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Rejet de la PPL corrida

Publié le par Ricard Bruno

Rejet de la PPL corrida

e 14 novembre 2024 était examinée en séance publique au Sénat une proposition de loi visant à interdire la corrida et les combats de coqs en présence d’enfants de moins de seize ans.

Le texte, porté par les sénateurs Samantha Cazebonne et Arnaud Bazin, avait pour objet de protéger les mineurs du traumatisme psychologique lié à l’exposition de violence sur les animaux.

Cette proposition de loi transpartisane allait dans le sens des demandes exprimées par les Français. Voyez notamment l’enquête de l’Ifop de 2019, menée dans les régions taurines : 80% des répondants se disaient favorables à l’interdiction de la corrida aux moins de seize ans ! Et dans les régions non taurines, ils étaient 86% à souhaiter cette interdiction.

Malheureusement, les sénateurs ont rejeté cette proposition de loi, avançant diverses arguties juridiques, mais aussi des arguments tels que « laissons les parents décider, ce n’est pas le rôle du législateur »…

La Fondation Brigitte Bardot a soutenu cette proposition de loi, dont l’adoption aurait constitué une avancée dans la prise en compte des souffrances faites aux animaux et la protection des enfants face à certaines violences.

Car en effet, en droit positif, corrida et combats de coqs constituent des actes de cruauté envers les animaux. Bien que le droit français interdise d’exercer des sévices graves ou des actes de cruauté envers les animaux domestiques, apprivoisés ou tenus en captivité, que l’acte soit effectué publiquement ou non (article 521-1 du code pénal), la corrida et les combats de coqs bénéficient d’une dérogation au motif de « tradition locale ininterrompue ». Donc concrètement, dans les localités où une tradition ininterrompue peut être invoquée (pour la corrida) ou établie (pour les combats de coqs), corrida et combats de coqs restent autorisés.

C’est ainsi que ce texte, qui aurait permis de suivre les recommandations de psychiatres, de pédopsychiatres et du Comité des droits de l’enfant de l’ONU, a été rejeté. Les enfants, quel que soit leur âge, pourront donc continuer à assister à la mise à mort des taureaux (en moyenne 1000 taureaux tués par an en France).

Par ailleurs, toujours en France, des enfants ont la possibilité de prendre part aux actes de cruauté, puisqu’il existe des écoles taurines (il en existe cinq à ce jour), où des enfants parfois âgés de seulement 6 ans, apprennent et s’entrainent à torturer et tuer des veaux afin de devenir tauréadors ou juste … « pour le plaisir ». Ironiquement, la diffusion de tauromachie à la télévision est encadrée par l’Arcom, afin de ne pas heurter la sensibilité des jeunes enfants (interdiction de montrer la mise à mort du taureau).

Nous déplorons le rejet de ce texte, mais restons mobilisés et œuvrons afin qu’un jour la France rejoigne le cercle des pays (notamment le Brésil, le Chili, l’Argentine etc) interdisant purement et simplement la corrida. A titre d’illustration, la Colombie avait la plus longue tradition en la matière et pourtant une loi a été adoptée le 28 mai 2024, mettant fin à une trop longue histoire de souffrance. L’interdiction de la corrida y entrera en vigueur en 2027.

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Corrida et mineurs texte rejeté...Sénateurs Pro corrida ! : une honte !

Publié le par Ricard Bruno

Corrida et mineurs texte rejeté...Sénateurs Pro corrida ! :  une honte !

Le 14 novembre, une proposition de loi déposée par la sénatrice Samantha Cazebonne et le sénateur Arnaud Bazin, et visant à protéger les enfants de la violence des corridas, devait être débattue au Sénat.

