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justice pour les animaux

QUATRE ANCIENS LIONS DE CIRQUE REJOINDRONT BIENTÔT LA TERRE DE LEURS ANCÊTRES !

Publié le par Ricard Bruno

QUATRE ANCIENS LIONS DE CIRQUE REJOINDRONT BIENTÔT LA TERRE DE LEURS ANCÊTRES !

Qui a dit qu’il était impossible pour des animaux sauvages nés en captivité de retrouver un jour un semblant de liberté, de retrouver la terre que leurs ancêtres foulent depuis des milliers d’années ?

Pour les quelques sceptiques, l’opération menée par Born Free Foundation en coopération avec la Fondation Brigitte Bardot sera de nature à les rassurer. Quatre anciens lions de cirque, actuellement pris en charge au sein de notre refuge partenaire Tonga Terre d’Accueil, prendront bientôt un vol pour l’Afrique du Sud. Ils rejoindront le sanctuaire de Shamwari qui a déjà accueilli des lionceaux français issus du trafic l’année passée.

Louga, le mâle

Louga, le mâle

LE DÉBUT D'UNE BELLE HISTOIRE

Une belle aventure débutait alors, permettant de sauver des dizaines d’animaux sauvages de détentions illégales, du trafic ou encore de l’industrie du divertissement où ils n’ont pas leur place.

Des macaques, lions, tigres ou encore des hyènes sont actuellement accueillis au refuge de Tonga Terre d’Accueil avec le soutien actif de la FBB qui a participé à hauteur de 540 000€ à la construction de bâtiments adaptés, aux soins vétérinaires et à leur alimentation.

 

ÊTRE AU PLUS PROCHE DE LEUR HABITAT NATUREL

C’est d’ailleurs dans l’un de ces bâtiments financés par la Fondation Brigitte Bardot que Saïda, Angela, Bellone et Louga sont actuellement pris en charge par une équipe dédiée.

Malgré la qualité de l’accueil au sein du refuge, le transfert de ces lions leur permettra de rejoindre des enclos dans un milieu au plus proche de leur habitat naturel, pour finaliser la réhabilitation débutée par Tonga Terre d’Accueil. 

Un transfert également hautement symbolique, puisque la Fondation Brigitte Bardot demande depuis de nombreuses années la fin de la détention des animaux sauvages dans les cirques et attend encore l’annonce de la Ministre Elisabeth Borne à ce sujet.

LA PRISE EN CHARGE DES ANIMAUX SAUVAGES ISSUS DU CIRQUE

Dans ce milieu absolument inadapté, les animaux vivent constamment dans des cages et sont trimbalés d’une ville à l’autre afin de divertir le public à travers des numéros contre nature. La Fondation Brigitte Bardot s’est engagée auprès du Ministère de la Transition écologique et solidaire à participer à la prise en charge des animaux sauvages issus du cirque si une interdiction était mise en place.

Les structures financées par la FBB au sein de Tonga Terre d’Accueil, mais également au sein d’autres refuges tels que Elephant Haven ou encore le Refuge de l’Arche, permettront l’accueil de ces animaux.

Un nouveau bâtiment spécialement dédié aux félins, également construit grâce au financement de la Fondation, sera inauguré à Tonga Terre d’Accueil dans le courant de l’année 2020.

UN NOUVEAU DÉPART

Nous attendons avec impatience de voir ces animaux rejoindre la terre de leurs ancêtres, le seul milieu adapté à ces magnifiques fauves. Nous vous donnerons évidemment très prochainement de leurs nouvelles et vous ferons vivre avec nous leur aventure.

Soutenez la Fondation Brigitte Bardot à mettre un terme à la détention des animaux sauvages dans les cirques !

 

Saïda, une femelle

Saïda, une femelle

Angella et Bellone, la troisième femelle
Angella et Bellone, la troisième femelle

Angella et Bellone, la troisième femelle

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Brigitte Bardot...s'adresse à vous...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot...s'adresse à vous...
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Coronavirus : Brigitte Bardot demande au gouvernement des mesures en faveur de la protection animale

Publié le par Ricard Bruno

Image d'illustration...

Image d'illustration...

Dans une lettre ouverte adressée au gouvernement, Brigitte Bardot et Rémy Gaillard, notamment, demandent des mesures en faveur de la protection animale française. 

