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Corrida B A S T A : Témoignage édifiant !

Publié le par Ricard Bruno

Corrida B A S T A : Témoignage édifiant !

Témoignage d' une militante piégée comme une voyou lors d' un mouvement citoyen anti corrida à Nîmes......... Edifiant

12 heures dans la cellule 12!

~~Samedi 23 mai à 8h du matin, je suis partie de chez moi pour aller à un rassemblement anti corrida devant les arènes de Nîmes… Puisque chaque fois que nous déclarons une manifestation, nous sommes tenus à plusieurs centaines de mètres des arènes, loin de tous, invisibles, ce rassemblement pacifique et non violent était simplement un mouvement de citoyens indignés par la barbarie des arènes… Rendez-vous était donné à des citoyens et par des citoyens devant les arènes. 9h45… ma sœur et moi arrivons sur la place, et nous nous asseyons sur un banc… D’autres gens étaient autour de nous, certains que nous reconnaissions de loin, d’autres dont nous nous demandions si « ça en était » ou pas… 10h15, alors que nous n’avions même pas eu le temps ni de nous identifier ni même de dire quoi que ce soit, nous avons été entourés par des messieurs au visage fermé, qui tout à coup ont dégainé leur brassard orange « police ». Nous voilà cernés, me dis-je… Je nous compte alors : 17 personnes, entourées par 30 policiers… Et puis un type arrive avec une écharpe tricolore et annonce d’un ton menaçant : « Nous vous demandons de vous disperser sinon nous aurons recours à la force… » On s’est regardés, interloqués, nous demandant si c’était une plaisanterie… ma sœur et moi assises sur un banc, quelques passants autour, ne sachant trop quoi faire ni quoi dire…. Ne pouvant nous imaginer une seconde ce qui était en train de nous arriver…. Les policiers allaient chercher des gens sur la place, qui devaient avoir des gueules d’anticorrida, et ils les faisaient rentrer dans le cercle (alors qu’on venait de nous dire de nous disperser !!!???). Nous n’avons pas bougé tout d’abord, le type continuait à menacer dans son mégaphone…. Je me lève pour aller voir le type à l’écharpe et lui demander « Excusez-moi, pourquoi devons nous nous disperser ? » ; « Attroupement … Vous êtes attroupés et vous n’avez pas le droit »… Je retourne à ma place, je regarde la place des arènes… Partout des attroupements d’aficionados (ceux-là, on les reconnaît à leur déguisement grotesque) ; étrange, ces attroupements-là, parfois 10-20 personnes, ne sont pas dispersés par les forces de l’ordre… Il ne faudrait pas qu’ils manquent le spectacle de la torture et de la mise à mort de 6 veaux qui aura lieu dans quelques minutes… 5 minutes, s’étaient passées, 10 peut-être… Je dis à ma sœur d’un air hésitant « On n’a qu’à se lever et marcher sur la place, ça fera moins attroupement… » On se lève, mais un policier nous barre la route « Vous retournez à votre place ! » « Ah, ben faudrait savoir… Je croyais qu’il fallait se disperser…. » « C’est trop tard », dit-le type à l’écharpe ! « Nous allons avoir recours à la force. » Tout à coup, des camions de gendarmerie, de CRS, 5, 6 , plus peut-être arrivent en trombe ! « Tiens, me dit ma sœur, il doit y avoir quelque chose qui se passe de l’autre côté des arènes ? Une action d’anticorrida ? »… On lève la tête pour essayer de regarder autour de nous… Mais non, nous voyons avec effroi deux CRS entourer chacune d’entre nous et nous demander de bien vouloir les suivre, ce que nous faisons sans protester…Nous n’avons pas le choix… 25 citoyens en civil contre 300 détenteurs de la force de l’ordre … 10h36… On nous amène près d’un camion, on prend notre identité, une fiche par personne et on nous amène dans un camion avec 6 petites cages… des portes en fer, avec une petite grille en haut pour l’aération. Je monte dans le camion et j’ai un mouvement de panique (je suis claustro)… Je demande « Vous n’allez pas nous mettre là-dedans ?… S’il vous plaît, je vous en supplie, je ne partirai pas, je suis claustrophobe »… « Vous rentrez »… Je suis rentrée dans la cage, et je me suis mise à étouffer, j’essayais de respirer de l’air par le petit trou de la grille, ma sœur dans la cage à côté me disait « calme toi, respire ! le commissariat n’est pas loin, ça ne sera pas long ! »… Mais ceux qui sont claustrophobes me comprendront, je n’y arrivais pas ;.. Je pleurais je criais, j’ai supplié le gendarme d’ouvrir un peu la porte pour que je respire, que je ne m’enfuirais pas… rien que d’y repenser, j’ai du mal à prendre mon souffle… Ma tête commençait à tourner, j’entendais les voix de ceux qu’on enfermait dans les autres cages… qui essayaient de me rassurer… Je me suis dit que j’allais