Seule à avoir été auditionnée par la Commission des lois, la présidente de l'Alliance Anticorrida a fait valoir sa position sur plusieurs points sujets à caution. Sur la responsabilité des parents, le rapporteur, Louis Vogel a estimé qu'« il ne faut intervenir dans le cercle familial que d'une main tremblante ». Certaines œuvres cinématographiques sont pourtant interdites aux mineurs de 16, 12 voire 18 ans. « La main n'a pas tremblé lorsque cette “intervention dans le cercle familial” a été décrétée », a répondu Claire Starozinski.

Claire Starozinski a fait plusieurs propositions sur le seuil de l'âge retenu, et des sanctions pénales jugées disproportionnées.

Sans nier « le caractère intrinsèquement violent des spectacles de combats d'animaux », la Commission a rejeté le texte proposé, le considérant « inapplicable en l'état ». Or, le rôle d'une Commission des lois est de proposer et de déposer des amendements. D'autant que Louis Vogel est juriste et qu'il ne s'agit, pour lui, que d'une question de forme, a-t-il souligné. Il avait donc qualité pour amender, à sa guise, cette proposition de loi, au lieu de la rejeter, purement et simplement.

Alors que Claire Starozinski avait précisé que le texte visait uniquement la corrida, et non pas la Bouvine, le rapport a mentionné : « l'interdiction s'applique ainsi à toutes les courses de taureaux, qu'il s'agisse ou non d'une corrida, et donc qu'il y ait ou non mise à mort ».

Tout au long de la semaine précédant l'arrivée de la proposition de loi au Sénat, des parlementaires ont demandé que leur nom soit retiré de la liste des cosignataires… D'autres ont déposé des amendements de suppression. Comment, dans ces conditions, ne pas légitimement songer à des pressions exercées par les grands électeurs quand certains déclarent avoir « voté contre un texte visant à pénaliser la présence des mineurs dans les arènes ? Un choix motivé par le respect de notre identité, de notre culture et de nos traditions ».

Le 14 novembre, pas moins de 24 intervenants se sont succédés à la tribune pour débattre. Marie-Pierre de La Gontrie (SER) a conseillé à tous d' « assister un jour à une corrida, un spectacle époustouflant, à l'ambiance de paso-doble » alors que Guillaume Gontard (GEST) a évoqué « une célébration de la mort et de la cruauté ».

Comme on pouvait s'y attendre, l'avis de M. Vogel, notamment sur la responsabilité des parents, l'a emporté. Après trois heures de débat, les deux articles composant le texte ont été supprimés. La proposition de loi, vidée de sa substance, n'a pas été votée. Le texte a été rejeté

Une fois encore, la France a raté l'occasion de se mettre en conformité avec les recommandations du Comité des droits de l'enfant, lequel a explicitement recommandé d'interdire l'accès des mineurs aux spectacles de tauromachie ou apparentés.

Quant à l'intérêt supérieur de l'enfant, il a été sacrifié sur l'autel de la lâcheté, du reniement et de l'opportunisme.

Corrida et mineurs texte rejeté...Sénateurs Pro corrida ! :  une honte !
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Une victoire en justice contre l’élevage Herta !

Publié le par Ricard Bruno

Une victoire en justice contre l’élevage Herta !

Une condamnation remarquable suite à nos révélations

Bonjour 

Trois ans après notre enquête et notre plainte, justice est enfin rendue pour les 20 000 cochons de l'élevage intensif à Ortillon et à Montsuzain (Aube).

Le tribunal judiciaire de Troyes a condamné

  • l’élevage à 40 000 € d'amende, dont 20 000 € avec sursis pour mauvais traitements sur les animaux ;
  • les deux dirigeants à respectivement 9 000 € d'amende et 6 000 € d'amende, dont 3 000 € avec sursis.

Ces sanctions, bien qu'importantes, restent faibles par rapport à la souffrance infligée aux animaux. Mais il faut savoir que le parquet avait décidé de ne poursuivre que deux ouvriers !

Nous avons enclenché une procédure spéciale dite « par citation directe » pour que l’élevage et ses dirigeants comparaissent eux aussi devant le tribunal. Nous nous réjouissons donc que le tribunal judiciaire de Troyes ne se soit pas contenté de suivre les seules réquisitions du parquet.

