Brigitte Bardot et Martine Cartegini...
Martine Cartegini (compagne du grand réalisateur Georges Lautner) a fait tous les essayages du costume de Brigitte Bardot, costume porté par Brigitte Bardot lors du 37ème gala de l'union des artistes.
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Martine Cartegini (compagne du grand réalisateur Georges Lautner) a fait tous les essayages du costume de Brigitte Bardot, costume porté par Brigitte Bardot lors du 37ème gala de l'union des artistes.
Chers amis,
Une grande agence de communication française, BETC, accompagne la FLAC pour dénoncer la corrida grâce à son film extraordinaire ! Le symbole est très fort !
Voir le film ci-dessous.
http://flac-anticorrida.org/une-grande-agence-de-communication-et-la-flac-condamnent-la-corrida/
Sa diffusion sur les réseaux sociaux français et internationaux est déjà colossale. Et les médias commencent à le relayer... Particulièrement en Espagne et en Amérique latine.
Afin que sa diffusion soit maximale, nous vous demandons de partager cet article le plus possible. Nous comptons sur vous !
Merci à l'avance !
Amitiés dans la lutte.
Thierry Hély
Président de la FLAC
www.flac-anticorrida.org
Danielle Darrieux, qui aura 100 ans lundi, a incarné, avant Brigitte Bardot et Catherine Deneuve, une certaine idée de la Française : élégante, piquante, d'une féminité absolue.
Née le 1er mai 1917 à Bordeaux, Danielle Darrieux, fille d'un ophtalmologiste, élevée dans une famille de mélomanes, a été l'inoubliable partenaire de Charles Boyer dans "La ronde" (1951), de Jean Gabin dans "La Vérité sur Bébé Donge" (1953) ou de Gérard Philipe dans "Le Rouge et le Noir" (1954). L'actrice et chanteuse, dont la moue boudeuse faisait la joie des photographes, a aussi tourné aux États-Unis, comme dans "L'affaire Cicéron" de Joseph Mankiewicz, en 1952.
L'artiste aux débuts cinématographiques précoces souffle ses quatorze bougies sur le plateau de son premier film "le Bal", de Wilhelm Thiele en 1931. Elle devient alors l'une des rares Françaises à mener une carrière internationale : Allemagne, Tchécoslovaquie, Hongrie. "J'allais au studio comme on va à l'école, j'étais paresseuse et je le suis restée. Je n'étais qu'une jeune fille alors que les autres filles de mon âge jouaient déjà à la vamp", disait-elle.
Ce fut peut-être l'une des clés de son succès. De "Mayerling" (1935), son premier rôle tragique, à "Battements de coeur" (1939) d'Henri Decoin, son premier mari, elle est la coqueluche de l'avant-guerre, d'autant qu'à ses talents de comédienne s'ajoute une très jolie voix. On l'appelait alors DD. On la surnommait aussi "la fiancée de Paris".
Le succès mondial de "Mayerling" lui ouvre les portes d'Hollywood. Après avoir signé un contrat de 7 ans avec les studios Universal, elle tourne "The Rage of Paris" ("La coqueluche de Paris") avec Douglas Fairbanks Jr, en 1938.
Mais, très vite, DD s'ennuie et, au bout d'un an, rentre en France. Elle divorce en 1941, se remarie en 1942 avec le diplomate milliardaire et play-boy dominicain Porfirio Rubirosa. L'actrice n'interrompt pas son activité en France sous l'Occupation, tournant pour la Continental, la société de production allemande installée à Paris. Elle fait partie du fameux voyage à Berlin en 1942 avec d'autres acteurs français. "Femme amoureuse", selon ses mots, elle dit avoir accepté cette "invitation" pour voir Rubirosa, qui, soupçonné d'espionnage, venait d'être arrêté par les Allemands.
DD passe la fin de la guerre en résidence surveillée à Mégève. Elle se marie à nouveau en 1948 avec le scénariste Georges Mitsinkidès et commence une seconde carrière, notamment dans "Madame de..." et "La Ronde" (Max Ophüls). Elle enchaîne les films ("Les Demoiselles de Rochefort", "Le cavaleur"...) et, à la scène, triomphe à Broadway en 1971 dans une comédie musicale sur Coco Chanel.
On la verra ensuite au théâtre à Paris dans "Domino" (1970) ou "Adorable Julia" (1987). En 1995, elle reprend, entre tours de chants et séries télévisées, le rôle de la merveilleuse septuagénaire de "Harold et Maude". En 2003, elle interprète seule en scène "Oscar et la dame rose" (d'Eric-Emmanuel Schmitt), qui lui vaut un Molière de la meilleure comédienne.
