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Exposition Brigitte Bardot : Livres...Faites votre choix !

Publié le par Ricard Bruno

      Emmanuel Bonini : "Par amour et c'est tout"                      
      Henry-Jean Servat : "Bardot la légende"
livre-de-dominique-choulant-couverture.jpg   Dominique Choulant : "Brigitte Bardot"
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Exposition Brigitte Bardot : Beaux arts magazine

Publié le par Ricard Bruno



Beaux arts magazine septembre 2009
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Courrier exceptionnel de Brigitte Bardot : Exposition Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

 
J'ai effacé mon adresse, vous comprendrez aisément pourquoi.

Bruno Ricard






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Brigitte Bardot : à 75 ans, le mythe vit toujours... Bon anniversaire Brigitte !

Publié le par Ricard Bruno

Initiales BB... ça vous parle bien sûr ! Personne n'a pu passer à côté de l'icône des années 50 et 60, Brigitte Bardot ! Scandaleuse, sulfureuse, divine, envoûtante, bohême, légère, désirable, avant-gardiste et stylée, tous ces qualificatifs résument parfaitement la plus célèbre des tropéziennes. Elle est née à Paris mais c'est elle qui mis sous les projecteurs cette petite ville de pêcheurs du Var en s'y installant dans sa maison la Madrague en 1959. Elle fustige d'ailleurs le "ramassis de connards" qui polluent aujourd'hui SON endroit ! Brigitte qui est connue du monde entier à travers sa carrière cinématographique, mais aussi grâce à son charisme et son sex-appeal débordants, fêtera demain ses... 75 ans. Celle qui a explosé au cinéma en 1956 grâce au rôle de Juliette Hardy, dans le film culte Et dieu... Créa la femme, de son premier amour mais aussi premier mari, Roger Vadim (qu'elle a épousé à l'âge de 18 ans), a su s'imposer avec son franc-parler, sa liberté sexuelle, et son côté naturellement provocant dans une époque ultra conservatrice et pleine de tabous. Véritable emblême de l'émancipation de la femme, avec sa beauté pour arme fatale, BB fut l'égérie et la muse des plus grands artistes de l'époque. Mais son statut de star mondiale, elle n'en a que faire... Seuls les animaux comptent ! Ils seront d'ailleurs le combat de sa vie, et créera en 1986 la Fondation Brigitte Bardot qui se bat pour la protection des animaux et qui a soufflé ses 20 bougies en 2006. Si Brigitte était un sex-symbol, c'était aussi (peut-être sans le vouloir) une véritable bête de mode... Celle que l'on connaît les yeux fardés d'un large trait d'eye-liner noir, avec la bouche en coeur des plus appétissantes, s'est toujours sentie l'âme d'une femme sexy. Vêtements aguicheurs et moulants, taille réhaussée, jambes dévoilées par des jupes et des shorts courts, ou carrément misent en valeur par des cuissardes, et bikini rikiki à la plage, tel était le style Bardot ! C'est elle aussi qui lança la mode de l'imprimé vichy qui fut adopté par toutes les fashionistas de l'époque. Aujourd'hui encore, son influence règne sur les beautés de ce monde. Longue crinière blonde, bouche pulpeuse, regard étiré, de nombreuses stars comme la sublime Claudia Schiffer, le mannequin Lara Stone, le top model Kate Moss, qui ont un certain air de ressemblance avec BB, mais aussi bien d'autres people, ont adopté ce style tellement sensuel, qui fait craquer bon nombre d'hommes. 2009 est de nouveau une belle année pour Brigitte ! Celle qui célèbrera ses 75 printemps à la fin du mois, a eu le droit à, non pas une, mais deux mises à l'honneur : En effet, actuellement se tient à Londres une magnifique rétrospective sur miss Bardot avec une exposition de photographies essentiellement prises par des paparazzis, intitulée "An exhibition of rare original vintage", et qui prendra fin le 3 octobre prochain. Mais rien n'est perdu pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer, une nouvelle exposition : Brigitte Bardot, les années "insouciance", se déroulera du 29 septembre 2009 au 31 janvier 2010 au MA30 - Espace Landowski à Boulogne-Billancourt -, pour le plus grand plaisir des admirateurs de la femme qui est, à elle seule, un hymne à la beauté, à la sensualité et à la liberté. Cette magnifique exposition a été organisée par son ami de toujours, Henri-Jean Servat . Petite précision : Elle sera la grande absente de l'inauguration de l'exposition. Il fallait s'y attendre, car elle n'a jamais aimé les tapis rouges, elle n'y a fait que de rares apparitions et ce, depuis le début de sa carrière ! Toujours à l'occasion de son 75e anniversaire, un excellent livre sorti depuis début septembre saura ravir les fans inconditionnels de la star : Brigitte Bardot - le mythe éternel, écrit par un cinéphile passionné, Dominique Choulant, aux Editions Autres Temps (à un prix tout petit : 19,50€). Prochainement (en 2010 tout de même) vous pourrez retrouver la belle Laetitia Casta sur grand écran, sous les traits de la torride BB, pour le biopic très attendu de Serge Gainsbourg... qu'elle a déclaré dans un interview au journal Le Parisien hier, " Laetitia Casta est une merveille de beauté !" Car outre le cinéma, Brigitte Anne-Marie Bardot a aussi connu la gloire grâce à la musique et aux tubes retentissants, comme Harley Davidson, Bonnie & Clyde, Contact, ou Comic Strip, que le célèbre Gainsbarre lui avait écrit, suite à leur idylle qui débuta en 1967 ! Et le plus important pour elle... elle ne regrette rien ! Comme quoi le mythe est encore bien présent et n'est vraiment pas prêt de s'envoler ! Happy Birthay BB !