L’association Ethics For Animals et le Collectif Chats 100 % Stérilisation Obligatoire (regroupant 600 associations de protection animale en France) soutenus par ces personnalités dont Brigitte Bardot, Rémi Gaillard, Henry-Jean Servat, Emmanuelle Rivassoux et Gilles Luka et par de nombreuses associations (One Voice, L214, Anymal, Association Stéphane LAMART, etc...) ont lancé une pétition sur le site www.protectionanimale-covid19.com à l’attention du Ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, qui a recueilli plus de 70 000 signatures en quelques jours.

 

Cette pétition demande la mise en place un justificatif de déplacement lié à l’activité d’une association de protection animale permettant aux associations d'œuvrer en toute quiétude en faveur des animaux en prenant toutes les précautions d'usage à l'égard de nos concitoyens et d’appuyer la demande des associations pour obtenir des vétérinaires qu’ils acceptent comme acte vétérinaire urgent, les stérilisations d’animaux errants ou de refuge comme le prévoit le dernier communiqué de l’ordre des vétérinaires.

Lire aussi : "Les animaux ne propagent pas le coronavirus, ne les abandonnez pas !"

« L’ensemble des protecteurs des animaux est confronté à un problème de taille : pouvoir continuer à nourrir les chats libres dont ils ont la charge et porter secours aux animaux en détresse. Si nous comprenons entièrement les règles du confinement, il nous parait essentiel de ne pas abandonner ces chats qui sont pour la plupart nourris par une personne sur le territoire de leur commune. D’autre part, nous constatons que malgré l’Ordre de Méthode publié par le Ministère de l’Agriculture et le dernier communiqué de l’Ordre des vétérinaires, encore trop peu de vétérinaires acceptent aujourd’hui de procéder aux stérilisations des chats errants. Pourtant, il s’agit là d’une véritable nécessité. Les associations voient arriver l’été avec son lot d’abandons, et refuser de stériliser les chats errants fait craindre une situation dramatique pour les refuges et pour les animaux avec une augmentation de la misère animale.» déclarent Brigitte Bardot, Rémi Gaillard, Henry-Jean Servat, Emmanuelle Rivassoux et Gilles Luka dans la lettre ouverte.

Nourrir les chats libres sans risque une amende

L’association Ethics For Animals et le Collectif Chats 100 % Stérilisation Obligatoire souhaitent aujourd’hui que les protecteurs des animaux puissent nourrir les chats libres au-delà du kilomètre autorisé sans écoper d’amendes comme cela a pu être le cas dans plusieurs départements en France. L’Italie, l’Espagne et la Belgique ont déjà pris des mesures dans ce sens pour leurs associations et refuges. « Malgré les demandes répétées faites au Ministère de l’Agriculture, personne ne sait exactement ce qu’il est d’usage de faire. Aussi, il est regrettable de constater que des personnes puissent écoper d’une amende de 135 € parce qu’elles sortent nourrir les chats libres de leur commune alors même qu’elles respectent les précautions sanitaires : elles sont seules et suffisamment à distance d’autres individus pour ne pas contaminer ou être contaminées par le COVID-19. Une répression d’ailleurs aléatoire selon les agents et les communes, puisque d’autres peuvent très bien nourrir les chats sans écoper d’amende. Ce manque de réponse est problématique, car ces animaux doivent être nourris et ne peuvent compter que sur ces associations. C’est également une urgence sanitaire de ne pas laisser ces chats errants se reproduire et mourir de faim dans nos rues. », explique encore le texte.

Source de l'article : Cliquez ICI

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PYRÉNÉES-ATLANTIQUES : LA FBB ORGANISE LE SAUVETAGE D’UNE DIZAINE DE REPTILES DÉTENUS DANS DES CONDITIONS TERRIFIANTES

Publié le par Ricard Bruno

PYRÉNÉES-ATLANTIQUES : LA FBB ORGANISE LE SAUVETAGE D’UNE DIZAINE DE REPTILES DÉTENUS DANS DES CONDITIONS TERRIFIANTES
Pendant la période de confinement, la Fondation Brigitte bardot continue de voler au secours des animaux en danger. Alertée par le Refuge de Bayonne (64), nous avons organisé ce matin, avec l'aide du Parc animalier de St Martin la Plaine, le sauvetage d'une dizaine de reptiles qui vivaient dans des conditions déplorables.

 

DIX SERPENTS ET DEUX POGONAS EN ÉTAT DE SOUFFRANCE

La FBB est intervenue ce matin pour récupérer une dizaine de boas et de pythons, ainsi que deux pogonas (agames), qui étaient détenus dans des conditions indignes dans un appartement de la région de Bayonne, dans les Pyrénées-Atlantiques.

