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fondation brigitte bardot

Fondation Brigitte Bardot PARTENARIAT : Les enclos du refuge de l’Arche !

Publié le par Ricard Bruno

🌿 Le refuge de l’Arche est une association spécialisée dans l’accueil d’animaux sauvages dont les enclos sont co-financés par la FBB ! 👉 Découvrez les deux projets de rénovation des bâtiments consacrés aux singes et aux félins avec le soutien de la Fondation Brigitte Bardot ! Les animaux vont pouvoir profiter de cet environnement agréable grâce à des installations modernes et adaptées à leurs besoins ! 👉 TWITTER : https://twitter.com/FBB_Officiel 👉 FACEBOOK : https://www.facebook.com/FondationBardot 👉 INSTAGRAM : https://www.instagram.com/fondationbr...

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Pau – 6 mois de prison avec sursis pour avoir jeté un chiot Patou par la fenêtre

Publié le par Ricard Bruno

Pau – 6 mois de prison avec sursis pour avoir jeté un chiot Patou par la fenêtre

Le 1er décembre 2016, un chiot Patou avait été jeté par la fenêtre, par sa propriétaire. Sa mort était la conséquence d’une violente dispute de couple dans un appartement au 3ème étage à Pau.  

« Cet acte est cruel, écœurant… Et aurait pu être évité si les animaux n’étaient pas confiés pour adoption à n’importe qui. Les animaux n’ont pas à être les souffre-douleurs de maîtres irresponsables, explique l’association Animal cross. 

C’est donc hier, mardi 19 octobre 2021, que le procès a enfin eut lieu au tribunal correctionnel de Pau !

La propriétaire du chiot a été condamnée à 6 mois de prison de sursis, 1000€ d’amende, interdiction de détenir un animal de compagnie pendant 5 ans, confiscation de la chienne (sœur du chiot mort, appartenant aussi au couple et présente dans l’appartement au moment des faits) et remise à l’ADAP64 pour adoption, puis, à verser à chaque association 700€ de dommages et intérêts et 400€ pour les frais d’avocat. 

« Nous avons été trois associations à nous porter parties civiles : ANIMAL CROSS, l’ADAP64 et la Fondation Brigitte Bardot.  Nous remercions les avocats qui ont très bien défendu le dossier.  Nous faisons tout notre possible pour que des drames comme celui-ci cessent et votre soutien y participe directement ! » 

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Vente caritative au profit de la fondation Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Lot n°54 Estimation : 200 - 300 € ECOLE MODERNE 3 bustes de Brigitte Bardot en Marianne 3 plâtres peints en bleu blanc rouge Non signés Quelques usures Haut : 30 cm  Don de M. Bruno Ricard / brigitte-bardot.over_blog.net

Lot n°54 Estimation : 200 - 300 € ECOLE MODERNE 3 bustes de Brigitte Bardot en Marianne 3 plâtres peints en bleu blanc rouge Non signés Quelques usures Haut : 30 cm Don de M. Bruno Ricard / brigitte-bardot.over_blog.net

Bonjour à tous

 

Cette fois ci c'est la bonne, après plusieurs reports dû à l'actualité, la 2ème  Vente caritative au profit exclusif de la fondation Brigitte Bardot aura lieu le 06 novembre prochain à l'étude Rossini à 14h00.

148 LOTS Seront proposés, bien entendu j'ai offert des lots sur lesquels vous pourrez enchérir.

Nous aurons de prestigieux parrains et marraines et une magnifique surprise interviendra au tel !

J'ai une nouvelle fois été heureux de faire partie de cette très belle équipe pour monter une telle vente !