Source : http://www.purepeople.com/article/brigitte-bardot-a-75-ans-le-mythe-vit-toujours-bon-anniversaire-brigitte_a40501/1

Publié dans le web en parle

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Initiales BB...

Publié le par Ricard Bruno

Initial B.B

bardot 1

Au lendemain du 75è anniversaire de Brigitte Bardot, l’Espace Landowski présente, jusqu’au 31 janvier 2010 à Boulogne – Billancourt (Hauts-de-Seine), la toute première exposition consacrée au mythe B.B.

On the occasion of Brigitte Bardot’s 75th anniversary, presents, until January 31st, L’Espace Landowski presents, until January 31st 2010 in Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), the very first exhibition dedicated to the myth B.B.

bardot 2

Réalisée grâce au soutien de Mme Bardot et aux prêts de collectionneurs, d’institutions ou d’artistes internationaux, l’exposition met en scène sur les 900m2 de L’Espace Landowski des années “insouciance” de celle qui fascina le monde des années 1950 et 1960.

Thanks to Mrs Bardot’s support and to loans of collectors, institutions or international artists, the exhibition stages on the 900m2 of L’Espace Landowski of the years “carelessness” of the one who fascinated the world of the 50’s and 60’s.

bardot 3

Véritable mythe et sex-symbole, Brigitte Bardot incarne aussi la libération de la femme. Loin de masquer les contradictions et des rébellions de celle qui déchaîna les passions les plus folles, l’exposition s’attache à faire revivre l’intensité et la beauté du véritable phénomène de société qu’elle a représenté.

Real myth and sex-symbol, Brigitte Bardot also embodies the Women’s Liberation. Far from masking the contradictions and rebellions of the one who unchained the most crazy passions, the exhibition attempts to make relive the intensity and the beauty of the real phenomenon of society which she represented.

bardot 4 bis

Brigitte Bardot, qui a refusé pour l’occasion d’être photographiée ou filmée, aborde sans nostalgie mais avec fierté cet évènement monté par le journaliste Henry-Jean Servat, ami intime de la star et commissaire général de l’exposition.