Le Refuge de Bayonne nous avait alertés, après avoir pris en charge un chien et un chat qui vivaient dans le même endroit. 

Pour réaliser cette mission, nous avons fait appel à un partenaire historique de la Fondation, le Parc animalier de St Martin la Plaine, et bénéficié de l’aide précieuse du Refuge de Bayonne.

fondation brigitte bardot sauvetage serpents reptiles bayonne

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LE COVID-19 ENGENDRE ENCORE PLUS DE SOUFFRANCE ANIMALE DANS LES TRANSPORTS ANIMAUX D'ÉLEVAGE

Publié le par Ricard Bruno

LE COVID-19 ENGENDRE ENCORE PLUS DE SOUFFRANCE ANIMALE DANS LES TRANSPORTS ANIMAUX D'ÉLEVAGE
La Fondation Brigitte Bardot s'associe à 37 ONG de protection animale pour demander à l’Union Européenne de suspendre les transport d'animaux d'élevage de plus de 8 heures et interdire les transports vers les pays tiers.
 

ENCORE PLUS DE SOUFFRANCE POUR LES ANIMAUX D'ÉLEVAGE

LE COVID-19 ENGENDRE ENCORE PLUS DE SOUFFRANCE ANIMALE DANS LES TRANSPORTS ANIMAUX D'ÉLEVAGE

Alors que plusieurs pays d’Europe sont en confinement général pour enrayer l’épidémie de Covid-19, le transport d’animaux vivants au sein de l’Union Européenne et vers des pays tiers se poursuit, provoquant une grave souffrance animale.

À cause des très longs retards signalés aux frontières, de multiples situations mettant à mal santé et bien-être des animaux transportés ont été signalées :

  • des véhicules de transport d’animaux refusés d’entrer en Croatie ;
  • des files d’attente de 40 km à la frontière entre la Lituanie et la Pologne ;
  • des files d’attente de 65 km à la frontière entre l’Allemagne et la Pologne (côté allemand), avec des temps d’attente jusqu’à  18h ;
  • des files d’attente entre la Bulgarie et la Turquie, où des transporteurs ont déclaré mettre 3h pour avancer de 300 mètres.

Malgré les contrôles accrus aux frontières, le transport d’animaux vivants au sein de l’Union Européenne et avec des pays tiers se poursuit, provoquant une grave souffrance animale. Et se profile le risque que certains pays ferment complètement leurs frontières, sans avoir songé aux besoins vitaux des animaux d’élevage qui seraient refoulés (eau, nourriture, aire de repos…). Les trajets déjà éprouvants deviennent encore plus longs et sources de douleur et d’angoisse pour les animaux.

8 ONG DEMANDENT À L'EUROPE DE RÉAGIR

LE COVID-19 ENGENDRE ENCORE PLUS DE SOUFFRANCE ANIMALE DANS LES TRANSPORTS ANIMAUX D'ÉLEVAGE
En pleine crise sanitaire, la situation en Europe ne pouvant plus garantir le respect du droit européen en ce qui concerne le transport d'animaux d'élevage, "nous demandons que seuls les transports d’animaux d’une durée de moins de 8h soient autorisés sur le territoire français et européen", ainsi que "la suspension immédiate et complète des exportations d’animaux vers les pays tiers."

Dans une lettre envoyée le 19 mars 2020 à la Commission et au Conseil de l’Europe, la FBB et plus de 35 ONG de protection animale s’associent à Welfarm et  CIWF France pour que les transports d’animaux d’élevage s’adaptent aux contraintes provoquées par l’épidémie de Covid-19

 

Alors que les Pays-Bas ont pris des mesures de restriction pour éviter ces situations de grande souffrance animale, la France tarde à suspendre les transports de plus de 8h.

C’est pourquoi la décision doit venir de la Commission européenne, qui pour l’heure encourage la poursuite du transport d’animaux d’élevage sans prendre en compte les conséquences désastreuses observées actuellement sur le bien-être et la santé de ces animaux.

 

Source cliquez ICI

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Toulouse : Prison ferme pour l’homme qui a abattu ses chiens sur son balcon

Publié le par Ricard Bruno

JUSTICE Le jeune homme à la gâchette facile a été écroué à la maison d’arrêt de Seysses, près de Toulouse

 

Une prison (illustration)

Une prison (illustration)

Prison ferme pour un double « canicide ». De source judiciaire, l’homme de 22 ans qui a tué dimanche matin deux de ses chiens qui se battaient sur son balcon, a été condamné à dix-huit mois de prison, dont six fermes, par le tribunal correctionnel de Toulouse.

