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action de protection animale

Un nouveau cuir végétal fait de peaux et de pépins de raisins arrive pour révolutionner le monde de la mode

Publié le par Ricard Bruno

Le cuir végétal est une solution écologique qui est de plus en plus envisagée pour remplacer les peaux d'animaux. Le cuir végétal peut être obtenu par le travail de végétaux et a les mêmes caractéristiques que les peaux d'animaux ; il est fabriqué à partir d'ananas, de champignons, de bananes... et maintenant même de raisins ! À la liste de ces peaux végétales s'ajoute le biomatériau proposé par Vegea, une start-up italienne née en 2016 à Milan, qui a conçu un matériau textile innovant dérivé de la peau et des pépins de raisin.

Un nouveau cuir végétal fait de peaux et de pépins de raisins arrive pour révolutionner le monde de la mode

Dans un pays qui représente 18 % de la production mondiale de vin, l'entreprise a expérimenté la production d'un tissu technique innovant à base végétale, qui peut être reproduit grâce à un traitement spécial des fibres et des huiles contenues dans le marc de raisin, une matière première totalement naturelle composée des peaux, des pépins et des tiges de raisins obtenus lors de la production de vin. C'est un tissu qui provient du vin, donc, et absolument sans cruauté envers les animaux.

Un nouveau cuir végétal fait de peaux et de pépins de raisins arrive pour révolutionner le monde de la mode

Une expérience qui a porté ses fruits puisque les résultats ont montré qu'en plus d'être un procédé de fabrication réalisable, le cuir est également très résistant, au point de pouvoir être utilisé dans le secteur de la mode, du mobilier ou pour les sièges de voitures.

Pour produire des peaux de raisin, Vegea souhaite récupérer 7 milliards de kilos de marc de raisin chaque année, sur une production de 26 milliards de litres de vin – cela permettrait à l'entreprise de produire environ 3 milliards de mètres carrés de cuir ! En somme, beaucoup de raisins pour beaucoup de peau ! Ces tissus Vegea semblent refléter une philosophie verte, où le matériau que l'on porte et utilise doit être sain et socialement durable d'un point de vue environnemental.

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Nougat, un chat tué d’une balle de 22 long rifle

Publié le par Ricard Bruno

Il avait disparu depuis plusieurs jours et ses propriétaires s’inquiétaient. Nougat, un chat siamois a été découvert mort par Manon, la fille des propriétaires, près d’une maison d’habitation. L’autopsie ne laisse pas de place au doute : il a été abattu.

Nougat, un chat tué d’une balle de 22 long rifle

ougat, un chat mâle de type siamois, castré, avait disparu depuis quelques jours.

Malgré les appels de ses propriétaires inquiets, il ne revenait pas. Peut-être était-il enfermé quelque part ?

Mais le 15 décembre, la fille, Manon part, une nouvelle fois à sa recherche dans le village et le retrouve mort près d’une maison d’habitation dans une sorte de taillis. Au premier abord, aucune blessure externe.

Ce n’est que quelques heures plus tard qu’une goutte de sang apparaît au niveau du cou de l’animal. Après avoir écarté les poils, on y découvre un trou rond comme un impact de plomb ou de balle. Les propriétaires appellent la gendarmerie qui leur demande alors de faire une autopsie s’ils veulent déposer plainte.

L’animal est amené le lundi matin chez le vétérinaire qui pratique cette autopsie.

La fondation Brigitte-Bardot alertée

Le rapport indique que le projectile s’avère être une balle d’une carabine 22 long rifle. Il est entré sous la gorge du chat et a été retrouvé en arrière du sternum.

Un cliché radio met clairement en évidence le projectile et son trajet. Nougat serait mort samedi 14 ou dimanche 15 décembre.

Un dépôt de plainte a été enregistré le 16 décembre pour atteinte volontaire à la vie d’un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité.

La fondation Brigitte Bardot a d’ores-et-déjà fait savoir qu’elle se porterait partie civile en cas d’audience.

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L'AUSTRALIE...se meurt...

Publié le par Ricard Bruno

L'AUSTRALIE...se meurt...

