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Bien-être animal : une préoccupation croissante
La protection animale en France est un sujet qui suscite de plus en plus d'attention et de préoccupation. Avec une population de plus en plus consciente des droits des animaux et des enjeux liés à leur bien-être, les associations de protection animale se multiplient et agissent pour défendre les droits et la dignité des animaux.
En France, la protection animale est encadrée par la loi, qui reconnaît aux animaux le statut d'êtres sensibles. Cela signifie qu'ils ne peuvent pas être considérés uniquement comme des objets de propriété, mais qu'ils ont des besoins spécifiques et des droits qui doivent être respectés. Cela implique notamment de garantir leur bien-être, de les protéger de la cruauté et de la maltraitance, et de veiller à ce qu'ils bénéficient de conditions de vie dignes.
Les associations de protection animale jouent un rôle essentiel dans la défense des droits des animaux en France. Elles mènent des actions de sensibilisation du public, de sauvetage et de soins aux animaux en détresse, de lobbying auprès des autorités pour renforcer la législation en faveur des animaux, et de lutte contre la maltraitance animale sous toutes ses formes.
La Fondation Brigitte Bardot, fondée par l'actrice éponyme, est engagée dans la défense de toutes les formes de vie animale. la fondation intervient notamment dans les domaines de la protection de la faune sauvage, la lutte contre la maltraitance des animaux de compagnie, la sensibilisation du grand public aux enjeux écologiques et la promotion de l'adoption responsable.
La SPA, créée en 1845, est l'une des plus anciennes associations de protection animale en France. Elle œuvre pour la protection, le sauvetage et la défense des animaux en détresse, en proposant notamment des refuges pour leur accueil et leur prise en charge. La SPA mène également des campagnes de sensibilisation sur la maltraitance animale et plaide pour une législation plus protectrice envers les animaux.
La Fondation 30 Millions d'Amis, quant à elle, est connue pour sa lutte contre l'abandon des animaux de compagnie et son engagement en faveur de leur bien-être. Cette fondation soutient financièrement de nombreuses initiatives en faveur des animaux, comme la stérilisation des chats errants ou la lutte contre la maltraitance animale.
L214 Ethique et Animaux est une association militante qui dénonce les pratiques éthiquement condamnables dans l'élevage intensif et l'industrie agroalimentaire. En réalisant des enquêtes sur le terrain et en diffusant des vidéos chocs, L214 sensibilise le public sur les conditions de vie des animaux d'élevage et milite pour l'abolition de certaines pratiques cruelles, comme le gavage des oies pour la production de foie gras.
N'oublions pas toutes ces petites associations et bénévoles qui œuvrent pour venir en aide à tout ces animaux maltraités.
Parmi les enjeux majeurs de la protection animale en France, on peut citer la lutte contre l'abandon des animaux de compagnie, le commerce illégal d'animaux sauvages, la production intensive de viande et de produits d'origine animale, les expériences sur les animaux en laboratoire, ou encore les pratiques cruelles comme la chasse à courre ou les combats de coqs.
Pour faire évoluer les mentalités et les pratiques en matière de protection animale en France, il est essentiel que chacun prenne conscience de sa responsabilité envers les animaux et s'engage à agir en faveur de leur bien-être. Que ce soit en adoptant un animal plutôt qu'en l'achetant, en soutenant financièrement une association de protection animale, en signalant les cas de maltraitance ou en choisissant des produits respectueux des animaux, chacun peut contribuer à préserver la biodiversité et à promouvoir le respect de toutes les formes de vie sur notre planète.
Bruno Ricard
Mort de l’actrice Micheline Presle, doyenne du cinéma français, à l’âge de 101 ans
Elle avait été aux côtés de Brigitte Bardot dans le film, "La mariée est trop belle"
L’héroïne du « Diable au corps » s’est éteinte « à la Maison nationale des artistes de Nogent-sur-Marne », a annoncé son gendre.
