Certaines maisons de mode aiment vraiment les animaux, MORTS !

Source : Fondation Brigitte Bardot
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
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LILO est un moteur de recherche anti-pub qui redistribue les revenus de la pub à des ONG : https://www.lilo.org/fr/association-papaye/La Fondation Brigitte Bardot lance un SOS pour les chiens de sécurité privée avant les JO 2024 🏆. Urgence d'action pour 🛡️ leur bien-être et leur protection contre la maltraitance et l'exploitation. #ProtectDogs #JO2024 #CNAPS #SécuritéPrivée
L'heure est à la mobilisation pour la Fondation Brigitte Bardot (FBB) qui, dans la perspective des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 à Paris, exhorte le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, à prendre des mesures fermes pour la protection des chiens de sécurité. La fondation lance un appel pressant pour l'encadrement des conditions de travail et de détention des chiens utilisés dans le secteur de la sécurité privée, en amont de cet événement d'envergure internationale.
L'organisation dédiée à la défense des animaux rappelle ses démarches antérieures : deux courriers envoyés en janvier et juillet pour solliciter un échange sur des sujets cruciaux, comme l'abattage rituel et la situation des animaux errants en Outre-Mer. Ces tentatives de dialogue sont restées vaines, Gérald Darmanin ayant renvoyé la FBB vers le ministère de l'Agriculture.
Avec les JO 2024 se profile l'augmentation des besoins en chiens de sécurité. Ce pic de demande risque d'engendrer une hausse des activités illégales telles que la reproduction et la vente clandestines, mais aussi des cas de maltraitance et d'abandons post-événement. La FBB met en lumière les risques inhérents à ces pratiques opportunistes qui pourraient s'amplifier dans le cadre d'activités exercées tant légalement qu'illégalement sous le contrôle du Conseil national des activités privées de sécurité (CNAPS).
Le cas spécifique des bergers malinois, souvent utilisés dans les activités de sécurité, est source d'une inquiétude particulière. Déjà surchargés, les refuges animaliers témoignent de l'augmentation des cas de maltraitance et d'abandons de cette race. La FBB avait déjà alerté en mars, avec d'autres associations, sur ces problématiques, soulignant la responsabilité des détenteurs inexpérimentés ou illégaux dans l'exploitation de ces animaux.
Face à cette situation préoccupante, la FBB exhorte le ministre de l'Intérieur à prendre des mesures préventives et répressives contre la prolifération d'activités clandestines de sécurité cynophile. Elle réclame aussi des contrôles plus stricts pour les sociétés de sécurité privées et une régulation précise des conditions de travail et de détention des chiens, comme prévu par l'article L613-7 du Code de la Sécurité Intérieure, mais jamais appliqué.
La fondation insiste sur la nécessité de publier un texte réglementaire détaillé, élaboré en concertation avec les organisations de protection animale, pour garantir une protection adéquate des chiens dans le contexte des JO.
L'appel de la FBB ne se limite pas à une demande de régulation; il vise à instaurer une prise de conscience collective sur la condition des chiens de sécurité. Ces animaux, fidèles serviteurs de l'homme dans ses besoins de protection, ne doivent pas être réduits à de simples outils, ni abandonnés une fois leur "service" accompli.
L'organisation implore le ministre de l'Intérieur de manifester son engagement pour la cause animale en passant de l'intention à l'action, afin que les JO 2024 soient synonymes d'avancées non seulement sportives, mais également éthiques. Une responsabilité qui incombe à l'ensemble des acteurs concernés, gouvernementaux et privés, pour que ce grand événement laisse un héritage respectueux du bien-être animal.
La Fondation Brigitte Bardot attend une réponse et des engagements fermes, espérant que la sensibilité affichée pour la condition animale se traduise par des actions concrètes et immédiates.
Depuis l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, Israël a répliqué en s’attaquant notamment à la bande de Gaza pour y retrouver les otages.
De nombreuses victimes sont à déplorer dont 37 Français qui se trouvaient à Gaza.
Depuis que la guerre a éclaté, comme le notait Arthur, le silence des stars est assourdissant. Il faut dire que dès que quelqu’un s’exprime sur le conflit, il était renvoyé sur ses plates-bandes…
Comme à son habitude, Brigitte Bardot n’a pas mâché ses mots et a donné son avis : « Je suis horrifiée par ce qui arrive au courageux peuple israélien et aux civils palestiniens. C’est un deuil immense et douloureux qui touche la planète », a-t-elle écrit sur X ce lundi 6 novembre 2023.
