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le web en parle

Béarn : une femme condamnée pour l’abandon de son chien...

Publié le par Ricard Bruno

Youki avait été retrouvé attaché au bord du gave d’Oloron, les pattes dans l’eau.

Youki avait été retrouvé attaché au bord du gave d’Oloron, les pattes dans l’eau.

Incapable de s’en occuper, la jeune femme avait attaché son chien à un arbre, au bord du gave, à Oloron.

Chloé n’a plus de nouvelle de son chien. "Mais je sais qu’il est mieux là où il est". Heureuse lucidité pour cette jeune femme de 19 ans qui, en larmes, a pris conscience du calvaire qu’elle a fait vivre à Youki, berger malinois, pendant cinq mois. Mardi, devant le tribunal correctionnel, la prévenue était poursuivie pour actes de cruauté et abandon volontaire d’un animal domestique.

Le 10 septembre, dépassée par la situation, elle avait attaché Youki à un arbre, au bord du gave d’Oloron, les pattes dans l’eau, "pour qu’il puisse boire". C’est une riveraine, qui, alertée toute la nuit par les gémissements du chien, était venue lui porter secours et avait sollicité les gendarmes.

 
Sans eau ni nourriture

Avant de s’appeler Youki, le berger malinois portait le nom de Malone. Son éleveur, Mohamed Tanji, installé à Lavardac (47), l’avait vendu tout petit à un habitant d’Oloron, qui l’avait lui-même cédé à Chloé pour le prix de 500 euros en avril 2017. Souffrant de dépression et sans ressource, la jeune femme n’avait plus pu subvenir aux besoins de son animal.

Enfermé dans une chambre de l’appartement de la mère de la prévenue, Youki vivait dans ses déjections et souffrait de dénutrition. Poussée par l’exaspération de sa mère, Chloé avait fini par s’en débarrasser. "Je n’ai trouvé personne à qui le confier", se justifie-t-elle, tout en reconnaissant n’avoir entrepris aucune démarche auprès d’associations de défense des animaux. "Je savais que quelqu’un le trouverait".

Rien n’est moins sûr pour l’avocat de l’Association de défense animale pyrénéenne (Adap 64), Me Thierry Sagardoytho. "Abandonné sans eau ni nourriture, dans un chemin de ronces que l’on ne voit pas depuis la route, personne ne pouvait venir au secours de cet animal, dénonce-t-il. Elle le condamnait à mort".

70 heures de TIG

Même plaidoirie pour Me Béatrice Spiteri, au nom de la Fondation Brigitte-Bardot. "Youki avait six mois quand il a été adopté. Onze quand il a été abandonné. Ce n’était plus une peluche, mais un chien rustique qui a besoin de manger entre 400 et 500 grammes de croquettes par jour." Chloé pleure à chaudes larmes quand son avocate, Me Anna Raina, décrit une enfance compliquée, une immaturité, un besoin de donner de l’amour. "Elle regrette ce qu’elle a fait, elle a honte. C’était un acte de désespoir."

Le Ministère public a requis un mois de prison avec sursis avec obligation d’exécuter 70 heures de travail d’intérêt général (TIG) dans un délai de 18 mois. Le tribunal a suivi les réquisitions du parquet et lui interdit de détenir un chien pendant cinq ans. Elle devra également s’amender de 300 euros à reverser respectivement à l’Adap 64 et à la Fondation Brigitte-Bardot.

De son côté, Youki, redevenu Malone, a retrouvé une famille, après un retour chez son éleveur. "Il va très bien. Il a été adopté par un couple. Il a son canapé pour lui. Il est très heureux", raconte, soulagée, Sandrine Tanji.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Brigitte Bardot....Magnifique....

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot....Magnifique....
Brigitte Bardot....Magnifique....Brigitte Bardot....Magnifique....
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Il brûle son chien et reconnaît une «erreur»...

Publié le par Ricard Bruno

Le cadavre de son berger malinois a été trouvé dans un champ. Une amende de 1 000 € a été requise.

Le cadavre calciné de Larko a été découvert dans un champ à Lehaucourt. -

Le cadavre calciné de Larko a été découvert dans un champ à Lehaucourt. -

Il a quitté Saint-Quentin, a changé de travail pour se retrouver en région parisienne. Ce sont les menaces de mort proférées sur les réseaux sociaux qui l’ont conduit à changer d’air. Les défenseurs des animaux ne sont pas tendres avec cet homme de 25 ans. Au tribunal correctionnel de Saint-Quentin, mardi 30 janvier, il a concédé «  une erreur  ». Les quatre associations parties civiles (30 millions d’amis, la fondation Brigitte Bardot…) ne l’ont pas vu de cette façon-là.

