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action de protection animale

Fondation Brigitte Bardot ! : Christophe Marie demain matin sur CNEWS

Publié le par Ricard Bruno

Fondation Brigitte Bardot ! : Christophe Marie demain matin sur CNEWS

Jeudi matin, à 8h30 sur CNEWS, le porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot Christophe Marie commentera les résultats exceptionnels du sondage Ifop -août 2020- illustrant l'écart entre l'attente sociétale forte (élevage, abattage rituel, chasse à courre...) et l'absence de réponse politique.

Bruno Ricard 

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Marée noire à l'île Maurice : plusieurs centaines d'espèces animales en péril

Publié le par Ricard Bruno

Nous sommes à des milliers de kilomètres de île Maurice, mais nous ne pouvons pas ne pas se sentir concerné, bien au contraire cela touche tout le monde...

Bruno Ricard 

Marée noire à l'île Maurice : plusieurs centaines d'espèces animales en péril

Oiseaux rares, tortues, poissons, coraux... L'échouage d'un navire japonais, occasionnant la fuite de plus d'un millier de tonnes de carburant au large de l'Île Maurice, risque d'affecter des centaines d'espèces animales déjà fragilisées par la surpêche, les pesticides et les changements climatiques. 30millionsdamis.fr fait le point.

La mort a pris le visage d'une nappe noire et gluante. Le samedi 25 juillet 2020, un navire marchand faisant route dans l'Océan Indien s'est échoué sur un récif corallien au large de l'île Maurice. A son bord, aucune marchandise, mais ses cuves pleines de carburant. De la coque percée se sont déjà échappées près de 1200 tonnes d'hydrocarbures à ce jour. Si les autorités affirment avoir extrait le fioul restant – soit 3000 tonnes – des réservoirs du bateau avant que celui-ci ne finisse par se scinder en deux le samedi 15 août, la nappe toxique a malgré tout progressé vers les côtes, teintant les eaux translucides d'une large et obscure traînée opaque.

Une biodiversité parmi les plus riches au monde

Le pétrole lourd, utilisé pour propulser les navires, étouffe la faune et la flore.
Adam Moonla, chercheur en écologie

« Le vent et les courants marins ne sont d'aucune aide, portant le carburant vers les zones abritant des écosystèmes marins d'importance vitale », s'alarme Sunil Mokshananda, ancienne experte pour l'ONG Greenpeace et se trouvant proche du lieu de l'échouage, citée par la BBC (13/08/2020). Parmi les sites naturels les plus exposés : la mangrove de la Pointe d'Esny (22 Hectares) et la réserve marine de Blue Bay (353 Ha), classées « zones humides d'importance internationale » par la Convention de Ramsar, ainsi que l'Île-aux-Aigrettes (27 Ha). La biodiversité de ces écosystèmes compte parmi les plus riches au monde, avec 72 espèces de poissons et 38 coraux distincts rien que pour la réserve de Blue Bay.

Au total, l'Île Maurice abrite 1700 espèces animales, dont 800 espèces de poissons et 17 espèces de mammifères marins, d'après la Convention sur la diversité biologique (CBD) des Nations Unies. Si les impacts précis de la marée noire sur les écosystèmes sont imprévisibles, les processus à l'œuvre, eux, sont connus. « Les composés chimiques des carburants sont toxiques pour les êtres vivants, explique Adam Moolna, écologue à l'Université de Keele (R.-U.), sur The Conversation (11/08/2020). Le pétrole lourd, noir et collant, utilisé pour propulser les navires, est moins toxique que les hydrocarbures légers (diesel, essence). Mais il persiste plus longtemps dans l'environnement, étouffant la faune et la flore. »

Des effets directs... et indirects !

Les hydrocarbures vont "blanchir" les récifs coralliens, ce qui entraînera leur mort.
Richard Steiner, biologiste marin

Face à cette pollution, les récifs coralliens se trouvent en première ligne. Une « contamination chronique des coraux » risque de venir s'ajouter aux « dégâts physiques immédiats » provoqués par l'échouage du navire et le déversement d'hydrocarbures, prédit Jacek Tronczynski, chercheur à l'unité d'écotoxicologie de l'Ifremer, interrogé par France Inter (13/08/2020). « Les hydrocarbures toxiques vont "blanchir" les récifs coralliens [le blanchissement est la perte des algues symbiotiques qui fournissent aux coraux de l'oxygène et des nutriments, NDLR], ce qui entraînera leur mort », affirme de son côté le Pr Richard Steiner, biologiste marin en Alaska (US), cité par la BBC.