« Je voulais simplement conclure avec Brigitte Bardot, cela ne prendra que 15 secondes. Parfois, Brigitte Bardot a suscité la polémique à cause de ses interventions. Mais cette fois, elle a choisi ses mots avec justesse. Ce ne sont que deux phrases, et nous n’avions pas encore abordé le conflit israélo-palestinien aujourd’hui. Et elle a publié un tweet », a affirmé Laurent Ruquier dans son émission 20H sur BFMTV.
Et d’ajouter : « Je pense qu’on ne pouvait pas mieux s’exprimer. C’est un résumé terrible, mais idéal, de la situation ».
Une photographie est un instant de vie capturé pour l'éternité. Elle peut également éclairer sur une époque. Brigitte Bardot émergea à la fin des années 1950, en pleine "Nouvelle Vague" du cinéma français. Durant les vingt années que dura sa carrière cinématographique, elle fût la cible de mouvements opposés. Critiquée ou célébrée, une certitude demeure : BB fît exploser les idéaux de la beauté féminine, jusqu'alors corsetés. La France avait Brigitte Bardot quand l'Amérique avait Marilyn Monroe et toutes deux aidèrent de nombreuses femmes à s'émanciper dans l'énergie et l'effervescence de la pop culture. A travers ce recueil de très belles photographies de Douglas Kirkland et Terry O'Neill, représentant l'actrice joyeuse, triste, belle, forte ou sauvage se dessine en filigrane une histoire passionnante de l'évolution de la femme au sein de notre société, à une époque déterminante qui raisonne encore fortement avec la nôtre.
«Ma belle Nathalie, j’ai reçu votre livre, j’ai ouvert la première page pour voir un peu ce qui en retournait et j’ai été prise par votre façon d’écrire et j’ai été jusqu’au bout sans m’arrêter. Superbe livre. On plonge dedans et on le dévore. Quelle vie ! Quel courage ! Quelle sagesse ! Bravo, bravo, bravo. »
Peut-être ai-je besoin de donner ce que je n’ai pas reçu moi-même ?
Ces mots, flatteurs, sont ceux de Brigitte Bardot en personne. Quelques jours seulement après avoir reçu la biographie de et écrite par Nathalie Ollivier, l’ancienne actrice, mannequin, danseuse, chanteuse et inlassable militante des droits des animaux s’est fendue d’une lettre de remerciements qui fait la fierté de celle que « BB » appelle "ma “fille” des animaux".
Voilà près de dix ans que les deux femmes, celle de la Madrague à Saint-Tropez et celle du Roannais, désormais établie en région tararienne après avoir travaillé dans les Monts du Lyonnais et les Montagnes du Matin, entretiennent une relation épistolaire suivie. Elles ne se sont jamais rencontrées, mais elles partagent la même passion pour les animaux.
Nathalie Ollivier Refuge Quatt'pattes de Panissières
Au-delà de leur correspondance, Brigitte Bardot envoie régulièrement des photos dédicacées et des colis d’objets à Nathalie Ollivier en incitant cette dernière à tout revendre pour "mettre du beurre dans les épinards", comme lui écrit celle qui a récemment célébré ses 89 ans. "Je n’ai jamais pu me résoudre à vendre ses photos, mais je propose les objets sur les réseaux sociaux, toujours au profit du refuge", précise la quinquagénaire, qui se raconte dans un livre d’un peu plus de 160 pages, disponible dans plusieurs commerces du territoire comme à la librairie Elizéo rue Anna-Bibert et au Zéphir, place Ambroise-Croizat, à Tarare, ou encore à la F nac de Roanne et par la page Facebook® d’une auteure qui a travaillé avec une journaliste, Ségolène Perret, pour la mise en forme.
"J’avais commencé à écrire parce que je pensais qu’il fallait que je fasse partager mon expérience et surtout ma résilience, explique Nathalie Ollivier. Je n’ai pas écrit pour me plaindre, mais bien au contraire pour adresser un message d’optimisme" et faire comprendre qu’"il faut toujours y croire, même dans les moments les plus sombres", comme c’est écrit dans le dernier chapitre du livre.