Bruno Ricard

Lien du catalogue : https://www.interencheres.com/meubles-objets-art/vente-caritative-au-profit-de-la-fondation-brigitte-bardot-298723/?page=2 

Description :

Vente caritative au profit de la fondation Brigitte Bardot Commissaire-priseur Maître Pascale Morelle Marchandet Contact Olivier Nuzzo-Revol olivier.nuzzo@rossini.fr - 01 53 34 55 05 Maude Laugeay maude.laugeay@rossini.fr - 01 53 34 55 18 Expositions et vente - dans le respect du protocole sanitaire Salle des ventes Rossini - 7, rue Rossini 75009 Paris Mercredi 3 novembre de 10h45 à 18h Jeudi 4 novembre de 10h45 à 18h - vernissage UNIQUEMENT sur invitation à 19h Vendredi 5 novembre de 10h45 à 18h Vente samedi 6 novembre à 14h
Pour participer à la vente vous pouvez nous laisser un ordre d'achat, une demande de ligne téléphonique ou enchérir directement sur Interencheres Live. Pour enchérir (joindre une pièce d'identité et des coordonnées bancaires). Accès à la salle, aux expositions et à la vente uniquement sur présentation du pass sanitaire ! Nous invitons les personnes sans pass à enchérir par ordre d'achat, téléphone ou directement en live. Vente sans frais acheteur ROSSINI – MAISON DE VENTES AUX ENCHERES 7, rue Drouot – 75009 Paris Tél : 01 53 34 55 00 contact@rossini.fr www.rossini.fr
 
 
Conditions particulières :
La vente sera faite au comptant et conduite en Euros. Aucun frais acheteur. Enchères en direct et ordre d’achat secret via le service Live du site interencheres.com Enchère en direct. Si vous souhaitez enchérir en ligne (en direct ou par dépôt d’ordre d’achat secret) pendant la vente, veuillez-vous inscrire sur www.interencheres.com et effectuer une empreinte carte bancaire (vos coordonnées bancaires ne nous sont pas communiquées en clair). Vous acceptez de ce fait que www.interencheres.com communique à Rossini tous les renseignements relatifs à votre inscription ainsi que votre empreinte carte bancaire. La maison de ventes Rossini se réserve le droit de demander, le cas échéant, un complément d’information avant votre inscription définitive pour enchérir en ligne. Toute enchère en ligne sera considérée comme un engagement irrévocable d’achat. Ordre d’achat secret. La maison de ventes Rossini n’a pas connaissance du montant maximum de vos ordres secrets déposés via interencheres.com. Vos enchères sont formées automatiquement et progressivement dans la limite que vous avez fixée. L’exécution de l’ordre s’adapte au feu des enchères en fonction des enchères en cours. Le pas d’enchère est défini par les intervalles suivants : jusqu’à 19€ : 5€ ; de 20€ à 199€ : 10€ ; de 200€ à 499€ : 50€ ; de 500€ à 999€ : 100€ ; de 1 000€ à 4 999€ : 200€ ; de 5 000€ à 9 999€ : 500€ ; de 10 000€ à 19 999€ : 1 000€ ; de 20 000€ à 49 999€ : 2 000€ ; de 50 000€ à 99 999€ : 5 000€ ; 100 000€ et plus : 10 000€. Adjudication. Si vous êtes adjudicataire en ligne via une enchère portée en direct ou par le biais d’un ordre d’achat secret, vous autorisez Rossini, si elle le souhaite, à utiliser votre empreinte carte bancaire pour procéder au paiement, partiel ou total, de vos acquisitions y compris des frais habituels à la charge de l’acheteur. Ces frais sont majorés : • Pour les lots volontaires, catégorie meubles et objet d’art et matériel professionnel, majoration de 3% HT du prix d’adjudication (soit +3,60% TTC). • Pour les véhicules volontaires, majoration de 35 EUR HT par véhicule (soit +42 EUR TTC par véhicule). • Pour les ventes judiciaires, pas de majoration des frais habituels. • Pour les ventes caritatives, pas de majoration des frais habituels. Rossini ne peut garantir l’efficience de ces modes d’enchères et ne peut être tenues pour responsables d’un problème de connexion au service, pour quelque raison que ce soit. En cas d’enchère simultanée ou finale d’un montant égal, il est possible que l’enchère portée en ligne ne soit pas prise en compte si l’enchère en salle était antérieure. En toute hypothèse, c’est le commissaire-priseur qui sera le seul juge de l’enchère gagnante et de l’adjudication sur son procès-verbal. ROSSINI est abonné au Service TEMIS permettant la consultation et l’alimentation du Fichier des restrictions d'accès aux ventes aux enchères (« Fichier TEMIS ») mis en œuvre par la société Commissaires-Priseurs Multimédia (CPM), société anonyme à directoire, ayant son siège social sis à (75009) Paris, 37 rue de Châteaudun, immatriculée au registre du commerce et des sociétés de Paris sous le numéro 437 868 425. Tout bordereau d’adjudication demeuré impayé après de ROSSINI ou ayant fait l’objet d’un retard de paiement est susceptible d’inscription au fichier TEMIS.
Conditions de règlement :
Règlement par virement, carte bancaire à distance et chèque. Espèces et carte bancaire possible dans nos bureaux au 7, rue Drouot 75009 Paris. En cas de paiement par chèque, la société se réserve le droit de différer la délivrance des lots jusqu’à encaissement de ce dernier. DÉFAUT DE PAIEMENT En application de l'article L. 441- 6 du Code du Commerce, en cas de retard de paiement supérieur ou égal à 30 jours après la vente, des pénalités de retard égales à 11,37 % du montant de l'adjudication (charges et taxes comprises) seront demandées à l'acheteur. L'application de cette clause ne fait pas obstacle à l'allocation de dommages et intérêts et aux dépens de la procédure qui serait nécessaire, et ne préjuge pas de l'éventuelle mise en œuvre de la procédure de folle enchère. Ces dommages ne seront en aucun cas inférieurs aux honoraires acheteurs et vendeurs qui auraient été facturés en cas de bonne résolution de la vente.

