Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

brigitte bardot

De Bardot à Yourcenar, les belles rencontres du photographe Jean-Pierre Laffont

Publié le par Ricard Bruno

De Bardot à Yourcenar, les belles rencontres du photographe Jean-Pierre Laffont

EN IMAGES - Le photojournaliste compile dans Nos Stars en Amérique portraits et anecdotes sur les voyages des vedettes françaises aux États-Unis. Instantanés drôles et touchants.

Brigitte Bardot, le 20 décembre 1965 au Plaza Hotel de New York. Tout à droite, Jean-Pierre Laffont et son appareil photo.
Brigitte Bardot, le 20 décembre 1965 au Plaza Hotel de New York. Tout à droite, Jean-Pierre Laffont et son appareil photo. Santi Visalli

Ces photos nous parlent d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Au mitan des années 1960, New York, capitale des arts, du cinéma et de la musique, est «the place to be» pour le gratin français. Charles Aznavour, Gilbert Bécaud ou Enrico Macias squattent la scène de Carnegie Hall. On se bouscule dans les palaces de cette «ville qui ne dort jamais» pour assister aux revues d’une certaine Line Renaud. Brigitte Bardot fait chavirer le tout-New York lors d’une conférence de presse restée célèbre à son retour du tournage mexicain de Viva Maria. Tant pis pour Jeanne Moreau.

Installé à New York depuis 1965, le jeune Français Jean-Pierre Laffont documente, pour différentes publications hexagonales, le séjour new-yorkais de ces «Frenchies». Nos stars en Amérique, publié en septembre dernier aux éditions La Martinière, recense quelques-uns de ces instantanés. Les stars y apparaissent sans fards (et sans attachés de presse), captées au naturel dans les rues de Manhattan ou de Chinatown, transformées en studio géant.

La carrière de Jean-Pierre Laffont ne se résume cependant pas aux vedettes en goguette sur la 5e avenue. Il photographie aussi un tout autre visage de l’Amérique, plus «turbulent» (c’est le titre de son livre, Turbulente Amérique, paru en 2014). Avec Éliane, son épouse et complice de toujours, ils ouvrent en 1969 le premier bureau de l’agence Gamma aux États-Unis. Il couvre alors les meetings de Martin Luther King et de «Bobby» Kennedy. Puis, en 1973, ces deux passionnés fondent l’agence Sygma. Jean-Pierre Laffont devient correspondant à la Maison Blanche et immortalise l’empeachment de Nixon. En 1979, il remportera même le prestigieux World Press Photo pour une série sur le travail des enfants dans le monde.

Deux aspects de son travail qui ne sont pas contradictoires selon ce passionné de l’Amérique. Ou plutôt des Amériques, dans toute leur complexité. Rencontre.

LE FIGARO. - Vous avez fait carrière dans le photojournalisme, couvert certaines journées historiques du XXe siècle, remporté un World Press Award... Comment en arrive-t-on à la photo de célébrités?

Jean-Pierre LAFFONT. - Dans les années 1960-1970, les photographes faisaient tout à la fois. On nous envoyait quelque part pour couvrir tout ce qui s’y passait. En 1970, j’étais l’un des seuls photographes correspondants aux États-Unis. Je suivais les protestations contre la guerre du Vietnam, le mouvement pour les droits civiques, celui pour les droits des femmes… Tout cela ne m’empêchait pas de faire de la photo de célébrités. Quand j’ai photographié Dave en 1976, j’arrivais du Guatemala, où un tremblement de terre avait fait des dizaines de milliers de morts. J’étais accablé de chagrin, marqué par ces photos graves que je venais d’expédier à Paris. Dave, que je devais photographier le jour même, était tout le contraire. Il était fou de joie de découvrir New York en ce mois de janvier glacial. Nous sommes allés ensemble visiter le World Trade Center, qui venait d’être achevé. Le lendemain, je suis reparti au Guatemala, où je suis resté un mois.

Pourquoi avoir choisi de vous installer aux États-Unis?