« Il ne s'agit pas seulement de la nappe visible à la surface de l'eau : il y a également des composés solubles qui se dissolvent, une couche mousseuse sous la surface, et enfin des résidus plus lourds qui se déposent sur les fonds. L'écosystème entier est affecté », précise Corina Ciocan, biologiste marine à l'Université de Brighton (R.-U.). « D'autres marées noires l'ont montré : elles ont un impact néfaste sur la biodiversité marine, en tuant des animaux, en s'insérant dans la chaîne alimentaire et en impactant durablement l'écosystème », confirme à France Inter Vincent Florens, professeur agrégé en écologie à l'université de Maurice. Ainsi, même les animaux qui n'entrent pas en contact direct avec la substance peuvent être touchés.

Le pigeon rose et la tortue géante des Seychelles, eux aussi menacés

Parmi les représentants de l'extraordinaire faune aviaire mise en péril par la marée noire, figure le précieux Pigeon rose. Considéré comme l'un des oiseaux les plus rares au monde, il n'en restait qu'une dizaine de spécimens au début des années 1990. Depuis sa réintroduction sur l'Île-aux-Aigrettes, le fragile colombidé est passé de la catégorie « En danger critique » (dernier palier avant l'extinction) à celle de « En danger » sur la Liste Rouge des espèces menacées. Des tortues géantes des Seychelles y ont, elles aussi, été réintroduites afin de favoriser la présence de plantes endémiques.

Mais désormais, tous ces animaux ont le malheur de se trouver sur le funeste parcours de la nappe toxique. « L'Ile-aux-Aigrettes a été durement affectée par la marée noire, affirme l'ONG locale Mauritian Wildlife Foundation (post ci-dessus). Nous avons dès à présent pris des mesures préventives pour minimiser l'impact sur la faune et la flore ». Outre le déplacement de certains reptiles, les bénévoles confectionnent des barrières flottantes à base de paille de canne à sucre et de cheveux, afin de contenir la nappe et de pouvoir pomper par bateau les hydrocarbures avant qu’ils ne se déposent sur le rivage.

Des espèces déjà fragilisées

Au bout d'un moment, l'écosystème va s'effondrer.
Vincent Florens, Pr agrégé en écologie

Les dramatiques conséquences de la marée noire viennent s'ajouter aux autres menaces d'origine humaine, qui ont déjà causé l'extinction d'espèces endémiques de l'Île Maurice. « Nous avons des situations de surpêche dans les lagons, des pesticides agricoles, des fertilisants, plus les effets du changement climatique et le blanchiment des coraux, énumère Vincent Florens. Avec une marée noire en plus, tout cela fait beaucoup et nous allons arriver à un moment où l'écosystème va s'effondrer. »

Cette catastrophe fait ressurgir le pénible souvenir du Deep Water Horizon, la plateforme pétrolière qui avait relargué près de 400.000 tonnes d'hydrocarbures dans le Golfe du Mexique en 2010. Plusieurs milliers de poissons, de dauphins et d'autres animaux marins avaient trouvé la mort, sans compter les effets à plus long terme de la pollution sur la santé des organismes. En France, l'Amoco Cadiz, naufragé au large du Finistère en 1978, avait répandu plus de 220.000 tonnes de pétrole brut dans l’océan, ôtant la vie à plusieurs millions d'animaux. En décembre 1999, le pétrolier Erika se brisait en deux, toujours au large du Finistère, laissant échapper 20.000 tonnes de fioul et tuant plus de 150.000 oiseaux.

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Plus de deux tiers des Français souhaitent une meilleure prise en compte du bien-être animal

Publié le par Ricard Bruno

Interrogés par l’IFOP pour la Fondation Bardot, une majorité de sondés adhère à des mesures drastiques dans le domaine de l’élevage, des spectacles d’animaux sauvages ou encore de l’expérimentation animale.

ans un abattoir, à Sainte-Cécile (Manche), en 2018.

ans un abattoir, à Sainte-Cécile (Manche), en 2018.

