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Vaches maltraitées à Saint-Vit : pas d’abattage de masse annoncé, mais une batterie d’examens prévue...

Publié le par Ricard Bruno

Vaches maltraitées à Saint-Vit : pas d’abattage de masse annoncé, mais une batterie d’examens prévue...

Les bovins sains de l’élevage de Saint-Vit dans le Doubs pourront gagner les établissements prévus par la fondation Brigitte Bardot après plusieurs examens, a annoncé la Préfecture ce mercredi 13 décembre, les autres seront abattus.

Ce mercredi 13 décembre, la préfecture du Doubs a rappelé dans un communiqué, le jugement rendu deux jours auparavant par le Tribunal de Grande Instance de Besançon concernant les vaches de Saint-Vit, désormais confiées à la Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations du Doubs (DDPP).


Ainsi, les bovins, dont l’état de souffrance psychologique sera manifeste, seront euthanasiés tout comme ceux qui présenteraient un risque d’un point de vue sanitaire. En revanche, les bêtes qui au terme d’une batterie d’examens paraîtront saines seront transportées dans un site choisi pour la DDPP. Là-bas, ils seront surveillés, dépistés et vaccinés.

Un confinement nécessaire

Pour le moment, ce confinement est nécessaire selon les autorités en vigueur, car ces bêtes qui ont "perdu leur qualification sanitaire depuis 2013" constituent un risque.

Au terme de leur isolement, et après qu’elles auront reçu leurs soins, les vaches seront autorisées à : "Gagner les établissements prévus à cet effet par la fondation Brigitte Bardot", explique la préfecture dans son communiqué.

La fondation qui multiplie les appels à la solidarité des agriculteurs pour trouver une ou des pensions provisoires dans le département du Doubs.

Par ailleurs, la préfecture informe que l’abattage de certaines bêtes "sans préjudice des actions pénales engagées à l‘encontre du détenteur des animaux et afin de préserver les droits de la défense" sera autorisé après : "Inspection approfondie."


Vaches maltraitées à Saint-Vit : la fondation Brigitte Bardot lance un appel pour les sauver  :  01 45 05 14 60 

fondation spécialisée dans la protection des animaux lance donc un appel à la "solidarité afin de trouver une ou des pensions provisoires dans le département du Doubs (ou, à défaut dans les départements 39, 01 et 73)". "Les mouvements peuvent intervenir dans la zone de protection liée à la fièvre catarrhale ovine (25, 39, 01, 73, 74), sous réserve de l'état sanitaire des animaux" a conclu la préfecture du Doubs.

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Murray Head ne se résume pas à une chanson...

Publié le par Ricard Bruno

Murray Head : une légende de la chanson samedi soir au Studio de Bretteville-l’Orgueilleuse.

Murray Head : une légende de la chanson samedi soir au Studio de Bretteville-l’Orgueilleuse.

Pour le grand public, Murray Head restera éternellement associé à son mega-tube « Say It Ain’t So, Joe ». C’est un peu réducteur, car le chanteur anglais a composé d’autres très jolies chansons. Faisons mieux connaissance avant son concert de samedi soir à Bretteville-sur-Odon.

Vrai ? Faux ?

« Say It Ain’t So, Joe » est un hommage à son frère

FAUX.  Sorti en 1975, c’est l’un des slows les plus marquants de cette décennie. Ce titre que l’on pourrait traduire par « Dis mois que ce n’est pas vrai, Jo », s’adresse en réalité à Jo Jackson, star américaine du base-ball dans les années 20, compromis dans une affaire de matches truqués. « Say It Ain’t So » est le cri du cœur d’un jeune supporter de l’équipe des White Sox de Chicago, effondré de voir son idole terminer sa carrière dans la honte et la déchéance.

Murray Head parle un français parfait

VRAI.  Né à Londres de parents anglais, Murray Head est un Britannique pur jus. Mais son père (réalisateur) et sa mère (actrice), amoureux de la culture française, l’inscrivent dans un lycée français et passent toutes leurs vacances dans l’Hexagone. Murray Head devient très rapidement bilingue.