Ce que nos images ont révélé

En décembre 2021, nous avons dévoilé des images tournées dans cet élevage intensif de cochons fournissant Herta pour sa « filière Préférence ».

La vidéo montre l’enfer vécu par les cochons :

  • Les cochons vivent dans leurs excréments.
  • Les truies sont confinées dans des cages étroites.
  • Des cochons sont malades, d’autres agonisent.
  • Des cochons sont frappés.
  • Les porcelets subissent des mutilations à vif.
  • Les porcelets jugés non rentables sont violemment tués.
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Point de situation : daim noir à la Chapelle-du-Mont-de-France

Publié le par Ricard Bruno

Point de situation : daim noir à la Chapelle-du-Mont-de-France
Point de situation : daim noir à la Chapelle-du-Mont-de-France

Un daim noir est observé au sein d'un troupeau bovin de la Chapelle-du-Mont-de-France depuis fin octobre.

Si l'animal ne semble aujourd'hui pas occasionner de trouble au sein du troupeau, il pourrait être susceptible de perturber un troupeau voisin situé à proximité d'un axe routier très fréquenté.

Plusieurs solutions ont été étudiées pour capturer l’animal. Le préfet de Saône-et-Loire a statué en faveur d’un transfert qui sera assuré dans les prochains jours par la Fondation Brigitte Bardot. Un vétérinaire mandaté par la Fondation interviendra pour capturer l'animal par télé-anesthésie en vue de son transfert dans un élevage du Loiret.

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GAREOULT : Une exposition célèbre le rôle militaire des animaux dans la guerre

Publié le par Ricard Bruno

GAREOULT : Une exposition célèbre le rôle militaire des animaux dans la guerre

Le 11 novembre, la France a rendu hommage aux soldats qui ont participé à la Première Guerre mondiale de 1914 -1918.

Initiée par l’Association des Collectionneurs pour la Sauvegarde du Patrimoine de la Maréchaussée à la Gendarmerie (ACSPMG), une très belle exposition, qui a nécessité plusieurs mois de travail, rend un hommage aux animaux qui ont enduré les mêmes souffrances que les hommes.

« De l’accomplissement aux missions les plus périlleuses à leur rôle de soutien moral aux soldats, les animaux sont célébrés dans cette exposition. Ils méritaient d’être reconnus pour leurs sacrifices », explique Nicolas Moulin, président de l’ACSPMG.

UNE EXPOSITION QUI A DU CHIEN

Le président ajoute : « Depuis la nuit des temps, l’homme a entraîné dans son sillage des animaux sur les champs de bataille (cheval, chiens, pigeons, chats, rats, etc.). Ces héros, à quatre ou deux pattes, ont joué un rôle important mais parfois méconnu du grand public. Des millions d’animaux ont été mobilisés aux côtés des hommes. Ainsi, les chevaux, les mulets et les ânes étaient indispensables pour le transport de matériel, de troupes et des blessés. Beaucoup n’ont pas survécu aux conditions de la guerre et aux dangers du front ».

Nicolas Moulins reprend : « Ainsi encore les chiens, dressés pour de nombreuses tâches, servaient de messagers, de sauveteurs (reconnaissables le plus souvent avec leur dossard blanc à la croix rouge). Ils repéraient les blessés et apportaient du réconfort aux soldats. Sans oublier les pigeons voyageurs qui étaient utilisés pour la transmission de message en toute sécurité. Bien évidemment, il y a tous les autres animaux (rats, lapins, bœufs, éléphants) utilisés à des fins militaires. Des millions d’animaux ont participé, sur tous les fronts, à l’effort de guerre ».

BRIGITTE BARDOT, MARRAINE DE L’EXPOSITION

Non sans une certaine émotion, les organisateurs ont dévoilé la lettre de Brigitte Bardot. La présidente de la fondation éponyme, a accepté d’être la marraine de cette exposition. Placée dans un cadre, cette lettre est présentée au public durant le temps de l’exposition.

