Brigitte Bardot sa lettre à la ministre de l'enseignement supérieur
Brigitte, je n'ai qu'un mot à te dire B R A V O
Tu es une sainte, tu ne lâche RIEN, ton combat pour nos amis, les animaux est notre combat à tous, à ceux qui ferme les yeux sur la souffrance animale tu leur ouvre les yeux, tu leur mets des coups de pieds au cul, tu bouscule les bien-pensants, tu déranges celles et ceux qui ferme les yeux sur l'horreur des expérimentations.
À jamais à tes côtés...
Ton ami
Bruno
La colère de Brigitte Bardot contre Frédérique Vidal, Ministre de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation: "La France doit sortir de cette impasse honteuse qu'est l'expérimentation animale"
Dans une lettre ouverte, Brigitte Bardot s'adresse à Frédérique Vidal, Ministre de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, et pousse un coup de gueule concernant l'expérimentation animale toujours pratiquée en France..
La fondatrice de la fondation portant son nom écrit: "Il y a quatre ans, je vous ai adressé un appel resté sans réponse. Ce silence méprisant est intolérable, insupportable, je vous interpelle aujourd’hui publiquement en espérant que vous sortirez de votre mutisme face à l’abomination qu’est l’expérimentation animale."
Et d'ajouter : "Au moment où la condition animale semble enfin être prise en compte par certains de nos dirigeants, les victimes silencieuses des laboratoires semblent abandonnées à leur supplice quotidien, réduites à n’être qu’outils de recherche, objets d’une science sans conscience." "Madame la Ministre, nous n’avons pas le droit moral de fermer les yeux sur le sort de ces martyrs oubliés, mutilés pour tester des produits ménagers ou pour une recherche dont la pertinence est aujourd’hui contestée au sein même d’instances scientifiques.", a-t-elle poursuivi. Et d'écrire: "La France doit sortir de cette impasse honteuse qu’est l’expérimentation animale, elle doit porter ce message au moment même où elle prend la présidence de l’Union européenne. Elle doit traduire en actes la résolution adoptée, le 15 septembre dernier, par le Parlement européen qui demande à la Commission européenne et aux Etats membres de financer « la mise au point, la validation et l’introduction de méthodes d’expérimentation permettant de se substituer, rapidement, à l’expérimentation animale ». En attendant cette indispensable évolution, j’apporte mon soutien aux courageux citoyens qui s’opposent aux élevages de la honte, je pense aux militants présents devant les portes du camp de Gannat ou celui de Mézilles, dont les murs cachent des milliers de chiens élevés pour subir les pires sévices." "Chaque année, 5000 chiens sont ainsi sacrifiés en France, c’est une honte, une trahison envers le meilleur ami de l’homme…", regrette Brigitte Bardot. Et de conclure: "Madame la Ministre, vous avez le pouvoir d’agir c’est donc un devoir pour ne pas être complice et ne plus tolérer l’intolérable."Source de l'article : Cliquez ICI
Présidentielle 2022 : La cause animale, de plus en plus un critère de vote ?
POLITIQUE Immigration, pouvoir d’achat, sécurité…. Pour l’instant, la campagne présidentielle tourne en boucle autour de ces trois thèmes. Mais la protection animale, à laquelle de plus en plus des Français se disent sensibles, pourrait glisser une tête dans les débats d’ici à avril.
- A travers la chasse et la question de savoir s’il la fallait limiter en interdisant celles jugées cruelles, la cause animale a fait une première entrée remarquée dans le débat de la présidentielle 2022, fin octobre.
- Juste un début ? Un sondage Ifop de septembre tend à montrer que les Français accordent de plus en plus d’importance à l’enjeu de la protection animale. Et en font même, de plus en plus, un critère de vote.
- Impossible pour les candidats, désormais, de passer à côté ? Hélène Thouy, candidate du jeune Parti animaliste, espère que cette présidentielle 2022 sera l’occasion d’aller plus loin que de simples engagements de principe, afin de parler de mesures concrètes.