« Il existe une vraie attente sociétale sur la question animale, s’enthousiasme Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot, à l’initiative du sondage, confié à l’IFOP, sur les Français et la condition animale. Il est temps que le politique s’empare de cette demande citoyenne. » Dévoilé par Le Monde mercredi 19 août, le questionnaire, réalisé entre le 5 et le 7 août auprès d’un échantillon de 1 009 personnes représentatif de la population française, révèle que plus de deux tiers des sondés se montrent favorables à une amélioration du bien-être des bêtes.

Quelques semaines après le lancement d’un projet de référendum d’initiative partagé (RIP) sur la condition animale, ces résultats confirment l’intérêt porté par les citoyens aux questions relatives à l’élevage, la chasse, l’expérimentation animale et aux spectacles d’animaux sauvages.

Le 2 juillet, trois patrons de la tech (dont Xavier Niel, actionnaire à titre individuel du Monde) et le journaliste Hugo Clément s’associaient à une vingtaine d’associations de défense des animaux (dont la fondation Brigitte Bardot) et de protection de l’environnement pour réfléchir à une proposition de loi afin d’« améliorer le sort d’un milliard d’animaux en France ».

Le questionnaire reprend les différents volets du projet de référendum. En matière d’élevage, plus de 90 % des sondés sont favorables à l’obligation d’offrir un accès extérieur aux animaux ; 86 % adhèrent au principe d’étourdir les bêtes destinées à l’abattage ; 73 % des personnes interrogées partagent l’idée d’aider les cirques à organiser des spectacles sans animaux sauvages. La même proportion est prête à soutenir l’interdiction de l’expérimentation animale dans un délai de dix ans.

Recherche de relais

La chasse à courre est plébiscitée par seulement 18 % des sondés. Un taux qui reste stable depuis quinze ans (22 % d’opinions favorables en 2005 et 16 % en 2017, selon des sondages similaires) ; 77 % des répondants s’associent à l’idée d’interdire l’élevage des animaux pour leur fourrure, 72 % sont favorables à l’arrêt de la vente des

 

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« Noces ensanglantées » en Seine-Saint-Denis : 10 cochons abattus clandestinement pour un mariage !

Publié le par Ricard Bruno

Contrairement à 10 de leurs congénères, 5 cochons ont pu échapper au funeste sort qui les attendait.

Un massacre ! Le commissariat de Livry-Gargan (93) et les services vétérinaires départementaux ont alerté la Fondation 30 Millions d’Amis sur des faits d’abattage clandestin concernant des cochons, dont la viande devait être servie aux invités lors d’un mariage. Si 5 suidés ont pu être sauvés, 10 autres ont péri avant l’intervention des autorités. Les animaux secourus attendent désormais un lieu d’accueil définitif.

Unis par le « sacrement »… du carnage ! Pour célébrer leurs noces, des époux et leurs proches ont organisé – en toute clandestinité – l’abattage des animaux dont la viande devait être servie aux convives. Une quinzaine de cochons avaient été acheminés jusqu’à un pavillon de la banlieue parisienne. Effaré par les cris stridents des bêtes suppliciées, le voisinage a pu alerter les autorités. Sur place, les forces de l’ordre ont découvert une dizaine de cadavres de suidés… dont certains déjà piqués sur des broches !

Recherche d’un sanctuaire pour les 5 cochons rescapés

Au mépris de toutes règles sanitaires et de bien-être animal, sur la terrasse couverte du pavillon, la cuisine de fortune ressemble davantage à une salle de torture jonchée de bacs remplis de sang. Sur une « table de travail » s’étalent des torchons sanguinolents, des crochets… et même un marteau. Attendant leur sinistre sort, en pleine chaleur estivale, 5 cochons ont heureusement pu être secourus et mis en sécurité. Une plainte a été déposée pour abattage clandestin et pour acte de cruauté.

« Après avoir trouvé un lieu d’accueil temporaire pour les animaux rescapés, nous cherchons d’urgence un sanctuaire où ils pourront terminer leur existence en toute tranquillité », détaille Arnauld Lhomme, responsable des enquêtes à la Fondation 30 Millions d’Amis.