Car la vie de cette Costelloise de naissance, dont toute la famille est originaire de Roanne, n’a pas été une sinécure. Les blessures d’enfance, les ravages de l’alcool au sein de sa propre famille, la première disparition d’un proche dans un accident de voiture jusqu’à la naissance de ses jumeaux en 1992, Clément, décédé in utérus et, Alban, né grand prématuré à seulement 29 semaines, elle plonge le lecteur dans une existence douloureuse et même parfois dramatique. Celle d’une jeune femme qui, après des études au collège de Balbigny et un Brevet de technicienne agricole décroché après trois années au lycée agricole de Saint-Genis-Laval, se faisait une joie de quitter le nid familial, à tout juste 18 ans.
Son récit parle de cette décennie travaillée dans un laboratoire d’analyses médicales de Chazelles-sur-Lyon comme technicienne de 1986 à 1995, de ces trois fois où elle a "cru mourir", foudroyée, percutée par un train et accidentée en voiture, de la naissance de Gatianne, sa fille qui travaille aujourd’hui à Montbrison, mais aussi d’Alban, atteint d’une infirmité moteur cérébrale et opéré à… 17 reprises entre ses 3 et 8 ans.
La disparition d’Alban a rompu l’équilibre. Professionnel et personnel.
Là encore, Nathalie Ollivier ne cherche nullement à faire "pleurer dans les chaumières", ni à apitoyer ses lecteurs mais simplement à témoigner du parcours d’une femme qui a toujours dû se battre pour avoir ce qu’elle souhaitait.
Comme quand elle a acheté cette ferme inhabitée depuis 60 ans à Panissières et qu’elle l’a retapée pendant deux ans avec son mari, avec l’objectif d’y créer une ferme pédagogique d’animaux de petite taille. Son projet est remonté jusqu’au ministère de l’Agriculture, alors dirigé par Hervé Gaymard. "J’ai d’abord effectué un stage de 64 heures au centre de gestion agréé de Feurs, en 2003, afin de pouvoir m’installer en tant que jeune agricultrice, raconte l’auteure. Je faisais figure d’ovni car mon projet était totalement atypique. À Panissières non plus, mon installation n’était pas vue d’un bon œil : j’étais une femme approchant de la quarantaine, je ne venais pas du milieu agricole, mon mari n’était pas agriculteur, j’allais utiliser quatre hectares de terrain pour ne produire ni viande, ni lait… et en plus, j’étais blonde !"
Les 100 premiers étant partis comme des petits pains, Nathalie Ollivier, surnommée « la Brigitte Bardot du coin », a fait retirer plusieurs exemplaires de son ouvrage.
Elle explique pourquoi elle a ensuite dû créer un élevage de chiens (Yorkshires, chihuahuas, King-Charles, pékinois…) pour se mettre en conformité avec l’administration, comment elle est allée jusqu’à Sauvain, dans les Monts du Forez, pour sauver ses premières vaches, jusque dans les Monts du Lyonnais pour éviter l’abattoir à quelque 219 poules, jusqu’en Roumanie pour 30 ânes…. La suite est plus connue car le Refuge Quatt’pattes a longtemps attiré de nombreux visiteurs jusqu’à Panissières et a été médiatisé.
La brutale disparition d’Alban, en 2018, victime d’un arrêt cardiaque, a rompu cet équilibre. Professionnel et personnel. Nathalie Ollivier a fini par se séparer de tous les animaux qui l’entouraient, placés dans des fermes pédagogiques à Paray-le-Monial, en Saône-et-Loire, et Saint-Denis-de-Cabanne, dans le Roannais. Son couple n’a pas résisté non plus.
Depuis bientôt trois ans, elle travaille à l’Entraide tararienne et assure que cela lui fait "un bien fou". Mais voilà qu’au détour d’un voyage en Tunisie, elle s’est lancée dans une nouvelle mission sauvetage auprès des animaux errants…
Lorsque les personnes âgées entrent en maison de retraite, elles sont souvent contraintes de se séparer de leurs animaux de compagnie. C’est un véritable déchirement. Puis, l’absence d’animaux au quotidien est un poids, pour ceux qui ont toujours connu la présence réconfortante d’un compagnon à 4 pattes. Alors un refuge a eu une idée hors du commun.
C’est en France, en Seine-Maritime, que cette belle initiative a vu le jour. L’association AVA (Agir pour la Vie Animale) possédait déjà un premier refuge situé à Cuy-Saint-Fiacre. 36 ans plus tard, en septembre 2022, ils ont créé un nouvel espace à Rouvray-Catillon. Nommé La Coloc d’AVA, ce refuge a un concept tout à fait original : il propose aux personnes âgées de venir vivre au milieu des animaux de sauvetage.
