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A Boulogne, les amis des bêtes interpellent les...

Publié le par aniamux1

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Brigitte Bardot soutien le CRAC...

Publié le par Ricard Bruno

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Et BB lança la K.Jacques...

Publié le par Ricard Bruno

Il y a les tropéziennes en général, et il y a les K.Jacques. Devenue un basique, cette sandale se décline presque à l’infini, tant les formes, les couleurs et les matières sont nombreuses. Née à Saint-Tropez dans les années 30, elle est toujours fabriquée là-bas, dans un atelier géré par les descendants du fondateur Jacques Keklikian. Visite guidée en images.

La sandale K.Jacques, c’est avant tout une histoire de famille qui a bien tourné. Quand on arrive dans les locaux de la société, au milieu de la zone d’activités de Saint-Tropez, c’est Véronique, la nièce du patron, qui nous accueille. Le patron n’est autre que Bernard Keklikian, le fils du fondateur de la marque, Jacques. “Keklikian, c’était un nom compliqué, donc c’est devenu K. Et comme tout le monde appelait mon père ‘Jacques le cordonnier’, ça a donné K.Jacques”, explique-t-il. À ses côtés, sa fille Stéphanie, 30 ans, gère une des deux boutiques tropéziennes et travaille dur sur la refonte du site.

 

Tous les deux racontent avec enthousiasme la genèse de leur entreprise, indissociable de l’histoire familiale. “Quand mon père est arrivé en 1933, Saint-Tropez était un trou, un simple port de pêcheurs, sourit Bernard. La tropézienne leur était destinée, ils avaient besoin d’un cuir très résistant à l’eau de mer qu’il portaient sur les bateaux.” Arrivé onze ans plus tôt à Marseille au moment du génocide arménien, son pays d’origine “qu’il a quitté à pied”, Agop (Jacques en arménien) Keklikian apprend son métier en aidant son frère, qui fabrique des chaussures. Jusqu’aux années 50, ses sandales ne sont qu’un modèle parmi toutes les autres tropéziennes existant déjà sur le marché local, et restent réservées aux locaux, Saint-Tropez n’étant pas la célèbre station balnéaire que l’on connaît aujourd’hui.

Et BB lança la K.Jacques

Mais un jour, une certaine Brigitte Bardot, qui fréquente régulièrement le village, s’entiche de cette spartiate locale. “Là, ça a pété”, confie Bernard Keklikian, qui se souvient avoir chaussé personnellement l’actrice. Saint-Tropez devient Saint-Trop’, les stars se succèdent dans la première boutique, puis dans la deuxième. Les commandes sur mesure se multiplient, le choix des matières, des formes et des couleurs étant depuis le début une des spécificités de la maison.

Mais le business reste trop dépendant de la saisonnalité: une fois l’été terminé, les K.Jacques ne se vendent plus. “Dans les années 80, on a décidé de sortir de Saint-Tropez et d’ouvrir une boutique à Paris”, poursuit le boss. C’est à cette époque que la sandale se fait connaître hors de nos frontières. Toutefois, la success story a bien failli tourner court: à la fin des années 90, les comptes ne suivent plus une production made in France très chère, ni la gestion de toutes les boutiques. La société dépose le bilan. Mais ne ferme pas, et redémarre petit à petit. Une histoire qui rappelle celle de Repetto.

 

“On n’oublie pas d’où l’on vient et notre envie est intacte, c’est peut-être ça le secret de fabrication de K.Jacques.”

Aujourd’hui encore, le patron et sa fille se remémorent cette période difficile, avant de conclure tous les deux: “On n’oublie pas d’où l’on vient et notre envie est intacte, c’est peut-être ça le secret de fabrication de K.Jacques.”

Le succès réapparaîtra grâce à une cliente star, encore une fois. Vers 2007, les sandales sont vues aux pieds de Kate Moss. Depuis, les ventes n’ont fait que grimper, et aujourd’hui ce sont 280 paires qui sortent chaque jour de l’atelier. “Nous ne sommes pas une usine, mais un atelier et nous n’avons que 40 employés, nous sommes à taille humaine”, précise Bernard Keklikian. Ce qui n’empêche pas la marque d’avoir désormais un showroom à New York et à Milan, de collectionner les collaborations prestigieuses et de continuer à innover chaque saison: plus de mille modèles sont répertoriés à ce jour.