Brigitte Bardot, who refused for the occasion to be photographed or filmed, approaches without nostalgia but with pride this event prepared by the journalist Henry-Jean Servat, the bosom friend of the star and commissioner of the exhibition.

bardot 5

“J’ai connu ces temps derniers une longue traversée du désert pendant laquelle j’ai été boycottée et maltraitée. S’il y a donc, aujourd’hui, une autre façon de me considérer, tant mieux”, lui a-t-elle raconté dans un interview à Paris Match.

” I have  been through the wringer during which I was boycotted and mistreated. If there is thus, today, another way of considering me, so much the better “, she told him in an interview for Paris Match.

bardot 6

“On ne découvre seulement pas suelement Bardot : on découvre aussi une époque, celle de la France des années 1950, du président René Coty et de la soupe aux choux. On comprend d’autant mieux pourquoi BB a changé les codes de la morale”, explique Henry-Jean Servat.

” We don’t only discover Bardot : we also discover an epoch, the French of the 50’s, president René Coty and cabbage soup. We understand all the better why BB changed the codes of the morality “, explains Henry-Jean Servat.

bardot 7

Nous racontons ici l’histoire d’une femme qui cherche sans cesse à dompter son époque en faisant toujours suivant ses désirs et ses envies”, ajoute-t-il.

We tell here the story of a woman who tries ceaselessly to tame her epoch always by making according to her desires and her envy “, he adds.

bardot 8

Plus de 1000 photos, affiches, extraits de films et objets personnels sont présentés pour la première fois. Parmi eux, la célèbre robe de mariée en Vichy rose et la serviette rose de BB.

More than 1000 photos, posters,  films extracts and personal objects are presented for the first time. Among them, the famous bridal dress in pink Vichy and the pink towel of BB.

bardot 9

Autre aspect de la star présenté lors de l’exposition : ses amours. BB a pris dans ses griffes Roger Vadim, Samy Frey, Jacques Charrier (qui lui donna un fils), Serge Gainsbourg, Gilbert Bécaud ou encore Jean-Louis Trintignant.

Other aspect of the star presented during the exhibition : her lovers. BB took in her claws Roger Vadim, Samy Frey, Jacques Charrier (who gave her a son), Serge Gainsbourg, Gilbert Bécaud or Jean-Louis Trintignant.

bardot 10

Credit photo : Le Monde

On a souvent comparé Kate Moss à Brigitte Bardot. Mais si les gens voient cette ressemblance dans la chevelure crêpée retenue en chignon lâche, la marinière et le mini short, les cuissardes, le vichy.. moi je la vois surtout dans leur attitude. Il y a comme une sorte de magnétisme qui émanne d’elles qui les rend si irrésistible, si unique. Peut-être c’est ce fameux “je-ne-sais-quoi”.

Quand on les regarde, on voit une femme sulfureuse, volcanique, provocante, dangereuse… mais on ne peut pas s’empêcher de les admirer, les aimer, les idolâtrer. Jamais Bardot ne s’excusera d’être ce qu’elle est. Tout comme l’Anglaise qui refuse obstinément de jouer les repenties,même lors du scandale Cocaïne Kate. Cette dernière a déclaré “What people say isn’t going to stop me. I have to do things for myself “.  Ces deux- là laissent flotter derrière elles un parfum de soufre dont la mode, sans l’avouer, aime à s’enivrer.

We often compared Kate Moss to Brigitte Bardot. But if people see this resemblance in the chignon, the smock and the mini short, the waders, the Vichy…  I see it especially in their attitude. There is as a kind of magnetism which emanates of them which makes them so irresistible, so unique. Maybe it it is famous “je-ne-sais-quoi “.

When we look at them, we see a sulphurous, volcanic, provocating, dangerous woman but we cann’t refrain from admiring them, from loving them, from worshipping them. Bardot never will apologize for being what she is. Quite as Kate the English who refuses stubbornly to play the penitents, even during the scandal Cocaine Kate. This last one declared ” What people say isn’ t going to stop me. I have to doh things for myself “. These both there let float behind them a flavor of sulfur on which the fashion, without admitting it, likes getting drunk.