À Paris, j’étais un pied-noir malheureux et sans vrai boulot. À l’époque, j’étais l’assistant du photographe Sam Lévin. Un incroyable portraitiste. J’avais des responsabilités sympathiques mais je n’arrivais pas à trouver les sujets de magazine sur lesquels j’espérais travailler.

Quelle est la première célébrité que vous ayez photographiée?

Ava Gardner, que Sam Lévin m’avait demandé de photographier pendant un tournage à Rome. Elle tournait alors La Maja nue, dans lequel elle incarnait la duchesse d’Albe, muse et maîtresse de Goya. Elle arrivait le soir, complètement saoul, avec un verre de gin tonic dans la main et un chien sous chaque bras. Elle avait décidé de tourner la nuit uniquement, car son contrat avec la MGM stipulait qu’il y aurait de l’air conditionné sur le plateau. Sauf que toutes les scènes étaient en extérieur, sous un soleil de plomb. Quand on commençait à tourner, le soir, vers 1 ou 2 heures du matin, toutes les lumières de la ville s’éteignaient d’un coup, car toute l’électricité était pompée par la Cinecittà! De mon côté, je devais la photographier toujours du même côté. Elle fréquentait alors un torero et sa joue avait été éraflée par une corne de taureau.

Source de l'article : Cliquez ICI
Partager cet article
Repost0

Brigitte Bardot par "Sissy Piana"...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot par "Sissy Piana"...J'ai rarement vu un buste de Brigitte Bardot aussi bien réalisé, cette artiste a un talent fou...une pure merveille, allez voir sur Facebook ses autres créations tout autant bluffant de réalisme...

Bruno Ricard 

Brigitte Bardot par "Sissy Piana"...
Partager cet article
Repost0

Brigitte Bardot : 1ère fois devant une caméra document RARE !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : 1ère fois devant une caméra document RARE ! essais pour le film "Les lauriers sont coupés" Marc Allegret essais Bardot...

Partager cet article
Repost0

Gainsbourg et Bardot : l’enregistrement interdit refait surface

Publié le par Ricard Bruno

 

Sorti le 11 octobre, l’album “En studio avec Serge Gainsbourg” est un rêve devenu réalité pour tous les fans de l’homme à la tête de chou. Sur 3 CD s’étendent ainsi de nombreuses versions inédites de ses plus gros tubes, des musiques de films composées par ses soins et des interviews de ses arrangeurs, ingénieurs du son et musiciens.

 

 

 

À l’automne 1967, le sex-symbol intercontinental Brigitte Bardot demande à son amant de lui écrire la plus belle chanson d’amour qu’il puisse imaginer. Serge Gainsbourg, alors jeune compositeur meurtri, se met à la tâche. Dans la nuit qui suit, il compose le célebrissime Je t'aime moi non plus. Le musicien enregistre un orchestre à Londres puis revient à Paris, dans un studio de l'avenue Hoche, pour immortaliser sa passion derrière un microphone. Le lendemain, dès midi, les soupirs et les gémissements du couple illégitime résonnent déjà sur les ondes d’Europe 1.

 

Mais Gunther Sachs, le richissime mari de Brigitte Bardot, n’apprécie pas du tout cette chanson (trop) sensuelle. Ridiculisé, il menace sa femme de poursuites judiciaires. L’actrice implore Gainsbourg de ne pas diffuser l’œuvre et évite le scandale de justesse. Je t'aime moi non plus disparaît, la bande est enfermée dans un coffre pendant près de huit ans et les nouveaux Bonnie et Clyde se séparent amèrement.…

 

Deux ans plus tard seulement, en 1969, Gainsbourg profite de cette année érotique pour devenir un véritable bourreau des cœurs. Il s’éprend d’une jeune actrice anglaise avec laquelle il tourne un long-métrage dramatique. Il demande alors à Jane Birkin, sa nouvelle muse, d'interpréter le morceau Je t'aime moi non plus, une octave plus haute que la version de BB. C’est cette version que l’on connaît tous aujourd’hui.