La visite commence par le sous-sol, où sont entreposés les bidons de colle ainsi que les semelles de liège, le seul produit qui soit fabriqué à l’extérieur. “On est à 99% made in France à cause de ça. Tout le reste est fabriqué ici”, commente Bernard Keklikian, qui a longtemps travaillé sur la chaîne de production lui-même.

Un peu plus loin, sont stockés les rouleaux de cuir, fabriqués par une tannerie alsacienne puis acheminés jusqu’à Saint-Tropez. “Les couleurs sont mises au point avec nous et sont toutes des exclusivités K.Jacques”, souligne Stéphanie Keklikian.

C’est tout pour le sous-sol, le reste de l’activité se situe au rez-de chaussée de l’atelier, qui donne sur la rue ensoleillée. Au milieu du local, le bureau de Georges, le frère de Bernard, qui est en charge de toute la création. C’est ici qu’il fait ses essais et imagine les futurs modèles.

Pendant qu’Émilie (à dr.) découpe les semelles à l’aide d’une machine, Johanna (à g.) colle les talons en caoutchouc naturel. Chaque semelle mesure 4,5 mm d’épaisseur.

Estelle (ci-dessus) s’occupe des coutures, la signature des K.Jacques. Sa machine est un peu particulière: c’est la plus ancienne de l’atelier, elle appartenait à Jacques.

Pendant ce temps, les lanières sont découpées et percées à l’aide de l’ustensile prévu à cet effet (il en existe des dizaines pour donner aux différentes parties de la sandale la forme adéquate). Les modèles les plus complexes nécessitent 123 pièces détachées, allant du rivet à la boucle en passant par toutes sortes de bijoux.

 

Chaque lanière est ensuite brûlée par Rosita (ci-dessus) pour enlever les peluches laissées par la découpe.

C’est Ana (ci-dessus) qui assemble lanières et semelles, grâce à des ouvertures qui ont été percées exprès. Le tout est ensuite cloué et collé sous la semelle.

Avant d’être empaquetées, les chaussures sont pressées par les machines, puis égalisées pour que les bords de la semelle soient parfaitement lisses. Le processus de fabrication touche à sa fin.

Au bout de la chaîne, Eugénie (ci-dessus) met toutes les paires en boîte. Chacune d’entre elles est ornée du désormais célèbre logo, dessiné par Georges Keklikian, le directeur de la création.

Toutes les commandes sont entreposées dans l’atelier avant d’être envoyées un peu partout en France et dans le monde. Bernard et sa fille Stéphanie Keklikian prennent la pose au milieu des boîtes à chaussures, avant de nous raconter comment ils ont reçu un jour la commande d’une certaine Michelle Obama qui venait d’acheter deux paires à livrer dans les trois jours à Chicago. Ce que la première dame américaine ignore, c’est qu’à l’intérieur de ses semelles a été écrit “Yes, we can!”, clin d’œil au slogan de campagne de son mari.

Chaque paire sur mesure (que l’on peut concevoir dans les boutiques tropéziennes et parisienne) a son bon de commande, qui suit la sandale tout au long de la chaîne de fabrication. Une fois portées, les chaussures peuvent aussi être réparées à l’atelier, qui assure le service après-vente. Là encore, le bon de commande ne quitte pas les spartiates.

Une fois terminés, de nombreux modèles (il n’y a pas la place pour tous) sont exposés dans le showroom à l’étage, sorte de caverne d’Ali Baba où il n’y a pas deux chaussures identiques. Même Stéphanie Keklikian, qui travaille ici tous les jours, avoue ne pas s’en être lassée. Et confie avoir un faible pour le modèle Picon (ci-dessus, à droite), le plus emblématique de la marque selon elle.

 

Ça y est, la visite est terminée, c’est l’heure d’aller déjeuner. En famille, évidemment.

