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FASHION WEEK : BANNISSONS DÉFINITIVEMENT LA FOURRURE DANS LA HAUTE COUTURE ET EN EUROPE !

Publié le par Ricard Bruno

FASHION WEEK : BANNISSONS DÉFINITIVEMENT LA FOURRURE DANS LA HAUTE COUTURE ET EN EUROPE !

Comme chaque année, à l’occasion de la Fashion Week, la Fondation Brigitte Bardot se mobilise contre la cruauté de la production et de l’utilisation de la fourrure dans les collections de mode et sur les podiums. Porter le pelage d’un animal mort n’est pas esthétique, n’est pas moral et n’est pas tendance. En 2021, François-Henri Pinault, PDG du groupe Kering, annonçait la fin de l’utilisation de la fourrure animale dans les collections des maisons de son groupe. Balenciaga, Gucci, Saint Laurent, Alexander McQueen, Moncler…, autant de marques qui ont banni la fourrure pour ne plus associer luxe et souffrance animale.

LE GROUPE LVMH SEMBLE (TOUJOURS) À LA TRAÎNE

À l’occasion de cette nouvelle édition de la Fashion Week de Paris, la Fondation Brigitte Bardot appelle (une fois de plus) le groupe LVMH à considérer la fin de la fourrure animale et à engager ses maisons de couture dans une démarche éthique, tournée vers un avenir plus respectueux du vivant. En juin dernier, à Paris, Pharrell Williams avait utilisé de la fourrure animale pour sa première collection lors du défilé homme de Louis Vuitton, ce qui est proprement scandaleux !

Rappelons qu’en France, la loi du 30 novembre 2021 visant à lutter contre la maltraitance animale a permis la fermeture de l’ensemble des élevages de visons, car elle interdit expressément l’élevage des animaux sauvages spécifiquement pour leur fourrure. C’est maintenant à l’Europe de faire évoluer la réglementation à ce sujet.

L’EUROPE DOIT SE DÉBARRASSER DE CETTE HORREUR QU’EST LA FOURRURE

La Commission européenne a annoncé cet été que l’initiative « Fur Free Europe » d’Eurogroup for Animal et à laquelle la FBB était pleinement participante, est devenue la dixième initiative citoyenne européenne (ICE) ayant recueilli 1,7 million de signatures de citoyens européens (donc avec une réserve de 700 000 signatures citoyenne). Cette pétition propose d’interdire à l’échelle de l’Union européenne (UE) la détention et la mise à mort des animaux à des fins de production de fourrure, ainsi que la mise sur le marché européen de fourrures d’animaux d’élevage et de produits en contenant.

LA COMMISSION DOIT SE PRONONCER D’ICI DÉCEMBRE 2023

Selon les traités européens, quand une ICE atteint le million de signatures en un an, la Commission européenne a quelques mois pour dire si elle suit, ou non, cette demande par le biais d’une législation ou d’autres types de mesures. L’exécutif européen a en l’occurrence a désormais jusqu’au 14 décembre 2023 pour le faire. Le processus parlementaire européen pourra ensuite commencer. La Commission européenne devra se saisir du sujet et disposera de 3 mois pour proposer une réponse concrète à cette attente dans la prochaine réglementation.

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Magnifique anniversaire à Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Magnifique anniversaire à Brigitte Bardot...

Ma chère Brigitte,

En ce jour qui marque ton 89ème anniversaire, je tiens à te souhaiter un joyeux anniversaire de tout cœur, Steven ton filleul, mon fils qui fête aujourd'hui aussi son anniversaire se joint à moi pour cet évènement.et te souhaiter le meilleurs...

Tu es une femme exceptionnelle, une icône du cinéma français et une militante infatigable pour la cause animale. Tu as marqué l'histoire de notre pays et tu continues à inspirer des millions de personnes à travers le monde.