A un âge avancé, Danielle Darrieux a inspiré les jeunes réalisateurs comme François Ozon ("Huit femmes", 2002). "C'est la seule femme qui m'empêche d'avoir peur de vieillir", disait Catherine Deneuve, partenaire dans ce film.http://culturebox.francetvinfo.fr/cinema/stars/danielle-darrieux-fete-ses-cent-ans-ce-lundi-255553
À l'occasion de son 100e anniversaire, une rétrospective est organisée au cinéma parisien Grand Action le weekend du 1er mai. Un colloque se tiendra à l'université Bordeaux Montaigne du 3 au 5 mai et un hommage lui sera rendu à la cinémathèque de Toulouse en novembre. En 2009, la Cinémathèque française avait organisé une grande rétrospective de ses films.
La troisième édition de la VeggieWorld Paris se tenait le week-end dernier, au 104. A cette occasion, les visiteurs ont pu rencontrer plus de 140 exposants, un record. La chanteuse Jeanne Mas, très engagée contre la cruauté animale, était présente. Elle explique pourquoi au micro de Non Stop People.
Le week-end dernier se déroulait la troisième édition parisienne de la VeggieWorld, au 104. Et le succès attendu ne s’est pas démenti, avec un public nombreux pour découvrir le travail des 140 exposants présents, un record. « Pour la première fois, le salon affichait complet dès le mois de février, soit 2 mois avant l’ouverture des portes. Cela montre que nous passons encore une nouvelle étape et que le salon est un rendez-vous attendu de tous les professionnels du mode de vie végane. C’est très positif pour la suite », a expliqué Swantje Tomalak, directrice de VeggieWorld France.
Parmi les personnes présentes à ce rendez-vous, on pouvait retrouver Jeanne Mas, qui a décidé de s’engager avec la Fondation Brigitte Bardot contre la cruauté animale. « Les animaux me tiennent à coeur. En fait, je m'associe à tous ceux qui luttent contre la cruauté animale, qui est aujourd'hui totalement injustifiée. La cruauté animale a toujours été injustifiée, mais aujourd'hui, je trouve qu'elle a dépassé des normes qui sont inacceptables », a déclaré la chanteuse au micro de Non Stop People.
Les prochaines dates VeggieWorld :
Düsseldorf, 9-10 septembre 2017
Zurich, 30 septembre – 1er octobre 2017
Munich, 7-8 octobre 2017
Paris, 14-15 octobre 2017
Bruxelles, 21-22 octobre 2017
Marseille, 2-3 décembre 2017
Lyon, 27-28 janvier 2018
A l'aube de l'élection présidentielle, Wamiz a tenu à interroger les candidats - via un questionnaire identifique pour tous - sur leurs propositions en ce qui concerne la cause animale, et en particulier celle des animaux de compagnie. Dans une interview exclusive, Marine Le Pen (Front national) nous explique son projet et son rapport à l'animal.
Wamiz : Avez-vous grandi avec des animaux de compagnie ? Si oui, lesquels et qu’ont-ils apporté à votre enfance ? Actuellement, avez-vous des animaux de compagnie ? Si oui, pouvez-vous nous dresser brièvement leur portrait et nous expliquer ce qu’ils représentent pour vous ? Êtes-vous plutôt « team chien » ou plutôt « team chat » ? Plutôt « de race » ou plutôt « bâtard » ?
Marine Le Pen : Je suis résolument « team chat », sans hésitation aucune ! J’ai toujours été entourée de chats dès mon plus jeune âge et c’est la raison pour laquelle je les affectionne tant !
Actuellement, j’ai cinq chats Bengal chez moi. Ils se prénomment Jazz, Kerillo, Gavroche, Jusan et Miniminette. Ces chats sont joueurs, parfois sauvages mais me rendent bien l’amour que je leur porte. Vos projets pour la cause des animaux de compagnie
A l’instar de nombreux Français, êtes-vous sensible à la cause animale ?
La cause animale et le sort des animaux sont très importants à mes yeux. J’ai en horreur les atteintes au bien-être animal et j’ai voulu faire de la protection animale une priorité de mon quinquennat. J’ai d’ailleurs fait figurer cet engagement dans mon projet présidentiel.
D’après notre sondage, la majorité des électeurs propriétaires d’animaux de compagnie souhaitent que les sanctions pénales pour les actes de maltraitance envers les animaux soient durcies. Vous Présidente, alourdirez-vous ces peines ?
Je suis pour un renforcement de l’arsenal pénal et pour des peines réellement dissuasives : il faut punir lourdement ceux qui portent une atteinte volontaire à l’animal, avec l’idée de le blesser ou de lui faire subir des comportements cruels.