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Sécheresse en Australie: des snipers vont abattre 10.000 dromadaires sauvages

Publié le par Ricard Bruno

En cherchant à se rapprocher des sources d'eau, ces animaux constituent une menace pour les localités aborigènes locales et présentent un risque de contamination, soutiennent les autorités australiennes.

En 2009, les autorités australiennes avaient déjà mis en place un programme de gestion de la population de dromadaires sauvages via des abattages massifs réalisés depuis des hélicoptères.

En 2009, les autorités australiennes avaient déjà mis en place un programme de gestion de la population de dromadaires sauvages via des abattages massifs réalisés depuis des hélicoptères.

Des snipers vont abattre depuis des hélicoptères 10.000 dromadaires sauvages en Australie, en raison de la menace que constituent pour les populations ces animaux qui, du fait de la sécheresse, s'approchent de plus en plus des localités de l'intérieur du pays pour y trouver de l'eau.

Des responsables locaux de l'État d'Australie-méridionale affirment que des troupeaux «extrêmement importants», en quête d'eau et de nourriture, menacent les réserves de ces villages, en plus de provoquer des dégâts et de constituer un danger pour les automobilistes. L'immense île-continent a vécu en 2019 son année la plus chaude et sèche, ce qui a non seulement entraîné de dramatiques feux de forêt qui font toujours rage dans certaines régions, mais aussi des pénuries d'eau dans nombre de localités. Cette campagne d'abattage de cinq jours va être conduite dans les territoires de l'Anangu Pitjantjatjara Yankunytjatjara (APY), vaste zone d'administration locale (LGA) située dans l'extrême nord-ouest de l'Australie-méridionale, une première pour cet État. «Ces troupeaux exercent du fait de la quête d'eau des dromadaires une pression sur les localités aborigènes des territoires de l'APY et les activités pastorales», a expliqué dans un communiqué le comité exécutif des territoires de l'APY.

Sources contaminées

Le ministère de l'Environnement de l'État, qui soutient cet abattage, a expliqué que la sécheresse posait aussi «de graves questions de bien-être animal» car nombre de bêtes sont mortes de soif ou se sont blessées entre elles en se précipitant vers des points d'eau. «Dans certains cas, des carcasses d'animaux morts ont contaminé d'importantes sources d'eau et des sites culturels», a expliqué une porte-parole du ministère. Importées d'Indes dans les années 1840 par les colons, et évoluant sans prédateur naturel, les dromadaires se sont reproduits et sont considérés comme un nuisible qui contamine les sources d'eau et met en péril des zones fragiles ainsi que la faune et la flore indigènes. L'Australie serait désormais le pays comptant la plus vaste population de dromadaires sauvages au monde, avec certaines estimations officielles faisant état d'un million de bêtes dans les étendues désertiques du centre.

La quantité de dromadaires a rendu impossible de rassembler et de revendre ces animaux sauvages, comme ce fut souvent le cas. D'où la décision d'en supprimer 10.000. La chaîne publique ABC rapporte que les dromadaires seraient abattus loin des villages et que leurs cadavres seraient brûlés. Le nombre de dromadaires a fluctué au fil des décennies. Estimée à un million dans les années 2000, la population avait diminué d'un quart à la fin de cette décennie en raison de la sécheresse qui avait tari plusieurs points d'eau. Les autorités avaient mis en place en 2009 un programme de gestion des dromadaires sauvages et la population avait été ramenée en 2013 à 300.000 individus, après des abattages massifs réalisés, déjà, depuis des hélicoptères, sur une région de plus de trois millions de km².

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Les éléphants pourront bientôt prendre leur retraite dans le Limousin

Publié le par Ricard Bruno

Le premier sanctuaire pour les pachydermes vivant en Europe doit ouvrir en 2020 à Bussière-Galant, en Haute-Vienne, pour accueillir les animaux vieillissants dont les zoos ou les cirques ne veulent plus.

Bussière-Galant (Haute-Vienne). « On nous a pris au début pour des cinglés », confient Tony Verhulst et Sofie Goetghebeur, les deux Belges à l’origine d’Elephant Haven.

Bussière-Galant (Haute-Vienne). « On nous a pris au début pour des cinglés », confient Tony Verhulst et Sofie Goetghebeur, les deux Belges à l’origine d’Elephant Haven.