Je me souviens encore de la première fois que je t'ai vue au cinéma, dans "Et Dieu créa la femme". Tu étais si belle, si libre, si émancipée. Tu incarnais une nouvelle génération de femmes, qui n'avaient pas peur de s'affirmer et de vivre leur vie comme elles l'entendaient.

Tu as été une pionnière, une femme courageuse qui a su briser les tabous et ouvrir la voie aux femmes de demain.

Je t'admire pour ta détermination, ton engagement et ton amour des animaux. Tu es une vraie battante, une femme qui ne se laisse jamais abattre.

Je te souhaite de continuer à nous inspirer, de continuer à te battre pour ce en quoi tu crois, et de vivre une longue et belle vie entourée de ceux que tu aimes.

Avec toute mon affection,

Bruno

Magnifique anniversaire à Brigitte Bardot...
Magnifique anniversaire à Brigitte Bardot...
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Milo Manara créa Bardot...foire de Chatou du 21 septembre au 01 octobre

Publié le par Ricard Bruno

Milo Manara créa Bardot...foire de Chatou du 21 septembre au 01 octobre
Milo Manara créa Bardot...foire de Chatou du 21 septembre au 01 octobre
Milo Manara créa Bardot...foire de Chatou du 21 septembre au 01 octobre
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Protection animale en Tunisie : La Fondation Brigitte Bardot s’en remet au Président

Publié le par Ricard Bruno

Protection animale en Tunisie : La Fondation Brigitte Bardot s’en remet au Président

Dans cette lettre, la FBB se tourne vers le Président de la République, car il est le seul à pouvoir apporter une réponse claire et adaptée, en ordonnant l’arrêt des abattages et en instaurant des règles pérennes pour la généralisation de centres de stérilisation et vaccination sur tout le territoire tunisien.

Il ne se passe pas un jour sans que la Fondation Brigitte Bardot (FBB) ne soit interpellée par la situation animale en Tunisie. Les demandes d’aide et de soutien ainsi que les témoignages affluent très régulièrement. Ces signalements émanent souvent de touristes, revenus traumatisés de leur séjour en Tunisie. En effet, alors qu’ils s’attendaient à goûter à la sérénité des lieux, ainsi que partir à la découverte de ce magnifique pays qu’est la Tunisie, ils se sont retrouvés confrontés à une dure réalité, des scènes difficiles à supporter, pour peu que l’on considère les animaux comme des êtres sensibles et capables de ressentir, comme chaque créature vivante, la douleur, la faim, la soif ou la peur.

D’ailleurs, il suffit de lire leurs appels à l’aide sur les groupes animaliers. Des appels poignants qui restent souvent sans réponses. Ces personnes prennent alors conscience de leur impuissance à agir et repartent la mort dans l’âme, avec ce fardeau de culpabilité, celui d’avoir laissé des animaux dans leur détresse, et devoir « faire comme si… », pour pouvoir poursuivre leur route. Ne plus y penser, avancer et surtout fermer les yeux pour ne plus rien voir !

Une situation désespérée

En effet, de très rares associations agissent en Tunisie et les refuges, souvent débordés, se comptent sur les doigts d’une main. Ils ne répondent souvent plus aux messages innombrables qui saturent leur boîte mail. Car la situation est bel et bien désespérée et rien n’est fait pour endiguer les naissances qui viennent alimenter cette marée de souffrances qui se déverse dans nos rues. Les rares bénévoles tunisiens tentent, avec l’énergie du désespoir, de colmater les brèches de cet immense désastre. Ils ne peuvent tous les sauver, il y en a tellement.