tomber dans les pommes… J’entendais la voix rassurante de ma sœur « respire Delphine respire, ça va aller »… Alors tout d’un coup un flash…j’ai pensé aux camions d’animaux qu’on conduit à l’abattoir ; eux aussi essayent d’approcher leur museau du grillage pour avoir un peu d’air… la bouche ouverte, les yeux fermés, les doigts à travers ce minuscule grillage, les larmes qui coulaient, j’essayais de respirer normalement pour ne pas avoir un malaise… J’ai pensé à eux… et j’ai pensé aux taureaux.. ceux pourquoi nous étions là… ils m’ont donné la force. Alors j'ai sorti mon portable et j'ai pris une photo de ce que je voyais par le petit grillage.... ma nouvelle photo de profil.... Arrivées au commissariat on nous a enfin libérées de nos cages… Je me suis dit que le plus dur était passé… Choquées, un peu « groggy », on nous a fait remplir une autre fiche et on nous a signifié que nous étions en garde à vue. Après les formalités d’usage, on nous a conduits en cellule. Midi….. La cellule 12… Ouf, j’ai retrouvé ma sœur… Au moins on est ensemble… Une cellule de 3, mais j’étais déjà la 4ème… 5,6,7,8…. Vers 13h, nous étions 17 assis pour certains sur le banc de béton, pour d’autres par terre… Là, nous avons pu parler…évacuer le stress… On cherchait à comprendre ce qui s’était passé…. Si tout cela était bien légal… On nous avait enlevé nos montres, mais une des nôtres était passée à travers, alors on lui demandait l’heure…. D’abord toutes les heures puis toutes les demi-heures, puis toutes les 5 minutes…. L’après midi a été rythmée par les entrées et les sorties des camarades, nous allions un par un nous faire prendre les empreintes et nous faire photographier, comme dans les films, avec une petite ardoise avec un numéro… face…profil droit… trois-quarts gauche… Puis chacun notre tour, nous avons été entendus par un officier de police judiciaire… - Etes-vous venus ce matin à une manifestation ? - Avez-vous entendu les appels à dispersion ? - Allez-vous régulièrement aux manifestations de ce type ? - Quelle était la dernière ? - Etes-vous anticorrida ? Pour les fiches de Monsieurs Valls…. Oui, monsieur le premier ministre, je suis anti-corrida, et ça n’est pas près de changer…. Retour en cellule, sorties pipi, conversations à bâtons rompus, malaises de certains camarades… Heureusement les policiers ont été vraiment supers ! Je tiens ici à leur rendre hommage car ils ont permis que notre détention se passe dans les meilleures conditions possibles… Car ce n’est ni le préfet, ni le premier ministre, ni madame la procureure de Nîmes qui devaient gérer les arrivées incessantes des citoyens dans des cellules de garde à vue en trop petit nombre et trop petites… Ce n’est pas eux qui devaient gérer le stress, les besoins, les photos, les empreintes, les auditions et tout le reste… sans effectifs supplémentaire… Et pourtant en pleine feria, ils auraient eu autre chose à foutre, les policiers, que de s’occuper de nous…. 18h…. l’agitation a laissé place à la lassitude, à la fatigue, puis à l’impatience… Rien, aucune information, ou des informations contradictoires que nous avions essayé de glaner auprès des OPJ qui nous auditionnaient…. Sidérés toujours, par ce qui nous était arrivé…Comment était-ce possible ? Qu’avions-nous fait déjà ? On s’était assis sur un banc…. Vers 21h, on nous a dit que nous allions être libérés… Le temps de faire signer la soixantaine de militants leur notification de fin de garde à vue, ça a été long…. Un policier venait chercher les camarades un par un… Ma sœur et moi sommes restées les dernières dans la cellule 12… 23h07… Enfin la liberté… Vite, les portables, rassurer la famille, les amis…. Retour aux voitures, retour chacun chez soi, un peu anesthésié par 12 heures de garde à vue… Douze heures, c’est long… très long… 12 heures dans la cellule 12…. J’ai compris beaucoup de choses aujourd’hui Monsieur Valls, j’ai compris ce que peut ressentir un animal enfermé dans une petite cage sans pouvoir bouger, à peine respirer… J’ai compris ce que peut ressentir quelqu’un qui est privé de sa liberté et enfermé, alors qu’il n’a rien fait… J’ai compris que nous vivons dans un pays où l’on protège la tranquillité des tortionnaires en enfermant des citoyens pacifiques… J’ai compris qu’à Nîmes, la liberté de circulation n’est pas en vigueur… Mais j’ai compris aussi que quoi qu’il arrive, nous serons là, partout, plus nombreux, plus déterminés, plus soudés que jamais ! Vous ne nous aurez pas Monsieur Valls, vous avez démultiplié notre force ! Alors à très bientôt devant d’autres arènes, car tant que la barbarie des arènes ne sera pas abolie, nous serons là… DELPHINE SIMON