Murray Head n’a connu qu’un seul succès

FAUX.  Certes, « Say It Ain’t So, Jo » vient immédiatement à l’esprit lorsqu’on évoque Murray Head. Mais en 1984, il obtient un succès interplanétaire avec « One Night In Banckock », chanson composée par le duo masculin d’Abba : Benny Andersson et Björn Ulvaeus. La chanson se classe dans le haut des charts partout en Europe, mais aussi aux USA, au Canada, en Afrique du Sud, en Australie…

Murray Head est aussi un très bon acteur

VRAI.  Fils de comédienne et de réalisateur, frère d’acteur (dans la série Buffy contre les Vampires, le personnage Rupert Giles n’est autre que son frère cadet, Anthony Stewart Head), Murray Head a toujours entretenu des rapports étroits avec le milieu cinématographique. Ami intime de Patrick Dewaere, il a tourné dans de nombreux films français et côtoyé sur les plateaux de cinéma Brigitte Bardot et Jean Rochefort (À cœur joie, 1967), Annie Girardot et Philippe Noiret (La mandarine, 1972), Fabrice Lucchini et Sandrine Kiberlain (Beaumarchais, l’insolent, 1996), Bernadette Lafont (Les amants du Nil, 2002)… Son nom est également inscrit au générique de nombreuses séries TV.

Murray Head a côtoyé les plus grands musiciens de la planète

VRAI.  Même s’il est resté un peu dans l’ombre des grandes stars du rock anglo-saxon, Murray Head s’est souvent entouré des meilleurs. En 1970, il participe à la comédie musicale « Jesus Christ Superstar » avec Ian Gillian, futur chanteur de Deep Purple. En 1976, il assure la première partie de la tournée d’Elton John, tandis que « Say It Ain’t So Jo » est repris par Roger Daltrey, le chanteur des Who. En 1980, il enregistre un album avec Jeff Beck. En 1993 il cosigne un titre avec Luc Plamandon. « Un Homme, Une Femme », qui cartonne au Canada. Véritable touche-à-tout, Murray Head a également composé de nombreuses musiques de films dont celles de : « Pour 100 briques t’as plus rien » et « A gauche en sortant de l’ascenseur » d‘Édouard Molinaro,

Murray Head en concert au Studio, à Bretteville-l’Orgueilleuse (commune de Thue et Mue), samedi 9 décembre à 20 h 30. Réservations : tél. 06 99 15 75 79 ou lestudio.bretteville@gmail.fr. Facebook : Association Studio culture Bretteville-l’Orgueilleuse.

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Bréhan. Il encourt 8 821 € pour maltraitance sur une renarde

Publié le par Ricard Bruno

 Bréhan, près de Pontivy, une renarde retrouvée amaigrie, stressée, portant des traces de morsures, avec des dents cassées, avait été capturée lors d'une chasse, en mars 2016

Bréhan, près de Pontivy, une renarde retrouvée amaigrie, stressée, portant des traces de morsures, avec des dents cassées, avait été capturée lors d'une chasse, en mars 2016

A Bréhan, près de Pontivy, une renarde retrouvée amaigrie, stressée, portant des traces de morsures, avec des dents cassées, avait été capturée lors d'une chasse, en mars 2016.

« Je sers d'entraînement aux chiens. Venez me tuer pour abréger mes souffrances », indique la lettre anonyme adressée à la Société protectrice des animaux. Courrier qui va permettre de mettre fin aux souffrances d'une renarde, détenue dans un clapier, à Bréhan, près de Pontivy.

L'animal retrouvé amaigri, stressé, portant des traces de morsures, avec des dents cassées, avait été capturé lors d'une chasse, en mars 2016.

Son jeune « propriétaire » de 23 ans décide de la garder « pour exciter » ses neuf chiens de chasse. Les représentants de l'Office national de la chasse vont d'ailleurs retrouver les jacks russels s'acharnant contre les grilles de la porte de l'animal, le jour de leur contrôle, un mois plus tard.

À la barre, accusé de mauvais traitements infligés à un animal, le prévenu soutient « qu'il allait relâcher » la renarde, qu'il nourrissait de croquettes. Elle ne pesait que 3,8 kg (le poids normal varie entre 7 et 14 kg). La présidente s'interroge sur le but d'une telle captivité. Le jeune homme a bien du mal à répondre. « Je ne savais pas que c'était interdit », se justifie-t-il.