La largeur des câbles métalliques, la taille de l'enclos − 4 ha − et les portes de 3 m de haut témoignent de la démesure du projet… A Bussière-Galant, commune boisée de la Haute-Vienne, les paisibles vaches limousines verront débarquer en 2020 des hôtes d'un nouveau genre. Des éléphants, trois dans un premier temps, prendront leurs aises au sein d'un sanctuaire unique en Europe, baptisé Elephant Haven et destiné à accueillir les pachydermes vieillissants, dont les cirques ou les zoos ne veulent plus…

Tony Verhulst et Sofie Goetghebeur, les deux Belges porteurs du projet depuis 2016, avancent pas à pas, doucement mais sûrement. Notamment grâce à l'aide financière de nombreuses organisations comme la fondation Brigitte Bardot, One Voice et « même la mairie de Paris, qui vient d'annoncer l'interdiction des animaux sauvages dans les cirques », assure Tony Verhulst. Grâce à l'aide, aussi, d'une centaine de bénévoles. Comme Patrice Chavaudra et son épouse, qui ont tout quitté à Toulouse pour s'installer dans la commune et se consacrer pleinement à ce projet.

«Les éléphants vont adorer l'endroit»

Au départ, l'idée semblait loufoque… Les yeux interrogateurs des villageois n'étaient au final rien comparés aux questionnements de l'administration française. « Forcément, on nous a pris au début pour des cinglés », reconnaissent les deux Belges, qui ont travaillé durant 20 ans au zoo d'Anvers, en Belgique.

« Les éléphants vont adorer l'endroit, assurent-ils. Ils ont de quoi manger à profusion, il y a des étangs, des sources et surtout beaucoup d'espace ! » Même l'hiver parfois rigoureux du Limousin a été pris en compte : « Les éléphants pourront actionner eux-mêmes l'ouverture des portes d'un bâtiment, équipé d'une myriade de radiateurs, pour venir s'y réchauffer. »

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Brisons leurs chaines ! David Hallyday...

Publié le par Ricard Bruno

Brisons leurs chaines ! David Hallyday...
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Article publié depuis Overblog

Publié le par Ricard Bruno

A 7 ans, elle sauve un chiot mais ne peut pas le garder. Jusqu'au jour où elle reçoit ce cadeau... Portée volontaire pour une mission de sauvetage, Elizabeth a totalement fondu pour le chiot qu'elle avait secouru. Malheureusement, elle n'a pas pu le garder. A 7 ans, Elizabeth a déjà un cœur en or. Cette petite fille s’est portée volontaire pour une mission de sauvetage d’animaux dans le New Jersey. Là, elle a sauvé un chiot auquel elle s'est énormément attachée. Mais malheureusement pour elle, elle n’a pas pu le garder. Elizabeth a eu beaucoup d'affection pour le chiot qui s’appelle Lorelai. Cela a été un déchirement pour elle quand elle l’a vu partir. Invitée de l’émission Meredith Vieira Show avec sa mère, elle n’aurait jamais pu imaginer ce qui allait se passer. Après avoir raconté son histoire, Elizabeth voit un homme arriver avec une boîte enveloppée dans du papier cadeau. Et là, la petite Américaine se rend compte que c’est Lorelei, le chiot qu'elle pensait ne plus jamais revoir ! Sa réaction est vraiment trop mignonne quand elle le retrouve. La petite fille n’arrête pas de pleurer et promet qu’elle s’occupera bien du chiot. Quand on voit son attachement, on n'en doute pas une seconde.

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Un refuge pour aller voir les loups de plus près...

Publié le par Ricard Bruno

Au total, 38 loups ont été accueillis dans cet espace qui leur est dédié au cœur de la Bretagne. Parfois, ils ont été en captivité et pas toujours bien traités.

Au total, 38 loups ont été accueillis dans cet espace qui leur est dédié au cœur de la Bretagne. Parfois, ils ont été en captivité et pas toujours bien traités.

Aperçu cet été, en Eure-et-Loir, à Crucey-Villages, près de Dreux, le loup gris s’épanouit également à quatre heures en voiture du département. Deux passionnés de cet animal méconnu et mal-aimé ont créé un refuge en plein cœur de la Bretagne. Les loups y trouvent refuge et participent au développement touristique.