Source : http://iivychaang.wordpress.com/2009/09/29/initial-b-b/
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Le mythe Bardot exposé à Boulogne-Billancourt pour les 75 ans de la star

Publié le par Ricard Bruno

BOULOGNE-BILLANCOURT (AFP) - Le mythe Bardot exposé à Boulogne-Billancourt pour les 75 ans de la star

Il aura fallu attendre ses 75 ans pour que Brigitte Bardot , sex-symbol qui dynamita la société française de l'après-guerre, fasse l'objet d'une première exposition organisée à partir de ce mardi à Boulogne-Billancourt, ville des anciens studios de cinéma.

Clin d'oeil également, l'exposition se situe non loin des usines de l'ancienne régie Renault, rappelant la phrase de De Gaulle sur Bardot selon laquelle l'actrice avait rapporté "plus de devises à la France que Renault".

L'événement passe en revue les "années insouciantes" de BB au cinéma mais aussi ses audaces, comme d'avoir pris la liberté de tourner le dos au 7e art à 39 ans.

Bardot, qui a refusé pour l'occasion d'être photographiée ou filmée, aborde sans nostalgie mais avec fierté cet événement monté par le journaliste Henry-Jean Servat, ami intime de la star et commissaire général de l'exposition.

"J'ai connu ces temps derniers, une longue traversée du désert pendant laquelle j'ai été boycottée et maltraitée. S'il y a donc, aujourd'hui, une autre façon de me considérer, tant mieux !" lui a-t-elle dit dans une interview à Paris-Match.

Sur 900 m2, à l'Espace Landowski jusqu'au 31 janvier, le mythe Bardot se met à nu dans une scénographie chronologique, à travers 17 de ses films les plus célèbres, entraînant le visiteur dans la vie tumultueuse de l'actrice et de ses "scandales" qui ont contribué à la libération de la femme et des moeurs.

"On ne découvre pas seulement Bardot: on découvre aussi une époque, celle de la France des années 50, du président René Coty et de la soupe aux choux. On comprend d'autant mieux pourquoi BB a changé les codes de la morale", explique à l'AFP Henry-Jean Servat.

"Nous racontons ici l'histoire d'une femme qui chercha sans cesse à dompter son époque en faisant toujours suivant ses désirs et ses envies", ajoute-t-il devant des citations de Simone de Beauvoir, de Marguerite Duras ou Françoise Sagan sur BB.

Plus de 1.000 photos, affiches, extraits de films et de documentaires, et objets personnels dont sa célèbre robe de mariée en Vichy rose et son Harley-Davidson à ses initiales, sont présentés pour la première fois grâce à une mobilisation d'envergure des studios de films, de la Cinémathèque Française, des agences photographiques, etc...

Il y a aussi les amis très proches dont Alain Delon et Günter Sachs, l'un de ses ex-époux qui a prêté deux portraits de BB signés Andy Warhol, jamais exposés en public.

"Brigitte a tout vendu depuis 30 ans au profit de sa fondation pour les animaux. Il y a un an, nous n'avions rien à montrer ", rappelle Henry-Jean Servat.

Pour la première fois, des films de famille révélant l'actrice bébé sont dévoilés, ainsi que ses diplômes de danse classique, sa première passion.

Un peu plus loin, après que "Dieu eut créé la femme", le visiteur suit les amours de Bardot, "amazone solaire et Don Juan au féminin", qui a pris dans ses griffes Roger Vadim, Samy Frey, Jacques Charrier, qui lui donna un fils, Serge Gainsbourg, Gilbert Bécaud ou encore Jean-Louis Trintignant.

Quelques films plus loin, ambiance "Coquillages et Crustacés" et direction la Madrague, la propriété de Bardot qui a fait Saint-Tropez, avec un petit détour par le bureau reconstitué du maire où trône le buste de BB élevée au rang de Marianne de la République.

Sur le thème de "Babette s'en va-t-en guerre", le combat de la star pour la cause animale avec des images de torture et de maltraitance, clôt l'exposition. Brigitte Bardot l'a voulu ainsi. Sa seule exigence.