Hier, plusieurs fondations de sauvegarde des animaux, dont celle de Brigitte Bardot, ont sollicité 3 821 € de dommages et intérêts. Les efforts entrepris par l'association Volée de piafs contre la maltraitance animale, pour sauver la renarde, ont permis de la rendre à la vie sauvage. Et de réclamer 5 000 € de dommages et intérêts.

 

Le parquet a du mal à croire à l'ignorance du jeune chasseur quant à la législation sur les animaux sauvages. Il requiert deux mois de prison avec sursis, et 250 € d'amende eu égard aux importantes demandes des parties civiles. Le tribunal s'est donné jusqu'au 8 janvier pour rendre sa décision.

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Forêt de Compiègne : une cinquantaine de militants perturbent une chasse à courre

Publié le par Ricard Bruno

Forêt de Compiègne : une cinquantaine de militants perturbent une chasse à courre

DImanche, une chasse à courre menée par l’équipage de la Futaie des Amis a été perturbée par la présence de militants du collectif AVA ("abolissons la vénérie aujourd'hui"). Le résultat d'un affrontement qui monte depuis la mise à mort d'un cerf dans une propriété privée en novembre dernier.

Une cinquantaine de militants du collectif AVA ("abolissons la vénérie aujourd'hui") se sont rendus en forêt de Compiègne dimanche pour assister à une partie de chasse à courre menée par la Futaie des Amis. Une "opération réussie" pour le collectif qui considère avoir permis d'épargner un cerf.

Les militants d'AVA n'ont jamais été aussi nombreux dans une chasse à courre. Et pour cause, ils ont exceptionnellement été rejoint par une dizaine de belges et de britanniques du mouvement "hunt saboteurs".

Alain Drach, maître d'équipage de la Futaie des Amis, a l'intention de déposer plainte auprès de la gendarmerie pour obstruction à un acte de chasse. "Ils n’ont pas le droit d’être là ; ils ne louent pas la forêt. Quand on passe une barrière, on se doute bien qu’on fait quelque chose d’illégal", a-t-il déclaré à nos confrères du Courrier Picard. 

La situation est particulièrement tendue entre les défenseurs des animaux et les chasseurs à courre. Au départ, un incident qui a fait beaucoup de bruit : la mise à mort d'un cerf dans une propriété privé de Lacroix-Saint-Ouen par Alain Drach.

Cerf tué à Lacroix Saint-Ouen : "Je n'ai pas donné mon autorisation", déclare la propriétaire

Cerf tué à Lacroix Saint-Ouen : "Je n'ai pas donné mon autorisation", déclare la propriétaire 
Au terme de cet épisode qui a fait réagir sur les réseaux sociaux, la Société de Vénerie a privé l’équipage de chasse pour une durée d'un mois. Vendredi dernier, plusieurs associations de défense des animaux, dont la Fondation Bardot, L214 ou encore la Fondation 30 Millions d'Amis, ont réclamé l'abolition de la chasse à courre à Nicolas Hulot par le biais d'un courrier. 

"Les voix que nous portons ne peuvent plus être ignorées par nos gouvernants. Aujourd'hui nous ne voulons plus nous taire et nous demandons l'abolition de la chasse à courre !", ont écrit ces associations dans une lettre envoyée au ministre de la Transition écologique et rendue publique par la Fondation Brigitte Bardot.

"De nombreux pays européens (Allemagne, Angleterre, Belgique, Ecosse...) ont déjà banni ce loisir cruel jugeant cette pratique désormais incompatible avec l'évolution de notre société et de nos connaissances vis-à-vis des espèces animales", rappellent les associations.

 

Forêt de Compiègne : une cinquantaine de militants perturbent une chasse à courre

"Qu'attend la France pour rejoindre les pays qui ont eu le courage d'abolir la chasse à courre ?", s'interrogent les signataires. Le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot avait indiqué fin novembre souhaiter "conduire bientôt une grande réflexion sur la condition animale avec le ministre de l'Agriculture".

"Certaines pratiques, comme la chasse à courre, prolongent l'agonie et le stress de l'animal. Cela me heurte profondément. Ce n'est pas l'idée que je me fais de la civilisation",
avait-il détaillé dans une interview à l'Obs, estimant que leur activité donne aux chasseurs "plus de devoirs que de droits". 