Les Français sont majoritairement favorables à la lutte contre les trafics d’animaux. Et vous ? Renforcerez-vous les cellules de lutte contre les trafics et augmenterez-vous les enquêtes de terrain comme les Français le souhaitent ?
Je m’engage à mettre fin au trafic d’animaux, qui est un véritable fléau pour la protection animale. Nous y parviendrons en rétablissant des frontières nationales qui faciliteront les contrôles. Le travail mené par la Cellule Anti-trafic de la SPA devra être reconnu et les inspecteurs des douanes seront encouragés à travailler en étroite coopération avec les associations.
Avoir un animal de compagnie peut coûter cher et cela peut être un frein à leur identification et à leur stérilisation. Pour pallier cette difficulté, les propriétaires à faibles revenus aimeraient que les dispensaires vétérinaires soient plus nombreux. Y êtes-vous favorable ?
Il faut en effet inciter à la création de services d'aide aux animaux appartenant à des personnes en situation de difficulté ponctuelle ou d'exclusion, non seulement pour soulager ces gens qui se trouvent en difficulté (posséder un animal représente parfois une charge financière très lourde) mais aussi pour protéger l’animal.
Pour aider les propriétaires à faibles revenus, les prestations vétérinaires seront par ailleurs exemptées de TVA et la TVA sur les médicaments vétérinaires sera baissée de 20 à 10%, afin de l’aligner sur celle des médicaments humains nonremboursés par la sécurité sociale. Le passage chez le vétérinaire (ne serait-ce que pour les vaccins obligatoires) représente en effet un coût considérable pour les familles modestes.
Alors que les vidéos montrant les conditions de vie des animaux de laboratoire ne cessent de choquer l’opinion publique, 38% des sondés souhaitent que l’expérimentation animale sur les chiens et chats soit interdite. Et vous ?
Au-delà de l’émoi naturel que les images d’animaux sacrifiés pour des expériences suscitent, l’expérimentation animale peut être très souvent évitée. Par ailleurs, certaines expériences sur animaux ne sont pas toujours fiables quand il s’agit de développer un traitement médical pour les hommes : le métabolisme des animaux ne répondant pas toujours de la même manière que celui des humains.
Nous ne pouvons pas fermer totalement la porte aux expériences sur animaux, notamment dans les cas où il n’existe aucune autre manière de tester un vaccin ou un nouveau traitement. Mais je m’engage à encourager les méthodes substitutives (telles que la peau artificielle, les expériences in vitro plutôt qu’in vivo) et la réduction de l’emploi d’animaux vivants.
La science a prouvé les nombreux bienfaits que procurent les animaux aux personnes en situation de difficulté. Les Français en sont convaincus : ils souhaitent que les hôpitaux, centres médicalisés, maisons de retraite, prison, etc. soient incités à développer des programmes de zoothérapie/médiation animale. Vous engagez-vous en ce sens ?
Je suis pour la réintégration de la notion de respect des animaux dans les programmes scolaires et pour former le personnel éducatif à cet enseignement.
La zoothérapie sera enfin promue car les études scientifiques tendent à prouver que la présence d’animaux parmi les enfants ou les personnes âgées a une influence positive sur leur santé. Elle favorisera en conséquence la protection animale et la santé humaine.
Sans tenir compte des précédentes questions, quelle serait pour vous LA priorité en matière d’amélioration de la condition animale ?
En octobre dernier, durant ma convention consacrée à la protection animale, j’ai pris l’engagement de développer l’élevage raisonné, qui permet à la fois de renforcer la protection et le bien-être des animaux, tout en assurant aux consommateurs de meilleurs produits. De récents reportages ont mis en évidence des pratiques inacceptables, le développement de méthodes industrielles très douloureuses pour les animaux et très dangereuses pour la santé des consommateurs. Je pense notamment à toutes ces situations où les animaux sont entassés dans des cages et où ils ne peuvent exprimer leurs comportements naturels ni même se mouvoir. Je pense aussi à la ferme des 1000 vaches, modèle absolument scandaleux et refusé en bloc par nos compatriotes. Je veux donc avancer sur ce sujet : l’élevage en plein-air sera favorisé, les cages et conditions d’élevage incompatibles avec les besoins des animaux seront interdites. Je serai aux côtés des éleveurs français, qui sont eux aussi attentifs au bien-être de leurs bêtes, afin qu’ils puissent moderniser leur exploitation en ce sens. La transformation de la Politique Agricole Commune en Politique Agricole Française permettra de favoriser cette évolution et de renforcer les subventions d’équipement.
Un Ministre des Animaux, vous y pensez ?