Source : http://www.la-croix.com/afp.static/pages/090929062949.0al6lmil.htm
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Harcourt, 75 ans de glamour...que du pur bonheur !

Publié le par Ricard Bruno



Après-guerre, il n’est pas une starlette, une actrice confirmée qui ne soit immortalisée par le Studio Harcourt Paris. Les portraits d’Arletty, Martine Carol, Danielle Darrieux, suivis de ceux de Brigitte Bardot, Alain Delon, Jeanne Moreau, décorent les halls de tous les cinémas parisiens.

Source : http://www.mensup.fr/photos/studio_harcourt-651-5.html

Publié dans le web en parle

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Brigitte Bardot, sex-symbol s'expose à Boulogne-Billancourt...

Publié le par Ricard Bruno

Une première exposition organisée à partir de ce mardi à Boulogne-Billancourt, ville des anciens studios de cinéma.

Clin d'oeil également, l'exposition se situe non loin des usines de l'ancienne régie Renault, rappelant la phrase de De Gaulle sur Bardot selon laquelle l'actrice avait rapporté "plus de devises à la France que Renault".

L'événement passe en revue les "années insouciantes" de BB au cinéma mais aussi ses audaces, comme d'avoir pris la liberté de tourner le dos au 7e art à 39 ans.

Bardot, qui a refusé pour l'occasion d'être photographiée ou filmée, aborde sans nostalgie mais avec fierté cet événement monté par le journaliste Henry-Jean Servat, ami intime de la star et commissaire général de l'exposition.

"J'ai connu ces temps derniers, une longue traversée du désert pendant laquelle j'ai été boycottée et maltraitée. S'il y a donc, aujourd'hui, une autre façon de me considérer, tant mieux !" lui a-t-elle dit dans une interview à Paris-Match.

Sur 900 m2, à l'Espace Landowski jusqu'au 31 janvier, le mythe Bardot se met à nu dans une scénographie chronologique, à travers 17 de ses films les plus célèbres, entraînant le visiteur dans la vie tumultueuse de l'actrice et de ses "scandales" qui ont contribué à la libération de la femme et des moeurs.

"On ne découvre pas seulement Bardot: on découvre aussi une époque, celle de la France des années 50, du président René Coty et de la soupe aux choux. On comprend d'autant mieux pourquoi BB a changé les codes de la morale", explique à l'AFP Henry-Jean Servat.

"Nous racontons ici l'histoire d'une femme qui chercha sans cesse à dompter son époque en faisant toujours suivant ses désirs et ses envies", ajoute-t-il devant des citations de Simone de Beauvoir, de Marguerite Duras ou Françoise Sagan sur BB.

Plus de 1.000 photos, affiches, extraits de films et de documentaires, et objets personnels dont sa célèbre robe de mariée en Vichy rose et son Harley-Davidson à ses initiales, sont présentés pour la première fois grâce à une mobilisation d'envergure des studios de films, de la Cinémathèque Française, des agences photographiques, etc...

Il y a aussi les amis très proches dont Alain Delon et Günter Sachs, l'un de ses ex-époux qui a prêté deux portraits de BB signés Andy Warhol, jamais exposés en public.

"Brigitte a tout vendu depuis 30 ans au profit de sa fondation pour les animaux. Il y a un an, nous n'avions rien à montrer ", rappelle Henry-Jean Servat.

Pour la première fois, des films de famille révélant l'actrice bébé sont dévoilés, ainsi que ses diplômes de danse classique, sa première passion.

Un peu plus loin, après que "Dieu eut créé la femme", le visiteur suit les amours de Bardot, "amazone solaire et Don Juan au féminin", qui a pris dans ses griffes Roger Vadim, Samy Frey, Jacques Charrier, qui lui donna un fils, Serge Gainsbourg, Gilbert Bécaud ou encore Jean-Louis Trintignant.