Publié dans le web en parle

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La ville de Nîmes au secours de Simon Casas !

Publié le par Ricard Bruno

Les finances de la corrida ne sont pas au beau fixe, nous le savions déjà. Et celles du célèbre Simon Casas, directeur des arènes nîmoises ne semblent pas échapper à la règle !

Depuis plusieurs années, l’organisateur de corridas est impliqué dans une affaire de malversation fiscale qui lui a permis de soustraire au fisc des sommes très importantes (plusieurs centaines de milliers d’euros) grâce à des modifications du taux de TVA appliqué à la billetterie des arènes…

Mais à Nîmes (comme dans nombre de villes de sang) la corrida n’est plus ce qu’elle était et le nombre de ces sinistres spectacles va en diminuant. Cette année encore, à l’occasion de la « féria de la Pentecôte », leur nombre a diminué : 8, soit 2 de moins qu’en 2014 !

Une situation qui n’arrangera pas Simon Casas. Mais la ville de Nîmes veille, ainsi que son sénateur-maire Jean-Paul Fournier, aficionado convaincu. Cette année, Casas bénéficiera donc d’un très beau cadeau : la redevance que sa société versait à la ville qui s’élevait auparavant à 350 000 euros, sera très largement réduite, et est désormais fixée à 125 000 euros. Un cadeau de 225 000 euros qui représentera évidemment un manque à gagner pour la ville, ce qui signifie que ce gros, très gros « coup de pouce » à la corrida est bien évidemment à la charge du contribuable et à l’encontre des intérêts du citoyen nîmois…

Faut-il que le plus célèbre des organisateurs français de corrida soit dans une mauvaise passe pour qu’une aide aussi évidente lui soit attribuée en période de crise !

Le cas de Simon Casas et de la ville de Nîmes n’est pas un cas isolé (même si il est impressionnant par le montant des sommes engagées) : d’autres organisateurs de corrida sont également en difficulté, d’autres cas de fraude à la TVA ont été découverts, et d’autres villes n’hésitent pas à utiliser l’argent public pour tenter de maintenir à flot des spectacles et un business de plus en plus impopulaires.

La FLAC et ses partenaires, associations-membres et militants travaillent à collecter toutes les informations utiles pour porter à l’attention de tous, du public mais aussi des autorités, afin que cesse ce scandale.