« Évidemment, on ne chasse pas les espèces protégées, et on arrête la chasse à courre et toutes les chasses cruelles. » Et puis pas de chasse tout court durant les week-ends et les vacances scolaires… Les chasseurs savent à quoi s’en tenir si Yannick Jadot accède à l’Elysée. Fin octobre , sur BFMTV, alors que deux accidents dramatiques causés par des chasseurs survenaient en trois jours, le candidat EELV ouvrait le débat de la chasse dans cette présidentielle 2022.
Louis Schweitzer, président de la Fondation droit animal, éthique et sciences (LFDA), vous dira que cette prise de position n’est pas si étonnante de la part d’un candidat écologiste. « Ce qui est intéressant est de savoir comment réagiront les autres candidats », glisse-t-il.
Soutenir les chasseurs, un bon calcul politique ?
Jean-Luc Mélenchon, qui proposait déjà l’interdiction de la chasse le dimanche à la présidentielle de 2017, est toujours sur la même position. De même que, sans surprise, Hélène Thouy, qui pourrait être la première candidate du Parti animaliste à une élection présidentielle si elle obtient les 500 parrainages. « Nous soutenons la fin de la chasse tout court », précise-t-elle à 20 Minutes. A l’inverse, Michel Barnier, Marine Le Pen, Nicolas Dupont-Aignan et Arnaud Montebourg se sont publiquement prononcés contre des limitations.
Un bon calcul politique ? Avec un million de Français porteurs d’un permis de chasse, les chasseurs sont traditionnellement un électorat à choyer pour des candidats. En tout cas à ne pas brusquer. Mais le rapport de force change, estime Louis Schweitzer, qui renvoie vers un sondage Ifop paru en septembre. Le fait qu’un candidat affiche son soutien aux chasseurs n’aurait aucun impact sur le vote des Français, y déclarent 50 % des répondants. Mais 45 % assurent aussi qu’un tel affichage ne les inciterait pas à voter pour lui, contre seulement 5 % disant le contraire.
La cause animale « devient un critère de vote »
Voilà pour la chasse. De façon plus générale, toujours selon ce sondage, 84 % des Français considèrent la protection des animaux comme une cause importante. Parmi ceux-ci, 40 % la disent même très importante, quand ils n’étaient que 32 % et 38 % en amont des présidentielles 2012 et 2017. Pas si étonnant pour Daniel Boy, directeur de recherche au Cevipof, le centre de recherches politiques de Science Po. « Les valeurs changent au fil du temps, en France comme ailleurs, et cela est très accentué ces dernières années sur la cause animale, note-t-il. Il y a longtemps eu une contradiction entre la sensibilité portée aux animaux de compagnie et celle à la faune sauvage et aux animaux d’élevage. Elle est en train de sauter. Du moins, une part croissante de Français cherchent à la vivre autrement. »
Daniel Boy y voit l’effet conjoint du travail d’associations de protection animale, comme L214, pour porter le sujet dans le débat public, « mais aussi les progrès de la science dans la compréhension du comportement animal, complète-t-il. Leur capacité à souffrir, à avoir des émotions, à coopérer entre eux. » Certes, la cause animale n’est pas encore dans les enjeux les plus débattus d’une campagne présidentielle. « Mais elle devient un critère de vote, c’est ça qui change », observe Louis Schweitzer.
