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Brigitte Bardot Soirée Hippie Chic

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot Soirée Hippie Chic
Soirée au Maroc
 
Réservation en ligne : https://bit.ly/2TAyo4N

Pour plus d'information : +212 524 45 85 65

 Rue Ibn Hanbal (face au commissariat central), Hivernage, Marrakech
 
Mille mercis à JM pour cette inforamtion
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Élections européennes cinq listes qui sortent de l’ordinaire

Publié le par Ricard Bruno

Le drapeau et les affiches avec slogans des partis animaliste, volt et parti pirate.

Le drapeau et les affiches avec slogans des partis animaliste, volt et parti pirate.

À côté des familles politiques classiques, quelques «petits partis» sortent du lot. Le parti pirate, animaliste ou encore celui pour l’espéranto mènent aussi leur campagne pour les élections européennes de 2019. Description.

L’un appelle à voter «en faveur des animaux», tandis que l’autre affiche clairement pour slogan: «Arrêtez d’emmerder les Français». Parmi les listes candidates aux élections européennes de mai 2019, cinq partis affichent une différence et sortent de l’ordinaire. C’est le cas notamment du nouveau parti Volt, qui rassemble des jeunes foncièrement pro-européens, ou encore celui du parti pirate, qui a déjà un pied au Parlement européen et souhaite un monde «réellement libre, juste et solidaire».

 Volt, le parti transnational

Le jeune parti se définit comme paneuropéen, progressiste et en lutte contre les partis extrémistes. Son mot d’ordre: s’unir. Volt veut ressouder l’Europe et proposer le même programme dans tous les États membres. Les 25.000 personnes qui ont rejoint le mouvement transnational déplorent que «l’UE soit bloquée par des querelles de compétences et par l’incapacité de s’aligner sur des intérêts partagés.»

Volt se veut un parti jeune. La plupart des adhérents ont moins de 30 ans et regrettent tous que «la politique nationale semble coincée dans les anciennes divisions gauche-droite et libérale-conservatrice, mais ne donne pas de réponses dans un monde instable et en mutation rapide.»

 Le Parti pirate

Un drapeau flotte en fond de leur site internet: un P en forme de voile. Les pirates français ont rejoint en 2011 le mouvement international fondé en 2006 en Suède. Leur devise: «Liberté, démocratie, partage». S’ils ont choisi de se nommer ainsi, c’est pour l’étymologie du mot «pirate» qui, en latin, signifie «qui est entreprenant». «Ainsi, face aux systèmes politiques et économiques actuels dépassés par la révolution numérique, le Parti pirate constitue une nouvelle aventure humaine pour construire et apporter une réponse politique aux aspirations des citoyens pour un monde réellement libre, juste et solidaire», annoncent-ils.

Le Parti pirate a déjà un pied au Parlement. Lors des dernières élections européennes, l’Allemande Julia Reda y a obtenu un siège. En République tchèque, le parti a un certain succès. Aux élections législatives de 2017, il a obtenu le troisième meilleur résultat: 10,79%.

» LIRE AUSSI - Élections européennes: ce qui change en 2019 par rapport à 2014

 Le Parti animaliste

Comme son nom l’indique, le parti défend la cause animale et appelle à «voter en faveur des animaux». «Le sort réservé aux animaux apparaît sclérosé depuis des siècles et n’a pas fait l’objet d’évolutions significatives», déplorent ses membres sur le site internet de la formation. Leur but: faire émerger la question animale dans le champ politique.

Créé officiellement en 2016, le groupe avait, au cours des deux années précédentes, rejoint les actions menées par le parti néerlandais Partij voor de Dieren (Parti pour les animaux). La majeure partie de son programme vise donc à «inclure dans les politiques publiques, la prise en compte des intérêts des animaux».

Un programme soutenu par Brigitte Bardot et Laurent Baffie, qui se sont joints à la liste pour les élections européennes. Le parti a d’ailleurs été pénalisé pour ne pas avoir respecté le principe de parité lors des élections législatives de 2017 en proposant plus de femmes que d’hommes. Son financement public a donc été amputé de 36%.

