QUAND UN ROULEAU DE PAPIER TOILETTE ENTRE DANS L'HISTOIRE...
3 films cultes avec Brigitte Bardot
Brigitte Bardot a incarné pendant plusieurs décennies l’archétype de la femme fatale et est devenue l’une des figures emblématiques du mouvement de libération sexuelle. Si l’artiste a touché à plusieurs disciplines au cours de sa vie, y compris le mannequinat, la musique et la danse, c’est le cinéma qui a véritablement propulsé sa carrière.
Celle qui est aussi appelée par ses initiales, BB, est née le 28 septembre 1934 à Paris. C’est après qu’elle eut posé pour la couverture du magazine ELLE que le cinéaste Jean Boyer lui a offert son premier rôle, dans Le trou normand, en 1952. Brigitte Bardot a tourné dans plus de 45 films au cours de sa carrière, à laquelle elle a mis fin en 1973 pour se consacrer à la défense animale. Elle demeure cependant l’une des actrices les plus populaires de sa génération.
Voici trois films qui ont marqué son parcours.
Et Dieu… créa la femme (1956)

Réalisé par Roger Vadim, son mari à l’époque, ce drame sentimental va faire connaître Brigitte Bardot au monde entier. Cette dernière joue le rôle de Juliette Hardy, une jeune femme qui a confiance en elle, qui assume sa sexualité et qui s’attire ainsi les foudres de sa tutrice. Ce film qui transforme l’actrice en sex-symbol sera critiqué par les milieux conservateurs de l’époque, mais soutenu par les cinéastes de la Nouvelle Vague, dont Jean-Luc Godard et François Truffaut. L’année suivant sa sortie en France, Et Dieu… créa la femme triomphe aux États-Unis.
Le mépris (1963)
Il s’agit d’une adaptation cinématographique du roman éponyme d'Alberto Moravia. Dans ce film réalisé par Jean-Luc Godard, l’actrice prête ses traits à Camille Javal, la femme d’un scénariste joué par Michel Piccoli. L’intrigue se déroule dans le monde du septième art, en Italie, et s'intéresse à la difficile communication du couple Javal, qui multiplie les querelles et les malentendus. À sa sortie, Le mépris reçoit de nombreux commentaires élogieux et est souvent cité comme l’un des chefs-d’œuvre de son réalisateur. À nouveau, l’actrice y interprète une femme sensuelle et énigmatique.
Viva Maria! (1965)
Dans cette comédie d’action réalisée par Louis Malle, Brigitte Bardot donne la réplique à Jeanne Moreau. Les deux actrices interprètent un duo de chanteuses de cabaret qui vont s’impliquer dans la révolution mexicaine, d’abord pour séduire un homme, puis par conviction jusqu'au triomphe du soulèvement. Un film dynamique où l'accent est mis sur le charme des deux protagonistes.
Et Dieu… créa la femme : retour sur le film scandale qui propulsa la carrière de Brigitte Bardot il y a 67 ans
28 décembre 1956 : le jour où Dieu créa Brigitte Bardot. Vous l’aurez compris, il s’agit de la date de sortie du film « Et Dieu… créa la femme », avec pour têtes d’affiche celle que l’on surnomme « BB » et Jean-Louis Trintignant.
A l’époque, Brigitte Bardot a 22 ans, elle est dans le rayonnement le plus total. Le réalisateur du film est également son mari, Roger Vadim, et a écrit pour elle ce scénario, dont aucun producteur n’a voulu.
Récemment, la jeune actrice a fait parler d’elle au , où elle a joué les starlettes. Ainsi, le film sort il y a 67 ans très exactement. Au démarrage, l’accueil est plutôt mitigé en France.
Mais lorsque le film sort aux Etats-Unis, c’est un véritable triomphe, qui revient en « boomerang » et crée finalement un succès mondial.
Un film honni par les intégristes religieux
Il ne faut pas oublier que le film a fait scandale. C’est l’histoire d’une fille très libre, notamment sur le plan sexuel : des scènes nues sont censurées dans certains pays et les intégristes religieux conspuent l’œuvre, accusant le diable plutôt que Dieu d’être le créateur de Bardot.
Malgré tout, c’est aussi ce parfum de qui fait le succès du film et propulse celle qu’on appellera bientôt couramment « BB » au sommet. Bientôt, le petit port de devient l’épicentre de la vie du « star-system » et des « people ».
Le centre de soin pour la faune sauvage de Savoie et de Haute-Savoie lance un appel aux dons
L’hiver ce sont les hérissons, les rapaces, les chauves-souris qui trouvent refuge au centre. Le Tétras Libre, le centre de sauvegarde de la faune sauvage des Pays de Savoie a besoin d’argent pour payer les 4 salariés et le matériel. Il lance un financement participatif sur internet.
Le Tétras Libre reçoit des milliers d'animaux sauvages, biches, renards, chouettes, cygnes depuis son ouverture en 2020. Il avait alors été élu meilleur projet du budget citoyen du département et avait bénéficié d’une importante subvention. Le centre emploie 4 salariés dont 3 soigneuses. Il a besoin de 200.000 euros pour fonctionner tous les ans et on est loin du compte !
Plus d'animaux accueillis mais pas assez de moyens
Selon l’association, "les accueils d’animaux sauvages augmentent drastiquement mais pas nos moyens financiers. Le fonctionnement quotidien du centre de soins nécessite beaucoup de moyens en terme de matériel, nourriture, médicaments, fourniture d’énergie, mais aussi pour financer notre renfort saisonnier qui nous aide à gérer les centaines d’animaux qui arrivent en quelques mois avec tous les jeunes de l’année". Le centre est ouvert tous les jours de l’année. Il accueille uniquement les animaux de la faune sauvage. Les animaux domestiques sont dirigés vers d’autres structures "nous prenons en charge gratuitement tous les animaux sauvages en difficulté que l’on peut nous apporter".
La fondation Brigitte Bardot ou l'association 30 millions d'amis soutiennent aussi le Tétras Libre, elles participent notamment à l'achat de nourriture ou de médicaments.
Une cagnotte en ligne
Depuis le début du mois de décembre et jusqu'à fin janvier, un financement participatif est lancé via internet. Le message est clair : "notre centre de soins pour la faune sauvage risque de fermer ses portes fin 2024. Votre soutien financier nous aidera à garder le cap !". Idéalement le centre aurait besoin de subventions des collectivités pour le fonctionnement, pour payer les salaires notamment, le matériel et les médicaments alors que pour l'instant, les départements de la Savoie et de la Haute Savoie ou la Région donnent des aides essentiellement pour les investissements (les aménagements des salles de soin, des travaux, les agrandissements). Les responsables du centre espèrent que les collectivités viendront compléter la générosité des donneurs en ligne avec des subventions publiques pérennes.
Pour aider financièrement l'association : c'est ici

