L’éperonnage, en Antarctique, du vaisseau de l’organisation Sea Shepherd...
Chasse |
Après l’éperonnage, en Antarctique, du vaisseau de
l’organisation Sea Shepherd par un baleinier japonais, la Fondation Brigitte Bardot renouvelle son soutien au « berger des mers » Paul Watson. |
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Depuis 1986, un moratoire, décidé par la Commission baleinière internationale sur la chasse commerciale protège les baleines. Pourtant, les japonais continue à massacrer les cétacés dans
les mers antartiques sous prétexte de pratiquer une chasse à but scientifique qui d'ailleurs n'a jamais apporté aucun résultat.
Depuis la reprise de la chasse, en 1988, les Japonais ont pêché près de dix mille baleines. "Et aucune donnée scientifique utile n'a été produite", déplore Jun Hoshikawa, directeur exécutif de Greenpeace Japon. Le 6 janvier 2010, le Shonan-Maru-n°2, baleinier japonais, qui suivait depuis plusieurs semaines le navire de Paul Watson et de son équipage, a heurté l'Ady-Gil, trimaran nouvelle génération sur lequel 6 personnes de Sea Shepherd avait embarqué. Finalement, l'Ady-Gil, dont l'unique but était de défendre ces animaux qui n'appartiennent à personne mais font partie du patrimoine universel, a sombré.
« Nous ne devons plus tolérer ces attaques permanentes des navires japonais au cœur même d’un sanctuaire baleinier censé protéger les espèces menacées. Des sanctions doivent être prises à
l’encontre de ces tyrans des mers qui ne respectent rien ni personne. Lire le journal de bord de Lamya Essemlali, Présidente de Sea Shepherd France |