Le même sondage Ifop tend à le montrer, et pas que sur la chasse. 47 % des électeurs pourraient voter en fonction des propositions d’un candidat sur le bien-être animal (15 % très certainement), contre 39 % en mars 2017 et 29 % en décembre 2011. Le président de LFDA rappelle aussi le score de 2,2 % du Parti animaliste aux élections européennes de 2019 (490.000 bulletins). « Loin d’être ridicule, confirme Daniel Boy. On aurait pu penser que ces voix seraient prises dans l’électorat écologique. C’est plus complexe. Le vote écolo est un vote de grandes villes, très urbain. Or, aux européennes, le Parti animaliste a fait de très bon score dans l’Est de la France, la partie désindustrialisée plus particulièrement, et peut s’expliquer en partie comme un vote protestataire *. »
2 % d’intentions de vote pour la candidate du Parti animaliste
Le Parti animaliste pourrait faire encore mieux en avril. Dans un sondage Ifop de novembre pour cette formation politique, Hélène Thouy était créditée de 2 % des intentions de vote. Un potentiel électoral qui pourrait s’avérer encore plus important alors que seuls 18 % des électeurs ont déjà entendu parler de sa candidature. Quoi qu’il en soit, « même à 2 %, cela confirme un peu plus que la cause animale est un sujet qui pèse dorénavant électoralement, surtout dans un contexte où chaque voix compte, chaque dixième de points gagnés ou perdus peut avoir une incidence sur une présence au second tour ou un remboursement électoral », glisse Hélène Thouy.
De quoi pousser l’ensemble des candidats à se positionner sur la cause animale, y compris sur les volets clivants de la chasse et de l’élevage intensif ? C’est le premier objectif que vise le Parti animaliste en se lançant dans la course aux 500 parrainages. « Il n’est pas là pour gagner, mais pour populariser un thème, profiter de ce porte-voix qu’est la présidentielle », avance Daniel Boy. « L’idée est aussi d’inscrire le bien-être animal à l’agenda politique des cinq prochaines années », confirme Hélène Thouy.
Faudra-t-il encore que les promesses de campagnes soient tenues par le futur locataire de l’Elysée. Sur ce point, Hélène Thouy dresse un bilan plus que mitigé du président sortant. « Il y a eu des avancées bonnes à prendre, notamment dans la loi maltraitance animale [adoptée au Sénat le 18 novembre], commence-t-elle. Mais il ne faut pas être dupe. Elle intervient à six mois de l’élection pour donner des garanties aux protecteurs des animaux et tenter de leur faire oublier la politique pro-chasse d’Emmanuel Macron, ou ses promesses non tenues pour améliorer le sort des animaux d’élevage. Au final, ce quinquennat a très peu fait avancer la question animale là où elle implique de se confronter à de puissants lobbies. »
« Débattre des mesures concrètes »
Hélène Thouy espère qu’on n’en restera pas, cette fois, à de grandes annonces de principe sur la nécessaire protection des animaux, « mais qu’on parlera enfin de mesures concrètes, de plans d’action. » Les ONG veilleront aussi au grain. Notamment à travers le collectif Animal Politique , qui avait réuni 26 d’entre elles à la dernière présidentielle, dont la LFDA. « Mais c’est un autre signe que les choses changent, observe Louis Schweitzer. En 2017, nous avions rédigé un manifeste autour des 30 propositions que nous avions envoyées à chaque candidat. Cette fois, il se pourrait bien qu’on passe directement à un commentaire du volet "bien-être animal" des programmes, en pointant les plus et les moins ambitieux. »
Louis Schweitzer liste déjà au moins trois idées « facile à mettre en œuvre » qu’il aimerait voir porter par les candidats : « créer un ministère du bien-être animal, ou au moins nommer quelqu’un à un haut niveau gouvernemental en charge de ce sujet, rendre obligatoire un étiquetage sur les conditions d’élevage, et interdire les actes de cruauté sur les animaux vivant en liberté. C’est déjà le cas, depuis 170 ans [loi Grammont de 1850], pour les animaux sous la garde de l’Homme. Mais pas pour la faune sauvage. »
* Dans ces territoires, les liens de sociabilité sont très distendus et l’encadrement politique, syndical, religieux et associatif est particulièrement lâche, avec en conséquence ou en corollaire un repli et un fort investissement sur la sphère privée et l’univers familial, expliquent le politologue Jérôme Fourquet et le géographe Sylvain Manternach dans une analyse du vote animaliste aux dernières européennes à lire sur le site internet de la Fondation Jean-Jaurès. Or, dans ces sphères, les animaux de compagnie occupent souvent une place importante.