Source : FLAC

Publié dans le web en parle

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Brigitte Bardot : Photographies rares...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : Photographies rares...
Brigitte Bardot : Photographies rares...
Brigitte Bardot : Photographies rares...
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S.O.S. POUR 40 CHATS SAUVAGES QUI VONT FINIR EUTHANASIÉS !

Publié le par Ricard Bruno

Bonjour,

 
Je suis Cathy, bénévole d'une association de protection de chats dans le 92 et je me permets de vous contacter car la présidente de l'association a de gros problèmes de santé avec un pronostic très sombre.
S'il lui arrive malheur, la maison sera vendue et les chats envoyés en fourrière.

Nous savons tous ce que cela signifie pour eux
!!!

Nous avons une soixantaine de chats dont environ 40 sauvageons qui n'ont jamais pu être sociabilisés
par manque de temps et de personnel. Pour ces chats, ce sera l'euthanasie directe !

Alors je lance un appel au secours urgent pour essayer d'en sauver le plus grand nombre :

- à toutes les associations et refuges de France qui peuvent accueillir ne serait-ce qu'un ou deux chats,

- à toute personne ayant la possibilité d'accueillir un chat, même s'il est peureux.

Toute diffusion sera la bienvenue ! (Facebook ou autre)

Vous pouvez me contacter sur mon adresse mail :
angus76@free.fr
 
 
 


Merci à tous pour votre mobilisation et votre générosité et je croise
les doigts très forts pour nos minouches !!!
 
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Sea Shepherd News...

Publié le par Ricard Bruno

 
Les renseignements de Sea Shepherd ont permis à l’armée et la police d’aborder les deux derniers navires braconniers de légine à Cabo Verde

L’armée et la police abordant le Yongding/Luampa à Cabo Verde - Photo: Josephine WatmoreL’armée et la police abordant le Yongding / Luampa à Cabo Verde - Photo: Josephine WatmoreL’armée et la police ont abordé les deux derniers navires braconniers de légine recherchés par Interpol, le Songhua et le Yongding, à Cabo Verde, un archipel au large de la côte nord-ouest de l’Afrique.

L’intervention a pu être menée grâce aux renseignements fournis par Sea Shepherd aux autorités internationales, qui avaient été recueillis deux jours avant dans un incroyable concours de circonstances.

Le mercredi 20 mai, à environ 15h00 heure locale, alors qu’il se trouvait à Cabo Verde pour d’autres raisons, le capitaine Peter Hammarstedt de Sea Shepherd a croisé le chemin d’un bateau accosté à Mindelo, São Vicente et qui ressemblait étrangement au Songhua, le braconnier de légine.

Le capitaine Hammarstedt a transmis des photos du navire, rebaptisé Kadei à ce moment-là et immatriculé en Sierra Leone, au ministère néo-zélandais des industries primaires. Le ministère, en charge de l’enquête en cours sur le Songhua, a confirmé qu’il s’agissait bien du navire hors-la-loi.

Peu après, les membres d’équipage du Bob Barker, stationné à Cabo Verde, ont remarqué l’arrivée d’un second bateau à Mindelo, qui s’est placé dans le port à côté du Songhua. Le navire, qui portait le nom de Luampa et était également immatriculé en Sierra Leone, a été identifié plus tard comme étant le braconnier recherché Yongding.

Le Songhua et le Yongding sont deux des six bateaux de pêche INN (pêche illicite, non déclarée et non réglementée) inscrits sur liste noire pour braconnage de légine d’Antarctique et de Patagonie. Les six bateaux braconniers, que Sea Shepherd appelle les "Bandit 6", ont été la cible de la dernière campagne de défense de l’océan Austral de l’organisation, l’Opération Icefish, menée par les capitaines Hammarsted et Chakravarty.

Les deux navires ont une histoire longue et bien connue de crime de pêche et sont suspectés d’être liés à l’organisation criminelle espagnole Vidal Armadores.

En janvier dernier, la marine néo-zélandaise a intercepté le Songhua et le Yongding avec un troisième bateau, le Kunlun, qui pêchaient illégalement à l’ouest de la mer de Ross. Les bateaux ont ensuite été inscrits sur la notice mauve d’Interpol, suite à une requête envoyée à Interpol par le gouvernement néo-zélandais.