Ses tirs, qui ont éclaté dans le silence étrange du confinement, ont fait souffler un vent de panique, avenue Jean-Rieux, dans le quartier Guilheméry. Sur un coup de sang, et alors que ses american staff devenaient incontrôlables, le maître s’est saisi d’un fusil à pompe et a abattu les chiens. L’un d’entre eux est mort sur le coup, l’autre des suites de ses blessures.

La condamnation a été prononcée pour « cruauté envers les animaux » mais aussi « détention illégale d’arme de catégorie B », l’homme étant déjà connu pour possession d’armes prohibées. Il a été incarcéré à la maison d’arrêt de Seysses, près de Toulouse.

Source de l'article : Cliquez ICI

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MALTRAITANCE ANIMALE : UN CHAT ET UN FURET CONFISQUÉS À LEUR MAÎTRE

Publié le par Ricard Bruno

MALTRAITANCE ANIMALE : UN CHAT ET UN FURET CONFISQUÉS À LEUR MAÎTRE

Ce mardi, la police et trois associations ont perquisitionné un appartement.

A l'origine de l'action de sauvetage des animaux, plusieurs plaintes de voisinage sur des odeurs situées au quatrième étage d'un appartement de Noidans-lès-Vesoul. Trois associations se sont emparées du problème, connaissant bien le propriétaire des animaux, qui a déjà été inquiété pour des faits similaires. A leur arrivée dans le T2, la police, le maire de Noidans, Jean-Pierre Wadoux et les présidentes des trois associations, ont découvert deux animaux dispersés au milieu des immondices disséminés partout au sol. Une chatte de quelques années et un furet ont été récupérés. Ni l'un, ni l'autre n'est en règle et en l'absence de leur indélicat propriétaire qui serait parti en Belgique, dès le début du confinement et sans se préoccuper de la façon dont allaient se nourrir les animaux, les associations les ont transporté dans des refuges afin de leur apporter les soins nécessaires. La Fondation Brigitte Bardot, le refuge de Grimlock à Bains-lès-Bains et l'association Au bonheur des Aristochats d'Andelarre devraient déposer plainte pour maltraitance animale. Hélène Vivier, représentante de la Fondation Barbot pour le département est navrée. Elle regrette : "En 2016, alors qu'il habitait au quartier du Montmarin avec sa mère, nous leurs avions retiré 11 chiens et 16 chats qui cohabitaient dans des conditions d'hygiène déplorables dans un appartement minuscule. " L'histoire semble se répéter.

MALTRAITANCE ANIMALE : UN CHAT ET UN FURET CONFISQUÉS À LEUR MAÎTREMALTRAITANCE ANIMALE : UN CHAT ET UN FURET CONFISQUÉS À LEUR MAÎTRE
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CONFINEMENT : LA CHASSE EST (ENFIN) INTERDITE !

Publié le par Ricard Bruno

CONFINEMENT : LA CHASSE EST (ENFIN) INTERDITE !
eu après le confinement du pays, une dérogation avait été obtenue par le lobby de la chasse pour que les chasseurs puissent poursuivre leur "gestion" de la nature. Désormais, plus aucune chasse n'est autorisée par le gouvernement. Un répit pour la faune sauvage de notre pays !
 

UNE DÉROGATION POUR TUER DES ANIMAUX SAUVAGES

C’est un cinglant désaveu pour Willy Schraen, le président de la Fédération Nationale des Chasseurs, qui annonçait juste après la mise en place du confinement général des mesures dérogatoires pour les chasseurs, obtenues auprès du ministère de l’Intérieur et en accord avec le ministère de la Transition écologique ! 

Toute chasse collective comme la chasse à courre étant de fait interdite pour respecter la consigne de distanciation sociale, Willy Schraen invitait les chasseurs à poursuivre leurs activités individuelles, à peine le confinement général mis en place et malgré l’urgence de la crise sanitaire.

Devant le tollé suscité par cette dérogation exceptionnelle accordée par l’État à une minorité, le gouvernement a très vite rétropédalé et annoncé 48H plus tard que toute forme de chasse serait désormais proscrite en France à compter du 19 mars.

 

UN LOBBY TRÈS ÉCOUTÉ À L'ÉLYSÉE

 

CONFINEMENT : LA CHASSE EST (ENFIN) INTERDITE !