La doyenne du cinéma français s’en est allée. L’actrice Micheline Presle est décédée, ce mercredi 21 février, à l’âge de 101 ans, a annoncé son gendre Olivier Bomsel.« Micheline s’est éteinte paisiblement, à la Maison nationale des artistes de Nogent-sur-Marne » dans le Val-de-Marne, a-t-il déclaré, ajoutant que les obsèques se dérouleraient dans l’intimité.
Née à Paris en août 1922, elle aura tourné plus de 150 films, dont quelques-uns à Hollywood, se laissant porter par ses rencontres : de George Pabst à Alain Resnais en passant par Abel Gance, Jacques Demy ou Joseph Losey.
Héroine du film Le Diable au corps de Claude Autant-Lara, elle a joué avec de grands acteurs du cinéma tels que Gérard Philipe, Errol Flynn, ou encore Jean Gabin, rappelle Le Figaro. Elle avait été récompensée en 2004 par un César d’honneur pour l’ensemble de son œuvre.
Celle qui a longtemps été une des trois stars préférées des Français avec Danielle Darrieux et Michèle Morgan, a aussi été rendue par célèbre grâce à Falbalas (1945) de Jacques Becker, et de Boule de suif (1945) de Christian-Jaque.
Sa fille Tonie Marshall, seule réalisatrice à avoir jamais reçu un César, pour Venus Beauté (institut), en 1999, est décédée en mars 2020.
Lorsqu’elle a soufflé sa 101e bougie le 22 août 2023, la star de la mythique série des Saintes Chéries, diffusée sur l’ORTF, avait reçu des centaines de messages sur les réseaux sociaux. « . « Bon anniversaire à Micheline Presle ! Née en 1922, elle devient vedette du cinéma dans les années 40. Sa carrière (cinéma, théâtre et télévision) consacre un talent où la grâce, la distinction, la vivacité et la profondeur dramatique s’entremêlent », lui avait rendu hommage le ministère de la Culture.
Kirghizstan : la gestion humaine de la population des chiens errants continue de marquer des points
L’association franco-kirghize d'écotourisme a dressé un bilan 2023 encourageant sur la gestion des chiens errants au Kirghizstan. Elle avait entamé en 2021, avec la Fondation Brigitte Bardot, un programme éthique et scientifique pour juguler la prolifération des canidés. L’année 2024 marche sur les traces des progrès des années écoulées.
Un programme permet de stériliser les chiens errants plutôt que de les tuer dans les environs de Bichkek. Photo : Fondation Brigitte Bardot.
2024 débute sous de bons auspices pour le programme Kumayik – « bon chien » – de l’association franco-kirghize d’écotourisme (AFKE). Démarré en 2021 en partenariat avec la Fondation Brigitte Bardot (FBB), le programme a pour but de prendre en charge les chiens errants dans plusieurs communes dont la capitale du Kirghizstan, Bichkek. Les chiens sont capturés, soignés, vaccinés, stérilisés puis relâchés.
Le programme a été créé en alternative aux méthodes brutales d’élimination au fusil soutenues par les autorités locales en mal de solutions pour réguler le phénomène.
La réponse de l’AFKE est éthique, mais aussi durable et efficiente, car l’abattage des chiens ne permet pas de réduire leur nombre. Au contraire, se sentant menacés, les chiens errants se reproduisent encore plus, comme l’explique la cynologue Tamara Barskaïa au média kirghiz Kaktus Media.
Plusieurs communes arrêtent les tirs sur les chiens
Depuis la création du programme, l’AFKE a obtenu la signature d’accords avec la ville de Kant, les villages de Luksembourg, Novopokrovka, Kirchelk et Djeek pour arrêter les tirs sur les chiens. Une clinique a été ouverte à Djeek pour permettre d’assurer des opérations au plus près des besoins de ces localités situées à l’Est de la capitale.