Note : Toute proposition sérieuse de lieu d’accueil définitif pour les cochons secourus peut être envoyée à notre équipe par mail ou par téléphone au 01.56.59.04.44.

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Brigitte Bardot : 2ème vente caritative le 12 décembre 2020

Publié le par Ricard Bruno

La 2ème vente caritative au profit exclusif de  la FBB organisée par la Maison de Ventes aux Enchères ROSSINI, est prévue le 12 décembre 2020 à Paris.

Bien entendu cette vente est faites en accord total avec madame Brigitte Bardot.

Il va de soit que je vous tendrais au courant de la sortie du catalogue qui sortira en tirage limité !

L'intégralité de la vente sera reversée à la fondation de madame Brigitte Bardot, la première édition avait permis de réunir prêt de 100.00 euros pour venir en aide aux animaux , chaque personne participant à cette magnifique aventure est bénévole, moi y compris..

Bruno Ricard   

Ci dessous Brigitte Bardot au tel durant la 1ère vente aux enchères en 2016

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Un SCANDALE ! Le gouvernement rouvre la voie à l'utilisation d'un insecticide banni en 2018

Publié le par Ricard Bruno

Un SCANDALE ! Le gouvernement rouvre la voie à l'utilisation d'un insecticide banni en 2018

Les néonicotinoïdes sont particulièrement meurtriers pour les abeilles. Alors que l'interdiction de 2018 avait été saluée par les défenseurs de l'environnement, ils déplorent désormais un véritable "recul".

ENVIRONNEMENT - Le gouvernement veut autoriser les agriculteurs à utiliser dès 2021, sous “conditions strictes”, des semences de betteraves enrobées d’un insecticide interdit depuis 2018 afin de “pérenniser” la filière sucrière française, malgré l’opposition des défenseurs de l’environnement et des apiculteurs qui y voient un véritable “retour en arrière”.

Les insecticides en question — les néonicotinoïdes — s’attaquent au système nerveux des insectes et donc des pollinisateurs comme les abeilles. Ils ont été interdits de tout usage phytosanitaire en septembre 2018, date d’entrée en vigueur d’une loi votée en 2016 pendant le quinquennat Hollande.

À l’époque, la ministre de la Santé Agnès Buzyn avait salué une décision qui faisait de la France un pays “précurseur pour la protection des pollinisateurs, de l’environnement et de la santé”. Mais déjà, certaines voix discordantes s’étaient fait entendre au sein du gouvernement d’Édouard Philippe, et la loi n’avait pu entrer en vigueur que grâce à l’acharnement de Nicolas Hulot, qui n’avait pas hésité à s’opposer à son collègue du ministère de l’Agriculture. L’ex Premier ministre avait finalement arbitré en faveur du ministre de la Transition écologique. 

Toutefois, un Premier ministre et un nouveau gouvernement plus tard, la mesure semble bel et bien en passe de prendre du plomb dans l’aile. Ce jeudi 6 août, le ministère de l’Agriculture a annoncé son intention d’obtenir “une modification législative cet automne” permettant de déroger à l’interdiction de certains néonicotinoïdes, au plus tard jusqu’en 2023.

La filière sucrière finalement satisfaite...

La raison? Les alertes des planteurs de betteraves français au sujet de la situation de la filière sucrière, démunie selon eux face aux pucerons verts, presque immanquablement vecteurs du virus de la jaunisse qui fait s’effondrer les rendements.

La récolte est prévue cet automne. Mais le syndicat spécialisé CGB, affilié à la FNSEA, a déjà estimé que la France produirait “600.000 à 800.000 tonnes de sucre” en moins cette année faute de solution face à la jaunisse. Soutenu par des élus locaux et nationaux, le syndicat avait demandé de pouvoir recourir à nouveau aux néonicotinoïdes pour protéger les plantes des pucerons et garantir les rendements.

“Le gouvernement reconnaît l’impasse dans laquelle sont les agriculteurs. Il faut avancer maintenant très vite pour avoir une loi”, a réagi auprès de l’AFP le président de la CGB Franck Sander.

