par BFM en faisant des sudokus, Brigitte Bardot nous donne une leçon de courage, de droiture et de noblesse. Elle aurait pu renoncer ou s’aigrir : elle prouve au contraire, une fois de plus, qu’il n’y a pas d’âge pour être Antigone. En attendant, qui osera s’attaquer au problème ?
"Almería 68"...Brigitte Bardot...
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Janvier 1968. Brigitte Bardot n’a plus le choix : le tournage de Shalako, le film d’Edward Dmytryk (l’homme qui a balancé plus d’un collègue lors de la chasse aux sorcières du sinistre McCarthy) n’attend plus qu’elle. Mais sur le tarmac de l’aéroport de Malaga, le cœur n’y est pas. Il est resté à Paris, auprès de Serge Gainsbourg, qui a écrit pour elle, Je t’aime… moi non plus, la plus belle des chansons d’amour. Son partenaire, Sean Connery, lui, a envoyé paître les producteurs de James Bond, et impose sa moustache et sa...
Les Fesses à Bardot - histoire complète
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Affaire Rillette : le sanglier définitivement sauvé, il échappe à l'euthanasie et peut officiellement rester chez sa maîtresse
Jusqu'à ce mardi 04 février 2025, ce n'était qu'officieux. Mais c'est désormais officiel : Rillette le sanglier (ou plutôt la laie, c'est une femelle) peut rester chez sa maîtresse Élodie Cappé.
C'est cette dernière, gérante de l'élevage équin de Saint-Clair à Chaource (Aube), qui l'a annoncé sur son compte Facebook. Elle y proclame une "victoire définitive", et "tout ça grâce à vous" (voir sa publication ci-dessous).
"Je suis tellement heureuse et soulagée", confie l'éleveuse (de chevaux, pas de sangliers : Rillette est stérilisée) à France 3 Champagne-Ardenne, tard le soir du mardi 04 février. "Il m'était évidemment inconcevable de me séparer d'elle : elle fait partie de ma famille."
Elle fait partie de ma famille.
Élodie Cappé, maîtresse de la laie Rillette
Joint par France 3 Champagne-Ardenne dans la matinée du mercredi 05 février, l'avocat Karl Burger est fier du travail accompli. "La préfecture de l'Aube a pris en compte l'ordonnance rendue par le juge du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne. La situation était régularisable : ils ont régularisé. La conception de 'l'animal illicite' qu'on nous opposait à chaque fois est tombée, puisqu'elle n'a aucun fondement juridique." Il loue le caractère "complet" de l'arrêté préfectoral enfin rendu la veille : "ses mentions vont de soi".
Une résolution de l'affaire saluée par l'avocat
Pour aller dans les détails, "la décision d'opposition a été suspendue, avec une injonction de réexamen. Ça veut dire que le juge administratif invite la préfecture à se repencher sur le dossier, tout en ayant évoqué la régularisation possible de cette situation."
"Ma cliente a reçu un courrier qui lui accorde le récépissé qu'elle sollicitait suite à la déclaration de détention du sanglier." Elle l'a attendu pendant une année entière, et il lui avait été sans cesse refusé. "Ça veut dire que la préfecture de l'Aube a tenu compte de nos arguments, et surtout" de l'ordonnance émise par le juge administratif.
Ma cliente a reçu un courrier qui lui accorde le récépissé qu'elle sollicitait suite à la déclaration de détention du sanglier.
Maître Karl Burger, avocat d'Élodie Cappé
"Des conditions sont fixées dans l'arrêté préfectoral. Elles sont là à titre pédagogique, puisqu'en réalité, l'ensemble de ces conditions est l'expression des dispositions de l'arrêté de 2018. On évoquait déjà qu'on était en conformité." Le conseil de Madame Cappé rappelle d'ailleurs que "l'animal doit être contenu dans un enclos. Maintenant, il faut savoir que Rillette dispose d'un enclos de 1 000 m²." La "preuve" de la stérilisation et des vaccinations, ainsi que les détails techniques de l'enclos (électrification, dimensions), ont été apportés devant le tribunal administratif.
"La suite du contentieux n'a pas encore été évoquée avec Madame Cappé. Dans tous les cas, dans la mesure où l'administration a pris une nouvelle décision, il faut qu'on se base dessus. En l'état, nous en sommes satisfaits. À l'heure actuelle, Rillette restera chez elle, le récépissé a été délivré et la situation est régularisée."
Un ensemble de conditions
Déjà, lors de son passage devant le juge administratif au début du mois de janvier 2025, Élodie Cappé avait promis de se battre jusqu'au bout. Il lui avait été ensuite permis de garder le suidé, mais c'était une décision rendue en référé, et aucun document régularisant la situation n'avait encore été émis. Élodie Cappé évoque auprès de France 3 un "dénouement merveilleux".
La préfecture de l'Aube a communiqué tard, ce mardi 04 février, au sujet de cette situation. Preuve de la complexité de l'affaire, il est long de plusieurs pages et renvoie vers de nombreuses normes et textes administratifs.
Elle en a profité pour émettre un certain nombre de consignes pour la détention d'un animal sauvage comme dans le cas de Rillette : obligations sanitaires, superficie d'enclos, etc. Si elles ne sont pas respectées, la permission pourrait être révoquée (lire la réglementation envoyée ci-dessous).
"Vie privée", avec Brigitte Bardot et Marcello Mastroianni, sera projeté sur grand écran au Véo Castelnaudary ce lundi
Le cinéma Véo de Castelnaudary convie les Chauriens à une projection du film "Vie privée" de Louis Malle, réalisé en 1962, mettant en scène deux légendes du cinéma : Brigitte Bardot et Marcello Mastroianni. Après les brumes de la Lombardie et la mélancolie de "Fantôme d’amour", nous retrouvons Mastroianni dans "Une vie privée", entre Genève et Spolète, en Italie.
Jil, une ravissante danseuse issue de la bougeoisie genevoise, succombe secrètement au charme de Fabio, homme de lettres et de théâtre, qui n’est autre que le mari de sa meilleure amie, Carla. Elle fuit cet amour naissant et décide de s’installer à Paris, où elle devient danseuse, top-modèle puis actrice. Très vite érigée en sex-symbol, elle subit la pression des paparazzis et l’adoration du public, au point que sa célébrité se transforme en cauchemar. Fuyant cette oppression, elle revient à Genève et retrouve Fabio, qui succombe à son charme.
Brigitte Bardot, avec sa beauté sensuelle et ses intonations singulières ; incarne l’âme et le glamour de "Vie privée". Quant à Marcello Mastroianni, dont la voix fut doublée par Michel Auclair, il livre une prestation qualifiée de remarquable. Coécrit par Louis Malle et Jean-Pierre Rappeneau, ce film en couleurs s’apparente presque à un biopic avant l’heure, tant il semble refléter le destin de Brigitte Bardot, exposant les failles de la célébrité et la fragilité de l’actrice. Il est ainsi temps de découvrir ce film plutôt méconnu, mais qui obtint à l’époque les faveurs de la presse.
Les AVF vous donnent donc rendez-vous le 3 février à 14 heures au cinéma Véo de Castelnaudary pour (re) découvrir ce film empreint de romantisme et d’intensité.