 

Source : Cliquez ICI

Et BB lança la K.Jacques...
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Publié dans le web en parle

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Brigitte Bardot pélude à l'émission "5 colonnes à la une

Publié le par Ricard Bruno

~~En prélude à une longue interview de Brigitte BARDOT par France ROCHE est diffusé un film amateur tourné à HENDAYE par Anne-Marie BARDOT, mère de Brigitte, "Tatty", lorsque cette dernière avait cinq ans, en compagnie d'un tout jeune garçon (scène de baisers). Au cours de cette interview en studio sont évoqués son enfance sous les caméras familiales, son sentiment à l'égard du cinéma "qui souvent l'éloigne de la vision première de son personnage", de la danse qu'elle adore et où elle a "ses propres responsabilités" et de la presse internationale (deux magazines américains consacrés à elle sont sur une table) et nationale, qui ne l'intéresse pas. Elle évoque son image sexy du film "Et Dieu créa la femme" "qui lui colle à la peau" et le mythe BARDOT. Elle est très contente de son statut de star mondiale. Elle souhaite interpréter des personnages qui ont évolué comme elle. L'interview se termine par l'arrivée sur le plateau de Michel IGON, son camarade figurant sur le film amateur en introduction de l'interview. Celui-ci évoque le père de Brigitte et quitte le plateau en embrassant Brigitte BARDOT sur les deux joues sur l'invitation de France ROCHE.

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Interview Brigitte Bardot...tournage du film "La vérité"

Publié le par Ricard Bruno

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Brigitte Bardot en photos...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot en photos...
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Agression lors d’une manifestation pour la défense des animaux dans les cirques

Publié le par Ricard Bruno

~~Samedi 8 mars, un rassemblement avait lieu près d’un cirque non loin du golf de Saint Etienne. La Préfecture avait autorisé cette manifestation. Pacifiquement les personnes présentes donnaient des prospectus expliquant les conditions cauchemardesques des animaux captifs dans les cirques.

Vers 15h des membres du cirque présents nous ont violemment agressés. D’abord, au volant de leurs fourgonnettes, ils nous ont foncé volontairement dessus, nous visant et cherchant à nous faire passer sous leurs roues. Une jeune fille a été sauvée in extremis, une responsable d’une association de protection animalière a été agrippée et projetée sur le capot, puis repoussée violemment dans un fossé, j’ai moi-même miraculeusement pu éviter le bolide me fonçant dessus. OLYMPUS DIGITAL CAMERA Lorsque les deux véhicules s’immobilisèrent, leurs conducteurs sortirent et commencèrent à frapper toutes personnes se trouvant sur leur passage. Pendant près de vingt minutes une scène d’une rare violence se déroula sous le regard médusé des passants. Plusieurs membres du cirque vinrent rejoindre les conducteurs fous et frappèrent manifestants et passants en même temps. Une femme enceinte de plus de 8 mois qui se trouvait par hasard là se retrouva rouée de coups. Une autre fut projeté sur un capot de voiture avant d’être elle aussi violenté. Une responsable associative fut prise à partie et jetée avec une extrême violence sur la route ou à nouveau miraculeusement elle ne fut pas heurtée par les véhicules qui passaient alors qu’elle était inconsciente sur le bitume. Toute personne étrangère au cirque était une cible potentielle, j’ai failli être frappé et j’ai repoussé un des agresseurs, mes 1m91 m’ont certainement beaucoup aidé. Car visiblement ils préféraient fondre sur les femmes. Deux jeunes hommes ont été blessés aussi, dont un a eu des dents cassées. Je reprécise que notre rassemblement était totalement pacifique. Pour être certain que leurs forfaits restent impunis, ils ont cherché à détruire toutes les caméras qui filmaient, ainsi que les appareils photos et les téléphones. Fort heureusement, ils n’ont pas complètement réussi, permettant de constater la gravité des faits. OLYMPUS DIGITAL CAMERA OLYMPUS DIGITAL CAMERAOLYMPUS DIGITAL CAMERA Cette explosion de violence ne doit pas restée sans suite. Car bien plus que les coups reçus, certains avaient la volonté de tuer ou blesser gravement les personnes présentes. Les fourgonnettes montant sur le bas-côté et lancée sur nous, ne voulaient pas nous faire peur. Plusieurs fois ils ont changé de direction pour venir nous percuter et pour ma part je ne sais pas par quel miracle je suis encore là. De tels agissements ne doivent pas rester impunis, tout comme les conditions de gestion des animaux sur place qui enfreignent les règles de sécurité et qui mettent en danger les spectateurs s’y rendant. Enfin, ma présence était pour appuyer la proposition de la liste à laquelle j’appartiens pour ces élections municipales et qui demande l’interdiction des cirques avec animaux dans notre ville. Après ces événements, le simple fait que des animaux dangereux soient confiés à de telles personnes ne peut qu’être problématique pour la sécurité de nos concitoyens et pour la sécurité des animaux. Enfin, c’est aussi une atteinte à la démocratie, car ainsi agresser des gens qui manifestent dans le silence et pacifiquement sans aucune provocation et tenter d’écraser un responsable politique ; c’est nous attaquer toutes et tous. OLYMPUS DIGITAL CAMERA Gilles Rossary Lenglet Premier secrétaire du MRC Loire Liste « Saint Etienne en Mieux »