Source de l'article : Cliquez ICI

 

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Près de Perpignan : la gendarmerie sauve des animaux de "la ferme de l’horreur"

Publié le par Ricard Bruno

Près de Perpignan : la gendarmerie sauve des animaux de "la ferme de l’horreur"

Une opération judiciaire a été menée ce mardi 2 avril par les services de gendarmerie, assistés par l’association “Un refuge, un cœur”, afin de récupérer des animaux sur un domaine privé à Bompas. Le propriétaire y aurait, dans des conditions d’extrême insalubrité, installé un élevage frauduleux de chèvres naines et cochons. Il aurait revendu les bêtes à des particuliers et les aurait abattues sur place "à l’ancienne". En toute illégalité et en dehors de toutes considérations d’hygiène.

Tous ceux qui y ont mis un pied, l’appellent "la ferme de l’horreur". Pour traduire en quelques mots l’innommable, découvert sur cette propriété privée le samedi 22 mars. Ce jour-là, une équipe de l’association de protection animale “Un refuge, un cœur” se trouve dans les parages pour vérifier l’état d’un cheval prétendument à l’abandon.

 

Or, au moment de repartir, l’attention des bénévoles est attirée par une étrange exploitation à proximité. "On est arrivé sur un champ fait de bric et de broc, raconte Céline Henri. Là, on a vu des peaux de bête, des restes de carcasses, une chèvre en décomposition dans une remorque".

 

 

Sur une étagère, une tête de chèvre. À terre, encore, des peaux de bête. Derrière, deux pattes d’âne au sol 

Au milieu de ce qui ressemble à un élevage, les déchets jonchent le sol, d’anciennes baignoires transformées en mangeoires ultra-crasseuses, des palettes, des détritus en tous genres, un meuble éventré, des douilles de cartouches, une climatisation, des roues… Et, planté sur ce terrain boueux qui renifle la mort, derrière un âne interloqué, un abri de fortune fait de planches délabrées et de morceaux de tôles.

À l’intérieur, les défenseurs de la cause animale n’en croient pas leurs yeux. "Sur une étagère, une tête de chèvre. À terre, encore, des peaux de bête. Derrière, deux pattes d’âne au sol. Puis on a vu deux chiens et cinq chiots. Le mâle était cadavérique, la femelle attachée à une palette avec une fine corde à foin de 20 cm à peine. Il n’y avait rien de normal."

"La cuve à eau était vide. Les animaux étaient dans des enclos d’une saleté extrême. Dans celui des cochons, on distinguait des gros os. Mais avec quoi ils les nourrissaient ?". Les visiteurs abordent une personne sur les lieux et se font passer pour des acheteurs potentiels.

Au milieu des immondices et des excréments, il préparait de la viande pour manger !

"Il nous a proposé une chèvre et ses deux bébés pour 120 €. Il vendait le cochon à 50 €. Et pour un supplément de 100 €, il faisait l’abattage sur place. Il les tuait sur une potence en bois et les suspendait toute la nuit pour les vider de leur sang. Dire qu’au milieu des immondices et des excréments, il préparait de la viande pour manger !"

Après une première visite la semaine passée et après accord du parquet et de la préfecture, les gendarmes de Bompas sont revenus ce mardi 2 avril sur les lieux, avec l’association qui a déposé plainte. Entretemps, les chiens avaient disparu, car "volés" selon le mis en cause et trois porcelets avaient déjà vu le jour.

Au total, deux chevreaux, quatre truies, un cochon, cinq porcelets ont ainsi été récupérés par les bénévoles. Le propriétaire a consenti à en faire don à la suite de son audition par les forces de l’ordre. Épinglé pour abattage illégal, non-identification des porcins et des caprins et non déclaration auprès de la préfecture, il aurait reconnu qu’il achetait les bêtes pour "les bouffer" dans le cadre de la consommation familiale, mais aussi en fournissant quelques clients par le bouche-à-oreille.

Sans aucun papier et, donc, aucune traçabilité. L’homme a aussitôt fait le nécessaire pour régulariser sa situation de “petit éleveur” et a fait l’objet d’un rappel à la loi. Toutefois, un suivi de contrôle devrait être effectué et par courrier, le maire l’a mis en demeure de nettoyer ce "dépôt sauvage".

Source de l'article : Cliquez ICI

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Une tonne de viande clandestine saisie sur un marché illégal de Nice

Publié le par Ricard Bruno

 Près d'une tonne de viande saisie dimanche sur le parking de l'ex-Sonacotra.

Près d'une tonne de viande saisie dimanche sur le parking de l'ex-Sonacotra.