“Les producteurs se sont engagés pour que toutes les précautions soient prises afin que la dérogation soit circonscrite”, soulignent dans un communiqué les syndicats agricoles majoritaires FNSEA et Jeunes agriculteurs. “Il ne s’agit pas de remettre en question l’indispensable transition écologique. Il s’agit de nous permettre d’être les acteurs de cette transition et non les victimes”, assure de son côté Olivier de Bohan, président du sucrier Cristal Union (marque Daddy).

... au détriment de l’environnement

En face, le président de Générations futures François Veillerette dit sa “colère”. “La France avait été exemplaire et là, on recule”, a-t-il déploré auprès de l’AFP.

“Nous ne pouvons accepter un retour en arrière”, soutient également l’Union nationale des apiculteurs (Unaf), dans une lettre publiée juste avant l’annonce ministérielle. Autoriser les néonicotinoïdes serait “catastrophique pour la filière apicole et pour l’ensemble des insectes pollinisateurs déjà fortement fragilisés en France”, selon l’Unaf.

C’est un “premier échec” pour la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili et “une terrible nouvelle pour l’environnement”, estime sur Twitter l’ONG Greenpeace.

“La solution annoncée a été coordonnée avec le ministère de la Transition écologique”, a indiqué ce dernier à l’AFP. Pour le ministère de l’Agriculture, il y avait “urgence à agir”.

Dans le détail, il veut “permettre explicitement, pour la campagne 2021 et le cas échéant les deux campagnes suivantes tout au plus”, de déroger à l’interdiction. Ce sera “dans des conditions strictement encadrées” et “comme le font d’autres pays européens confrontés aux mêmes difficultés”, selon un communiqué.

Il est uniquement envisagé d’autoriser l’enrobage des semences par des néonicotinoïdes. Il restera interdit de pulvériser ces produits dans l’air. De plus, les agriculteurs ne pourront pas planter ensuite sur la même parcelle des cultures susceptibles d’attirer des pollinisateurs afin de ne pas les exposer “aux résidus éventuels”.

“Cette crise de la jaunisse fragilise l’ensemble du secteur sucrier et crée le risque d’un abandon massif de la betterave en 2021 par les agriculteurs au profit d’autres cultures. Or la France est le premier producteur de sucre européen. Le secteur concerne 46.000 emplois dont 25.000 agriculteurs et 21 sucreries”, fait valoir le ministère.

Le gouvernement prévoit par ailleurs de mobiliser “dès 2021 dans le cadre du plan de relance” cinq millions d’euros supplémentaires pour financer la recherche de solutions “alternatives véritablement efficaces” aux néonicotinoïdes, mais aussi d’indemniser les planteurs ayant subi en 2020 des “pertes importantes liées à cette crise de la jaunisse de la betterave”.

Un “plan de protection des pollinisateurs” doit être défini “d’ici fin 2020″, tandis que les agriculteurs devront travailler à se prémunir davantage des infestations de pucerons.

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.Des chiens en détresse sauvés par la Fondation Brigitte Bardot à Asasp-Arros...

Publié le par Ricard Bruno

La Fondation Brigitte Bardot a mené jeudi matin une opération de sauvetage d'une cinquantaine de chiens en vallée d'Aspe. Leur propriétaire en situation de très grande précarité n'avait pas eu les moyens de les faire stériliserDes jours meilleurs attendent ce triste toutou

Les naissances se sont enchaînées. L'homme âgé de 75 ans, sans grande ressources, partageait au final sa maison avec 47 chiens dans des conditions sanitaires déplorables. À la suite d'un signalement, il a finalement accepté de céder ses chiens à la Fondation Brigitte Bardot. Il a fallu 4 heures ce jeudi matin pour tous les évacuer.

Les chiens conduits en Normandie

Daniel Raposo, de la Fondation Brigitte Bardot assure n'avoir jamais vu une telle situation avec autant de chiens : "C'est une maison avec beaucoup de dépendances, pas du tout adaptée à un si grand nombre de chiens".

Ils ne sont pas squelettiques, juste un petit peu maigres              
Jessica Langlois

"On est là pour aider les chiens mais aussi aider le monsieur, parce qu'il vit dans les mêmes conditions que ses chiens", explique Jessica Langlois la responsable des soins vétérinaires de la fondation. Elle a trouvé des animaux un peu amaigris mais pas mal traités.

