"Moi qui n'était pas une fervente de Macron, j'ai été très étonnée et très surprise"
CAUSE ANIMALE - Brigitte Bardot a été reçue ce mardi 24 juillet par Emmanuel Macron pour parler de la cause animale et a trouvé avec lui, a-t-elle assuré, un interlocuteur "intéressé", qui a promis de la revoir en fin d'année. L'ancienne actrice et présidente de la fondation Bardot a rencontré le président de la République environ une heure, sans caméras, en pleine "affaire Benalla".
"Moi qui n'était pas une fervente de Macron, j'ai été très étonnée et très surprise de voir l'attention, le sérieux et la bonne disposition qu'il a eu envers nous", a indiqué Brigitte Bardot.Elle avait vertement critiqué le président fin mai, dans une lettre ouverte, après le refus de l'Assemblée nationale d'imposer la vidéosurveillance dans les abattoirs, lui reprochant de rester "inactif face à la souffrance des animaux".
"Sa première parole a été 'Vous allez m'engueuler' et ma réponse a été 'Non, puisque vous ne m'avez encore rien promis'", a plaisanté la pasionaria de la cause animale, qui a rencontré le président en présence de l'ex-dirigeante du Medef Laurence Parisot, très impliquée sur ces sujets.
"Je pense que cet homme ne connait pas la souffrance animale"
"Je pense que cet homme ne connait pas la souffrance animale", a estimé Brigitte Bardot, 83 ans. Ils ont abordé la question du broyage vivant des poussins mâles, de l'abattage rituel des animaux sans étourdissement préalable et de la consommation de viande de cheval, qu'elle combat depuis des décennies.
Il s'est dit "favorable" à la fin de l'hippophagie, selon elle, et être prêt à rencontrer des représentants religieux "pour voir de quelle façon les choses peuvent évoluer" au sujet de l'abattage rituel.
"J'ai vu beaucoup de présidents. Le dernier, c'était Sarkozy. Il m'a promis monts et merveilles et n'a rien fait", a lancé "BB". Emmanuel Macron "s'est engagé pour un nouveau rendez-vous à la fin de l'année pour faire un point d'étape", s'est-elle réjouie.
L'Elysée a pour sa part qualifié l'entretien de "chaleureux". Emmanuel Macron "a rappelé qu'il avait conscience que c'est un sujet de société", selon la présidence.
Emmanuel Macron avait promis de mettre des caméras dans les abattoirs et s'était engagé à interdire la vente des oeufs de poules en cage pour 2022. Finalement, le projet de loi agriculture et alimentation, en cours d'élaboration, a retenu pour l'instant la vidéo-surveillance expérimentale dans les abattoirs et n'a pas fixé de date pour l'interdiction de la vente des oeufs de poules en cage.
Chien testant un masque à gaz, armée britannique, 1916.
Eux aussi sont morts pour la patrie, et on les a oubliés. Combattants à poil et à plume, ils ont sauvé des vies et donné la leur. Chiens messagers, chats espions, chevaux transporteurs, pigeons voyageurs... furent des soldats exemplaires. A l’heure des commémorations, Paris Match révèle le quotidien de ces modestes bataillons.
Son nom, il le portait bien. Vaillant. Matricule 787-15. Il fut le dernier, le 4 juin 1916, à quitter le fort de Vaux assiégé par les Allemands. Intoxiqué au gaz de combat, quasi mourant, il réussit à transmettre l’ultime SOS du commandant Raynal à Verdun. Seul rescapé libre du fort, il sera cité à l’ordre de l’armée, décoré de la Légion d’honneur, aura droit à son moment de gloire lors de l’apposition, en 1929, d’une plaque relatant ses mérites. Il s’éteindra en 1937. Sa dépouille est toujours exposée au musée militaire du mont Valérien. Empaillée. Vaillant était l’un des 60 000 pigeons voyageurs mobilisés par l’armée française durant la Première Guerre mondiale. Cette même année 1916, c’est un chien qui fut le seul recours de Français encerclés en Belgique, à Thiaumont. L’Etat-major lui confia un message les priant de tenir jusqu’à l’arrivée de troupes prévue le lendemain. Deux paniers de pigeons voyageurs faisaient aussi la route. Pigeons aussitôt renvoyés de Thiaumont avec de précieuses indications pour faciliter le passage des militaires et régler les bombardements. Malgré une balle reçue à la patte, notre soldat à poil prénommé Satan a rempli sa mission. La batterie allemande a pu être détruite. Satan était l’un des 100 000 chiens enrôlés durant la Grande Guerre.
Et Dieu créa Eugenie Bouchard...Nouvelle Brigitte Bardot?
Non Brigitte Bardot est unique !
Bruno Ricard
En 1956, le film de Roger Vadim Et Dieu créa la femme avait dû être censuré. Des scènes montrant le «sex-symbol» Brigitte Bardot couchée nue derrière un drap ou dansant le mambo ont été coupées.
Soixante ans plus tard, au Québec, on a notre propre Brigitte Bardot, au sourire craquant, au corps parfait, qui a envie elle aussi de poser presque nue au soleil. Elle s’appelle Eugenie Bouchard. Mais il y a encore des tatas qui capotent quand ils voient une jolie fille qui se dévoile.
Youhou, on n’est plus en 1956, les amis! Est-ce que tous les empêcheurs de bronzer en rond peuvent laisser Eugenie vivre son moment BB en paix?