Un marché clandestin se réinstalle régulièrement sur ce qui était jadis l'emplacement du "marché de l'Oued", dans la plaine du Var.

Un marché clandestin a été démantelé dimanche à Nice par les polices municipale et nationale, a indiqué le maire de Nice Christian Estrosi sur son compte Twitter, photos à l'appui.

Sur le parking du foyer Adoma (ex-Sonacotra) dans la plaine du Var, deux personnes ont été interpellées, notamment pour "vente à la sauvette". L'une d'elles ne présentait ni papier d'identité ni titre de séjour.

Lors de cette opération, plus de 900 kg de viande impropre à la consommation, sans traçabilité, stockée et transportée dans des conditions d'hygiène déplorables, ont été saisis par les 15 policiers municipaux, épaulés d'un commandant de la police nationale et de deux fonctionnaires de l'hygiène.

Les policiers ont également mis la main sur plus de 300 kg de fruits et légumes, là encore sans traçabilité, ainsi que neuf cartouches de cigarettes de contrebande et environ 10m3 d'objets divers (notamment des vêtements et accessoires vestimentaires) destinés à la vente à la sauvette ont été saisis.

Trois scooters déclarés volés ont aussi été découverts.

Une tonne de viande clandestine saisie sur un marché illégal de Nice
Une tonne de viande clandestine saisie sur un marché illégal de Nice

Le mois dernier, au même endroit, une "descente" des polices municipale et nationale, de la Douane, de la police aux frontières, de l’Urssaf, de l’inspection sanitaire (DDPP) et des services municipaux avait permis de saisir une tonne de viande impropre à la consommation, ainsi que 750kg de fruits et légumes sans traçabilité, 15 tonnes de produits divers mis à la vente, 25 cartouches de cigarettes de contrebande. Un trafic d'abattage de moutons, revendus sans aucun contrôle sanitaire, avait également été mis au jour. 

Un marché clandestin se réinstalle régulièrement sur ce qui était jadis l'emplacement du "marché de l'Oued". Nice-Village (de son vrai nom) avait été interdit en 2017 et les forains avaient été déplacés le lundi sur un marché officiel à 2 km de là, près du palais Nikaïa. 

Source de l'article : Cliquez ICI

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Une tonne de viande clandestine saisie sur un marché illégal de Nice

Publié le par Ricard Bruno

 Près d'une tonne de viande saisie dimanche sur le parking de l'ex-Sonacotra.

Près d'une tonne de viande saisie dimanche sur le parking de l'ex-Sonacotra.

Un marché clandestin se réinstalle régulièrement sur ce qui était jadis l'emplacement du "marché de l'Oued", dans la plaine du Var.

Un marché clandestin a été démantelé dimanche à Nice par les polices municipale et nationale, a indiqué le maire de Nice Christian Estrosi sur son compte Twitter, photos à l'appui.

Sur le parking du foyer Adoma (ex-Sonacotra) dans la plaine du Var, deux personnes ont été interpellées, notamment pour "vente à la sauvette". L'une d'elles ne présentait ni papier d'identité ni titre de séjour.

Lors de cette opération, plus de 900 kg de viande impropre à la consommation, sans traçabilité, stockée et transportée dans des conditions d'hygiène déplorables, ont été saisis par les 15 policiers municipaux, épaulés d'un commandant de la police nationale et de deux fonctionnaires de l'hygiène.

Les policiers ont également mis la main sur plus de 300 kg de fruits et légumes, là encore sans traçabilité, ainsi que neuf cartouches de cigarettes de contrebande et environ 10m3 d'objets divers (notamment des vêtements et accessoires vestimentaires) destinés à la vente à la sauvette ont été saisis.

Trois scooters déclarés volés ont aussi été découverts.

Une tonne de viande clandestine saisie sur un marché illégal de Nice
Une tonne de viande clandestine saisie sur un marché illégal de Nice

Le mois dernier, au même endroit, une "descente" des polices municipale et nationale, de la Douane, de la police aux frontières, de l’Urssaf, de l’inspection sanitaire (DDPP) et des services municipaux avait permis de saisir une tonne de viande impropre à la consommation, ainsi que 750kg de fruits et légumes sans traçabilité, 15 tonnes de produits divers mis à la vente, 25 cartouches de cigarettes de contrebande. Un trafic d'abattage de moutons, revendus sans aucun contrôle sanitaire, avait également été mis au jour. 