Quelques films plus loin, ambiance "Coquillages et Crustacés" et direction la Madrague, la propriété de Bardot qui a fait Saint-Tropez, avec un petit détour par le bureau reconstitué du maire où trône le buste de BB élevée au rang de Marianne de la République.

Sur le thème de "Babette s'en va-t-en guerre", le combat de la star pour la cause animale avec des images de torture et de maltraitance, clôt l'exposition. Brigitte Bardot l'a voulu ainsi. Sa seule exigence.


Source : Internet

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Brigitte Bardot : “Mon insolence fait réagir”

Publié le par Ricard Bruno


Brigitte Bardot « ne regrette rien », ni le temps de la popularité qui lui a apporté « le meilleur comme le pire », ni d’avoir mis fin à sa carrière en 1973 pour se lancer dans sa lutte pour la défense des animaux, pas plus que son franc-parler qui a quelquefois suscité la polémique. C’est par fax que celle qui s’est retirée dans sa Madrague tropézienne a répondu à la sollicitation de France-Soir.


FRANCE-SOIR. Quel regard portez-vous sur ces « années d’insouciance » exposées à Boulogne-Billancourt ?
BRIGITTE BARDOT.
Du haut de mes trois quarts de siècle, je regarde cette merveilleuse exposition comme un hommage extraordinaire, un miracle qui nous ramène cinquante ans en arrière lorsque la vie était facile et belle.

Quelles images gardez-vous du film de Roger Vadim, Et Dieu créa la femme ?
Un souvenir lointain mais formidable, tourné à, Saint-Tropez, qui était encore merveilleusement joli et désert, avec des gens que j’aimais et qui me laissaient une grande liberté d’interprétation.

Aviez-vous conscience, à l’époque, de faire bouger les mœurs ?
J’avais surtout conscience de me faire bouger moi-même au rythme de toutes les danses.

Que vous a apporté la notoriété ? Ou au contraire, qu’a-t-elle abîmé dans votre vie ?
Elle m’a apporté le meilleur et le pire. Toute médaille a son revers.

Qu’est-ce qui a motivé votre envie d’arrêter votre carrière en 1973 ?
Une envie de mettre ma vie au service des animaux que je savais depuis longtemps martyrisés par les humains. On a cru à un caprice sans conséquence. On s’est trompé. Je ne suis jamais revenue sur ma décision et je ne regrette rien.

Aujourd’hui vous fêtez vos 75 ans. Le temps qui passe vous inquiète-t-il ?
Il y a le temps qui passe avec des résultats positifs dans le combat que j’ai choisi. Mais il y a aussi la perte de temps à attendre pendant vingt ou trente ans des résultats qui n’arrivent pas, alors oui ça m’angoisse.

Henry-Jean Servat, commissaire de l’exposition qui vous est dédiée, dit que votre rêve était de posséder une ferme et d’y soigner les animaux malades ou abandonnés. Avez-vous le sentiment d’avoir réalisé ce rêve en créant votre fondation ?
La réalité qui fut dure à créer, ma fondation à laquelle j’ai tout donné depuis 36 ans, cette réalité a dépassé tous mes rêves, mais à quel prix ? Au nom de combien de sacrifices, de luttes, de désespoirs !

Que pouvez-vous nous dire sur votre combat pour les animaux ?
C’est un quotidien de terribles réalités, d’agonies, de morts, de blessures, c’est une lutte incessante contre les martyrs, les douleurs que les hommes font subir aux animaux par inconscience, par connerie, par cruauté ou pour du fric. Il faut avoir beaucoup de courage, beaucoup d’obstination et d’amour pour supporter autant de détresses et essayer de les endiguer, de les soulager, de les prévenir aussi.

Votre franc-parler et vos écrits ont quelquefois créé la polémique. Quel est votre sentiment sur ce sujet ?
Mon franc-parler fait partie de ma personnalité, ça n’est pas aujourd’hui que je vais changer. Et si je dénonce les choses haut et fort c’est qu’elles existent, que tout le monde s’en fout. Mon insolence fait réagir. C’est mieux que de déverser des tonnes de lait dans le ruisseau !