La première version de ce tube fait partie des enregistrements originaux qui figurent sur l’album En studio avec Serge Gainsbourg, sorti le 11 otobre dernier. On y trouve également la version instrumentale de L'homme à la tête de chou, la prise complète de Melody ou encore L’ami Caouette avec un texte alternatif. De plus, prévu pour le 17 octobre, Le Gainsbook est un ouvrage qui retrace la fabrication et l’élaboration de chacun des 45 tours de Serge Gainsbourg. Entre Paris, Londres, New York et Kingston, tous ceux qui ont accompagné l’auteur de Sea Sex and Sun, témoignent pour créer l’odyssée musicale de la carrière de cet artiste sans égal.

Source de L'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Brigitte Bardot récompensée par GAIA

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot récompensée par GAIA
Brigitte Bardot récompensée par GAIA

Brigitte Bardot s’est vu attribuer le “Lifetime Achievement Award” de GAIA. Ce prix est un hommage à une icône de la lutte pour les droits des animaux. 

La star, qui a fêté ses 85 ans ce 28 septembre, a reçu une statuette très symbolique: deux mains ouvertes portant sept animaux, dont un cheval, un agneau et un phoque avec l’inscription: “Et Dieu créa la militante qui combat pour les droits des animaux”. 

L’actrice, très engagée dans la défense des droits des animaux, a déjà soutenu plusieurs campagnes de GAIA, comme celle sur l’interdiction par l’UE du commerce des produits dérivés du phoque, contre les transports d’animaux vivants sur de longues distances, ou encore contre les cruelles courses de chevaux de rue.

“Brigitte Bardot défend inlassablement les animaux depuis près d’un demi-siècle. Ce prix est un hommage à une icône de la lutte pour les droits des animaux”, a déclaré Michel Vandenbosch, président de GAIA, dans un communiqué. “Je l’ai rencontrée plusieurs fois et, chaque fois, j’ai été impressionné par son charisme et sa tendresse. Personne ne mérite cet award plus qu’elle”.

 

“Symbole précieux”

Dans une lettre personnelle adressée aux fondateurs de GAIA, Brigitte Bardot a exprimé sa gratitude: “J’ai rarement de belles nouvelles, mais quelle merveilleuse surprise d’apprendre que vous m’avez remis ce magnifique ‘Lifetime Achievement Award’. C’est un symbole si précieux que j’en ai les larmes aux yeux!”

Brigitte Bardot récompensée par GAIA
Brigitte Bardot récompensée par GAIA
Partager cet article
Repost0

La déclaration d’amour de Brigitte Bardot à Gaia

Publié le par Ricard Bruno

La déclaration d’amour de Brigitte Bardot à Gaia

 

 

 

Partager cet article
Repost0

La comédienne Marie-José Nat est morte à 79 ans

Publié le par Ricard Bruno

Marie-José Nat, figure familière des écrans dans les années 60 et 70 dont le grand rôle est « Élise ou la vraie vie », est décédée jeudi à Paris à l’âge de 79 ans.

Marie-José Nat à Cannes en 1974 avec son mari de l’époque le réalisateur Michel Drach qui lui confia plusieurs grands rôles. PHOTO AFP

L’actrice née en 1940 à Bonifacio d’un père kabyle et d’une mère corse a été dirigée par des metteurs en scène connus comme Henri-Georges Clouzot, Gérard Oury ou Claude Autant-Lara, lors d’une carrière menée autant au cinéma qu’à la télévision.

Son premier rôle important lui est confié par Denys de La Patellière pour Rue des Prairies (1959), où elle est la fille de Jean Gabin. Elle sera aussi la sœur de Brigitte Bardot dans La Vérité (1960) de Henri-Georges Clouzot.

Cette femme aux yeux et aux cheveux très noirs avait reçu en 1974 le prix d’interprétation féminine à Cannes pour Les Violons du Bal de Michel Drach, histoire autobiographique du réalisateur avec qui elle partagea sa vie plus d’une décennie.

Avant cela, il lui avait offert en 1967 un de ses plus beaux rôles dans Élise ou la vraie vie, l’histoire d’une jeune fille qui se lie d’amour avec un militant algérien du FLN (Front de libération nationale, en lutte pour l’indépendance de l’Algérie), qui fit alors polémique.