Frais de vente : 0% TTC en volontaire

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Info Journal et info journal junior de la fondation Brigitte Bardot du 3ème trimestre 2021

Publié le par Ricard Bruno

Info journal n°118 du 3ème trimestre 2021

Info journal n°118 du 3ème trimestre 2021

Info journal junior n°68 du 3ème trimestre 2021

Info journal junior n°68 du 3ème trimestre 2021

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Cadavres d’animaux au sol, bêtes affamées… : un agriculteur condamné pour maltraitance à Rennes

Publié le par Ricard Bruno

123 animaux avaient été évacués de l’exploitation agricole et pris en charge par des associations.

123 animaux avaient été évacués de l’exploitation agricole et pris en charge par des associations.

Après la saisie de 123 animaux, dans une exploitation agricole à La Dominelais (Ille-et-Vilaine), leur propriétaire a été condamné, lundi 13 septembre, par le tribunal correctionnel de Rennes. Les gendarmes avaient fait la macabre découverte, en 2020, avec des animaux en état de décomposition, d’autres affamés et des chiens qui erraient dans leurs déjections. L’homme était également jugé pour des menaces sur un inspecteur des services vétérinaires et pour la détention d’une arme.

Source et suite de l'article : Cliquez ICI

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Maltraitance animale : « Oui, je l’avoue, j’étais dépassée », admet la prévenue

Publié le par Ricard Bruno

Une Haut-Saônoise de 27 ans comparaissait ce vendredi devant le tribunal de police pour avoir, sous couvert d’une fausse association, recueilli et proposé à l’adoption des dizaines de chats. Elle a reconnu les faits mais pas la maltraitance.

Maltraitance animale : « Oui, je l’avoue, j’étais dépassée », admet la prévenue

« Oui, je reconnais que j’ai fait n’importe quoi. J’étais dépassée, je l’avoue », admet la prévenue à la barre. Cette Haut-Saônoise de 27 ans, mère de deux enfants, sans emploi, comparaissait vendredi pour cinq infractions commises entre le 1er  et le 18 juin 2020 : mauvais traitements sur animaux, détention de chien d’attaque sans permis ni assurance, cession de chiens et de chats sans registre de vente ni registre de suivi sanitaire.

Alertée par des rumeurs, la fondation Brigitte-Bardot s’était rendue sur place en juin 2020 et avait découvert une scène « ahurissante » : « Une maison insalubre avec une forte odeur d’urine, des litières sales, une gamelle d’eau avec des mouches mortes, des excréments au sol, une assiette avec des raviolis en boîte, des animaux avec des plaies sur la queue, la bouche, une patte cassée, certains ayant besoin de soins d’urgence, l’ensemble ayant des puces, tiques, vers », lit le président du tribunal.