Ensuite, en février, le Yongding a été à nouveau intercepté, cette fois par le Sam Simon de Sea Shepherd, dans la zone économique exclusive de l’Australie, en possession de matériel de pêche illégal. La localisation du Songhua était toutefois restée inconnue jusqu’à aujourd’hui.

Les six navires de pêche INN, cible de l’Opération Icefish, ont été localisés et quatre sont hors d’état de nuire.

Depuis mars, les autorités d’Asie du sud-est en détiennent trois : le Kunlun, le Viking et, plus récemment, le Perlon.

Le 6 avril, le plus célèbre des navires hors-la-loi, le Thunder, a été sabordé par son propre capitaine et ses officiers dans les eaux de São Tomé et Príncipe, au large de la côte occidentale de l’Afrique, après quatre mois et demi de poursuite par le Bob Barker de Sea Shepherd. Le capitaine, le chef mécanicien et le mécanicien du Thunder sont toujours détenus à São Tomé et Príncipe pour les besoins de l’enquête.

Les capitaines Hammarstedt et Chakravarty ont appelé les autorités à veiller à ce que les bateaux soient détenus à Cabo Verde et que le capitaine et les officiers livrent tous les éléments nécessaires à l’enquête.

"Nous pouvons désormais espérer débarrasser l’océan Austral des 'Bandit 6' pour de bon. Nous demandons à toutes les autorités compétentes de saisir cette chance, d’enquêter minutieusement sur le Songhua et le Yongding, pour s’assurer que ceux qui tirent les ficelles de la pêche illégale soient reconnus coupables de leurs multiples délits et que les bateaux demeurent confisqués, empêchant ainsi leur éventuel usage pour d’autres activités illégales en Antarctique", a déclaré le capitaine Hammarstedt.

"Les succès de l’Opération Icefish montrent clairement que le rayon d’action de Sea Shepherd dans la lutte contre le braconnage dépasse largement les patrouilles en haute-mer. Nous avons les outils et l’expérience nécessaires pour éradiquer les opérations de pêche INN dans l’océan Austral. Grâce à la coopération bienvenue des autorités légales, coordonnée par l’Unité des atteintes à l’environnement d’Interpol, c’est exactement ce que nous allons faire", a ajouté le capitaine Chakravarty.

L’Opération Icefish est la 11ème campagne de défense de l’Océan Austral de Sea Shepherd et la première à cibler les opérateurs de pêche INN dans les eaux de l’Antarctique.

Les renseignements fournis par Sea Shepherd ont permis l'abordage du Songhue/Kadei - Photo: Josephine Watmore

Les renseignements fournis par Sea Shepherd ont permis l'abordage du Songhua / Kadei
Photo: Josephine Watmore

Source de l'article : Cliquez ICI : http://www.seashepherd.fr/news-and-media/news-20150524-fr-01.html

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Saint-Aubin-le-Guichard : un expert a été missionné en ce qui concerne le différend opposant la Fondation Bardot et une riveraine

Publié le par Ricard Bruno

Saint-Aubin-le-Guichard. Le tribunal s’est prononcé sur le différend opposant une riveraine à la Fondation Bardot, tandis que ses personnels se disent toujours diffamés et insultés.

Saint-Aubin-le-Guichard : un expert a été missionné en ce qui concerne le différend opposant la Fondation Bardot et une riveraine
Les personnels, qui craignent une fermeture administrative du site, ont mis en ligne une pétitionqui a recueilli, à ce jour, plus de 52 000 signatures
1/1

 

Depuis 2009, 3 M€ ont été investis par la Fondation Brigitte Bardot dans son refuge de La Mare-Auzou, à Saint-Aubin-le-Guichard, pour diminuer au maximum les nuisances sonores provoquées par des chiens. Certains voisins s’en étaient plaints par le passé - lire notre édition du 22 avril. « C’est plus que notre budget annuel de fonctionnement, qui s’élève à 2,8 M€ pour 1 000 animaux hébergés », précise Bruno Jacquelin, chargé de communication auprès de la Fondation Brigitte Bardot. Il n’a jamais nié la réalité d’une gêne potentielle pour le voisinage.