Cette misère animale nous frappe de plein fouet, car elle est présente à chaque coin de rue. On ne peut pas la nier, l’occulter. Cette détresse est là, devant vous, vous avez à l’affronter et à lui faire face… et, surtout, ne pas sombrer avec elle, car elle risque de tout emporter sur son passage, votre détermination à secourir tout comme la poursuite de la lutte pour obtenir que les droits des animaux soient enfin pris en compte, un jour, en Tunisie. Cette souffrance colle aux protecteurs des animaux tunisiens et hante leurs nuits. On les sent de plus en plus résignés, car se battre dans ce quotidien n’est pas sans laisser des séquelles. Les atrocités qu’ils ont vécues les ont comme anesthésiés. Ils subissent ce flux d’images et ces situations terribles, ils n’arrivent parfois plus à réagir. Mais, peut-on s’habituer à la souffrance ? Quand bien même essaie-t-on de surmonter ces douleurs en ne suivant plus les publications des groupes de sauvetages animaliers sur Facebook, pour ne surtout pas savoir, ne surtout plus voir… dans un ultime sursaut de survie ? Alors, qu’en est-il de la misère humaine ? Fait-on aussi cas de ces hommes, ces femmes et ces enfants, qui eux aussi luttent pour survivre ? Pourquoi faire cas des animaux alors que des êtres humains peinent pour assurer leur quotidien ? On répondra simplement qu’il n’y a pas de hiérarchie dans la douleur des créatures vivantes. Les unes et les autres se valent et nous n’avons nul besoin d’en privilégier certaines plutôt que d’autres. Les êtres vivants ont tous droit à notre considération, les humains comme les animaux. Et, faire accepter ce discours ferait de notre nation un grand pays, où les valeurs d’humanité seraient mises en avant pour le bien et la sécurité de tous.

Continuer à militer

Cette citation, de l’écrivain français Romain Rolland, illustre d’ailleurs parfaitement le discours : «La cruauté envers les animaux et même déjà l’indifférence envers leur souffrance est à mon avis l’un des péchés les plus lourds de l’humanité. Il est la base de la perversité humaine. Si l’homme crée tant de souffrance, quel droit a-t-il de se plaindre de ses propres souffrances ?». C’est pour toutes les raisons énoncées ci-dessus que l’Association El Fell Hammam-Sousse et le collectif Tunisia Animals Voice continuent à militer et à alerter les autorités tunisiennes, et à faire appel aux grandes associations et organisations dans le monde. Car, on est arrivé à un point de non-retour où la Tunisie doit engranger ce travail de grande envergure. Les aides doivent émaner de tous, société civile, associations, et surtout des vétérinaires pour apporter leur contribution à des stérilisations massives sur tout le territoire. La Fondation Brigitte-Bardot œuvre partout dans le monde, en apportant son soutien logistique et financier. Les autres pays ne refusent pas cette aide de l’extérieur et on espère que la Tunisie saisit, elle aussi, cette opportunité.  Dans cette lettre, la FBB qui s’était déjà adressée aux différents gouvernements tunisiens, se tourne, cette fois-ci, vers le Président de la République, car il est le seul à pouvoir influer sur ce terrible état des lieux et apporter une réponse claire et adaptée, en ordonnant l’arrêt des abattages et en instaurant des règles pérennes pour la généralisation de centres de stérilisation et vaccination sur tout le territoire tunisien, sans exception.

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12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.

Publié le par Ricard Bruno

12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.

Ce samedi 23 septembre 2023 était la 12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.

Ce fût pour moi la 1ère fois que je pu y assister en sachant qu’il y a fort longtemps je fût l’initiateur de cet évènement qui est devenu incontournable et puis le temps à fait son œuvre, avec la volonté politique de la ville et de son maire que je remercie encore une fois ici, Mr Pierre-Christophe Baguet, qui sans lui RIEN n’aurait pu être possible.

Le parrain de cette 12e édition était Yoann Latouche, chroniquer télévision….

Beaucoup de stands d’association de protection animale étaient présents, dont la Fondation Brigitte Bardot, en tout 19 associations représentées…

Il y avait le village culture, animations, village shopping entre autres...