Annonces sur LeBonCoin

La jeune femme, qui se présentait comme présidente d’une association (mal) nommée « L’amour des animaux », non déclarée, récupérait des chatons donnés sur LeBonCoin et les vendait ensuite à des adoptants. 40 euros par chat, en liquide. Les animaux n’étaient ni identifiés, ni vermifugés, ni pucés. « J’ai voulu aider les gens. Ça partait d’une bonne intention », se justifie-t-elle, niant les mauvais traitements. « Il y a des choses que je n’ai pas faites dans les règles mais j’aurais aimé avoir de l’aide », regrette-t-elle, accusant la fondation Bardot de l’avoir « cassée » et de lui avoir menti lors de son contrôle. « Deux femmes se sont fait passer pour deux sœurs pour acheter des chats. Arrivées sur place, elles ont sorti une petite carte », relate-t-elle.

« On va toujours vous parler de l’amour des animaux »

Ce que dément Me Claude, avocat de l’association, évoquant une seconde visite durant laquelle la même situation a été constatée. « On va toujours vous parler de l’amour des animaux, mais on met une seule gamelle d’eau infestée de mouches et des raviolis », s’étonne-t-il. Et d’émettre des inquiétudes au sujet de l’enfant, découvert sur place « pieds nus au milieu de l’urine de chat », dont la chambre était « sale et insalubre ». « Je reçois la visite d’une assistante sociale. Tout est propre maintenant. C’était sale parce que j’avais trop d’animaux. J’ai compris qu’il ne fallait pas faire passer les bêtes avant sa famille. Mon association, c’est fini », jure la prévenue, décidée à trouver du travail et n’accueillir plus que ses propres animaux.

Le ministère public a requis 100 € d’amende pour chaque infraction et l’interdiction de détenir un animal pendant un an. La fondation Bardot a demandé 1 000 euros de dommages et intérêts. La décision, mise en délibéré, sera rendue le 1er  octobre.

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Un sanctuaire dans le Cantal, pour les animaux réchappés de maltraitance

Publié le par Ricard Bruno

La prairie des animaux est un sanctuaire animalier qui permet de recueillir des animaux maltraités.

La prairie des animaux est un sanctuaire animalier qui permet de recueillir des animaux maltraités.

Un sanctuaire animalier dans le Cantal, c’était l’idée de Cathy Pommier. Passionnée de camélidés, elle a décidé d’accueillir tout animal, abandonné ou maltraité, au sein d’une ferme avec deux hectares de terrain. L’association permet d’intervenir quand il y a un signalement, partout dans le département. Elle recherche un terrain plus vaste, pour accueillir plus de pensionnaires.

C’est là, derrière. À deux pas du château de Naucaze. Près de ces ruines du X II e siècle, ces animaux ont trouvé leur sanctuaire. Enfin, ils sont tombés entre de bonnes mains. Celles de Cathy Pommier, présidente du Sanctuaire animalier La prairie des animaux. Cette infirmière à temps plein au centre hospitalier d’Aurillac travaille de nui t pour s’occuper d’eux le jour,à Maurs.

L'association leur offre une deuxième chance

« C’est la seule solution que j’aie trouvée. Je ne peux pas m’arrêter de travailler, car sans salaire, je ne pourrais plus m’en occuper non plus. » Son dévouement se lit sur son visage. La reconnaissance qui en découle aussi, sur ceux de ses protégés. Ces écorchés de la vie, qui savourent ici, leur deuxième chance. Comme cette chamelle, sauvée d’un parc animalier où elle subissait des mauvaises conditions de détention.Ou comme Aglaé et Sidonie, deux cochons vietnamiens, rescapés d’un élevage. « Sur Leboncoin, la vendeuse proposait ces cochons à 80€ l’un. L’échange se faisait sur un parking. Nous avons trouvé cela étrange, et nous nous sommes rendus sur place. Il n’y avait rien, aucune pancarte. » Pas d’indication, mais un voisin qui émettait des doutes sur la nature des activités qui se déroulaient là.