Le 17 janvier dernier, la ville de Novopokrovka est allée plus loin en adoptant un panel de mesures concernant les propriétaires de chiens. Ils auront obligation d’enregistrer leurs chiens auprès de l’AFKE. Leur vaccination, vermifugation et stérilisation seront aussi obligatoires. Ces opérations sont prises en charge par l’AFKE et n’entraîneront aucun frais pour les propriétaires de chiens, précise l’association.
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Parmi les mesures adoptées, l’organisation ou la participation à des combats de chiens dans la ville sera interdite. Il s’agit d’un « résultat historique dans un pays ou n’existe pas de loi de protection animale », s’est félicité Philippe Boizeau, président de l’AFKE, auprès de Novastan.
Kant, ville pionnière
La ville de Kant, à l’Est de Bichkek, fut la première dans le pays à avoir décidé, en 2023, d’interdire les tirs sur les chiens. Près de 2 000 chiens par an étaient abattus, rapporte la Fondation Brigitte Bardot.
Convaincue par les bienfaits d’une gestion éthique des chiens errants, la ville s’est dotée d’une clinique vétérinaire qui a permis, selon les chiffres de l’AFKE, de stériliser et vacciner 1 236 chiens en 2023.
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Les habitants de Kant, pleinement impliqués, joignent tous les jours l’équipe de Kumayik pour demander la stérilisation de chiens errants et ainsi faire avancer le programme.
Autre avancée, un point de collecte des déchets modernisé dans le deuxième microdistrict de Kant a aussi été installé « pour éliminer les sources de nourriture disponibles pour les chiens errants et réduire le risque de propagation des maladies chez les chiens », a indiqué l’association.
La formation à la stérilisation continue
En septembre 2022, le programme de formation à la stérilisation destiné aux vétérinaires kirghiz, mis en place dès 2021 par l’AFKE et la FBB, a été salué par l’ambassadeur de France, François Delahousse, en visite dans la clinique de l’université agraire de Bichkek.
Une équipe internationale de vétérinaires de l’organisation FARVets a atterri au Kirghizstan en décembre 2022 pour dispenser une formation vétérinaire – financée par la FBB – afin de transmettre son expertise vétérinaire de soins et de stérilisation des animaux dans le cadre de l’opération Kumayik.
L’AFKE et la FBB s’étaient appuyées dès le début sur l’expérience longtemps éprouvée de vétérinaires indiens originaires du Sikkim, en Inde, comme le rapporte le média kirghiz 24.kg. Ces derniers avaient mis en place, en 2006, le programme Sarah pour répondre aux nombreux cas de transmission de rage par les chiens qui sévissait dans cet État du Nord-Est de l’Inde.
Les risques liés aux chiens errants
Le volet information, sensibilisation et éducation du programme Kumayik s’attache à informer le public sur les dangers associés aux chiens errants si rien n’était fait. Ceux-ci peuvent présenter un danger pour les citoyens, adultes et enfants, comme pour les animaux domestiques en raison de leur comportement parfois agressif.
Le média Cabar Asia, représentant en Asie centrale d’Institute for War & Peace Reporting (IWPR), rapporte qu’à Bichkek plus de 2 000 personnes en moyenne par an se font mordre par des chiens. Un chiffre en constante augmentation.
N’ayant aucun soin ni de suivi hygiénique, ils sont de plus susceptibles de propager des maladies comme la rage, la leptospirose ou la gale, constituant autant de menaces pour la santé publique.
Les tirs encore présents
En 2024, malgré l’avancée des actions de l’AFKE, les tirs sur les chiens sont encore une réalité. Pas plus tard que le 31 janvier dernier, l’AFKE témoigne avoir pris en charge un chien gravement blessé par balles, dans le village de Djeek.
