Overblog Tous les blogs Top blogs Célébrités Tous les blogs Célébrités
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
MENU
Publicité

Julien Clerc parle de Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Partager cet article
Repost0

Publicité

LA PRÉSIDENTE DE LA COMMISSION EUROPÉENNE RECULE SUR LA RÉGLEMENTATION CONDITION ANIMALE

Publié le par Ricard Bruno

LA PRÉSIDENTE DE LA COMMISSION EUROPÉENNE RECULE SUR LA RÉGLEMENTATION CONDITION ANIMALE

La Commissaire européenne Stella Kyriakides a confirmé, ce matin lors d’une réunion à l’Intergroupe “protection et conservation des animaux” du Parlement européen, le report du paquet législatif qui devait être présenté fin 2023.

Le 30 juin 2021 en effet, la Commissaire annonçait la présentation d’une proposition législative visant à mettre fin aux pratiques d’élevage en cages, en réponse à la mobilisation des citoyens européens (ICE ‘End the Cage Age’), aux avis scientifiques rendus par l’EFSA et de la Commission elle-même qui, dans son bilan de qualité publié en 2022, considère que les textes actuels sont obsolètes et incomplets.
 
Lors de son annonce, elle précisait que cette révision, qui s’inscrit dans la stratégie “Farm to Fork”, serait présentée fin 2023. Les différents textes du paquet législatif semblent prêts, validés par le comité d’examen de la réglementation, pourtant, dans son discours au Parlement sur l’état de l’Union le 13 septembre dernier, la présidente de la Commission a passé sous silence la révision des réglementations “condition animale”, également absente des priorités du pacte vert européen inscrit dans sa feuille d’intention. Le nouveau vice-président exécutif de la Commission chargé du Pacte Vert, Maroš Šefčovič, ne semble retenir pour le programme de travail 2024 que le volet transport, ignorant les propositions sur l’élevage, l’abattage ou encore l’étiquetage initialement prévues dans le paquet législatif qui devait nous être présenté en cette fin d’année.
 
Ce recul de la Commission est perçu par beaucoup comme une trahison, voire une soumission de sa Présidente aux injonctions de Manfred Weber, hostile au pacte vert européen, ou au lobby Copa-Cogeca qui veille à systématiquement bloquer toute amélioration de la condition animale.
 
L’intervention de Stella Kyriakides ce matin n’a fait que confirmer le recul de la Commission.
 
Pour Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot, présent ce matin au Parlement européen :
 

Nous nous sentons trahis par la Commission qui refuse de fixer un agenda pour la sortie des cages, pourtant nécessaire pour fixer un objectif et préparer l’accompagnement des filières vers la nécessaire transition qui doit s’opérer dans les modes de production. Les citoyens européens se sont mobilisés par millions pour que soient fixées des normes d’élevage plus respectueuses des animaux, la Commission affiche son mépris, c’est indigne, scandaleux ! Le 6 décembre la révision du règlement transport doit être présentée, nous serons vigilants sur son ambition qui doit être forte, même si nous savons déjà que la France sera l’un des États membres les moins volontaires sur la question

Partager cet article
Repost0

Nouveauté 33t Brigitte Bardot "La Madrague"

Publié le par Ricard Bruno

Partager cet article
Repost0

Brigitte Bardot : Vente aux enchères demain 22 11 2023 à Nice Une sélection par : Millon - SAS Millon RIVIERA

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : Vente aux enchères demain 22 11 2023 à Nice Une sélection par : Millon - SAS Millon RIVIERA