Et Dieu créa la femme... et le mythe Bardot
Le 28 novembre 1956, le film de Roger Vadim, Et Dieu... créa la femme, sort au cinéma, donnant naissance au mythe Bardot.
Il y a soixante-cinq ans sortait en France le film Et Dieu... créa la femme. Roger Vadim, jeune cinéaste, propulse Brigitte Bardot comme star internationale. L’actrice devient alors l’icône de la libération des mœurs.
Il a suffi d’un film au parfum de scandale pour faire d’elle une superstar, un sex-symbol, l’incarnation même de la libération des mœurs... Le 28 novembre 1956, Et Dieu... créa la femme, signé Roger Vadim, débarque dans les salles obscures du pays. Deux lettres, deux initiales, vont tout changer : BB.
Brigitte Bardot, 22 ans, incarne Juliette, jolie et sensuelle jeune femme qui fait chavirer les cœurs à Saint-Tropez. Face à elle, les comédiens Jean- Louis Trintignant, Christian Marquand et Curd Jürgens jouent les amoureux transis. Mais Vadim, outre le fait de chambouler le cinéma en tournant en extérieur – chose rare à l’époque – fait aussi de sa muse un personnage sulfureux exprimant son désir, sa sexualité et sa liberté, comme les hommes.
Les bien-pensants crient au scandale. Les ligues de vertu aussi. Mais pour le public, il y a déclic. Dans le film, les hommes font ce qu’ils veulent sans être jugés ; alors pourquoi une femme ne pourrait-elle pas en faire de même ? Le désir féminin est exprimé à l’égal du désir masculin : c’est une révolution dans le cinéma français, mais aussi pour cette société dans laquelle les femmes n’ont, en ce temps, le droit de vote que depuis à peine neuf ans.
« Brigitte Bardot est une jeune femme de 22 ans faisant irruption dans un monde de vieux. C’est une irruption qui choque, car elle est brusque, radicale. La société française ne s’y attendait pas », écrit Antoine de Baecque dans La Nouvelle Vague : portrait d’une jeunesse (éditions Flammarion). L’image d’une jeune femme sexuellement émancipée, aussi libre que les hommes, fait plonger dans la modernité une société réactionnaire. Celle-là même qui, comme l’indiquait le plaidoyer Pour Brigitte en 1962 dans Positif, « n’entend pas qu’on lui révèle son conformisme douillet en portant atteinte à ses préjugés vitaux ».
Féminité rime avec liberté
Brigitte Bardot bouscule alors les tabous moraux de l’époque. Féminité rime avec liberté. Elle devient un modèle pour les jeunes filles, pour les femmes. Des scènes de nu jusqu’à la séquence mythique de la danse mambo endiablée, l’actrice (du moins son personnage ingénu et provocateur) redéfinit les contours de la famille, de l’amour, des relations, du couple. « Si Dieu créa la femme, c’est BB qui l’a libérée », écrivit Yves Bigot, dans Brigitte Bardot : la femme la plus belle et la plus scandaleuse du monde (éditions Don Quichotte).
Malgré la censure qui frappe le film, Brigitte Bardot devient la plus parfaite incarnation de la femme libre et indépendante, écrasant du talon des années de patriarcat judéo-chrétien. Dotée d’une aura érotique aberrante pour l’époque, BB vient de donner un coup de pied dans la fourmilière, provoquant l’hystérie médiatique. Ouvrant, aussi, un débat sur la moralité, la place des jeunes dans la société et leur sexualité... Surtout celle des femmes !
Un long-métrage "satanique" outre-Atlantique
Même outre-Atlantique, le film de Vadim crée des vagues, provoque des remous et fait trembler l’Amérique quand il sort. Le long-métrage y est décrit comme « satanique » (!) et les Églises catholiques et protestantes fustigent cette œuvre « qui incite à la débauche » ; elles incitent au boycott. Un archevêque va même jusqu’à acheter tous les billets du cinéma Palace Theater, à Lake Placid, pour que personne ne puisse voir le film.