Mille euros d’astreinte demandés

Cet investissement a été mis en place dans le cadre de l’arrêté préfectoral du 27 juillet 2009. Il enjoignait la fondation de procéder à « la fermeture et à l’isolation acoustique de 11 bâtiments existants hébergeant des chiens, la construction d’un bâtiment quarantaine pour chiens et la mise en place d’écrans acoustiques absorbants d’une hauteur de 3,50 m en périphérie des installations sur une longueur d’environ 500 m ».

Suite à la réalisation de ces différents travaux, une étude acoustique avait été simultanément prescrite - après la construction d’écrans phoniques - « pour valider le dispositif mis en place ». Selon le calendrier établi, tous les travaux ont alors été effectués, hormis l’installation du mur antibruit. En effet, la Fondation Bardot a argué des changements importants dans la configuration des installations, susceptibles de modifier la dispersion des bruits nuisibles, pour réclamer une étude acoustique préalable à la construction des écrans phoniques. Le but étant de les rendre vraiment efficients.

Mission sanitaire rejetée

On est au cœur du débat. Mais jusqu’alors, certains riverains s’opposaient à la réalisation d’une telle étude, soupçonnant qu’elle ne se fasse pas de façon totalement indépendante. À la tête de ces derniers, Carole Golovko, résidant dans le village de Gouttières et principale plaignante dans cette opposition. Elle avait demandé en parallèle une astreinte de 1 000 € par jour de retard pour non-respect de l’arrêté préfectoral par le refuge. De son côté, la préfecture nous précise que « la procédure administrative suit son cours ».

Le 13 mai, une ordonnance de référé a été rendue dans cette affaire qui opposait la Fondation Bardot à Carole Golovko. Il en ressort qu’une mission d’extension de l’expert judiciaire a été prononcée afin qu’une nouvelle étude acoustique puisse être lancée, notamment, par la pose de sonomètres dans les propriétés privées. Ainsi, le tribunal de grande instance d’Évreux a suivi l’avis de l’expert qui a « insisté sur la nécessité de réaliser un certain nombre d’études acoustiques afin d’apporter un avis éclairé sur l’état actuel des travaux engagés par la Fondation Bardot ».

En outre, à l’occasion de ce jugement, Carole Galovko avait « reconventionnellement sollicité l’extension de la mission de l’expert [...] à la vérification de l’état de santé des animaux confiés au regard des règles de santé et de sécurité publique ». Les prétentions de Carole Golovko dans ce domaine ont été rejetées tandis qu’elle nous confiait, en avril, avoir « une suspicion de mauvais traitements ». Aujourd’hui, elle se déclare « ravie que les écoutes soient réalisées par un expert judiciaire parce qu’il n’y aura pas de possibilité de tricherie dans ce cas ».

Pour l’heure, les personnels employés au refuge s’estiment encore régulièrement diffamés et insultés par ses détracteurs. Il est donc probable que la Fondation Bardot n’en reste pas là.

Source : Cliquez ICI : http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/3241806/un-expert-est-missionne#.VWJOGpUw84k

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Saint-Aubin-le-Guichard : un expert a été missionné en ce qui concerne le différend opposant la Fondation Bardot et une riveraine

Publié le par Ricard Bruno

Saint-Aubin-le-Guichard. Le tribunal s’est prononcé sur le différend opposant une riveraine à la Fondation Bardot, tandis que ses personnels se disent toujours diffamés et insultés.

Saint-Aubin-le-Guichard : un expert a été missionné en ce qui concerne le différend opposant la Fondation Bardot et une riveraine
Les personnels, qui craignent une fermeture administrative du site, ont mis en ligne une pétitionqui a recueilli, à ce jour, plus de 52 000 signatures
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Depuis 2009, 3 M€ ont été investis par la Fondation Brigitte Bardot dans son refuge de La Mare-Auzou, à Saint-Aubin-le-Guichard, pour diminuer au maximum les nuisances sonores provoquées par des chiens. Certains voisins s’en étaient plaints par le passé - lire notre édition du 22 avril. « C’est plus que notre budget annuel de fonctionnement, qui s’élève à 2,8 M€ pour 1 000 animaux hébergés », précise Bruno Jacquelin, chargé de communication auprès de la Fondation Brigitte Bardot. Il n’a jamais nié la réalité d’une gêne potentielle pour le voisinage.