Tout sur Brigitte Bardot, c'est l'ambition d'une collection unique en son genre par un couple de passionnés : Stephane Steeman et son épouse Régine Verhelst-Steeman. " Cette collection a commencé en 1983. J’étais comédienne au théâtre Royal des Galeries à Bruxelles où chaque année pour les fêtes mon mari Stéphane Steeman « montait » une revue satirique sur l’actualité belge. Il m’a écrit une parodie sur une chanson de BB que je devais donc imiter et j’ai acheté une photo d’elle que j’ai affichée dans ma loge… j’étais déjà une fan inconditionnelle. Pour me faire plaisir Stephane m’a apporté d’autres photos par la suite, puis des disques, des revues etc… et voilà comment un collectionneur vous transmet sa « maladie ». Il était membre de sa Fondation et il l’a voyait à la Madrague où il a pu compléter la collection et faire dédicacer photos, disques et autres livres. Nous avons également fréquenté énormément de salles de vente aux enchères. Je me souviens affectueusement de la vente aux enchères organisée en faveur de sa Fondation pour laquelle elle avait peint les aquarelles que nous avons obtenues. Les heures que nous avons passées sur des sites de vente - surtout en ce qui concerne les disques - sont incalculables. Il y a eu parfois a des batailles mémorables !!! J’aime énormément Brigitte Bardot et suis attachée à chaque objet de cette collection accumulée avec bonheur mais depuis le décès de mon mari trop de souvenirs y sont associés. C'est pour cette raison que je me sépare de tous ces objets en espérant qu’ils fassent le bonheur d’un autre collectionneur. " Régine Steeman

Partager cet article
Repost0

Publicité

Le Val-d’Oise, un département à la pointe de la lutte contre les maltraitances animales

Publié le par Ricard Bruno

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin était présent ce samedi dans le département pour signer une convention permettant de favoriser la lutte contre les maltraitances animales, grâce à une collaboration entre les forces de l’ordre et les associations. Un lieu qui n’a pas été choisi au hasard.

Auvers-sur-Oise (Val d'Oise), ce samedi. Le ministre de l'intérieur Gérald Darmanin est venu dans le département pour signer une convention avec des associations travaillant pour la protection des animaux.

Auvers-sur-Oise (Val d'Oise), ce samedi. Le ministre de l'intérieur Gérald Darmanin est venu dans le département pour signer une convention avec des associations travaillant pour la protection des animaux.

Une chienne pendue à Arnouville, un chiot frappé et brûlé à l’acide à Argenteuil, ou encore des chiens abandonnés à Eaubonne… Les cas de maltraitance animale ont marqué les esprits dans le Val-d’Oise ces derniers mois. Et souvent donné lieu à des condamnations, à l’image des dix mois de prison ferme prononcés en novembre dernier concernant les faits d’Eaubonne.

Mais le département se montre particulièrement actif pour lutter contre ce phénomène. Et c’est sûrement pour cela que Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, l’a choisi pour signer ce samedi matin une convention avec les associations de protection animale comme la SPA et la Direction Départementale de la Protection des Populations (DDPP).

S’il s’agit d’un dispositif national, le volet local a été enrichi avec la participation d’autres associations comme la fondation Brigitte Bardot ou l’OABA (Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoir), mais également du Sdis (service départemental d’incendie et de secours) et du procureur de la République.

4 000 agents dédiés en plus en France

Annoncées au début de l’année par le ministre de l’Intérieur, ces conventions prévoient notamment la formation d’un référent dédié à la protection animale dans chaque commissariat et gendarmerie de France, pour prendre les plaintes et enquêter (soit environ 4 000 agents). Il complète la mise en place en janvier dernier d’une division nationale, regroupant des enquêteurs spécialisés dans la lutte contre la maltraitance animale et rattaché à l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp). « Dans cette bataille, tout le monde peut agir », expliquait alors le représentant du gouvernement.

Dans le Val-d’Oise, ce type de formations auprès des forces de l’ordre est déjà mis en place, et rencontre un grand succès auprès des agents. Car le département n’est pas épargné, avec 74 infractions liées à la maltraitance animale relevées en 2022, et ayant donné lieu à 27 interpellations.

Cette signature est accueillie avec enthousiasme par les associations de protection animale. Et notamment la SPA. « Ça va nous permettre d’avoir des interlocuteurs de terrain pour nos enquêteurs bénévoles, glisse Jacques-Charles Fombonne, président de la Société Protectrice des Animaux. C’est vraiment bien. En matière de protection animale, on reste souvent sur des grands discours. Là, c’est vraiment concret. Cela va vraiment aider les associations. »

Beaucoup appellent à des sanctions importantes. Depuis 2021, Le délit d’exercer des sévices graves ou de commettre un acte de cruauté envers un animal, notamment domestique, est désormais puni de trois ans de prison et de 45 000 euros d’amende, contre deux ans et 30 000 euros auparavant.