Qu’aimeriez-vous que l’on dise de Brigitte Bardot dans cent ans ?
Qui c’est celle-là ?


Un hommage est rendu jusqu’au 31 janvier aux années “insouciance” de l’icône qui vient de fêter ses 75 ans.

Dieu que cette femme est belle ! terriblement envoûtante. Avec sa moue qui semble dire « je fais ce que je veux », ses grands yeux surlignés d’un trait noir, ses longs cheveux dorés qui flottent, et son corps sublime. Brigitte Bardot la sensuelle, mi-ingénue, mi-scandaleuse, incarne à jamais la libération de la femme, dans la France conservatrice et austère de René Coty. Dans les années 1950, elle bouleversa les mœurs et chercha sans cesse à dompter son époque. Associée à vie à Saint-Tropez et à la défense des animaux, l’icône a fêté, lundi, ses 75 ans.

Au lendemain de cet anniversaire, s’ouvre à Boulogne-Billancourt (près de Paris), ville connue pour ses studios de cinéma (fermés en 1992), une grande exposition consacrée aux années « insouciance » de BB. Une occasion unique de vérifier que le sex-symbol a toujours été un électron libre aux prises de position quelquefois radicales. Mais là n’est pas le propos, puisque le fil rouge de ce rendez-vous supervisé par Henry-Jean Servat (son ami intime), est le cinéma.

Deux tableaux de Warhol

Sur près de 900m2, au motif du célèbre carreau rose vichy, se déclinent un millier de photos, d’affiches, d’extraits de documentaires et d’objets personnels dont la célèbre Harley-Davidson sur laquelle elle n’avait besoin de personne. Son ex-mari, le milliardaire Günter Sachs, a également prêté deux portraits la représentant signés Andy Warhol. Mais on peut aussi observer ses premiers diplômes de danse classique, sa passion, ou son buste de Marianne.

Un véritable exploit, rendu possible grâce à la mobilisation des studios, de la Cinémathèque française et des agences photographiques. Car la star, retirée dans sa célèbre Madrague depuis 1973, ne possède plus de témoignages de ce glorieux passé. Elle a tout vendu dans les années 1980 pour financer sa fondation.
Construite en trois parties, sur la base d’un parcours chronologique, cette promenade dans la vie tumultueuse de Bardot est guidée par la voix de l’actrice. Dix-sept de ses films (sur cinquante tournés) et de larges extraits de ses chansons témoignent ainsi d’une carrière riche. Le tout, remis dans le contexte de l’époque.

Haine et amour

La visite débute par la folie Bardot, entre l’hystérie qu’elle déchaîna et la censure de l’église catholique. Puis, ce sont les images rares filmées par son père, qui renseignent un peu plus sur cette enfance bourgeoise. Marilyn Monroe, qu’elle admire, est brièvement évoquée avant de pénétrer dans l’alcôve consacrée au film Et Dieu créa la femme, celui qui l’a définitivement érigée au rang de mythe.

Un faux kiosque à journaux affiche ensuite les nombreux magazines qui lui ont consacré leur Une. Puis ses amours, ses amants, ses conquêtes, sa villa tropézienne, ses célèbres espadrilles Spartela et ses ballerines Repetto se succèdent. Jusqu’aux terribles images de torture et de maltraitance envers les animaux, le combat de sa vie. Ce tableau est d’ailleurs sa seule exigence.

« Bardot, reine de Saint-Tropez et de l’univers, reste pour l’éternité une actrice d’éclats et de clarté, écrit Henry-Jean Servat. Elle est aussi une créature de combat et de compassion, et surtout une femme de droiture et de courage. » BB une femme qui osa. Qui eu le courage d’aimer plusieurs fois, de quitter et de tourner le dos définitivement à ce cinéma qui l’avait pourtant révélée. Tout un symbole, résumé en deux lettres, qui a eu un destin capital.

Source : http://www.francesoir.fr/exposition/2009/09/29/brigitte-bardot-interview.html

Publié dans le web en parle

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