12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
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12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
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12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
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12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
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12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
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12e édition de l’animal en ville à Boulogne-Billancourt au parc de Boulogne Edmond de Rothschild.
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LA FBB DÉFEND LA PROTECTION DU LOUP AUPRÈS DE LA COMMISSION EUROPÉENNE

Publié le par Ricard Bruno

LA FBB DÉFEND LA PROTECTION DU LOUP AUPRÈS DE LA COMMISSION EUROPÉENNE

Le 4 septembre dernier, la Commission européenne a annoncé l’ouverture d’une consultation publique afin d’éventuellement proposer la révision du statut du loup au sein de l’Union européenne et ainsi d’affaiblir sa protection sur le territoire européen. Cette décision fait suite aux nombreuses pressions de certains Etats membres (dont la France) ainsi que des syndicats agricoles qui, face au retour encourageant de cette espèce menacée et aux risques d’attaques sur les cheptels, préfèrent recourir aux tirs d’abattage plutôt que de mieux protéger les troupeaux d’éventuels actes de prédation.

La Fondation Brigitte Bardot a parfaitement conscience des challenges que peut représenter la cohabitation entre les populations de loups et les activités d’élevage. C’est la raison pour laquelle elle soutient les initiatives visant à favoriser une coexistence pacifique et à développer de nouveaux moyens efficaces pour protéger les troupeaux. La Fondation Brigitte Bardot a notamment permis de tester avec succès pendant plusieurs années le dispositif de protection Turbo-Fladry en finançant sa mise en place sur plusieurs élevages dans les Vosges. Par ailleurs, la Fondation Brigitte Bardot a soutenu financièrement les travaux de recherche du biologiste Jean-Marc Landry ayant donné lieu au rapport CanOvis 2013-2018 « Le Loup dans le système pastoral », publié le 1er mai 2021. Ce rapport recommande notamment une meilleure connaissance individuelle du loup en milieu pastoral (caractéristiques propres aux loups présents et de leur propension à attaquer un troupeau) pour faire évoluer la protection des troupeaux, l’organiser et l’optimiser dans le temps.

La Fondation Brigitte Bardot a transmis à la Commission européenne sa contribution afin de participer à ce débat et défendre le maintien d’un strict statut de protection pour le loup, dont les populations se développent en France depuis une trentaine d’années, après que cette espèce ait été traquée et complètement éradiquée du territoire. Néanmoins, le taux de croissance des populations de loups n’est pas stable et son expansion reste fragile.

Le loup a un rôle écologique important et son retour dans les forêts françaises doit être perçu comme une chance pour la préservation de la biodiversité. Pourtant la France applique déjà une politique de régulation sévère vis-à-vis de cette espèce (19% à 21% de la population de loups pouvant être abattus chaque année) au mépris des avis scientifiques alarmants et défavorables.

Par ailleurs, le gouvernement français alloue des budgets colossaux à la protection des troupeaux et à l’indemnisation des éleveurs en cas d’attaques sur leurs troupeaux, sans s’assurer d’une part que les troupeaux attaqués sont effectivement protégés par les moyens de prévention subventionnés, et d’autre part que les dommages déclarés sont réellement dus à des attaques de loups.

Avant d’estimer que la présence du loup constitue une menace non maitrisable et qu’une cohabitation pacifique est impossible, la Fondation Brigitte Bardot appelle donc la Commission européenne à s’assurer que les Etats membres, et en particulier la France, appliquent la réglementation en vigueur pour préserver cette espèce menacée tout en protégeant les troupeaux avec des moyens efficaces et contrôlés.

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"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Si vous voulez découvrir l'intérieur fort insolite de Serge Gainsbourg, c'est désormais chose possible. La Maison Gainsbourg ouvre officiellement le 20 septembre 2023. Il faudra seulement se battre pour trouver une place...