Agression lors d’une manifestation pour la défense des animaux dans les cirques Agression lors d’une manifestation pour la défense des animaux dans les cirques
Agression lors d’une manifestation pour la défense des animaux dans les cirques
Agression lors d’une manifestation pour la défense des animaux dans les cirques Agression lors d’une manifestation pour la défense des animaux dans les cirques
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Les blondes mythiques traversent les décennies...

Publié le par Ricard Bruno

~~À travers l'Histoire, les blondes n'ont cessé d'inspirer séduction et fascination. Symbole à la fois de féminité, d'innocence, de sensualité... le blond, qu'il soit naturel ou coloré, porte avec lui toutes ces contradictions. C'est sans doute pourquoi au fil des années, il captive et trouble toujours autant. À la fois femme-enfant et femme fatale, la blonde attire les hommes. Attention, on n'a pas dit que les brunes étaient en reste ! Mais force est de constater que, mythe ou réalité, dans la société, on admet facilement que "les hommes préfèrent les blondes"... De Brigitte Bardot à Scarlett Johansson, en passant par l'incontournable Marilyn Monroe... Get The Look fait le tour de ces femmes dont la blondeur légendaire en a fait des icônes. Bardot, la légende Résumer Brigitte Bardot n'est pas chose facile, et pourtant tout tient en deux lettres: BB. Deux initiales, un symbole... Véritable star planétaire, notamment grâce à son rôle dans Et Dieu créa la femme, l'éblouissante Bardot s'est érigée immédiatement comme un sex-symbol, inspirant une lumineuse tentation. Sa blondeur mi-candide, mi-fatale, a créé cette ambivalence dont on parlait. Elle en imposait par une moue joueuse, une plastique irréprochable, des formes affolantes et une féminité libérée. Hymne à la sensualité, Brigitte Bardot insufflait à l'époque un esprit bohème chic (bien avant nous). Elle laissait parler sa féminité exacerbée, tout en laissant planer derrière elle un air de volupté. Marilyn, l'icône de séduction Norma Jean / Marilyn Monroe : deux noms pour une seule icône. Blonde platine la plus célèbre de la planète, elle a commencé sa carrière en tant que modèle avant de devenir l'actrice ultra demandée que l'on connaît tous. Véritable muse, elle cachait derrière son image de séductrice aguicheuse une véritable fragilité.

~~Tout au long de sa carrière, Marilyn a joué voire abusé de son image de femme fatale, et a été la proie de critiques, car beaucoup n'ont sans doute pas su voir que sous la crinière blonde, se cachait une grande sensibilité et beaucoup d'intelligence. En jean, en robe glamour ou en maillot de bain et peignoir, sur les clichés immortalisés, elle reste aux yeux de tous un destin tragique, un mythe éternel. Catherine Deneuve, la blonde lumineuse du cinéma français Discrète, inaccessible et mystérieuse, Deneuve incarnait dans sa jeunesse la blonde solaire aux traits fins, angélique malgré elle. Elle était une vraie représentante de la séduction, version Belle de jour, fraîche et naturelle. Princesse Kelly, la blondeur gracieuse Essence même de l'élégance tout en discrétion, Grace Kelly n'est pas devenue princesse par hasard. Sa chevelure d'un blond doux lui donnait une aura royale et n'attendait plus... qu'un diadème. La relève semble bien assurée par sa petite fille, Charlotte Casiraghi. Et les blondes aujourd'hui ? 2014 : le blond continue à plaire, et quelle femme ne s'est pas un jour posé la question, de passer au blond. Il faut dire que parmi la multitude de nuances tendances qui s'offrent à nous, la tentation est grande... Nos références en matière de blond aujourd'hui ? Scarlett Johansson représente sans doute le mieux le fantasme actuel de la blonde voluptueuse. Mais elle a de sérieuses concurrentes : entre Cameron Diaz, Blake Lively, Jennifer Aniston , Doutzen Kroes... ces sublimes blondes font tourner les têtes et sont devenues de sérieuses références quand on parle de blond. Hollywood n'a pas fini de nous faire rêver ! La blondeur, ultime arme de séduction ? Peut-être bien...