Au moment où le Président de la République a annoncé la mise en quarantaine du pays, la plupart des activités cynégétiques s’étaient arrêtées avec la fin de la saison officielle, le 1er mars. 

Seule la chasse à courre restait active, ainsi que la chasse au sanglier dans quelques départements, en vertu d’un arrêté du 29 janvier 2020 prolongeant ces chasses jusqu’au 31 mars.

Pendant deux jours, grâce au lobby de la chasse très écouté par l’État, un chasseur pouvait bénéficier d’une autorisation de déplacement dérogatoire pour pratiquer son « loisir ».  

Ainsi, n’importe quel individu muni d’un permis de chasse et d’une attestation pouvait sortir dans la nature, armé, et tirer sur des animaux sauvages. Un contresens total avec les mesures de quarantaine imposées aux Français !

 

CHASSE INTERDITE : UN RÉPIT POUR LA FAUNE !

Cette menace étant proscrite, la faune sauvage commence à revivre et reprend ses droits sur son environnement. Plus généralement, les animaux sauvages profitent du confinement. En ville, on entend à nouveau les oiseaux chanter ! L’ornithologue Maxime Zucca a d’ores et déjà observé l’arrivée de nouveaux oiseaux en région parisienne.

L’air est plus pur, grâce à la baisse de la pollution due aux gaz d’échappement, et le bruit infernal de la circulation automobile a disparu. La pollution sonore aurait baissé de 80% en Île-de-France !

La période est également propice à la reproduction. Les animaux n’auront plus à craindre les humains pendant quelques temps…

L’épidémie de Covid-19 qui frappe le monde entier donne à réfléchir sur notre société et peut éventuellement changer notre regard sur les animaux. Nous espérons que la place accordée aux animaux sauvages dans nos campagnes et nos villes sera reconsidérée à l’issue de cette crise sans précédent.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Condamné à un an de prison pour maltraitance animale

Publié le par Ricard Bruno

Condamné à un an de prison pour maltraitance animale

Il lui est désormais interdit de posséder un animal domestique. Jeudi 12 mars, un habitant de Poissy était jugé pour avoir frappé et projeté violemment un chien, dont il avait la garde, sur le sol de la place Racine (voir notre édition du 19 février). Il a été condamné à une peine de douze mois de prison, dont six avec sursis.

« Je ne pensais pas lui avoir fait mal. Ce n’est que lorsque j’ai vu la vidéo, que j’ai compris. » Dans le box du tribunal correctionnel de Versailles, cet homme âgé de 48 ans peine encore à expliquer son geste. Le 10 février dernier, il a été filmé par un passant en train de s’en prendre à Kara, une jeune chienne qui lui avait été confiée par sa nièce, partie au Sénégal. Diffusée sur les réseaux sociaux, la vidéo est rapidement devenue virale, accélérant notamment le processus d’identification et d’interpellation du Pisciacais qui a reconnu les faits.

« J’ai toujours aimé les animaux », assure-t-il devant les regards circonspects des avocats de la partie civile, composés de quatre associations : la Société protectrice des animaux (SPA), la Fondation Brigitte Bardot, 30 millions d’amis et la Confédération nationale défense de l’animal. « Je la sortais trois fois par jour, mais ce jour-là, elle n’arrêtait pas de tirer sur la laisse et de s’arrêter brutalement, ça m’a énervé », relate le prévenu. Bien qu’elle confie « condamner » les actes de son client, son avocate explique que le Pisciacais est « un homme en souffrance », actuellement en arrêt maladie pour un burn-out après les décès de deux proches.

Durant leurs réquisitions, les quatre avocates de la partie civile, dénoncent, elles, des faits « d’une violence inouïe ». Le quadragénaire devra verser aux associations des dommages-intérêts à hauteur de 370 euros pour « couvrir les frais de vétérinaire et de gardiennage engagés par la SPA » et s’acquitter de 1 300 euros supplémentaires auprès de chacune d’entre elles. Sachant qu’il avait déjà passé cinq semaines en prison pour cette affaire, le prévenu est ressorti libre en fin de journée. Le jugement rendu sera aménagé par le juge d’application des peines.

Présente à l’audience, la propriétaire de Kara, actuellement placée dans un foyer de la SPA, espérait en récupérer la garde. Cependant, le tribunal a opté pour la confiscation de l’animal. « C’est scandaleux, elle n’a jamais été violentée chez moi », fustige-t-elle dans les couloirs du tribunal après le verdict.

Source de l'article : Cliquez ICI

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