Un marché clandestin se réinstalle régulièrement sur ce qui était jadis l'emplacement du "marché de l'Oued". Nice-Village (de son vrai nom) avait été interdit en 2017 et les forains avaient été déplacés le lundi sur un marché officiel à 2 km de là, près du palais Nikaïa. 

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Sept chiots vivants jetés dans un container enterré

Publié le par Ricard Bruno

De pire en pire, mais comment peut on faire de telles horreurs, comprenez maintenant les colères de Brigitte Bardot, quand on voit ce que subissent es animaux dans ce pays, quelle honte...

Bruno Ricard 

Les deux chiots survivants ont été adoptés par un couple de la commune.

Lundi soir, sept chiots ont été retrouvés dans un container enterré, à Vic-Fezansac, dans le Gers. Un habitant avait entendu leurs gémissements en passant près de la poubelle. Les sapeurs-pompiers ont sauvé deux chiots sur sept. La mairie se réserve le droit de déposer plainte.

 

Vic-Fezensac, France

L'histoire se passe à Vic-Fezansac, dans la soirée du lundi 25 mars. Un habitant du quartier du Barry se balade près de la rivière, lorsqu'il entend des gémissements provenant des containers, à proximité de la rue La Fayette. Quand l'homme s'approche d'un peu plus près, il découvre un sac plastique posé juste à côté de la poubelle. Le sac remue, il décide de l'ouvrir et découvre à l’intérieur quatre petits chiots, dont trois sont déjà morts. L'adjointe au maire, Barbara Neto est prévenue des faits et arrive sur place : "Des riverains se sont arrêtés pour s'occuper tout de suite de l'animal, gelé."

Ils étaient tout petits, ils venaient de naître - Barbara Neto, première adjointe au maire

 

 

Ce n'est pas tout : l'homme entend des gémissements provenant des containers enterrés. Il regarde dans la poubelle : d'autres chiots sont en train de gémir tout au fond.  Il appelle les pompiers, qui arrivent sur place dans la foulée. L'un d'entre eux descend dans le container et en remonte trois autres chiots. Sur les trois animaux, deux sont très mal en point. Le vétérinaire de Vic-Fezansac est appelé à l'aide, mais il ne parvient pas à sauver les deux petits chiens, trop affaiblis. "Ils étaient tout petits, ils venaient de naître. Il fallait les réchauffer et les nourrir au biberon", témoigne Barbara Neto.

Au total, sur les sept chiots, seulement deux ont survécu. Les deux chiots sont désormais en sécurité, adoptés par un jeune couple de Vic-Fezansac. Aux dernières nouvelles (mercredi 27), ils sont en bonne santé. La mairie de Vic-Fezansac se réserve le droit de porter plainte. 

Source de l'article : Ciquez ICI

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Emmanuel Macron s’en prend aux associations de protection animale

Publié le par Ricard Bruno

L' Article date de 2017, mais je voulais rafraîchir la mémoire à certains !

Voilà pourquoi je vote pour le parti Animaliste !

Voilà pourquoi je vote pour le parti Animaliste !

Emmanuel Macron s’en prend aux associations de protection animale

Décidément, Emmanuel Macron risque de ne pas se faire beaucoup d’amis chez les protecteurs des animaux.

Après s’être déclaré favorable à la réouverture des chasses présidentielles le 14 mars, le candidat d’En Marche! a critiqué les associations de protection animale jeudi lors d’un congrès organisé par la FNSEA.

>> Emmanuel Macron souhaite le retour des chasses présidentielles

“Je n’ai jamais connu un éleveur qui était heureux avec des animaux malades. C’est comme l’idée qu’un employeur serait forcément quelqu’un qui adore licencier des gens.“

“Si quelqu’un est malheureux lorsqu’il y a un problème de bien-être animal, c’est l’éleveur le premier (…) C’est lui pleure quand un animal meurt. Ce n’est pas les gens qui sont dans des associations ou dans des bureaux” a estimé le candidat à la présidentielle.

Pour voir la déclaration du sieur Macron : Cliquez ICI

L’association L214 visée?

Son nom n’est jamais prononcé mais c’est probablement L214 qui fait figure de principale accusée.

L’association de protection animale est en effet en guerre avec le syndicat agricole FNSEA depuis des années.