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Chiens errants : TAK annonce la création d'une louveterie...

Publié le par Ricard Bruno

Les attaques de chien errant sont devenues un insupportable fléau pour les éleveurs du Sud de l'île, des attaques répétées ont causé la perte de nombreuses bêtes, et la grande colère des éleveurs. André Thien Ah Koon annonce ce jour par communiqué la création d'une louveterie pour réguler la surpopulation de chiens errants.

 
C'est devenu quasi quotidien, les attaques de troupeaux par des chiens errants se multiplient, et causent des pertes dramatiques aux éleveurs qui en sont victimes. Cette nuit encore, un éleveur de La Plaine des Cafres a vu ses bêtes massacrées par des chiens dont il est vraisemblable qu'ils ont pris le goût du sang.

Ci-dessous, le communiqué de la CASUD, signé par André Thien Ah Koon :


Lutte contre les chiens errants : une louveterie sera installée à La Réunion. 
 
Le nouveau carnage commis par une meute de chiens errants la nuit dernière, dans un élevage situé à Piton Hyacinthe, souligne encore une fois la gravité de la crise et la situation dramatique dans laquelle se trouvent les éleveurs.

En ma qualité de Président de la CASUD, j’ai engagé une lutte sans concession contre ce fléau. Il faut empêcher la multiplication des chiens errants pour éviter une crise de l’ampleur de la crise requin. 

Dans ce but, j’ai demandé à l’Etat d’intervenir en renforçant son implication dans les politiques de prévention et de stérilisation que mènent les intercommunalités de La Réunion.

Pour faire face à l’urgence, j’ai aussi sollicité des pouvoirs publics la création d’une louveterie dans notre département. 

J’annonce aujourd’hui aux Réunionnaises et aux Réunionnais que cette parole a été entendue. Par courrier, M. le Préfet m’a informé que ses services travaillent sur la création d’une louveterie dans notre département, qui devrait être opérationnelle au cours du premier semestre 2018.

Le courrier précise que "les personnes compétentes recrutées dans ce cadre seraient entre autre habilitées à effectuer des tirs sur les animaux ne pouvant être capturés". C’est une avancée qu’il faut saluer, dans la protection des élevages et des personnes. Il appartient plus que jamais à l'ensemble des acteurs de se mobiliser et de conjuguer leurs efforts pour venir à bout de ce fléau. 

André Thien Ah Koon
Président de la Communauté d’Agglomération du Sud
 
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Le film qui... de Benicio del Toro...Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

 ©Lucas Film LTD

©Lucas Film LTD

À l'affiche de Star Wars : Les Derniers Jedi, Benicio del Toro nous parle des films qui l'ont marqué. 

À l'occasion de la sortie de Star Wars : Les Derniers Jedi de Rian Johnson, Première s'est plongé dans ses archives pour vous faire découvrir les films qui ont marqué Benicio del Toro. Nous l'avions rencontré en 2013, pour la sortie de Jimmy P. d'Arnaud Desplechin.

Le film qui...

... parle le mieux de l’Amérique centrale ?

Il y en a deux : Mémoires du sous- ddéveloppement, de Tomas Guttiérez Alea, et The Harder They Come, avec Jimmy Cliff. L’un est cubain, l’autre jamaïcain. Ce sont des films superbes qui dressent des tableaux très représentatifs de l’époque et de la culture dont ils sont issus, mais qui en même temps paraissent totalement universels et intemporels. Ils sont un peu meilleurs à chaque fois que je les revois.

... vous faisait faire des cauchemars quand vous étiez enfant ?

Les Nerfs à vif, de J. Lee Thompson. Parce que l’histoire de ce cinglé qui harcèle une famille est terrifiante, bien sûr, mais surtout à cause de Robert Mitchum, de sa gueule, de sa démarche. Petit, j’étais fasciné par les films de monstres avec Bela Lugosi, Boris Karloff, Lon Chaney... Mais là, c’était la première fois qu’un mec bien réel – pas une créature – me flanquait la chair de poule. Vraiment flippant.

... devrait être montré dans tous les cours d’art dramatique ?