Si le mot Bretagne évoque invariablement, chez la plupart des Français, des visions de côtes de granit, de plages dorées et de mer turquoise, il existe aussi au cœur de la Bretagne des endroits qui méritent le détour, pour leurs paysages variés de forêts vallonnées, de rivières tortueuses, de landes et de tourbières, et leurs animations insolites qui attirent de plus en plus de touristes.

C’est le cas de la petite commune de Lescouët-Gouarec, située en centre Bretagne, dans le canton de Rostrenen, dans les Côtes d’Armor. Le village compte un peu plus de deux cents habitants et… des loups?!

Un refuge pour cet animal mal-aimé

En 2005, sur le site de Coat Fur, un refuge dédié à la protection du loup s’est installé pour accueillir cet animal fascinant et pourtant souvent mal-aimé.
Début 2003, le projet de parc à loups en Bretagne a pris forme, après une rencontre entre Willy Bigot et Thierry Le Corre, deux passionnés de canis lupus (loup). Très vite, les deux hommes se sont tournés vers la commune de Lescouët-Gouarec, ont reçu un accueil favorable des élus, et ont fait l’acquisition, avec un troisième partenaire, en 2005, de 36 hectares (bois, sapinière, lande, prairie et terre) au lieux-dits Coat-Fur.

L’association « Lupi-les loups de Coat Fur » est née en 2006 avec, pour objectif, la protection du loup, la connaissance de l’espèce et l’animation du site pour le public.

L’association compte à ce jour une soixantaine d’adhérents et beaucoup de bénévoles qui aident lors des animations ou des travaux nécessaires à l’entretien du site, ou la construction de nouvelles structures.

Les premiers loups, (une meute de huit animaux détenus par un particulier), sont arrivés le 1er juin 2006.
Les portes ouvertes du domaine, en avril 2007, ont reçu la visite de près de 800 personnes.

Trente-huit loups, autant d’histoires

Trois autres loups arrivent en 2008, après le décès de leur propriétaire. En 2009, le refuge est sollicité pour accueillir sept loups d’un dresseur, qui n’avaient jusque-là connu que le sol bétonné d’une cage.

Depuis sa création, le refuge a accueilli 38 loups, qui ont tous une histoire. Il est régulièrement sollicité par des zoos pour des placements de loups.

L’association bénéficie d’un partenariat avec la Fondation Brigitte Bardot, qui a aidé au financement des enclos, et la Ligue française contre la vivisection. Le refuge accueille depuis quelques années les visiteurs sur un parcours boisé et sécurisé de 4 km, le long des enclos des loups, qui vivent dans un environnement naturel.

Où trouver le loup ? Le refuge de Coat Fur est ouvert du 1er avril au 30 septembre, les samedis, dimanches et jours fériés, de 14 à 18 heures. En juillet et en août, il est ouvert au public du mercredi au dimanche, de 14 à 18 heures. Contact : refugedesloups@gmail.com ou 06.12.26.32.41 (Willy Bigot) ou 06.98.04.46.01 (Géraldine). Le site : refugedesloups.org

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Disparitions de félins à Vesoul...

Publié le par Ricard Bruno

Didier Molle a surpris un homme tentant de kidnapper sa chatte.

Didier Molle a surpris un homme tentant de kidnapper sa chatte.

Un homme de 39 ans sera jugé le 7 janvier 2020 par le tribunal correctionnel de Vesoul pour vols, sévices graves et actes de cruauté envers les animaux. Le commissariat de Vesoul a pris 14 plaintes entre janvier et juillet 2019, pour des disparitions de chat, à Vesoul et Navenne. L’enquête a conduit le 30 juillet à l’interpellation d’un suspect, de Vesoul. En raison de son état mental, l’homme avait été transféré dans un hôpital psychiatrique. À sa sortie, il avait été placé en garde à vue. Au cours de son audition, il aurait expliqué qu’il kidnappait les chats pour combler un manque de compagnie. À la moindre contrariété, le suspect les aurait tués, avec notamment une barre de fer. Trois associations - la Fondation Brigitte Bardot, 30 millions d’amis et Adopte 1 chat - se sont constituées partie civile.

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