Le 12 octobre, un agriculteur de Lehaucourt découvre dans son champ le cadavre d’un chien calciné. L’image le choque. L’enquête des gendarmes permet de remonter facilement jusqu’au propriétaire. La puce électronique de Larko, le berger malinois, n’a pas fondu avec la chaleur. Le propriétaire n’est pas poursuivi pour des actes de cruauté car une question demeure : comment ce chien est-il mort ? Personne ne le sait à l’issue de ce procès.

Ce qui ne pose aucun doute, ce sont les conditions de vie. Le Saint-Quentinois détenait trois chiens et une chienne. Ils vivaient tous attachés à une chaîne d’un mètre à peine, sur un sol en terre battue boueux, sans que leurs excréments ne soient nettoyés. Des conditions d’hygiène déplorables pour l’agent de la direction départementale de protection des populations, venu constater de visu le lieu d’hébergement des chiens.

Les eaux souillées d’excréments se répandent dans la cave

Tout serait parti d’un dégât des eaux, début octobre. Un tuyau d’évacuation des eaux usées se serait cassé. De l’eau souillée d’excréments s’est déversée dans la cave. Un chiot est tombé malade. Il a été euthanasié par un vétérinaire. Larko, selon son propriétaire, a été retrouvé mort deux jours plus tard. Mais au regard de la facture à payer pour le chiot – 200 € qu’il a réglés en deux fois – il ne pouvait se permettre la même chose pour Larko.

«  Je sais que ce n’était pas des conditions optimales  », souligne le propriétaire, qui voulait devenir maître-chien. Il a confié deux autres de ses bergers malinois à des connaissances. Il assure aussi ne pas en avoir fait commerce, même s’il a cherché à vendre Larko pour 250 €. La fondation 30 millions d’amis rappelle que les chiens portaient «  des colliers étrangleurs en permanence  ». L’association Stéphane Lamart va encore plus loin en supposant que la barre de fer retrouvée près du cadavre calciné du chien aurait été utilisée «  pour administrer un coup  ». Mais personne n’est en mesure d’en apporter la preuve.

La procureure a requis 1 000 € d’amende avec l’obligation de confier ses chiens à des associations de protection animale. Le délibéré est attendu le 27 février.

Source de l'article : Cliquez ICI

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La souffrance animale de retour au tribunal...

Publié le par Ricard Bruno

La dépouille du berger malinois a été retrouvé en octobre, calcinée, dans un champ à Lehaucourt. - (Photos d’archives)

La dépouille du berger malinois a été retrouvé en octobre, calcinée, dans un champ à Lehaucourt. - (Photos d’archives)

les faits

Le 17 octobre 2017, un agriculteur de Lehaucourt découvre dans son champ le cadavre d’un chien. La dépouille est calcinée, ses quatre membres attachés.

Les gendarmes ouvrent une enquête pour retrouver le propriétaire. Il sera identifié grâce à la puce électronique que porte le berger malinois.

Poursuivi pour jet de sous-produits animaux et placement d’un animal dans un environnement pouvant être cause de souffrance, l’homme de 25 ans encourt des amendes.

La mort du chien Larko ne restera pas impunie. Mardi 30 janvier, son propriétaire, un homme de 25 ans, est jugé par le tribunal correctionnel de Saint-Quentin. La procureure de la République n’a pas retenu contre lui la prévention « d’acte de cruauté », impossible à déterminer. Néanmoins, le parquet a décidé de le poursuivre pour deux motifs : jets de sous-produits animaux (le cadavre laissé dans un champ) ainsi que le placement ou le maintien d’un animal dans un habitat ou environnement pouvant être cause de souffrance. En résumé : les conditions de vie du berger malinois ne lui étaient pas du tout adaptées.

« Mobilisons nous devant le TGI pacifiquement pour montrer que nous n’avons pas oublié Larko et que nous souhaitons une sanction exemplaire »

La mort de Larko a mobilisé sur les réseaux sociaux. Comme à chaque scandale touchant le monde animal, les défenseurs des animaux se lèvent comme un seul homme. La pétition lancée en octobre grimpe de jour en jour. Elle a recueilli plus de 50 000 signatures. Mais pour aller au-delà d’une simple pétition, un appel à la mobilisation est lui aussi d’actualité. «  Mobilisons nous devant le TGI pacifiquement pour montrer que nous n’avons pas oublié Larko et que nous souhaitons une sanction exemplaire vis-à-vis de cet homme qui n’a fait que mentir depuis le début de l’affaire. N’hésitez pas à venir avec des pancartes ou avec une photo de Larko  », écrit l’auteur de la pétition.