Source : Cliquez ICI

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Elections Européennes 2014...

Publié le par Ricard Bruno

~~Elections Européennes 2014 Le changement, c’est maintenant ! Les Français boudent généralement les élections européennes, pourtant, le Parlement est la seule institution européenne élue au suffrage universel direct, il représente plus de 500 millions de citoyens à travers les 28 Etats membres. 25 mai 2014 : Nos voix pour les animaux ! Les quelques avancées (trop rares) obtenues ces dernières années dans le domaine de la condition animale, l’ont été par les réglementations européennes. Que ce soit l’interdiction des tests sur animaux pour les cosmétiques, l’adoption de l’embargo européen sur les produits issus du phoque, l’interdiction d’importer et de commercialiser les peaux de chats et de chiens, l’obligation légale de tenir compte "des exigences du bien-être des animaux en tant qu’êtres sensibles", etc., tout cela nous le devons à l’Europe et, en premier lieu, au Parlement qui a souvent été un allié précieux pour les défenseurs des animaux. Coalition européenne pour les animaux La Fondation Brigitte Bardot, membre d’Eurogroup for Animals, a participé activement à la campagne Vote for Animals (voir lien colonne de droite), en rencontrant et en sensibilisant de nombreux élus dont certains ont accepté de signer un engagement pour la protection des animaux, comprenant sept points principaux : 1) Travailler pour assurer qu’une loi cadre, sur la protection des animaux, proposant le plus haut niveau de bien-être possible soit adoptée (pour tous les groupes d’animaux, y compris les animaux de compagnie et les animaux sauvages), 2) Réduire la durée du transport des animaux vivants et la densité de chargement (animaux partant à l’abattoir ou à l’engraissement), 3) Promouvoir le développement et la validation des méthodes alternatives afin de réduire le nombre d’animaux expérimentés (plus d’un million d’européens viennent de signer une Initiative Citoyenne Européenne demandant l’arrêt de l’expérimentation animale), 4) Veiller à ce que le bien-être animal soit clairement inclus dans l’accord commercial UE-Etats Unis (très important car les normes européennes, plus élevées qu’ailleurs généralement, peuvent pénaliser les producteurs sur le marché mondial et sur leur propre marché si celui-ci n’est pas « protégé » ou si des normes équivalentes ne sont pas imposées aux produits commercialisés au sein de l’UE), 5) Introduire une législation interdisant le clonage d’animaux pour l’alimentation, 6) Développer des normes européennes pour l’élevage et le commerce des animaux de compagnie (actuellement les animaux de compagnie sont peu visés par les réglementations européennes alors qu’ils sont produits dans des élevages intensifs, transportés et vendus dans des conditions inacceptables), 7) Travailler à la réduction du nombre d’espèces "exotiques" proposées à la vente et veiller à leur bien-être (animaux ne disposant pas toujours d’un milieu approprié et pouvant représenter une menace pour les espèces locales). Engagement européen, le clip de la FBB L’objectif de la Fondation Brigitte Bardot, dans cette démarche auprès des candidats, n’est pas de prendre position pour tel ou tel parti (elle garde son indépendance envers toute formation politique) mais de vous présenter les eurodéputés qui s’engagent à défendre les animaux. Ainsi, un clip a été réalisé lors d’entretiens au Parlement européen (Bruxelles et Strasbourg) avec la participation des trois premiers signataires de l’engagement pour la protection des animaux : Michèle Striffler, Sandrine Bélier et Younous Omarjee. Françoise Grossetête a également accepté d’intervenir dans ce clip après avoir signé l’engagement (ce clip sera prochainement mis en ligne sur cette page). Votez utile… Les candidats qui ont signé notre engagement pour la protection des animaux devront, s'ils sont élus, défendre les sept points du manifeste... Nous y veillerons ! - See more at: http://www.fondationbrigittebardot.fr/s'informer/elections-europeennes2014#sthash.KZD3GZAy.dpuf

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