« L’animal est une sentinelle »

Cette convention va permettre « de mieux détecter et mieux sanctionner les actes de maltraitance », selon Arnaud Bazin, sénateur (LR) du Val-d’Oise, très engagé dans la cause, et présent ce samedi matin. « Ce rapprochement entre le monde de la protection animale et les services de sécurité, explique le vétérinaire de profession. D’autant que la maltraitance envers les animaux s’accompagne souvent de violences intrafamiliales. L’animal est une sentinelle. Quelqu’un qui est violent avec les animaux est violent en général. La convention va mieux protéger les animaux et, par conséquent, les conjoints et les enfants. »

Partager cet article
Repost0

JUSTICE : 3 chiens abandonnés dans un appartement

Publié le par Ricard Bruno

JUSTICE :   3 chiens abandonnés dans un appartement

Dans cette terrible affaire de maltraitance, dans laquelle la Fondation Brigitte Bardot s’était portée partie civile, le tribunal correctionnel de Pontoise a condamné une habitante de la ville d'Eaubonne à 10 mois de prison ferme avec interdiction de posséder un animal.

 

Elle avait laissé ses trois chiens enfermés dans un appartement, les abandonnant à leur triste sort. L'un d'eux était malheureusement mort et les deux autres ont été retrouvés dans des états d'amaigrissement très avancés dans une habitation jonchée d'excréments.

Source : Fondation Brigitte Bardot

Partager cet article
Repost0

Non au Salon du Chiot !

Publié le par Ricard Bruno

Non au Salon du Chiot !

Alors que des milliers de chiens et de chats attendent toujours une famille dans les refuges, des salons continuent à « exhiber » des animaux de compagnie.

En effet, des salons du chiot et autres salons d'exposants se déroulent tout au long de l’année dans des conditions difficiles pour les animaux et avec des facilités de paiement inacceptables (jusqu'à 7 fois sans frais) ce qui encourage à l’achat spontané et impulsif.

 

N’oubliez pas que l’adoption d’un animal doit être un acte réfléchi :

  • Pour quelle(s) raison(s), ai-je envie d’adopter un animal ?
  • Ai-je assez de place pour le recevoir ?
  • Combien de temps de présence je peux lui consacrer ?
  • Quel animal pourrait me correspondre par rapport à mon style de vie ?
  • Est-ce que les membres de ma famille l’accueilleront avec joie ?

 

Pensez à une alternative responsable : N'ACHETEZ PAS, ADOPTEZ ! 💙

Source : Fondation Brigitte Bardot

Partager cet article
Repost0

Pensions partenaires FBB : Jérôme et François, des éleveurs devenus protecteurs !

Publié le par Ricard Bruno

Pour offrir une belle retraite aux animaux recueillis, la FBB a créé en 2009 un partenariat unique avec d'anciens éleveurs qui se consacrent désormais à l'accueil et aux soins des animaux et s’engagent à respecter leur bien-être tout au long de leur vie ! Jérôme et François, deux anciens éleveurs ont décidé de franchir le pas et d’arrêter d’exploiter des animaux. Mais au contraire de les accueillir et leur offrir un havre de paix. Jérôme est le premier à avoir tenté l’expérience de la pension partenaire avec la Fondation, il y a 23 ans ! 💬 « Ça change notre rapport à l’animal, on les garde jusqu’à leur belle mort. » Aujourd’hui, vaches, cochons, moutons n’ont plus à craindre l’abattoir !

Partager cet article
Repost0

Publicité

Certaines maisons de mode aiment vraiment les animaux, MORTS !

Publié le par Ricard Bruno

Certaines maisons de mode aiment vraiment les animaux, MORTS !
Chinchilla, chat lynx, vison, renard… Certaines maisons de mode aiment vraiment les animaux, MORTS !
Alors que les grandes maisons de couture (Kering, Balenciaga, Gucci, Saint Laurent, Alexander McQueen…) se détournent de la fourrure, que la France a dit non aux élevages de visons en 2021, que l’ICE « Pour une Europe sans fourrure » a rassemblé plus de 1 400 000 signatures, des marques comme Milady et Sasha Fur, très présentes sur les réseaux sociaux, persistent et signent en se vantant de commercialiser un large choix de fourrures animales.
👉 Honte à cette « mode » d’un autre temps, nous sommes en 2023 : respectez enfin les animaux !

Source : Fondation Brigitte Bardot

Partager cet article
Repost0