"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
"L'antre est fort sombre" : A la découverte de la Maison Gainsbourg, que l'artiste avait visité avec Brigitte Bardot
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BRIGITTE BARDOT À LA PRÉSIDENTE DE LA COMMISSION EUROPÉENNE : « VOTRE SILENCE EST PERÇU COMME DU MÉPRIS ! »

Publié le par Ricard Bruno

BRIGITTE BARDOT À LA PRÉSIDENTE DE LA COMMISSION EUROPÉENNE : « VOTRE SILENCE EST PERÇU COMME DU MÉPRIS ! »

Dans une lettre ouverte, BB interpelle avec vigueur la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Brigitte Bardot se scandalise en effet que la condition animale n’ait pas été évoquée une seule fois à l’occasion de son discours sur l’état de l’Union le 13 septembre dernier (Ursula von der Leyen ayant fait omission du projet de révision de la réglementation européenne sur le bien-être animal), malgré une demande de plus en plus forte des citoyens des pays de l’Union Européenne en la matière, notamment sur la fin de l’élevage en cages, les longs transports d’animaux ou encore les dérives ignobles des abattoirs.

Paris, le 15 septembre 2023

Madame la Présidente,

Le 13 septembre, lors de votre discours sur « l’état de l’Union », vous avez envoyé un signal extrêmement négatif sur le manque d’ambition de la Commission européenne à présenter le paquet législatif consacré à l’amélioration de la condition animale dans les élevages, les transports et abattoirs.

Cette révision des réglementations européennes, annoncée dès 2020, devait être publiée cet automne, basé sur les avis scientifiques rendus par l’EFSA et partant du constat, de la Commission elle-même dans son bilan de qualité publié en 2022, que les textes actuels sont obsolètes et incomplets.

Le comité d’examen de la réglementation a déjà validé la proposition qui lui a été présentée par la Commission européenne, et qui s’inscrit dans la stratégie « de la ferme à la fourchette », pourtant d’après votre feuille d’intention, également publiée le 13 septembre, il ne ferait plus partie des priorités du pacte vert européen.

Ce n’est peut-être pas la priorité d’une potentielle candidate à sa propre réélection, qui doit pour cela composer avec la position des droites européennes hostiles à toute amélioration de la condition animale, mais c’est une priorité pour les citoyens qui se sont mobilisés à travers l’ICE pour la fin des cages notamment.

Cette révision est l’occasion d’uniformiser la législation pour protéger les éleveurs de distorsions de concurrence entre les différents Etats membres, mais aussi de garantir la compétitivité du secteur agricole grâce à l’inclusion de mesures miroirs afin que les produits importés respectent les normes imposées aux producteurs européens.

Le 23 août, mes collaborateurs se sont entretenus avec le ministre français de l’Agriculture, Marc Fesneau, qui s’est dit favorable à cette nécessaire révision de la législation, en particulier la sortie progressive de l’élevage en cages avec un accompagnement de la filière cunicole.

En sacrifiant cette révision attendue sous des prétextes inflationnistes, vous donnez raison au lobby Copa-Cogeca pour que rien ne soit fait pour améliorer le sort des bêtes. Vous trahissez aussi les Etats qui souhaitent s’engager et accompagner les bonnes pratiques, et ceux qui au sein de votre Commission travaillent, depuis des années, à élever les normes européennes de « bien-être animal ».

Je sais que de nombreux élus vous ont interpellée, en séance plénière au Parlement européen et par écrit, mais aucune réponse ne leur a été apportée. Cette attitude est choquante, votre silence est perçu comme du mépris envers la forte mobilisation citoyenne. Si la Commission devait réellement abandonner cette révision, annoncée et attendue, ce serait un déni de démocratie, un scandale !

Un scandale qui s’ajoute à vos propos tout aussi scandaleux sur un possible changement de statut du loup en Europe pour faciliter, et même encourager, sa destruction. Les mesures de protection des troupeaux ne sont pas mises en place, mais aucun contrôle n’est fait par la Commission sur leur mise en œuvre, pourtant financées par des fonds européens… Tellement plus facile de crier au loup et tirer, sans tenir compte des rapports scientifiques qui démontrent clairement que ces plans d’abattage ne font que disperser les meutes et favoriser leur extension.