Mille euros d’astreinte demandés

Cet investissement a été mis en place dans le cadre de l’arrêté préfectoral du 27 juillet 2009. Il enjoignait la fondation de procéder à « la fermeture et à l’isolation acoustique de 11 bâtiments existants hébergeant des chiens, la construction d’un bâtiment quarantaine pour chiens et la mise en place d’écrans acoustiques absorbants d’une hauteur de 3,50 m en périphérie des installations sur une longueur d’environ 500 m ».

Suite à la réalisation de ces différents travaux, une étude acoustique avait été simultanément prescrite - après la construction d’écrans phoniques - « pour valider le dispositif mis en place ». Selon le calendrier établi, tous les travaux ont alors été effectués, hormis l’installation du mur antibruit. En effet, la Fondation Bardot a argué des changements importants dans la configuration des installations, susceptibles de modifier la dispersion des bruits nuisibles, pour réclamer une étude acoustique préalable à la construction des écrans phoniques. Le but étant de les rendre vraiment efficients.

Mission sanitaire rejetée

On est au cœur du débat. Mais jusqu’alors, certains riverains s’opposaient à la réalisation d’une telle étude, soupçonnant qu’elle ne se fasse pas de façon totalement indépendante. À la tête de ces derniers, Carole Golovko, résidant dans le village de Gouttières et principale plaignante dans cette opposition. Elle avait demandé en parallèle une astreinte de 1 000 € par jour de retard pour non-respect de l’arrêté préfectoral par le refuge. De son côté, la préfecture nous précise que « la procédure administrative suit son cours ».

Le 13 mai, une ordonnance de référé a été rendue dans cette affaire qui opposait la Fondation Bardot à Carole Golovko. Il en ressort qu’une mission d’extension de l’expert judiciaire a été prononcée afin qu’une nouvelle étude acoustique puisse être lancée, notamment, par la pose de sonomètres dans les propriétés privées. Ainsi, le tribunal de grande instance d’Évreux a suivi l’avis de l’expert qui a « insisté sur la nécessité de réaliser un certain nombre d’études acoustiques afin d’apporter un avis éclairé sur l’état actuel des travaux engagés par la Fondation Bardot ».

En outre, à l’occasion de ce jugement, Carole Galovko avait « reconventionnellement sollicité l’extension de la mission de l’expert [...] à la vérification de l’état de santé des animaux confiés au regard des règles de santé et de sécurité publique ». Les prétentions de Carole Golovko dans ce domaine ont été rejetées tandis qu’elle nous confiait, en avril, avoir « une suspicion de mauvais traitements ». Aujourd’hui, elle se déclare « ravie que les écoutes soient réalisées par un expert judiciaire parce qu’il n’y aura pas de possibilité de tricherie dans ce cas ».

Pour l’heure, les personnels employés au refuge s’estiment encore régulièrement diffamés et insultés par ses détracteurs. Il est donc probable que la Fondation Bardot n’en reste pas là.

Source : Cliquez ICI : http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/3241806/un-expert-est-missionne#.VWJOGpUw84k

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L’inépuisable St-Tropez..."Do you do you St-Tropez ?"...

Publié le par Ricard Bruno

L’inépuisable St-Tropez..."Do you do you St-Tropez ?"...

Senequier, les yéyés, Brigitte Bardot…  Cette citadelle du sud de la France est à l’épreuve du temps et de l’histoire. À l’occasion de l’arrivée des beaux jours, petit point sur la réouverture de saison.

Que serait l’été tropézien sans les plages de Pampelonne ? Cette année, un nouvel espace cocooning vient d’ouvrir ses transats : La riva plage. Décor « farniente chic », ambiance festive, cadre idyllique… C’est le nouveau spot tendance à découvrir. Dès le soleil couchant, on opte pour la randonnée en Kayak avec apéritifs à l’arrivée. Le concept made in Pampelonne, s’appelle le « Moonlight » et commence dès le mois de juin, tous les jeudi soirs, jusqu’à fin septembre. L’autre événement qui ne faudra pas manquer de ce côté de la baie, c’est le festival de Ramatuelle. Une véritable institution qui fêtera du 1er au 12 août prochain, sa 31ème édition.