Par ailleurs, plusieurs panneaux mettent exergue le rôle de la gendarmerie lors de la Grande Guerre. Un rôle parfois méconnu. Loin des clichés, les gendarmes ont été plus que de simples gardiens de l’ordre mais des acteurs essentiels de la guerre.

« Le maire de la commune a remercié l’ACSPMG pour cette initiative mémorielle, Joël Ory, Garéoultais et passionné d’histoire, l’artisan de cette exposition. Son travail de recherche et de présentation a été salué. Ce ne sont pas les témoignages, inscrits sur le livre d’or, qui me contrediront », avoue Nicolas Moulin.

Enfin, de nombreux partenaires ont participé à cette réussite (Municipalité de Garéoult, Centre d’instruction cynophile de la gendarmerie nationale de Gramat, musée de l’Artillerie de Draguignan, fondation Brigitte Bardot, Souvenir Français, Médaille militaire, UNPRG (retraités de la gendarmerie), Richard Maisonnave, expert en histoire et patrimoine militaire, Jean-Marc Tinant, Jean-Pierre Poglio, Bruno Poirot, Grégory Negro, Surf Photos, et le chat Kikou).

A NOTER…

L’exposition (entrée gratuite) est visible jusqu’au 23 novembre 2024 de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 17 heures. Une conférence est donnée par Joël Ory le vendredi 15 novembre à 18 heures, à la salle annexe à la mairie.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Programme Kumayik : Une révolution dans la protection animale en Asie centrale

Publié le par Ricard Bruno

Programme Kumayik : Une révolution dans la protection animale en Asie centrale

La Fondation Brigitte Bardot, pionnière dans la protection animale, transforme la vie des chiens errants au Kirghizistan grâce à son programme novateur Kumayik. Cette initiative historique, menée en collaboration avec l’Association Franco-Kirghize d’Écotourisme (AFKE), révolutionne la gestion des populations canines en Asie centrale.

Une approche éthique et durable

Le programme Kumayik repose sur une méthode humaine et efficace, connue sous l’acronyme TVNR :

  • Trappe des chiens errants
  • Vaccination contre la rage
  • Neutralisation (stérilisation)
  • Retour sur leur territoire d’origine

La Fondation Brigitte Bardot finance intégralement ce programme ambitieux, incluant :

  • Une clinique vétérinaire moderne
  • Des chenils adaptés
  • Une équipe de 15 professionnels dévoués
  • Des véhicules spécialisés
  • Tout le matériel nécessaire (vaccins, médicaments, nourriture)

Des résultats remarquables depuis 2021

Chiffres clés
  • Près de 20 000 chiens stérilisés
  • Plus de 15 000 vaccinations antirabiques
  • Plus de 18 000 chiens sauvés de l’abattage
  • 20 chiens traités quotidiennement (vaccination, stérilisation, déparasitage)
Avancées législatives majeures
  1. Février 2022 : Kant devient la première ville du Kirghizstan à interdire l’abattage des chiens errants
  2. Janvier 2024 : Novopakrovka adopte une législation avant-gardiste sur la protection animale
  3. 2021-2024 : Construction d’un centre de soins ultramoderne à Zheek

Un modèle pour l’Asie centrale

La Fondation Brigitte Bardot est actuellement la seule organisation internationale de protection animale présente en Asie centrale. Le programme Kumayik établit un précédent crucial dans une région où la cause animale reste largement négligée.

Impacts concrets
  • Arrêt des abattages dans plusieurs villes : Kant, Novopakrovka, Luksemburg, Kyrshelk, Dimitrievka, Zheek
  • Création d’une base de données municipale des chiens à Kant
  • Mise en place de réglementations strictes pour les propriétaires d’animaux

Une reconnaissance internationale

Le 18 septembre 2024, l’Ambassadeur de France au Kirghizistan, Nicolas Faye, a choisi la clinique Kumayik comme première destination officielle hors de Bichkek, soulignant l’importance diplomatique du programme.