Madame la Présidente, vous avez le pouvoir d’agir, le pouvoir de changer le sort de millions d’animaux détenus dans des conditions indignes, élevés en cages ou entassés dans des bâtiments, transportés durant des jours et parfois même des semaines dans des conditions ignobles. Je n’ai pas le pouvoir de supprimer ces horreurs infligées à des êtres sensibles, dans une course au profit, cette impuissance face à leur souffrance me plonge dans le désespoir, vous qui pouvez agir ce ne devrait pas être un choix mais un devoir !

Peut-on encore compter sur vous ?

                                                                              Brigitte Bardot

                                                                              Présidente

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NOUVEAU PLAN LOUP: "INACCEPTABLE" POUR LES DÉFENSEURS DE L'ANIMAL, QUI DÉNONCENT UN "CHOIX POLITIQUE"

Publié le par Ricard Bruno

Un loup gris commun (Canis lupus lupus), dans le parc animalier des Angles, dans les Pyrénées-Orientales, le 18 juin 2015

Un loup gris commun (Canis lupus lupus), dans le parc animalier des Angles, dans les Pyrénées-Orientales, le 18 juin 2015

Six associations ont dénoncé le nouveau "plan loup" pour la période 2024-2029, qui préconise notamment un nouveau statut pour le loup et une facilitation des éliminations de l'animal, pour protéger les troupeaux...

Le nouveau "plan loup" 2024-2029, présenté lundi matin par le gouvernement aux membres du Groupe national loup (GNL) est "inacceptable" aux yeux des associations de protection de la nature, qui ont annoncé leur retrait "définitif" de cette instance consultative.

"Nous avons annoncé notre retrait définitif du Groupe national loup", a indiqué Jean-David Abel, représentant de France Nature Environnement (FNE), à l'issue d'une rencontre tenue à huis clos qui a également suscité des frustrations chez les éleveurs

Potentiel changement de statut du loup

Le nouveau "plan loup" ambitionne d'"installer un nouvel équilibre", l'exécutif estimant que l'animal "n'est plus en danger d'extinction, mais qu'(...)il y a un danger réel de disparition du pastoralisme", selon une source gouvernementale.

"On a commenté le plan axe par axe et à la fin, on a dit pourquoi c'était inacceptable et on est parti", a ajouté Jean-David Abel, s'exprimant au nom de six associations de défense de l'environnement: la FNE, Ferus, Humanité et diversité, la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), l'Association de protection des animaux sauvages (Aspas) et le Fonds mondial pour la nature (WWF).

Outre ces associations, le GNL rassemble des représentants du monde agricole, des élus, des chasseurs et louvetiers ainsi que les administrations concernées.

"Leur départ est regrettable. La porte reste ouverte et les contacts se poursuivront. Le processus de consultation va se poursuivre", a réagi la préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, en charge de la préparation du plan loup.

Aucune proposition des pro-loups retenue

Jean-David Abel dénonce un "choix politique" fait par les ministères de "mettre le paquet dans un plan de communication vers les acteurs pastoraux". A l'inverse, aucune des 41 propositions émises au printemps par les défenseurs du loup n'a été retenue, déplore-t-il.

"Cette instance consultative n'a plus aucun sens. Ce n'est pas nouveau que l'État écoute la FNSEA, la FNO, les chambres d'agriculture, mais à ce niveau-là de déséquilibre, on s'est dit 'on sert à rien' donc il faut que l'État assume ça", a-t-il conclu.

"L'État essaie de ménager la chèvre et le chou et il ne fait que des mécontents", a déclaré de son côté  Claude Font, secrétaire général de la Fédération nationale ovine (FNO) en charge du dossier prédation.

"On s'attendait à quelque chose de plus ambitieux en faveur de l'élevage", a-t-il souligné, estimant que "la seule avancée porte sur les protocoles de tirs".

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