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action de protection animale

Brigitte Bardot interpelle une nouvelle fois le président Macron

Publié le par Ricard Bruno

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Brigitte Bardot écrit à Sophie Darel

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot écrit à Sophie Darel

Le petit mot de Sophie Darel

"Un énorme merci à Brigitte Bardot ! qui a accepté de me faire cette jolie lettre pour mon prochain bouquin « Objectif 100 ans en pleine forme ! » sortie début Avril. je l’embrasse très fort ! Je suis très fière ! Elle représente un symbole unique !!! "

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Une association intervient à l’hôpital Pierre-Lôo

Publié le par Ricard Bruno

Une fois soignés, les chats peuvent être relâchés ou adoptés.

Une fois soignés, les chats peuvent être relâchés ou adoptés.

Depuis un peu plus d’un an, une association a été créée pour stériliser, identifier et soigner les chats errants qui proliféraient à l’hôpital Pierre-Lôo. Une action qui s’étend désormais au reste de La Charité-sur-Loire.

 

Rien à voir évidemment avec l'offre de soins proposée au sein du centre hospitalier spécialisé. Mais sur l'immense terrain sur lequel se dressent les nombreux bâtiments de l'hôpital Pierre-Lôo, les chats errants ont trouvé un lieu propice à leurs activités, en toute liberté. D'où une prolifération des « moustachus », avec, comme corollaire, des bêtes plus ou moins affamées, galeuses, en triste état. Sans oublier le problème essentiel de l'hygiène sur l'établissement et les risques pour les patients et le personnel.

Depuis plus d'un an, une association a donc été créée et a pris les choses en mains. « Les chats libres du Centre Hospitalier Pierre-Lôo » a pour objet de capturer les animaux afin de les faire stériliser, de les identifier et de les soigner. Ensuite, ils peuvent soit être relâchés, soit être adoptés. Pour ceux qui restent libres à l'hôpital, des petits abris ont même été construits.

« C'est une très belle action qui est menée ici et que nous soutenons », explique Francelyne Hié, directrice de l'établissement. « Lorsque l'association s'est mise en place, ce n'était pas moins d'une centaine de matous qui batifolaient au sein de l'établissement. Les choses se sont bien améliorées, même s'il re

De son côté, Audrey Fassier, co-présidente, renchérit : « Désormais, l'association se propose d'intervenir aussi sur la ville de La Charité. On peut nous contacter sans problème, c'est quelque chose qui nous tient à cœur ».

Une collecte alimentaire samedi

L'association est entre autres soutenue par la fondation Brigitte Bardot. Mais toutes les aides sont les bienvenues. C'est d'ailleurs pourquoi des collectes alimentaires sont organisées. La prochaine aura lieu samedi 16 février au magasin Auchan, de 9 h à 18 h 30.

Contact. Érika Boisson et Audrey Fassier au 03.86.69.40.40 (standard de l'hôpital).

Source de l'article : Cliquez ICI

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Aidez-nous à stériliser les chats des rues !

Publié le par Ricard Bruno

Aidez-nous à stériliser les chats des rues !

Chaque année en France, des milliers d’animaux errants sont en souffrance, parfois maltraités, souvent capturés, mis en fourrière puis euthanasiés. 

 

Après avoir fait évoluer la législation afin que les chats stérilisés puissent être relâchés sur leur lieu de capture (le code rural l’autorise désormais), la Fondation Brigitte Bardot finance la stérilisation de milliers de chats pour arrêter leur reproduction et contrecarrer les campagnes de « capture euthanasie » qui sont encore monnaie courante en France.

 

La prolifération des animaux errants peut entraîner des conséquences dramatiques : transmission de maladies infectieuses, bagarres, rejet par la société du fait de leur surpopulation...

 

La FBB a fait opérer 160 000 chats ces 20 dernières années en France. En 2018, 11 000 chats ont été stérilisés grâce à la Fondation, pour un montant de près de 600 000€.

 

Des accords ont été passés avec près de 2 000 municipalités afin de garantir la sécurité des animaux stérilisés.

 

Pour l’année 2019, notre objectif est de stériliser 15 000 chats des rues !

 

Aidez-nous à poursuivre nos missions, en faisant un don dès aujourd’hui.

 

Soutenez, vous aussi, le travail remarquable des bénévoles présents chaque jour sur le terrain pour mener à bien ces opérations.

 

Toutes nos actions ne sont rendues possibles que grâce à votre générosité, sous forme de dons ou de legs. Un immense merci à vous !

Fiscalité des dons pour les particuliers

66% de réduction fiscale : un don de 75€ ne vous revient qu’à 25€ !

Vous recevrez un reçu fiscal sous 3 semaines.

Vous préférez envoyer vos dons par chèque

 

Si vous préférez envoyer vos dons par chèque cliquer ici sinon utilisez le paiement sécurisé par carte bancaire ci-dessous.

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Aveyron. Condamné à 18 mois ferme pour avoir tiré dans la tête de son chien

Publié le par Ricard Bruno

Un commissariat de police, à Paris (photo d'illustration).

Un commissariat de police, à Paris (photo d'illustration).