Au menu, grand écart artistique autour d’artistes populaires : Florence Foresti, Myriam Boyer, Michel Galabru, Alex Lutz et Christophe Willem. Autres dates et autres ambiances, la 30ème édition du Jazz festival qui débarquera à partir de 16 août. Côté culinaire, à la Résidence de la Pinède une nouvelle carte et de nouveaux menus sont disponibles au restaurant gastronomique de la Vague D’Or. À L’hôtel de la Réserve de Ramatuelle le chef Eric Canino, vient d’obtenir tout récemment sa première étoile au Guide Michelin. Vers les hauteurs de Gassin, la Villa Belrose - elle aussi étoilée au guide Michelin - accueillera derrière ses fourneaux le nouveau chef : Pietro Volonté.

Viva Saint-Tropez !

Du côté de Saint-Tropez, on fêtera dignement le 10 juillet les 60 ans de la tarte Tropézienne.

 

Prochainement, le retour de la tarte tropézienne.

Inventée en 1955 par Alexandre Micka. C’est Brigitte Bardot, qui lui donnera ses lettres de noblesse lors de son passage dans la ville, pour le tournage de «Et Dieu Créa la femme». La douceur à la crème devient dès lors mondialement réputée. Niveau gastronomique, le mythique palace du Byblos propose deux nouveaux séjours «Comme un chef» et «Vendanges» pour les férus de gastronomie et de dégustation de bons vins. Séjour sur mesure accompagné de Vincent Maillard, avec d’un côté les secrets culinaires méditerranéens et de l’autre un parcours à la découverte d’un domaine viticole de la région. La vie nocturne du village se renouvelle également puisque l’ancien Papagayo devient L’Opéra et le Club - nouveau bar d’ambiance music-hall - arrive sur le port. 

La deuxième édition du Festival « Do you Saint-Tropez » accueillera lors de la fête de la musique : Micky Green, Charles Souchon et Elodie Frégé entre autre. Le Festival des nuits du château de la Moutte qui débute dès le 4 juillet, promet aussi des rencontres et des concerts inoubliables. On termine avec une actualité beauté, puisque la marque leader d’autobrozant en Grande-Bretagne se commercialise cette année en France. Le rapport entre Kate Moss et un bronzage subtilement arrangé ? La gamme de produit utilisée porte le doux de nom de Saint-Tropez…

Source de l'article : Cliquez ICI : http://www.parismatch.com/Vivre/Voyage/Do-you-do-you-St-Tropez-769152

Publié dans le web en parle

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Dinard n’a pas oublié Brigitte Bardot, elle non plus !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot et Annie Girardot à Cézembre dans les années 1970. Brigitte Bardot et Annie Girardot à Cézembre dans les années 1970. | (Photo : Ouest-France)

Une photo de Brigitte Bardot prise dans les années 1970 à Dinard a été conservée par l’hôtel Printania, où BB séjournait. 40 ans plus tard, la star n’a rien oublié.

Dinard, années 1970. La station balnéaire de la côte d’Émeraude accueille une grande star : Brigitte Bardot. C’est l’époque du film « L’ours et la poupée », de Michel Deville. Ou encore des « Pétroleuses », de Christian Jaque. Âgée d’une petite quarantaine d’années, la comédienne est alors en fin de carrière cinématographique....

Suite de l'article sur le site de Ouest France en cliquant ICI : http://www.ouest-france.fr/people-dinard-na-pas-oublie-brigitte-bardot-elle-non-plus-3420067

 

Dinard n’a pas oublié Brigitte Bardot, elle non plus !
40 ans après BB envoie de nouveau une très belle dédicace à l'hotel Printania...

40 ans après BB envoie de nouveau une très belle dédicace à l'hotel Printania...

Publié dans le web en parle

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