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Autre méfait rapporté par la FBB : une chienne a été attaquée par des chiens de combat sur ordre de leurs maîtres dans la ville de Kant, en mars dernier. L’équipe de Kumayik a pu intervenir à temps pour sauver la chienne. Un acte de cruauté qui a soulevé l’émoi des habitants de la ville.
Objectif : une loi sur la protection animale
Les localités prennent progressivement conscience des bénéfices d’une gestion responsable et éthique des chiens errants en prenant des mesures adéquates pour résoudre les problèmes de nuisance et de sécurité, tout en accordant au bien-être animal une place prépondérante.
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L’objectif du programme Kumayik est désormais de convaincre les députés de voter une loi nationale de protection animale à l’instar de celle votée par le Kazakhstan en décembre 2021.
L’AFKE et la FBB travaillent en collaboration avec le public et les députés pour aboutir à l’adoption de ce cadre législatif au Kirghizstan.
Patrick Do Dinh
Rédacteur pour Novastan
Va-t-on cuisiner Brigitte Bardot à la sauce woke ?
Dans sa récente chronique pour Parleur évoquant le livre de Jean-François Braunstein La philosophie devenue folleDidier Desrimais affirme ou du moins suggère que l’antispécisme est une forme de wokisme[1]. Disons-le clairement : cette affirmation n’a aucun fondement, mais Didier Desrimais et Jean-François Braunstein ont tout à fait raison de s’interroger sur les déviations passées et futures de l’anti-espèce. le cisme, comme toute autre idéologie.
On peut très bien détester le wokisme et être antispéciste, si l’on définit l’antispécisme comme le fait de ne pas nuire aux intérêts fondamentaux des animaux en partant du seul critère qu’ils appartiennent à une autre espèce – je dis « intérêts animaux », ce qui signifie qu’ils sont sensibles et dotés de conscience. Tout le monde comprend qu’il y a une différence entre un moucheron et un cheval, j’ose le dire, et on ne rejettera pas la protection due au second en citant simplement l’exemple du premier.
L’antispécisme ne doit donc pas être considéré, en principe, comme un « une philosophie devenue folle ». Se soucier des animaux n’est pas nouveau, et certainement pas à cause de l’antispécisme de Peter Singer. Il suffit de rappeler, pour parler de la seule civilisation judéo-chrétienne, qu’en Eden Adam et Ève ne mangeaient pas de viande. Elle est souvent ignorée, mais elle a donné lieu à une «lecture végétarienne du christianisme»pour citer Olivier Christin et Guillaume Alonge dans leur belle étude Adam et Eve, paradis, viande et légumesdont le lecteur peut trouver une chronique en ligne par votre serviteur[2]. Pour preuve, l’ouvrage De l’abstinentia carnis du futur cardinal Silvio Antoniano au XVIe siècle. Certes, il s’agissait moins de se soucier des animaux que de retrouver un idéal de pureté et d’humilité. Mais croyez-moi, les antispécistes – du moins ceux d’entre eux qui se soucient sincèrement des animaux – seraient très satisfaits de la fin des abattoirs, même si elle était motivée par autre chose que leur idéologie.
Quand je parle de sincérité, je veux dire que l’antispécisme peut être aussi bien un moyen de défense des animaux qu’une posture idéologique vulgaire. Ou un simple jeu intellectuel, susceptible de sombrer dans les délires auxquels l’université est habituée – ce que dénoncent avec brio Didier Desrimais et Jean-François Braunstein. Mais aura-t-on envie de revenir à la hiérarchie des races parce que l’antiracisme se transforme désormais en wokisme le plus grotesque ? Ou priver les femmes du droit de vote à cause du néoféminisme ? Non, alors s’il vous plaît, pas de double standard avec l’antispécisme. Ce n’est pas l’antispécisme en lui-même qu’il faut condamner mais, comme l’antiracisme, ses excès. Refuser de torturer ou de tuer des animaux n’implique pas d’accepter la zoophilie, de vouloir épouser son chat ou toute autre proposition venant d’esprits à la dérive.