À l'intérieur les animaux sont isolés le temps de se refaire une santé

et hérisson là va retourner en quarantaine
Cochons sauvages à Marignane : la Fondation Brigitte Bardot dénonce une vaste opération "d'abattage"
L’association assure que des dizaines de cochons qui prolifèrent a Marignane ont été abattus mardi 19 décembre autour de la zone industrielle de La Palun.
"C'est une trahison, une rupture unilatérale dans la collaboration établie entre notre Fondation et les services vétérinaires du département" : la Fondation Brigitte Bardot dénonce une opération "d'abattage" de cochons sauvages de la zone industrielle de la Palun, à Marignane.
Un rendez-vous d'urgence avec la DDPP
La Fondation ne connaît "pas encore le protocole qui a été suivi (...) ni la méthode utilisée", mais elle a demandé un rendez-vous "d'urgence" avec la Direction départementale de la protection de la population (DDPP) afin de demander la prise en charge des "cochons survivants."
Depuis quelques années, les cochons prolifèrent dans la commune. Début 2022, France bleu Provence rapportait une estimation d'environ 250 cochons autour de cette zone, alors qu'ils n'étaient que "quelques individus" moins de cinq ans auparavant.
La régulation des ragondins avec du tir à l’arc provoque la colère de la Fondation Brigitte Bardot
« C’est une méthode moyenâgeuse et cruelle. » La décision des élus de la communauté de communes de la Côte d’Emeraude de réguler la présence de ragondins à Lancieux (Côtes-d’Armor) avec du tir à l’arc a provoqué la colère de la Fondation Brigitte Bardot.
Animal semi-aquatique originaire d’Amérique du Sud, le ragondin peut causer des dégâts sur l’écosystème.
Du côté de Lancieux (Côtes-d’Armor), des ragondins ont causé des dégâts sur une digue. En conséquence, les élus de la communauté de communes de la Côte d’Emeraude ont décidé d’agir.
Une régulation au tir à l’arc
Jusqu’ici, rien d’extraordinaire. Depuis plusieurs années, de nombreuses communes sont confrontées à la prolifération des ragondins, un petit mammifère originaire d’Amérique du Sud. Plusieurs moyens existent pour « réguler » sa présence.
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