ÉQUIDÉS : UN ENGAGEMENT D’UNE TRENTAINE D’ANNÉES !
Les équidés sont des êtres sensibles ; luttons ensemble contre les abandons.
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Les équidés sont des êtres sensibles ; luttons ensemble contre les abandons.
Dans les fermes d’élevage d’animaux à fourrure, des animaux sauvages sont enfermés dans de minuscules cages, incapable d’exprimer des comportements naturels et tués uniquement pour leur fourrure. En outre, les exploitations présentent un risque important pour la santé animale et humaine, ainsi qu’une menace pour la biodiversité.
« Quelles que soient les affirmations de l’industrie de la fourrure, ni la réglementation sur le bien-être ni aucun système de certification de l’industrie ne pourront jamais changer la réalité des animaux sensibles condamnés à vivre toute leur vie dans de minuscules cages métalliques. Ces animaux sauvages sont privés de leurs libertés fondamentales, pour un produit qui n’a aucune valeur de nécessité. La fourrure n’est produite que pour satisfaire la vanité d’un très petit nombre de personnes qui diminue rapidement. C’est inacceptable. Nous devons y mettre un terme », remarque Mike Moser, ancien PDG de l’industrie de la fourrure, qui plaide aujourd’hui pour l’interdiction des fermes d’élevage de fourrures.
À la suite d’une première réunion entre les organisateurs de l’Initiative Citoyenne Européenne et la Commission européenne (CE), cette audition parlementaire fait partie de la procédure formelle de l’ICE. D’ici à la mi-décembre, la Commission européenne devrait fournir une réponse officielle.
Entre-temps, les organisations de protection animale, les députés européens et d’autres parties prenantes se sont réunis hier devant le siège de la Commission européenne pour appeler publiquement la présidente de la CE, Ursula von der Leyen, à publier les révision de la législation sur le bien-être animal au cours du mandat actuel. Parmi les propositions, le règlement sur les animaux d’élevage devrait inclure l’interdiction de l’élevage des animaux à fourrure.
« Il est difficile de croire que quiconque puisse convenir qu’une vie dans une ferme d’élevage de fourrures vaut la peine d’être vécue. Au vu des preuves scientifiques, il n’est pas surprenant que les citoyens européens soient fortement opposés à l’élevage des fourrures. Il devient de plus en plus difficile de défendre l’indéfendable, les propres soutiens de l’industrie s’y opposant. Le moment ne saurait être plus propice à l’adoption de ces interdictions et à leur intégration dans le règlement sur les animaux d’élevage, élément essentiel de la révision du bien-être animal. La Commission Européenne a l’occasion de tenir ses promesses de publier l’intégralité des propositions d’ici à la fin de l’année », a commenté Reineke Hameleers, Présidente d’Eurogroup for Animals.
« Les visons sont des prédateurs actifs dont le comportement naturel comprend l’errance sur de grandes surfaces, la chasse, l’escalade et la baignade. Ils aspirent à chercher de la nourriture dans les cours d’eau et les rives des lacs où une part importante de leur chasse se fait dans l’eau. Contrairement à de nombreux autres animaux en captivité, les visons ne sont pas adaptés à la vie en groupe, car ils sont territoriaux et généralement solitaires dans la nature. Dans les élevages de visons, qui sont gardés dans de petites cages, leurs conditions de vie ne sont pas adaptées à la vie pour laquelle ils sont nées », a ajouté Bo Algers, Professeur émérite de médecine vétérinaire, Université Suédoise des Sciences Agricoles.
« L’élevage d’animaux à fourrure est contraire aux principes les plus fondamentaux du bien-être animal. Les systèmes d’élevage ne correspondent pas aux besoins spécifiques des espèces d’animaux élevés dans des fermes d’élevage à fourrure. Cela devrait être sérieusement pris en considération lors de la révision en cours de la législation de l’UE sur le bien-être animal », a conclu Johan Lindsjö, expert vétérinaire au Centre suédois pour le Bien-Être animal (SCAW) de l’Université Suédoise des Sciences Agricoles.