Un jeune homme a été jugé ce mardi 12 février par le TGI de Rodez (Aveyron) pour des actes de cruauté sur son chien. L’animal avait été retrouvé par une passante, une balle dans la tête. Il avait été euthanasié dans la foulée. L’homme a été condamné à 18 mois de prison et devra payer 11 700 euros à plusieurs associations de protection animale.

Un jeune homme d’une vingtaine d’années a été condamné à 18 mois de prison ferme ce mardi 12 février pour de graves sévices sur son chien, rapporte le quotidien Centre-Presse AveyronL’affaire remonte au mois d’octobre 2018. Une promeneuse de passage en forêt d’Aubin (Aveyron) avait découvert le malheureux animal, errant, très gravement blessé.

Une balle de calibre 22 logée dans la tête

Le jeune Beauceron croisé Malinois présentait plusieurs fractures au niveau des vertèbres. L’examen vétérinaire avait révélé la présence d’une balle de calibre 22 fichée dans la tête de l’animal. Le chien avait finalement été euthanasié.

Le principal suspect, un jeune homme d’une vingtaine d’années, avait été interpellé quelques jours plus tard à son domicile. L’homme, qui venait d’acquérir l’animal, a reconnu les faits lors de sa garde à vue.

Un suspect en cavale

Au cours de cette audition, les enquêteurs ont découvert que le suspect était en fuite : il était censé purger une peine de sept mois d’emprisonnement après avoir été condamné pour incendie volontaire. L’homme a immédiatement été placé en détention.

Il comparaissait ce mardi 12 février devant le tribunal de grande instance de Rodez pour répondre des sévices infligés à son chien. Six associations animales s’étaient constituées parties civiles dans ce dossier, dont la Société Protectrice des Animaux (SPA), l’association 30 Millions d’Amis et la fondation Brigitte Bardot.

« J’ai tiré sans regarder »

À la barre, le prévenu a plaidé la légitime défense : « Ce chien devenait méchant, il avait attaqué une jeune fille. Il m’attaquait moi également, a-t-il expliqué. J’ai tiré sans regarder, je pensais qu’il était mort sur le coup. J’ai vomi après mon geste ».

Le substitut du procureur a requis 14 mois de prison ferme. Le tribunal s’est montré plus ferme en condamnant le prévenu à 18 mois de prison ferme, une interdiction de détenir un animal et 11 700 euros de dommages et intérêts à verser aux parties civiles.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Procès de l'abattoir d'Alès On est passé à côté du dossier de la souffrance animale

Publié le par Ricard Bruno

Quatre avocats de la partie civile étaient opposés à Me Isabelle Mimran.

Quatre avocats de la partie civile étaient opposés à Me Isabelle Mimran.

Le directeur de l’abattoir d’Alès était convoqué ce lundi 11 février au tribunal pour trois infractions.

À la barre du tribunal de police, le directeur de l’abattoir d’Alès explique : "On ne fait pas n’importe quoi. On est en permanence sous contrôle. Tout est validé par les services de l’État." Le parquet d’Alès a pourtant relevé des dysfonctionnements au sein du service. Trois infractions contraventionnelles liées à des matériels non conformes. À ce titre, le procureur François Schneider a requis trois amendes à 750 € chacune.

Pour Caroline Lanty, l’avocate de l’association de défense des animaux L214, "C’est un procès a minima. Un rapport des enquêteurs avait établi 175 irrégularités. Huit autres personnes auraient pu être poursuivies. Il y a un déficit du contrôle de l’État. La sécurité sanitaire est bien assurée, mais la phase qui précède l’acte de mort de l’animal, n’intéresse pas les autorités."

Et le mauvais traitements dans le cadre des abattages rituels...

Me Frédéric Ortega, pour la SPA, a une autre lecture de l’affaire : "Nous passons à côté du dossier. Ce n’est pas le procès du directeur, c’est le procès de la souffrance animale qui est bafouée. Ce qui aurait dû être jugé, ce sont les mauvais traitements dans le cadre des abattages rituels. Comment peut-on passer à côté des 175 infractions constituées pour n’en retenir que trois ?"

Me Lionel Marzials, conseil de l’Alliance anticorrida et de la Fondation Brigitte Bardot, analyse : "La législation européenne impose l’étourdissement avant la saignée. Mais en France, il existe une dérogation, par décret, qui permet d’échapper à ce texte. C’est en contradiction avec le principe de laïcité qui doit prévaloir. Ce décret est problématique, mais ce n’est pas devant ce tribunal qu’on peut le contester. "

"Les poursuites ont été minimisées ?"