C’est assez rare pour le souligner mais quatre associations se sont constitué partie civile. Elles seront représentées lors du procès. On y retrouve la fondation 30 millions d’amis, l’association Stéphane Lamart, la société protectrice des animaux (SPA) et la fondation Brigitte Bardot. Ce que souhaitent ces quatre associations, c’est la saisie des autres chiens et que le propriétaire ne puisse plus détenir aucun autre animal.

L’homme de 25 ans encourt des amendes. Larko, dont les causes de sa mort n’ont pu être déterminées, a été retrouvé par un agriculteur. Son propriétaire a été identifié quelques jours plus tard grâce à la puce électronique que portait l’animal. Les gendarmes ont retrouvé le cadavre calciné avec les quatre membres attachés.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Les dauphins continueront à se reproduire dans les parcs aquatiques, déception des associations

Publié le par Ricard Bruno

Le conseil d'Etat a annulé ce lundi l'arrêté interdisant la reproduction des dauphins et des orques en captivité. Une déception pour les associations de protection des animaux mais une bonne nouvelle pour les delphinariums comme Marineland.

La reproduction des dauphins en captivité ne sera finalement pas interdite.

La reproduction des dauphins en captivité ne sera finalement pas interdite.

Déception pour les associations de protection des animaux. Alors que le Conseil d'Etat s'était prononcé cet été en faveur d'un arrêté interdisant la reproduction des dauphins et orques dans les delphinariums, la plus haute juridiction administrative vient de faire machine arrière. Elle vient d'annoncer l'annulation de cet arrêté ministériel.

Signé par l'ex-ministre de l'Environnement en mai dernier, ce texte n'aurait donc pas respecté les exigences procédurales et aurait "été pris au terme d'une procédure irrégulière" selon le Conseil d'Etat. Il prévoyait initialement un "contrôle étroit de la reproduction des dauphins" mais avait été modifié au dernier moment en faveur d'une interdiction totale. Pour l'organisme, une nouvelle consultation publique aurait été "nécessaire".  Et ce, "compte tenu de l'importance et de l'ampleur des changements apportés au projet" et "eu égard à l'importance de la présence de grands dauphins pour la fréquentation des parcs".

Rapidement, les associations de protection des animaux se sont insurgées sur les réseaux sociaux, à commencer par la fondation Brigitte Bardot qui a estimé qu'avec "cette nouvelle reculade" la France était "plus que jamais la lanterne rouge de la protection animale en Europe". De leurs côtés, One Voice et 30 millions d'amis ont interpellé Nicolas Hulot afin qu'il propose rapidement un nouvel arrêté. Quant à L214, elle a déploré ce "retournement de situation".

Mais pour Pascal Picot, le directeur général de Marineland qui avait demandé au Conseil l'annulation de cet arrêté, il s'agit d'une "excellente nouvelle". "Il est important que les modifications significatives de la réglementation qui s’applique aux animaux que nous hébergeons soient basées sur des faits scientifiques et soient adoptées conformément aux exigences légales", a-t-il expliqué par le biais d'un communiqué.

A noter que certains pays tels que le Royaume-Uni et la Norvège, ont interdit les parcs à dauphins sur leur territoire.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Le Conseil d'État vient d'annuler l'arrêté Royal interdisant la reproduction des cétacés captifs

Publié le par Ricard Bruno

Le Conseil d'État vient d'annuler l'arrêté Royal interdisant la reproduction des cétacés captifs

Le Conseil d'État vient d'annuler l'arrêté Royal interdisant la reproduction des cétacés captifs en France au motif de "défaut de consultation".

Le combat continu !

Bruno Ricard 

 

 

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" Brigitte Bardot "Larmes de combat"...

Publié le par Ricard Bruno

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Brigitte Bardot "Larmes de combat" n°1 des ventes !

Publié le par Ricard Bruno

Capture d'écran le 28 01 2018 à 14h43

Capture d'écran le 28 01 2018 à 14h43

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Les animaux ont ils des droits ? par Catherine Helayel...

Publié le par Ricard Bruno

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