Comme chaque année, à l’occasion de la Fashion Week, la Fondation Brigitte Bardot se mobilise contre la cruauté de la production et de l’utilisation de la fourrure dans les collections de mode et sur les podiums. Porter le pelage d’un animal mort n’est pas esthétique, n’est pas moral et n’est pas tendance. En 2021, François-Henri Pinault, PDG du groupe Kering, annonçait la fin de l’utilisation de la fourrure animale dans les collections des maisons de son groupe. Balenciaga, Gucci, Saint Laurent, Alexander McQueen, Moncler…, autant de marques qui ont banni la fourrure pour ne plus associer luxe et souffrance animale.
Ma chère Brigitte,
En ce jour qui marque ton 89ème anniversaire, je tiens à te souhaiter un joyeux anniversaire de tout cœur, Steven ton filleul, mon fils qui fête aujourd'hui aussi son anniversaire se joint à moi pour cet évènement.et te souhaiter le meilleurs...
Tu es une femme exceptionnelle, une icône du cinéma français et une militante infatigable pour la cause animale. Tu as marqué l'histoire de notre pays et tu continues à inspirer des millions de personnes à travers le monde.
Je me souviens encore de la première fois que je t'ai vue au cinéma, dans "Et Dieu créa la femme". Tu étais si belle, si libre, si émancipée. Tu incarnais une nouvelle génération de femmes, qui n'avaient pas peur de s'affirmer et de vivre leur vie comme elles l'entendaient.
Tu as été une pionnière, une femme courageuse qui a su briser les tabous et ouvrir la voie aux femmes de demain.
Je t'admire pour ta détermination, ton engagement et ton amour des animaux. Tu es une vraie battante, une femme qui ne se laisse jamais abattre.
Je te souhaite de continuer à nous inspirer, de continuer à te battre pour ce en quoi tu crois, et de vivre une longue et belle vie entourée de ceux que tu aimes.
Avec toute mon affection,
Bruno
Dans cette lettre, la FBB se tourne vers le Président de la République, car il est le seul à pouvoir apporter une réponse claire et adaptée, en ordonnant l’arrêt des abattages et en instaurant des règles pérennes pour la généralisation de centres de stérilisation et vaccination sur tout le territoire tunisien.
Il ne se passe pas un jour sans que la Fondation Brigitte Bardot (FBB) ne soit interpellée par la situation animale en Tunisie. Les demandes d’aide et de soutien ainsi que les témoignages affluent très régulièrement. Ces signalements émanent souvent de touristes, revenus traumatisés de leur séjour en Tunisie. En effet, alors qu’ils s’attendaient à goûter à la sérénité des lieux, ainsi que partir à la découverte de ce magnifique pays qu’est la Tunisie, ils se sont retrouvés confrontés à une dure réalité, des scènes difficiles à supporter, pour peu que l’on considère les animaux comme des êtres sensibles et capables de ressentir, comme chaque créature vivante, la douleur, la faim, la soif ou la peur.
D’ailleurs, il suffit de lire leurs appels à l’aide sur les groupes animaliers. Des appels poignants qui restent souvent sans réponses. Ces personnes prennent alors conscience de leur impuissance à agir et repartent la mort dans l’âme, avec ce fardeau de culpabilité, celui d’avoir laissé des animaux dans leur détresse, et devoir « faire comme si… », pour pouvoir poursuivre leur route. Ne plus y penser, avancer et surtout fermer les yeux pour ne plus rien voir !
En effet, de très rares associations agissent en Tunisie et les refuges, souvent débordés, se comptent sur les doigts d’une main. Ils ne répondent souvent plus aux messages innombrables qui saturent leur boîte mail. Car la situation est bel et bien désespérée et rien n’est fait pour endiguer les naissances qui viennent alimenter cette marée de souffrances qui se déverse dans nos rues. Les rares bénévoles tunisiens tentent, avec l’énergie du désespoir, de colmater les brèches de cet immense désastre. Ils ne peuvent tous les sauver, il y en a tellement.