Un tramway nommé Désir, d'Elia Kazan. L’alliance parfaite entre le cinéma et le théâtre, entre un texte brillant et de grands acteurs – Marlon Brando, Vivien Leigh, Kim Hunter, Karl Malden... Mais je cite peut-être ce film-là parce que j’ai étudié avec Stella Adler, qui avait été la prof de Brando. Pour tous les apprentis comédiens de ma génération, c’était la référence absolue.

... vous a donné envie de faire ce métier ?

Sans doute Papillon, de Franklin J. Schaffner. Mais ça n’a pas été conscient, je ne suis pas sorti du cinéma en me disant : "Je veux devenir acteur !" C’est juste que cette histoire était si forte, si fascinante...  Dans ce film, les performances de Steve McQueen et de Dustin Hoffman sont d’une puissance inégalable.

... s’apprécie mieux dans un état second ?

Les Lumières de la ville. Voir Chaplin jouer l’ivrogne te permet de te sentir moins seul si tu as toi aussi un coup dans le nez. (Rire.) Sinon, pour planer, rien ne vaut Pinocchio, Dumbo ou n’importe quel Disney de la grande époque. Des trips visuels qui marchent très bien sans le son.

... vous a fait tomber amoureux de son actrice ?

Je ne suis pas le genre de spectateur qui fantasme facilement sur les actrices. Cela dit, je dois reconnaître que la beauté de Brigitte Bardot dans Le Mépris, de Godard, a quelque chose de surréel qui m’avait scotché à mon fauteuil. J’ai cru comprendre que je n’étais pas le seul, d’ailleurs. À part ça, quand j’étais gosse, j’avais le béguin pour la fiancée de Frankenstein.

... devrait être envoyeé dans l’espace pour informer les extraterrestres de notre existence ?

Ça dépend du message qu’on souhaite faire passer. Un Capra pour leur souhaiter la bienvenue ? Ou le Chien andalou de Bunuel pour les refroidir ? (Rire.) Vraiment, impossible de trancher. On ne pourrait pas plutôt leur faire parvenir un coffret avec une sélection de chefs-d’œuvre ? Adressez-leur de ma part Le Parrain, Les Sept Mercenaires  et Le Trésor de la Sierra Madre.

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Johnny Hallyday et les animaux...

Publié le par Ricard Bruno

Dans cette vidéo, Johnny Hallyday nous parle de sa passion pour les animaux...

 

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Promiscuité, cadavres putréfiés… L214 épingle un élevage de poules effroyable

Publié le par Ricard Bruno

Saleté, manque d’entretien, promiscuité, cadavres en putréfaction…

Saleté, manque d’entretien, promiscuité, cadavres en putréfaction…

L 'association de défense des animaux, soutenue par l'animateur Stéphane Bern, a tourné ce nouveau film dans les Cotes-d'Amor.

Ces images font une fois de plus froid dans le dos : saleté, manque d'entretien, promiscuité, cadavres en putréfaction… L214 publie ce lundi une nouvelle vidéo choc pour dénoncer un élevage de poules en batterie. L'association de défense des animaux, soutenue par l'animateur Stéphane Bern, a tourné ce film entre janvier et février 2017, dans les Cotes-d'Amor.

 

Dans un communiqué, elle annonce son intention de porter plainte contre l'entreprise et affirme qu'elle va introduire un recours en responsabilité contre l'État pour manquement à sa mission de contrôle de l'application de la réglementation. Les œufs de cet élevage, assure L214, sont destinés à des produits transformés et commercialisés sous la marque Matines en grande surface.

L214 profite de cette nouvelle vidéo pour lancer une pétition adressée au Président de la République Emmanuel Macron, “demandant l'interdiction de l'élevage des poules en cage. Une interdiction déjà adoptée en Autriche et en Suisse depuis de nombreuses années.”

Source de l'article : Cliquez ICI


 
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The New-York Times : En France, depuis 1945, il y a eu 3 stars : de Gaulle, Brigitte Bardot et Hallyday !

Publié le par Ricard Bruno

The New-York Times : En France, depuis 1945, il y a eu 3 stars : de Gaulle, Brigitte Bardot et Hallyday !