Tous ces chiens ont été conduits au refuge de la Mare Auzou en Normandie.  La Fondation assure qu'ils pourront être candidats à l'adoption

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A Compiègne, 57 animaux maltraités saisis dans des garages insalubres

Publié le par Ricard Bruno

C’est dans deux garages de la rue des Sablons que 57 animaux ont été retrouvés dans un état sanitaire alarmant. DR

C’est dans deux garages de la rue des Sablons que 57 animaux ont été retrouvés dans un état sanitaire alarmant. DR

« Quand les portes des garages se sont ouvertes, il y avait une odeur de mort », confie Caroline, bénévole au CFAF (Club français des amateurs de furets). Jeudi dernier, une saisie a été organisée à la suite d'une enquête menée par l'association.

Enfermés en plein soleil dans deux box de la rue des Sablons, à Compiègne, 57 animaux ont été découverts dans des cages en plein milieu de montagnes de déchets. 16 furets, 17 pigeons, 18 cochons d'Inde, 3 hamsters, 2 rats et 1 lapin n'étaient plus que l'ombre d'eux-mêmes. Neuf animaux n'ont pas survécu.

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Le ministre de la Ruralité aux côtés d’antispécistes

Publié le par Ricard Bruno

Le ministre de la Ruralité aux côtés d’antispécistes

En espérant que ce ministre ne retourne pas sa veste, il est sur qu'il faut savoir évoluer pour prendre en compte la souffrance animale, certains ne voit pas cela d'un bon œil, la seule chose qui les préoccupe c'est le fric et la rentabilité alors quand on leur parle de bien-être animal ils s'en foutent royalement...et oh ! on n'est plus au siècle dernier !
Bruno Ricard

La première action menée par Joël Giraud marquera les esprits : le secrétaire d’État à la Ruralité apporte son soutien au projet de référendum pour les animaux, signé notamment par des militants anti-élevage.

 

À l’instar de L214, Joël Giraud a apporté son soutien au projet de référendum pour les animaux, annonce le 31 juillet 2020 la Fondation 30 millions d’amis sur son compte Twitter. Son nom figure sur la liste des signataires qui apparaît sur le site « Référendum pour les animaux ». L’intéressé, actuellement en congés, n’a pas pour l’heure expliqué ses motivations. À ses côtés, figurent 121 parlementaires sur les 925 qui siègent actuellement dans les deux assemblées.

« On attend qu’il retire sa signature »

Cette position fait beaucoup réagir sur les réseaux sociaux, avec en tête le Mouvement de la ruralité. Pour le parti politique, anciennement appelé Chasse, pêche, nature et traditions, Joël Giraud, « débute bien mal en signant le projet de référendum d’initiative partagée (RIP) pour les animaux avec son lot de mesures contre les activités rurales. Un secrétaire d’État à la Ruralité qui s’inscrit dans cette logique antispéciste n’augure rien de bon ».

Le Mouvement de la ruralité indique avoir sollicité une entrevue auprès du Premier ministre, Jean Castex, « pour aborder l’ensemble des problèmes de la ruralité, économiques, sociétaux et environnementaux et attend du nouveau secrétaire d’État qu’il retire sa signature ».

Interdire les élevages en cage et box d’ici à 2025

Par sa signature, Joël Giraud (député des Hautes-Alpes) approuve ainsi le projet initié par Xavier Niel, du groupe Iliad (Free), Marc Simoncini, fondateur du site Meetic, et Jacques-Antoine Granjon, à la tête de Veepee (anciennement Vente-privée.com). Cette idée de référendum est par ailleurs soutenue et portée publiquement par le journaliste Hugo Clément, ainsi qu’une vingtaine d’associations de défense des animaux (L214, Welfarm, CIWF, Compassion in World Farming France, Rewild, Aspas, la Fondation Brigitte Bardot…) et de protection de l’environnement (GoodPlanet, la Fondation pour la nature et l’homme, LPO…).

 

Le texte qu’ils défendent propose notamment d’interdire l’élevage en cage, case, stalle ou box à partir du 1er janvier 2025.

Source de l'article : Cliquez ICI

 

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