"C’est de la bêtise ou du terrorisme intellectuel" : Brigitte Bardot s’en prend à ceux qui la traitent de raciste

Publié le par Ricard Bruno

"C’est de la bêtise ou du terrorisme intellectuel" : Brigitte Bardot s’en prend à ceux qui la traitent de raciste

Tout simplement pour dire UN GRAND Bravo à Brigitte, je te rejoint parfaitement dans tes propos, on est obligé de crier fort voir plus pour être entendu...

Tu ne lâche RIEN, on ne lâche RIEN !

Bruno Ricard 

L’ancienne actrice Brigitte Bardot est connue aujourd’hui pour défendre les animaux et elle ne cesse de prendre la parole sur les réseaux sociaux pour donner son avis sur la société et les diverses thématiques qui l’habitent. Certaines de ses paroles et de ses mots sont parfois jugés extrêmement provocants et limites a tel point qu’elle souvent pointés du doigt comme étant raciste notamment sur les sujets du halal ou de l’Aïd, une dénonciation qu’elle a décide de faire taire lors de son entretien avec nos confrères du Point ce 17 août. "C’est de la bêtise ou du terrorisme intellectuel, mais ça ne m’impressionne pas. Quand je m’en prends, ce qui arrive souvent, à Willy Schraen, le patron des chasseurs, qui ose célébrer 'le plaisir de tuer', personne ne m’accuse de racisme anti-blanc. Je dénonce les abjections d’où qu’elles viennent, pas des communautés ou des couleurs de peau. Et puis, quand vous défendez la cause animale, vous êtes toujours obligé de crier fort. Sinon, personne ne vous écoute !" a-t-elle tenu à expliquer. 

Les animaux ? Brigitte Bardot a décidé de les défendre suite à un évènement précis survenu sur le tournage du film, L’Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise de Nina Companeez. "Un jour, je me retrouve sur le plateau avec une figurante qui tient une chevrette avec une ficelle en guise de laisse. Pendant la pause, je m’approche et commence à caresser l’animal, quand la femme me dit : ‘dépêchez-vous de finir votre film, parce que, dimanche, pour la communion de mon fils, j’ai prévu de faire un méchoui avec cette bête’. Le mot de méchoui a déclenché quelque chose de très violent chez moi. J’ai vu trente-six chandelles et acheté aussitôt la chevrette, que j’ai ramenée à mon hôtel, un quatre ou cinq-étoiles" s’est-elle souvenue.

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