La cause animale importante pour les Français

Selon un sondage Ifop pour la fondation 30 Millions d’amis dévoilé jeudi, la cause animale est un enjeu important pour quatre Français sur cinq (80%).

Un tiers des Français la considère même le sujet comme «très important», soit une progression de six points par rapport à la dernière élection présidentielle de 2012.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Rambouillet : pro et anti chasse à courre ont défilé sans se croiser

Publié le par Ricard Bruno

Rambouillet : pro et anti chasse à courre ont défilé sans se croiser

Pro et anti chasse à courre ne se sont pas croisés dans les rues du centre-ville de Rambouillet. Et pour cause, tout a été fait pour éviter la confrontation, avec des parcours de manifestations éloignés l'un de l'autre. Dans chaque camp, deux à trois cents manifestants étaient présents. 

Dans le camp pro-chasse, l'équipage de Bonelles-Rambouillet, qui célèbre ce samedi 30 mars la fin de la saison de la chasse à courre, qui se clôturera officiellement demain. Ils défendent une culture de la vénerie, une pratique ancestrale qui consiste à chasser le gros gibier à l'aide de chiens. L'équipage de Rambouillet existe depuis 1871. 
Sur 55 sorties de chasse cette saison l'équipage de Bonnelles Rambouillet a tué 16 cerfs.

Rambouillet : pro et anti chasse à courre ont défilé sans se croiser

Face à eux, les anti-chasse à courre emmenés par le collectif AVA (Abolissons la Vénerie Aujourd’hui) qui dénoncent "des mises à mort terribles". Cette fin de la saison de la chasse signifie pour eux "la fin de la barbarie dans les forêts".

Selon un sondage IFOP de 2017, 84 % des français sont contre la chasse à courre. 

Rambouillet : pro et anti chasse à courre ont défilé sans se croiser
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Droit des animaux: la réponse forte des universitaires juristes de Toulon aux scientifiques de Cambridge

Publié le par Ricard Bruno

La Déclaration de Toulon propose une évolution du statut de l'animal.

La Déclaration de Toulon propose une évolution du statut de l'animal.

A quelques minutes de clore la deuxième édition du colloque sur la personnalité juridique de l’animal, parrainée par la fondation Brigitte Bardot, les enseignants-chercheurs de la fac de droit de l'Université de Toulon Caroline Regad, Cédric Riot et Louis Balmond ont fait une déclaration, en ce vendredi 29 mars qui fera date.

Elle survient , sept ans après la Déclaration de Cambridge (7 juillet 2012). En préambule de la déclaration de Toulon, traduite simultanément en anglais, Caroline Regad a posé les jalons de la reconnaissance des animaux en tant que personne physique-non humaine, étape indispensable à la cohérence et l’efficacité en droit.

Le 7 juillet 2012, "ces chercheurs sont parvenus à la conclusion que les humains ne sont pas les seuls à posséder les substrats neurologiques de la conscience", ceux-ci étant partagés avec "les animaux non-humains" a t-elle déclaré. Ces enseignants-chercheurs de la fac de Droit ont, ainsi, de fait estimé "qu’aujourd’hui, le Droit ne peut plus ignorer l’avancée des sciences pouvant améliorer la prise en considération des animaux, connaissances jusqu’ici largement sous-utilisées."

 

Quel impact va avoir la déclaration de portée nationale et internationale?

"Aujourd’hui, il faut faire prendre conscience que les animaux ne sont pas des choses. Ils doivent être au regard du droit considérés comme une personnalité juridique, insiste Cédric Riot.

Cette prise de conscience, Linda, 21 ans, en licence 2 de Droit l’a déjà intégrée:

"L’animal est un être vivant qui, tout comme nous, a des droits. Ce n’est pas parce que l’animal ne va pas réagir comme l’homme qu’il n’est pas doué de conscience ni de sensibilité."

"Une reconnaissance légitime des droits pour les animaux", selon la fondation Brigitte Bardot, marraine de ce colloque universitaire qui "fixe une ambition forte", selon Christophe Marie, porte-parole de la fondation Brigitte Bardot...

Laquelle se bat pour que "le droit 'd’objection de conscience' soit, aussi, reconnu en France comme cela l’est en Italie et aux Pays Bas.

Et ce, pour permettre à un chercheur à refuser, dans une démarche éthique, ou de pertinence scientifique, de recourir au modèle animal."

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