Afin de dépassionner les débats, Me Isabelle Mimran, avocate du directeur, a opté pour une plaidoirie très technique. Reprenant chaque infraction, elle a insisté sur le manque de constatations matérielles pour condamner : "Les vidéos ne sont pas une preuve suffisante, elles n’ont pas fait l’objet d’une expertise. On ne sait pas si les images ont été montées, manipulées ou s’il s’agit d’une scène d’un seul tenant. Les poursuites ont été minimisées ? Pour les témoins, il y a de nombreuses possibilités procédurales pour faire les faire entendre. Rien n’interdit à la partie adverse d’effectuer une citation directe, mais ils s’en sont bien gardés, par insuffisance de la preuve." Et de réclamer la relaxe. Le délibéré sera rendu le 8 avril prochain.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Brigitte Bardot en colère

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot a adressé une lettre ouverte au préfet  des Hautes-Pyrénées ,contre l’implantation d’un élevage industriel de porcs à Ossun 

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Brigitte Bardot en colère
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Procès de l’abattoir d’Alès : un scandale !

Publié le par Ricard Bruno

Procès de l’abattoir d’Alès : un scandale !

3 infractions poursuivies sur 175 : L214 porte plainte contre l’État

En octobre 2015, L214 dévoilait des images insoutenables filmées dans l’abattoir régional d’Alès, dans le Gard : gorges cisaillées à vif, vaches suspendues encore conscientes, bovins et moutons saignés sous les yeux de leurs congénères, chevaux mal assommés… La situation des animaux est déjà tragique lorsque la réglementation est respectée : elle est pire lorsque des infractions sont commises.

Enquête à l'abattoir d'Alès

→ Revoir la vidéo d'enquête

Suite à notre plainte, le parquet avait ouvert une enquête au terme de laquelle 175 infractions ont été relevées par les services de police judiciaire, assistés par la Brigade nationale d’enquêtes vétérinaires et phytosanitaires (BNEVP).

Pourtant, seulement 3 infractions ont été retenues par le procureur de la République et ont été jugées ce lundi 11 février devant le tribunal de police d’Alès. Ainsi, le directeur de l’abattoir, seul prévenu dans cette affaire, ne risque que 3 amendes de 750 euros au maximum : la décision sera rendue le 8 avril. Tous les « mauvais traitements » relevés par l’enquête ont quant à eux été écartés : pourtant répétés à de nombreuses reprises, les absences de contrôle de l’inconscience des animaux, les saignées tardives et les cisaillements de la gorge ne seront pas jugés.

Par ailleurs, le dossier pénal n’a été transmis aux avocates de L214 qu’après le délai de prescription de ces autres infractions, ce qui a empêché toute possibilité de poursuites par citation directe.

Face à ces entraves, nous avons décidé de porter plainte contre l’État pour dysfonctionnement des services de la justice.

Nous espérons ainsi faire toute la lumière sur ce scandale pour qu’à l’avenir la souffrance des animaux ne soit plus considérée comme une question dénuée d’importance.

→ De plus amples informations dans notre communiqué de presse

Sans vous, pas de vidéos, pas de procès

Comme nous, vous trouvez cette situation scandaleuse ? Vous pensez que L214 peut faire changer les choses ? Vous souhaitez que nous continuions notre travail ? Nos vidéos sont un moyen efficace d’interpeller le public et les institutions. Aujourd’hui, elles sont également les seules portes d’entrée permettant d’amener ces infractions devant la justice, c’est-à-dire de provoquer des enquêtes judiciaires, des poursuites, des audiences et des condamnations. Soutenez notre action !

 

Source  : L214

POUR SOUTENIR L214 : CLIQUEZ ICI

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Les oies sont toujours chassées malgré l’arrêt du Conseil d’Etat

Publié le par Ricard Bruno

Face à la complicité de l’Etat Français, la LPO porte plainte au niveau européen.

Oies cendrées (Anser anser) - Crédit photo : Gilles Pierrard

Oies cendrées (Anser anser) - Crédit photo : Gilles Pierrard

Mercredi 6 février, le Conseil d’Etat suspendait la chasse aux oies migratrices suite au recours déposé par la LPO. Cinq jours plus tard, la chasse continue pourtant, et des oiseaux migrateurs se font encore abattre dans plusieurs départements français. La raison ? L’Etat a donné l’ordre à la police de la nature (l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage) de ne pas verbaliser les braconniers.

La décision qualifiée d’ « immédiatement exécutoire » à peine tombée, Willy Schraen, Président de la Fédération Nationale de la Chasse, informait déjà ses adhérents qu’ils pouvaient en toute légalité continuer de chasser jusqu’au lendemain.

willy schraen

L'Etat complice

Dès le 8 février, ordre était donné par au moins un Préfet de Région de « suspendre tous les contrôles d’installations de chasse au gibier d’eau » et confirmé le lendemain à 17h50 aux services de la police de la nature normalement en charge de verbaliser les contrevenants : « Je vous demande désormais de ne procéder à aucun contrôle et de cesser toute surveillance (…) Si vous êtes interrogés, vous répondez simplement que la chasse des oies est interdite et aucun mot sur nos consignes internes ».

Résultat de ce stratagème honteux, la chasse aux oies (et autres oiseaux puisque d’autres espèces non autorisées à la chasse ont été abattues) est en fait toujours ouverte 11 jours après la fermeture officielle !

La LPO a décidé de porter l’affaire devant la Commission Européenne en vue d’une plainte devant la Cour de Justice de l’Union Européenne.

Plus d'informations

Consultez le communiqué de presse

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