 

Marie-José Nat a aussi travaillé pour la télévision, comme dans la série à succès Les Gens de Mogador, saga en 13 épisodes, diffusée à partir de 1972.

En 1977, elle tourne avec Victor Lanoux Passé simple, sous la direction de Michel Drach. Plus tard, elle épousera Lanoux.

 

 

Elle s’est remariée en 2005 avec l’écrivain et peintre Serge Rezvani, connu du grand public pour être l’auteur de chansons célèbres, dont « J’ai la mémoire qui flanche » et « Le tourbillon de la vie », interprétées par Jeanne Moreau.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Adoptez un animal chez Brigitte Bardot !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot

En mars 1980, B.B dans son jardin de Bazoches. Si le domaine est désormais ouvert au public pour les adoptions, seuls les chats ont le droit de rentrer dans la maison de Brigitte Bardot.

A Bazoches-sur-Guyonne (Yvelines), la propriété de Brigitte Bardot est désormais ouverte au public tous les samedis afin de proposer chats et chiens à l’adoption. 

A chaque instant, on a le sentiment qu’elle va surgir de sa maison, pieds nus et cheveux au vent. C’est ici, à Bazoches-sur-Guyonne, dans les Yvelines, que Brigitte Bardot se réfugiait de juin à octobre, fuyant les touristes et les voyeurs qui rôdaient autour de sa demeure tropézienne dès le soleil venu. En 1960, Brigitte Bardot a le coup de foudre pour cette ancienne bergerie blottie dans un farfouillis d’arbres, de fleurs, de marre et de prairie, situé à 40 minutes de Paris. Elle y vit en harmonie avec ses animaux et ses rares amis, puis, en 2006, décide de faire don de sa propriété à sa Fondation qui, à son tour, rachète d’autres parcelles voisines. Ainsi le refuge de Brigitte Bardot est-il devenu celui des rescapés de l’enfer humain.

Aujourd’hui, cette propriété de 4 hectares est un coin de paradis, un lieu de convalescence sans cage, ni box, afin de permettre à près de 700 animaux abandonnés et maltraités de panser leurs plaies et de retrouver confiance en l’homme. Parmi eux, il y a des moutons joufflus et des chèvres câlines sauvés de l’Aïd, une joyeuse troupe de cochons vietnamiens qui a échappé à la mort quand les obsédés de la peste porcine menaçaient. Des chats et des chiens victimes de cruautés, d’autres qui ont fait les frais d’une rupture de couple ou qui ont été laissés sur le carreau suite au décès de leur propriétaire, les héritiers ne voulant pas « s’encombrer ».

 

 

Les animaux bichonnés par une équipe au coeur d'or

Jusqu’alors fermé au public, le refuge de Bazoches ouvre désormais ses portes tous les samedis pour proposer ses chats et quelques chiens à l’adoption. Installés dans deux chatteries avec lampes chauffantes et accès à l’extérieur, bichonnés par une équipe au cœur d’or (une dizaine d’employés et des bénévoles), les petits félins attendent patiemment leur nouvelle famille. Le plus difficile ? Devoir « choisir » : tous sont des boules de tendresse qui accourent dans vos jambes pour se faire caresser.

Pour fêter ce bel évènement, la Fondation Brigitte Bardot a réuni, le 5 octobre, ses amis les plus fidèles. On comptait ce jour-là de nombreuses célébrités (Arielle Dombasle, Raphaël Mezrahi, Dave, Aymeric Caron…), mais aussi des personnalités politiques (Samantha Cazebonne, Aurore Bergé, Gabriel Attal…), et un seul message à diffuser le plus largement possible : n’achetez pas, adoptez !

Refuge de Bazoches
Chemin de la Buissonnerie
78490 Bazoche-sur-Guyonne
01 34 86 23 70 ou 01 45 05 14 60
adoption.fondationbrigittebardot.fr

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Brigitte Bardot documentaire sur ses 85 ans ! partie 1

Publié le par Ricard Bruno

Partager cet article
Repost0