CACHEZ CE MAILLOT QUE JE NE SAURAIS VOIR !
Vous avez sûrement vu les photos d’Eugenie Bouchard pour Sports Illustrated dans Le Journal la semaine dernière. Mais avez-vous vu la vidéo du tournage à Turk & Caïcos?
Cette fille crève l’écran, elle a un sourire à faire fondre les glaciers, une bonne humeur contagieuse et, en plus, elle a un truc qui enrage les frustrés: elle a l’air bien dans sa peau! Elle ne s’excuse pas d’exister! Elle sait qu’elle a un beau corps, qu’elle est sexy... et elle en est heureuse! Oui, Mesdames et Messieurs, une femme libre qui est contente de se mettre à nu devant un photographe et qui ne crie pas à l’exploitation du patriarcat! Je sais, c’est rare de nos jours.
Évidemment, Eugenie s’est fait varloper sur les médias sociaux, parce que les médias sociaux adorent varloper tout ce qui est différent et qui dérange.
Mais pourquoi une femme serait-elle moins prise au sérieux si elle montre son corps devant les caméras? Une comédienne, une mannequin, une animatrice ou une championne n’enlève pas de points à son QI juste parce qu’elle «enlève le haut».
On n’a pas mené une révolution sexuelle pour s’émanciper de cette pudibonderie?
On n’est pas censé dire aux femmes qu’elles portent ce qu’elles veulent? Reprocher à Eugenie Bouchard de porter un monokini, n’est-ce pas une forme de «discrimination vestimentaire», comme dirait notre premier ministre?
TiENS TOÉ !
Eugenie Bouchard a expliqué à CBS Sports: «Je ne pense pas qu’il y ait un problème à ce que le succès engendre d’autres opportunités. (...) Je serais folle de ne pas tirer profit de ça.» Elle a parfaitement raison.
Vous connaissez l’expression anglaise: «If you’ve got it, flaunt it» («Si t’as ce qu’il faut, montre-le!»)?
Eugenie a amplement ce qu’il faut. Et ce n’est pas à 82 ans, au Chez Nous des Athlètes, que ce sera le temps pour elle de poser en monokini.
J’ai une idée pour Eugenie Bouchard. Elle devrait faire comme Brigitte Bardot, poser entièrement vêtue de cuir sur une moto et chanter: «Je n’ai besoin de personne en Harley-Davidson.» Ce serait un beau pied de nez à tous ses critiques.
Face au silence sur la cause animale, Brigitte Bardot lance un appel de Saint-Tropez pour demander que le sujet figure parmi les priorités à aborder à chaque interview de "présidentiable".
Un souhait qui part d’un constat très simple. Un silence jusqu’ici assourdissant sur le sujet.
"Aux primaires de la droite par exemple, je les ai écoutés tous ridicules derrière leur pupitre façon Questions pour un champion. Pas un n’a parlé des animaux et pas un journaliste n’a posé la question. C’est pourtant un débat de fond et d’éthique humaine. On ne peut plus fermer les yeux là-dessus. Il y a eu trop d’horreurs, d’abus, d’exploitation...", poursuit une Brigitte Bardot désenchantée face à des gouvernements successifs aux abonnés absents.
En attendant d’hypothétiques réponses des candidats, Brigitte s’associe cœur et âme au collectif où figurent notamment Boris Cyrulnik et le moine bouddhiste Matthieu Ricard, qui, en octobre dernier, publiait une tribune dans les colonnes du Monde en faveur de la création d’un secrétariat d’État à la condition animale. Pour une "vraie prise en compte" de ces maltraitances qui n’en finissent plus de miner BB.
Retrouvez les propos de Brigitte Bardot dans notre édition de demain mercredi ainsi qu'un long entretien exclusif chez elle à Saint-Tropez dans un hors-série "Animaux & nous", à paraître le 17 décembre 2016.
Dans une lettre ouverte au ministre de l'Agriculture, l'icône de la protection animale dénonce vivement l'inaction du gouvernement face à la détérioration du monde rural...
Brigitte Bardot a vertement critiqué ce mardi dans une lettre ouverte le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll, qualifié de "ministre des abattoirs abjects", après la diffusion d'une vidéo dévoilant les mauvais traitements infligés à des animaux de l'abattoir certifié bio du Vigan dans le Gard.
Le salon de l'"agri-qui-tue"
"Samedi, vous inaugurez le salon de l'agri-qui-tue avec des animaux bichonnés qui seront eux aussi torturés dans les abattoirs", poursuit encore Brigitte Bardot, qui rappelle qu'elle avait demandé au ministre l'installation de caméras de surveillance sur chaque poste d'abattage lors de la diffusion d'une vidéo similaire tournée dans un abattoir d'Alès à la mi-octobre.
Sur RTL, Stéphane Le Foll a dénoncé mardi " des manquements graves " et "des actes de maltraitance qui seront sanctionnés comme il se doit", évoquant "des images insupportables et inacceptables". Il a aussi rappelé qu'il avait ordonné une enquête administrative parallèlement à l'ouverture d'une enquête préliminaire par le procureur de la République d'Alès, suite à la plainte déposée par l'association de défense des animaux L214.
La tuerie continue...une honte ! que l'on vire ces incapables de tout ces ministères et leur ministres avec qui donne le feu vert pour abattre ces animaux. Il y en a marre de tout ces massacres, nos politiques ferme les yeux...