Perspectives d’avenir

Le programme Kumayik incarne parfaitement la vision de Brigitte Bardot et démontre qu’une gestion éthique des populations canines est possible. Ce modèle pionnier ouvre la voie à une nouvelle ère dans la protection animale en Asie centrale.

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Un nouveau départ pour Boule et Zod...

Publié le par Ricard Bruno

Un nouveau départ pour Boule et Zod : La Fondation Brigitte Bardot présente au relâcher de deux jeunes phoques sauvés

Un nouveau départ pour Boule et Zod : La Fondation Brigitte Bardot présente au relâcher de deux jeunes phoques sauvés

Le 3 octobre dernier, la côte normande a été le théâtre d’un événement émouvant : le retour à la mer de deux jeunes phoques, Boule et Zod, après plusieurs mois de soins intensifs au centre CHENE. La Fondation Brigitte Bardot, partenaire historique de l’association, était présente pour ce moment porteur d’espoir.

De la baie de Somme à la liberté : l’histoire de Boule et Zod

Découverts en juillet dans la baie de Somme alors qu’ils n’avaient que quelques jours, ces deux jeunes phoques ont connu un début de vie difficile. Probablement séparés de leurs mères en raison de perturbations humaines, ils se sont retrouvés seuls, vulnérables, sans avoir reçu les apprentissages essentiels à leur survie.

Grâce à la vigilance des équipes de surveillance et à la réactivité du centre de soins CHENE, Boule et Zod ont pu bénéficier d’une prise en charge professionnelle et adaptée. Pendant trois mois, les soigneurs se sont relayés pour :

• Leur prodiguer les soins nécessaires

• Assurer leur alimentation et leur apprendre à chasser

• Suivre leur croissance

• Les préparer à leur retour en milieu naturel

Un nouveau chapitre commence à Yport

C’est sur la plage d’Yport que les deux pensionnaires, désormais âgés de 3-4 mois et ayant atteint un poids suffisant, ont retrouvé leur élément naturel. Un moment crucial qui marque le début d’une nouvelle phase délicate de leur vie.

Les défis qui les attendent

Le retour à la vie sauvage représente plusieurs challenges majeurs pour ces jeunes phoques :

• L’intégration dans un nouveau groupe social

• L’adaptation aux conditions naturelles de leur environnement

Les groupes qu’ils devront rejoindre peuvent compter entre 200 et 250 individus, et le processus d’intégration peut s’étendre sur plusieurs mois, voire plusieurs années.

Un partenariat durable au service de la protection animale

La présence de la Fondation Brigitte Bardot à cet événement n’est pas le fruit du hasard. Depuis 24 ans, notre fondation accompagne fidèlement le centre de soins CHENE dans ses missions essentielles de protection de la faune sauvage.

Cette collaboration se concrétise par :

• Des soutiens financiers réguliers

• Des participations à l’acquisition de matériel spécialisé

• Des contributions à l’amélioration des structures d’accueil

• Le financement de nourriture pour les animaux en soins

L’importance de la préservation des espèces marines

Ce relâcher nous rappelle l’importance cruciale de la protection des écosystèmes marins et de leurs habitants. La présence de phoques sur nos côtes est un indicateur précieux de la santé de nos océans, et leur préservation est essentielle à l’équilibre de la biodiversité marine.

La Fondation Brigitte Bardot poursuivra son engagement aux côtés des centres de soins comme CHENE, car chaque animal sauvé représente une victoire pour la biodiversité et un espoir pour l’avenir de nos écosystèmes.

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FREE PAUL WATSON §

Publié le par Ricard Bruno

FREE PAUL WATSON §
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Brigitte Bardot s'adresse au président Macron

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot s'adresse au président Macron
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