Cette misère animale nous frappe de plein fouet, car elle est présente à chaque coin de rue. On ne peut pas la nier, l’occulter. Cette détresse est là, devant vous, vous avez à l’affronter et à lui faire face… et, surtout, ne pas sombrer avec elle, car elle risque de tout emporter sur son passage, votre détermination à secourir tout comme la poursuite de la lutte pour obtenir que les droits des animaux soient enfin pris en compte, un jour, en Tunisie. Cette souffrance colle aux protecteurs des animaux tunisiens et hante leurs nuits. On les sent de plus en plus résignés, car se battre dans ce quotidien n’est pas sans laisser des séquelles. Les atrocités qu’ils ont vécues les ont comme anesthésiés. Ils subissent ce flux d’images et ces situations terribles, ils n’arrivent parfois plus à réagir. Mais, peut-on s’habituer à la souffrance ? Quand bien même essaie-t-on de surmonter ces douleurs en ne suivant plus les publications des groupes de sauvetages animaliers sur Facebook, pour ne surtout pas savoir, ne surtout plus voir… dans un ultime sursaut de survie ? Alors, qu’en est-il de la misère humaine ? Fait-on aussi cas de ces hommes, ces femmes et ces enfants, qui eux aussi luttent pour survivre ? Pourquoi faire cas des animaux alors que des êtres humains peinent pour assurer leur quotidien ? On répondra simplement qu’il n’y a pas de hiérarchie dans la douleur des créatures vivantes. Les unes et les autres se valent et nous n’avons nul besoin d’en privilégier certaines plutôt que d’autres. Les êtres vivants ont tous droit à notre considération, les humains comme les animaux. Et, faire accepter ce discours ferait de notre nation un grand pays, où les valeurs d’humanité seraient mises en avant pour le bien et la sécurité de tous.
Cette citation, de l’écrivain français Romain Rolland, illustre d’ailleurs parfaitement le discours : «La cruauté envers les animaux et même déjà l’indifférence envers leur souffrance est à mon avis l’un des péchés les plus lourds de l’humanité. Il est la base de la perversité humaine. Si l’homme crée tant de souffrance, quel droit a-t-il de se plaindre de ses propres souffrances ?». C’est pour toutes les raisons énoncées ci-dessus que l’Association El Fell Hammam-Sousse et le collectif Tunisia Animals Voice continuent à militer et à alerter les autorités tunisiennes, et à faire appel aux grandes associations et organisations dans le monde. Car, on est arrivé à un point de non-retour où la Tunisie doit engranger ce travail de grande envergure. Les aides doivent émaner de tous, société civile, associations, et surtout des vétérinaires pour apporter leur contribution à des stérilisations massives sur tout le territoire. La Fondation Brigitte-Bardot œuvre partout dans le monde, en apportant son soutien logistique et financier. Les autres pays ne refusent pas cette aide de l’extérieur et on espère que la Tunisie saisit, elle aussi, cette opportunité. Dans cette lettre, la FBB qui s’était déjà adressée aux différents gouvernements tunisiens, se tourne, cette fois-ci, vers le Président de la République, car il est le seul à pouvoir influer sur ce terrible état des lieux et apporter une réponse claire et adaptée, en ordonnant l’arrêt des abattages et en instaurant des règles pérennes pour la généralisation de centres de stérilisation et vaccination sur tout le territoire tunisien, sans exception.
Ce samedi 23 septembre 2023 était la 12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
Ce fût pour moi la 1ère fois que je pu y assister en sachant qu’il y a fort longtemps je fût l’initiateur de cet évènement qui est devenu incontournable et puis le temps à fait son œuvre, avec la volonté politique de la ville et de son maire que je remercie encore une fois ici, Mr Pierre-Christophe Baguet, qui sans lui RIEN n’aurait pu être possible.
Le parrain de cette 12e édition était Yoann Latouche, chroniquer télévision….
Beaucoup de stands d’association de protection animale étaient présents, dont la Fondation Brigitte Bardot, en tout 19 associations représentées…
Il y avait le village culture, animations, village shopping entre autres...
Si vous voulez découvrir l'intérieur fort insolite de Serge Gainsbourg, c'est désormais chose possible. La Maison Gainsbourg ouvre officiellement le 20 septembre 2023. Il faudra seulement se battre pour trouver une place...