Je souhaite disposer autour de moi d’une équipe resserrée d’une quinzaine de ministres afin de mettre rapidement en œuvre les grandes mesures qu’attendent les Français pour remettre notre pays en ordre et lui rendre son indépendance.
Je veux que la protection animale progresse sensiblement durant mon quinquennat. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle la protection animale ne peut être du seul ressort du ministère de l’Agriculture et que le ministère de l’Environnement doit évidemment y être associé.
Je propose donc la création d’un grand conseil public en charge de la protection animale, qui réunira tous les acteurs et où les associations auront une place significative.
Je suis enfin favorable à ce que l’effort financier envers les associations de protection animale soit renforcé afin qu’elles puissent assurer convenablement leurs missions.
La tradition veut que le Canada offre un chien à tous les Présidents de la République française. Maintiendrez-vous cette coutume ?
Bien sûr et je suis favorable à ces traditions qui entretiennent des liens très forts entre nos deux pays. Le Canada est pays ami, francophone et à ce titre, nous devons encourager tout ce qui renforce la coopération entre nos deux pays.
Quelque chose à ajouter ?
Selon la Chambre d’agriculture d’Île-de-France, 100 % de la viande abattue dans la région est hallal. Au niveau de la France, ce taux est de 60 %, bien au-delà des besoins. L’abattage rituel fait souffrir les animaux mais il pose également de nombreuses questions en termes de traçabilité de la viande et de transparence des produits offerts aux consommateurs. L’abattage rituel accroît considérablement le stress et la souffrance des animaux abattus, en témoignent les nombreuses vidéos prises dans les abattoirs qui montrent des animaux égorgés à vif, se tordant de douleur, asphyxiés par leur propre sang. Je rendrai donc obligatoire l’étourdissement préalable des animaux avant l’abattage, pour en finir avec ces traitements d’un autre âge.
Pour toute la viande vendue en France (même importée), l’étiquetage devra préciser la méthode d’abattage.
Ce mercredi, le gouvernement a donné son feu vert pour que deux nouveaux loups soient tués d'ici le mois de juin. Une décision liée aux attaques de troupeaux.
L'arrêté, pris ce mercredi par le gouvernement, est déjà très critiqué par les associations de défense du loup. Ce texte indique que l'abattage de deux loups supplémentaires "peut être autorisé par les préfets", jusqu'en juin 2017.
Il précise aussi que cette mort ne peut se produire que dans le cadre "de tirs de défense" lorsque des troupeaux ont été attaqués. Depuis un précédent arrêté pris en juillet 2016, 36 de ces animaux sauvages ont d'ores et déjà été tués. La France compte à ce jour 300 spécimens de loups, dont une majorité dans le sud-est.
Le texte pris ce mercredi a suscité la fronde de quatre associations de défense du loup (Aspas, One Voice, SFEPM, Ferus). Elles ont fait part de leur intention de le contester l'arrêté devant le Conseil d'Etat, mais s'attendent à la publication d'un autre arrêté autorisant deux nouveaux abattages. Elles estiment que le gouvernement "s'acharne contre les loups".
"À ce total de 40 (36+4), s'ajoutent 10 loups trouvés morts depuis juillet 2016, principalement à la suite de collisions, et non décomptés par l'État (...) et le braconnage invisible", écrivent-elles ces associations dans un communiqué.
"Sur une population estimée à moins de 300, ce nombre de 40 abattages (...) met en péril la conservation de l'espèce en France", s'alarment les militants.
En mars, une étude commandée par le ministère de l'Environnement a estimé que le taux de mortalité du loup s'est élevé en moyenne à 22% entre 1995 et 2013, sachant que sa survie est menacée à long terme lorsque ce taux avoisine les 34%. Sur la période 2014-2016 le nombre de décès s'est accru du fait de l'augmentation des abattages, afin de limiter les prédations sur les troupeaux et le taux de mortalité "pourrait atteindre les 34%", indique l'étude.
Dans le détail, la Direction régionale de l'Environnement d'Auvergne-Rhône-Alpes affirme que parmi les 36 loups déjà abattus depuis juin 2016, 14 l'ont été dans les Alpes-Maritimes, 6 en Savoie, 5 dans le Var, 4 dans les Alpes-de-Hautes-Provence, 3 dans la Drôme ainsi qu'en Isère et 1 dans les Hautes-Alpes. Depuis le début 2016, 9788 bêtes auraient été blessées ou tuées par des loups. Les départements les plus visés par ces attaques de troupeaux étant les Alpes-Maritimes (2959 bêtes), la Savoie (1780), les Alpes-de-Haute-Provence (1193), le Var (928), les Hautes-Alpes (777) et l'Isère (709).