Mais là encore, le bouche-à-oreille au parfum de doux scandale ramène fi nalement les foules dans les salles. Et c’est un succès au box-office... Le mythe BB est désormais international. Son personnage est devenu symbole d’une époque, celui de femme affranchie de tout sentiment de culpabilité, envoyant valser les tabous imposés par la société. Fin des années 1950, Et Dieu... créa la femme a changé le cinéma et les mœurs.
Brigitte Bardot confiera, plus tard, n’avoir qu’un seul mauvais souvenir : « Quand le fi lm s’est arrêté et que le rêve prenait fi n, avec ma séparation d’avec Vadim... »
Grace de Monaco, la grande amie de Joséphine Baker...
Le cercueil vide - sans sa dépouille - de Joséphine Baker entrera le 30 novembre prochain au Panthéon.
À l’initiative du président de la République française Emmanuel Macron, Joséphine Baker entrera le 30 novembre prochain au Panthéon. Elle sera la première femme noire à recevoir cet hommage. Joséphine Baker (1906-1975) était danseuse, chanteuse, meneuse de revue, actrice mais aussi grande résistante. Elle fut sous-lieutenant dans l’armée de l’air lors de la Seconde Guerre Mondiale.
La cérémonie d’une durée d’1h30 sera retransmise par les chaînes françaises à partir de 17h30. Toutefois, la dépouille de Joséphine Baker ne sera pas transférée au Panthéon. Seul un cercueil vide contenant de la terre de quatre endroits symboliques où elle vécut, sera placé dans un cénotaphe. Ces quatre endroits sont : Saint-Louis, paris, le château Les Milandes en Dordogne et Monaco. C’est en effet sur le Rocher que Joséphine Baker repose auprès de son mari et d’un de leurs enfants.
Joséphine Baker a pu compter jusqu’à la fin de sa vie sur la grande générosité et bienveillance de la princesse Grace et du prince Rainier de Monaco. De son union avec Jo Bouillon, l’artiste adopta douze enfants de douze nationalités différentes, avec qui elle vécut au château des Milandes mais le coût et l’entretien du château, en plus des sommes nécessaires pour faire vivre une famille de quatorze personnes poussèrent l’artiste vers le gouffre financier. Le château fut mis en vente en 1964 mais grâce à l’aide de Brigitte Bardot et Jean-Claude Brialy, elle put encore le conserver jusqu’en 1969.
Désormais ruinée, Joséphine Baker peut alors compter sur l’amitié mais aussi l’aide économique de la princesse Grace qui installe la famille à Roquebrune. En 1975, elle remonte sur scène avec un spectacle intitulé "Joséphine à Bobino" qui a pu se monter grâce au mécénat du couple princier monégasque. C’est au cours de la 14e représentation qu’elle est foudroyée par une attaque cérébrale à laquelle elle succomba le 12 avril à l’âge de 65 ans.
Harcourt Chanson française Coffret....Brigitte Bardot en chanson....
Ed Harcourt (Interprète) (Vinyle album). 3 volumes Paru le 8 octobre 2021
Prix : 29,99 euros
Ourse tuée en Ariège par un chasseur : le coup de gueule de Brigitte Bardot contre des "primaires sanguinaires"
Brigitte Bardot, défenseure des animaux, a publié un communiqué sur Twitter après la mort d'une ourse tuée par un chasseur en Ariège le 20 novembre.
Le parquet de Foix annonçait aujourd'hui l'ouverture d'une information judiciaire contre X pour "destruction d'une espèce protégée". L'information judiciaire est aussi ouverte pour "chasse illégale dans une réserve". Le chasseur n'aurait pas dû se trouver à cet endroit. Une pétition pour interdire les battues dans les zones à ours, lancée la plateforme Mesopinions.com a recueilli près de 50 000 signatures.
Source de l'article : Cliquez ICI