The Star Power of Johnny Hallyday (Jimi Hendrix Was His Opening Act)

 

Johnny Hallyday in concert at the Parc des Princes stadium in Paris in 1993, shortly after his 50th birthday.

Johnny Hallyday in concert at the Parc des Princes stadium in Paris in 1993, shortly after his 50th birthday.

Few in the United States had, or have, heard of Johnny Hallyday, the rock star known as the Elvis of France, who died this week at the age of 74. But, as the French public relations guru Gilles Paquet once said, “In France, since 1945, there have been three stars: de Gaulle, Brigitte Bardot and Johnny Hallyday.”

As proof, to celebrate his 50th birthday, in June 1993, Mr. Hallyday mounted three mega-concerts at the Parc des Princes stadium in Paris, each drawing an audience of 60,000 and replete with a 400-foot stage; a set, built at a military base in the French city of Strasbourg, featuring New York skyscrapers; 100 members of his Harley motorcycle club, the Desperados, escorting him across a bridge over the crowd; a 20-piece band; a bevy of sexy backup singers; a ballet of American muscle cars; bungee-jumping off the roof; and fireworks.

Beforehand, Mr. Hallyday sat down at his home in the 16th Arrondissement of Paris to reflect on his career, in an interview that is being published here for the first time.

How many albums have you recorded?

I don’t know. Really, I don’t know. A lot. In the ’70s, we used to do albums like we’d go to the movies. We could do an album in six weeks. Now we take six months. On the last album, which we did in New York, I worked with Richie Sambora from Bon Jovi. Jon Bon Jovi is writing two songs for my next album, with Richie. Richie is a good friend of mine, and I’m proud of it, because honestly, I like what he does.

What is rock ’n’ roll?

There’s no more rock ’n’ roll. For me, rock ’n’ roll died at the end of the ’60s. There’s basic music, but not rock ’n’ roll. I don’t like rap. I mean, I don’t hate it. A good one, I’d listen to it, but I would never do it.

Is there good pop music?

Not a lot. In France, the only one is Vanessa Paradis. What she has inside — what she gives — that you can never learn. She’s like Brigitte Bardot. Brigitte Bardot, she was not a good actress but nobody could play a role like she did, because she had something more. Vanessa is the same.

What is rock ’n’ roll?

There’s no more rock ’n’ roll. For me, rock ’n’ roll died at the end of the ’60s. There’s basic music, but not rock ’n’ roll. I don’t like rap. I mean, I don’t hate it. A good one, I’d listen to it, but I would never do it.

Is there good pop music?

Not a lot. In France, the only one is Vanessa Paradis. What she has inside — what she gives — that you can never learn. She’s like Brigitte Bardot. Brigitte Bardot, she was not a good actress but nobody could play a role like she did, because she had something more. Vanessa is the same.

Mr. Hallyday in 1971...

Mr. Hallyday in 1971...

Yes. My favorite musicians are American. In the early ’60s, Eddie Cochran and Gene Vincent. After that, Creedence Clearwater Revival, and after that, Rick James a little bit. And Jimi Hendrix.

You know, he was my opening act for a while. I discovered him in London at a club one night. I was with Otis Redding, and we were eating at the restaurant of the club, and we heard that incredible guitar. We went to see who was playing, and it was Jimi. I was about to start a tour in Europe, and I needed an opening act and said, “Do you want to do it?” And he said, “Yeah.” So he toured with me for six months, and we became friends.

After he did “Hey Joe,” he said, “I have a version I’m not using. Do you want it?” I said, “Yeah.” I went to London and recorded “Hey Joe” in French, with Jimi Hendrix playing acoustic behind. It became a No. 1 hit for two months.

After that, he became — well, you know about Jimi. He started to take all those drugs, and then he died. One thing I miss in my life is Jimi. Jimi was one of my few best friends. I hate drugs for that. Drugs take all the good fellows I know.

Do you like being a star?

No. No, not so much.

Why?

Well, because it’s difficult to live a life being a star. I was so young when I started. I really feel like I missed my adult male life. Like being with a woman — being a star has spoiled everything. I mean, I cannot live a normal life with a woman. A woman who wants to have children. I would love to have a normal life, with a wife and kids I could take to school, but I don’t know if I’d be able. It’s difficult to find a woman, first. I’m trying, I hope before I die I’ll find her.

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