Ne pas faire cette distinction cruciale est non seulement un double standard, mais c’est aussi une grave erreur stratégique de la droite : parce que le fil est gros et qu’il n’échappe à personne sauf derrière lui. L’épouvantail de l’antispécisme est la cause animale que certains cherchent à diaboliser, par exemple en assimilant au wokisme, de manière bassement opportuniste, la lutte contre la tauromachie ou contre la chasse. Ce sont alors nos concitoyens, dont la grande majorité est sympathique à cette cause, que l’on veut couper de la droite. On ne le répétera jamais assez, tout comme l’écologie, la cause animale n’est pas essentiellement de gauche, et encore moins un avatar du wokisme.
Il a soigné les caniches de Maria Callas et le perroquet de Céline : le vétérinaire des stars Philippe De Wailly est mort...
Philippe de Wailly, docteur vétérinaire de renom international, ancien président de l’Académie vétérinaire de France, membre d’honneur de l’American Veterinary Historical Society, est un éternel jeune homme de 98 ans, pressé de rendre service à son prochain à quatre pattes, à plumes, ou à écailles.
Ami des stars et surtout de leurs animaux, qu’il a connus pour la plupart dans la salle d’attente de son cabinet à Boulogne, Philippe de Wailly a soigné le perroquet de Céline, les bichons de Sylvie Vartan, les canaris et les canards de Brigitte Bardot, les cacatoès et les chiens de Yul Brynner et les lévriers de Jane Fonda. Auteur d’une trentaine d’ouvrages de vulgarisation scientifique, cet entomologiste de formation conservait intacte sa curiosité d’avoir pu exercer son métier avec passion.
Il va nous manquer… Adieu l’ami des animaux, tu rejoins ceux que tu as soignés et aidés depuis 1954 !
Bruno Ricard
Bessan : l'écuroduc a obtenu le soutien de la Fondation Brigitte Bardot
'écuroduc, un pont aérien déployé pour sauvegarder la vie des petits rongeurs, est devenu un exemple concret de cohabitation réussie entre l'homme et la faune sauvage.
UNE VRAIE JUSTICE POUR LES 10 CHATS DROGUÉS ET JETÉS SUR LA ROUTE PAR LEURS PROPRIÉTAIRES !
En juin 2023, 10 petits chats ont été drogués au Lexomil et ensuite jetés sur la route par leurs propriétaires. Je n’en reviens pas !
Apparemment, l’homme et sa fille ont pris l’initiative de s’en débarrasser sur la demande de la mère de famille, cette dernière étant malade et ne pouvant pas rester au contact des chats.
De nos jours, il existe beaucoup de moyens pour recueillir les animaux abandonnés. Alors pourquoi avoir drogué et jeté d’une voiture ces pauvres bêtes !?
Beaucoup de refuges ou d’associations sont justement là pour ça, mais non. Le plus simple était apparemment de leur faire du mal !! Sur les 10 chats, seulement 2 ont pu être sauvés, grâce à une assistante vétérinaire qui suivait la voiture d’où ils ont été jetés… Heureusement qu’elle les suivait !
Le père et sa fille ont tous deux été condamnés, mais malheureusement la peine est bien trop faible en vue de l’acte qui a été commis. Vous allez rire : le premier a écopé d’un stage de citoyenneté et la seconde d’une amende 500 € avec sursis.
J’ai énormément de mal à croire qu’en 2024 des personnes soient encore capables de tels actes sur les animaux ! C’est pour cela que je prends l’initiative de rédiger cette pétition, car étant une grande amie des animaux et faisant partie d’une association de protection animale, je me dois de rassembler un maximum de personnes afin que tout cela cesse.
Aidez les animaux en signant et en partageant cette pétition massivement. Afin que la lutte contre la violence animale se fasse entendre. Tous ces actes de maltraitance doivent cesser !