À l’arrivée, c’est pire que ce qu’elle imaginait.

"Ils étaient “élevés” dans le noir, dans une cave. La vendeuse les faisait se reproduire là. Ils n’avaient pour espace qu’un parterre d’un mètre par un mètre, et pour litière leurs déjections et d'autres cochons morts. L’enfer."

Une affaire de maltraitance traduite en justice

Les rescapés ont été placés en famille d’accueil, et Cathy Pommier a gardé Aglaé et Sidonie. « Comme elles n’avaient vécu que dans l’obscurité, elles ont mis du temps à se réadapter à la lumière. Elles avaient des gouttes pour les yeux, tous les jours. » Aujourd’hui, Aglaé et Sidonie se refont une santé sur ce terrain où elles vivent aux côtés d’autres rescapés, comme des poneys miniatures nains (75 cm au garrot), des chèvres, des oies… Cathy Pommier les laisse tout faire. « Elles ont besoin de se baigner, donc elles se sont creusé des piscines. C’est moche, et peu importe. C’est leur liberté de le faire, elles l’ont fait là, c’est parfait pour moi. »

L’affaire de maltraitance a été traduite en justice. Le sanctuaire animalier s’est porté partie civile, avec d’autres associations de défense animale. La vendeuse a été condamnée.

« Nous faisons des sauvetages d’animaux maltraités ou abandonnés. Dès qu’il y a un signalement, nous procédons à une vérification rigoureuse des faits qui nous sont rapportés. Puis, nous précisions notre champ d’action, dans le cadre légal. Pour intervenir chez quelqu’un, nous devons être en présence de la gendarmerie ou du maire de la commune. »

DANIÈLE SERMADIRAS (Secrétaire de l'association)


Pour ce faire, elle s’appuie sur l’aide d’associations d’envergure, comme L214 ou la Fondation Brigitte Bardot. Créatrice de Lamalpapoche, le gîte-ferme du lieu-dit « La Viguerie », Cathy Pommier est passionnée de camélidés. Lamas et alpagas trouvent ici leur compte, avec, à leurs pieds, l’arche de Noé. Pour subvenir aux besoins de l’association, elle organise des balades aux alentours avec les chameaux, sur réservation et le gîte permet lui aussi de faire connaître le site.  

Signalement. Le Sanctuaire animalier La prairie des animaux au 06.84.50.29.10. Même numéro pour la réservation des balades et des visites, qui ont lieu deux fois par semaine.https://www.lamontagne.fr/aurillac-15000/loisirs/un-sanctuaire-dans-le-cantal-pour-les-animaux-rechappes-de-maltraitance_14005688/

Source de l'article : Cliquez ICI

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Dives-sur-Mer. Une journée de sensibilisation à la cause animale

Publié le par Ricard Bruno

Dives-sur-Mer. Une journée de sensibilisation à la cause animale

Cette année, l’association SOS Chats et Chiens fête son 10e anniversaire. Dimanche, elle organisera, sous la halle, son rendez-vous annuel consacré à la protection animale et aux artistes.

 

« Nous nous sommes battus pour pouvoir proposer cette édition, prévue en avril, afin de ne pas l’annuler deux ans de suite pour raison sanitaire, explique Jean-Claude Choubrac, le président de l’association. Nous serons installés sous les halles historiques mais aussi sur le parvis. Les stands y seront répartis, avec un espace central extérieur pour des démonstrations (éducation, secourisme). »

De nombreuses associations tiendront un stand dont la fondation Brigitte Bardot, L214 et la SPA de Cabourg. Cette année, « nous avons l’honneur de recevoir Sea Shepherd », indique Jean-Claude Choubrac.

 

Le visiteur pourra également rencontrer des professionnels du bien-être animal (ostéopathe, maréchal-ferrant, toiletteur, spécialiste de l’alimentation, hydrothérapeute, éducateur canin). Autre volet de la manifestation, de nombreux artistes exposeront leurs œuvres consacrées aux animaux.