Le sanctuaire de La Coloc d’AVA accueille des dizaines d’animaux de sauvetage. Il peut s’agir d’animaux domestiques abandonnés, comme Roxanne, une Yorkshire Terrier que sa maîtresse ne pouvait plus garder. Tout aussi bien que des animaux retraités, comme Lascar, un poney qui a accompagné de nombreux enfants en centre équestre. Mais il y a aussi des êtres vivants ayant échappé à l’euthanasie ou à l’abattoir. Les animaux de ferme sont nombreux. On y retrouve notamment des chèvres, des paons, des poules et des chevaux.
Au sein du refuge, les pensionnaires sont en liberté. Pas de cage ou de box pour les enfermer. Tout le monde cohabite, et les animaux qui aiment nager ont même accès à une piscine chauffée et couverte.
Mais ils ne sont pas les seuls à cohabiter dans ces lieux. Le sanctuaire fonctionne également un peu comme une maison de retraite, qui propose aux personnes âgées de vivre en compagnie de tous les animaux. La première personne bénéficiant de cette structure n’est autre que le fondateur historique de l’association, Maxime Léger. Il y a 17 ans de cela, il avait passé le flambeau à Thierry Bedossa. Désormais, il passe sa retraite dans un endroit qui lui permet « de rester avec les animaux, en sécurité ».
L’association souhaite que ce concept se développe, pour permettre de rendre heureux de nombreux animaux tout comme de nombreuses personnes âgées.
Un homme de 23 ans a été jugé, ce jeudi 26 octobre 2023, pour avoir frappé violemment un chien et en avoir maltraité trois autres à Touques et Caen (Calvados) entre février et avril 2022.
La chienne de race American Staffordshire avait été amenée le 7 avril 2022 chez le vétérinaire par la sœur du prévenu après avoir reçu de la part de ce dernier, à Touques (Calvados) chez son père, un coup de pied qui l’avait projetée contre une porte.
Bilan : hémorragie interne, ablation de la rate, nécrose d’une partie de la vessie et plusieurs hématomes pour l’animal qui avait été sauvé in extremis. Par ailleurs, on avait retrouvé dans l’appartement de Caen, où l’homme a vécu jusqu’en février 2022 avec sa compagne, trois autres chiens, staff et croisé bouledogue, sans nourriture, sans eau et l’un portant un collier anti-aboiement. Des petites cages étaient posées dans une pièce, de l’urine au sol.
Lire aussi : Un gendarme de la Garde républicaine de Deauville au tribunal pour avoir maltraité des chevaux
Le prévenu, jugé ce jeudi 26 octobre 2023 à Caen, reconnaît le coup de pied sans intention de faire mal. « Il a eu peur parce que le chien s’est mis à aboyer alors qu’il tenait son bébé dans les bras », est-il expliqué lors de l’audience. Il affirme que sa compagne nourrissait les chiens quotidiennement et que les cages servaient seulement en cas de punition. « Il minimise en s’appuyant sur des pseudos principes éducatifs canins », intervient l’avocat de la Fondation Brigitte-Bardot qui sollicite 2 000 € de dommages et intérêts, tandis que la Société de défense des animaux de la Côte fleurie demande 4 000 € pour les frais de vétérinaire et de garde de la chienne qui vient seulement d’être adoptée.
« Il dit aimer les animaux mais plusieurs témoignages parlent de son agressivité, sans compter que les chiens n’étaient pas déclarés », reprend le procureur qui requiert une peine de trois mois d’emprisonnement ferme envers le prévenu dont le casier comporte déjà dix mentions plus 300 € d’amendes contraventionnelles et l’interdiction de détenir des animaux. « Ce jeune homme n’est pas le tortionnaire qu’on nous décrit. Le geste n’était pas intentionnel. Par ailleurs, on ne peut pas lui reprocher ce qu’il se passait pour les autres chiens puisqu’il ne vivait plus dans cet appartement. Et enfin, rien ne prouve que les chiens étaient catégorisés avec des obligations spécifiques pour leur propriétaire », reprend Me Pannetier en défense. Elle plaide une relaxe, mis à part pour le coup de pied, et demande qu’il ne soit pas interdit à son client de détenir des animaux avec qui il vit depuis son enfance. La décision du tribunal sera rendue le 8 novembre.