Dimanche 29 août, de 10 h à 18 h, halles et centre-ville. Entrée gratuite

 

Source de l'article : Cliquez ICI

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Yvelines. Les derniers renards de La Celle-Saint-Cloud graciés par la justice

Publié le par Ricard Bruno

La justice a décidé de suspendre l’arrêté du préfet des Yvelines qui prévoyait l’abattage d’une famille de renards à La Celle-Saint-Cloud.

Le tribunal administratif de Versailles (Yvelines) a suspendu l’arrêté qui prévoyait l’abattage de renards, à La Celle-Saint-Cloud.

Le tribunal administratif de Versailles (Yvelines) a suspendu l’arrêté qui prévoyait l’abattage de renards, à La Celle-Saint-Cloud.

Le tribunal administratif de Versailles vient de suspendre l’arrêté du préfet des Yvelines qui demandait l’abattage d’une famille de renards à La Celle-Saint-Cloud. Ce jeudi 26 août, la justice a ordonné que la campagne de capture soit immédiatement stoppée, donnant ainsi raison à l’association pour la protection des animaux sauvages. L’Aspas était à l’origine de la procédure.

 

Ces derniers mois, ce sujet a fait couler beaucoup d’encre.

Courant mai, une habitante avait découvert qu’une famille de renards avait élu domicile dans sa propriété. Les semaines suivantes, des habitants du quartier s’étaient plaints de la mort de chats ou de poules. L’abattage avait été annoncé puis validé par arrêté du préfet des Yvelines, le 9 août dernier. Sept goupils devaient être capturés puis tués, notamment pour des raisons sanitaires ; risque de gale sarcoptique ou encore échinococcose alvéolaire.

Tout cela avait entraîné de nombreuses protestations dans les rangs des défenseurs de la cause animale. Une pétition, toujours en ligne, avait été lancée. À ce jour, elle flirte avec les 38 000 signataires.

« Irréversible »

Entre-temps, le Conseil d’État avait annulé le classement du renard dans la liste des espèces susceptibles d’occasionner des dégâts dans le département des Yvelines. Et puis, Brigitte Bardot était sorti du bois, le mercredi 18 août, indignée que dans l’Oise, un arrêté ait été publié prévoyant l’abattage de 3 000 renards d’ici le mois de mars 2022.

C’est dans ce contexte que l’Aspas, dont le siège social est situé à Strasbourg (dép. 67 – Bas-Rhin), s’est présentée au tribunal administratif de Versailles.

Face au juge des référés, l’association a fait valoir l’urgence de la situation. Urgence logique puisque tout nouvel acte serait irréversible.

« Le risque sanitaire n’est pas établi »

Dans sa plaidoirie, le porte-parole de l’association a soutenu qu’il n’était pas démontré « que la présence du renard entraînerait une pression excessive sur la petite faune sauvage […] Le risque sanitaire invoqué n’est pas établi. La gale sarcoptique est peur répandue et ne représente aucune gravité pour l’homme. L’échinococcose alvéolaire est très rare, surtout présente dans l’Est de la France et le Massif central et ne se transmet pas par contact direct avec le renard mais par l’intermédiaire des végétaux contaminés par leurs excréments. »

« Pas de dommage important »

Dans sa décision, le tribunal a estimé que « la disparition de deux chats domestiques ainsi que de poules, en nombre indéterminé, ne caractérisait pas un dommage important. »

Du point de vue sanitaire, le juge a conclu que les deux maladies visées étaient très peu fréquentes dans les Yvelines. Et que la destruction des renards « ne constituait pas un moyen efficace pour éviter leur propagation. »

Sur son site, L’Aspas a immédiatement crié victoire. « Elle celle de tout un collectif de citoyens, d’associations, de personnalités qui se sont massivement mobilisés ces dernières semaines pour sauver ces renards. »

Contactée, la préfecture des Yvelines nous a indiqué qu’elle n’interjetterait pas appel de cette décision.

Selon l’association, il resterait trois renards en vie sur les sept qui avaient élu domicile à La Celle-Saint-Cloud.

Source de l'article : Cliquez ICI

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