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le web en parle

Expérimentation animale : les chiens cobayes, face cachée du Téléthon

Publié le par Ricard Bruno

Le compteur final du téléthon 2010, le 4 décembre 2010 - DURAND FLORENCE/SIPA

Le Téléthon a déjà fait l’objet de polémiques quant à l’utilisation médiatique des enfants malades ou encore la gestion des fonds récoltés, mais rarement concernant la recherche que l’AFM Téléthon finançait. Une partie de cette recherche utilise en effet, comme de nombreuses unités de recherche, des animaux de laboratoire, pratiquant ce qu’il est communément appelé l’expérimentation animale.

Le Téléthon 2013

La 27e édition du Téléthon aura lieu les 6 et 7 décembre 2013 aux Studios 107 à La Plaine-Saint-Denis avec Patrick Bruel comme parrain. Les dons atteignent près de 100 millions d'euros chaque année. Au total, 2 milliards d'euros ont été collectés.

Les mouvements de protection animale, dont des associations spécifiquement anti-vivisection comme le CCE2A ou International Campaigns, connaissent une ampleur certaine depuis 2009-2010 qui n’a pas échappé aux organisateurs du Téléthon.

Accusé par ces associations de « financer la vivisection », le Téléthon a choisi de reconnaître officiellement que la recherche qu’il finançait était parfois amenée à utiliser des animaux, tout en soulignant le strict respect de la législation en vigueur.

Mais cette concession médiatique, grâce à laquelle l’AFM a pu démentir toute expérimentation occulte, ne s’est pas traduite par une véritable information transparente. En réalité, il est quasiment impossible d’en savoir plus sur ces animaux utilisés par la recherche que finance le Téléthon : quelles espèces ? En quelle quantité ? Pour quels protocoles ? A la conférence de presse de la dernière édition du Téléthon, un malaise non dissimulé face à ces questions m’avait déjà interpelée.

Les chiens myopathes, ces invisibles

Après plus de deux mois d’intenses échanges, j’ai enfin pu approcher les fameux chiens myopathes qui servent à la recherche sur la myopathie de Duchenne. Les associations de protection animale connaissent leur existence, mais possèdent très peu d’informations sur le traitement qui leur est réservé.

Sur le site du laboratoire qui les utilise, seules quelques photos des membres du laboratoire avec un chien dans les bras sont présentes [nous n’avons pas souhaité nommer le labo pour ne pas exposer son personnel à d’éventuelles attaques personnelles, hélas courantes, ndlr].

Le choix de cette absence de communication est simple : « Vous comprenez, on ne peut pas montrer ça aux gens », m’explique un animalier, alors que je rentre pour la première fois dans le chenil des chiens myopathes, situé dans l’un des bâtiments de l’école vétérinaire de Maisons-Alfort.

Des chiens cobayes dans le chenil - DR

Montrer comment s’effectue la recherche irait à l’encontre même des objectifs du Téléthon et surtout de sa méthode : l’impact émotionnel. Les chiens ne peuvent plus s’alimenter, et vivent donc avec une sonde pour être nourris, ils ont des difficultés respiratoires et motrices très lourdes. Certains chiots ressemblent déjà à des robots et ne font quelques pas qu’au prix d’un essoufflement accablant. Cette réalité occultée par l’AFM Téléthon, dont les affiches sont présentes dans les couloirs du chenil, est très dure à supporter.

« J’aimerais pas être à leur place »

Les associations de protection animale n’ont donc pas tort : une partie des dons sert effectivement à financer l’expérimentation animale. A la question « les animaux souffrent-ils ? », l’un des praticiens m’avoue sans détour, sur le ton de l’humour :

« Je peux vous dire que j’aimerais pas être à leur place ! »

Certains chiens du chenil ne subissent aucune expérience particulière et servent simplement de témoins : on constate sur eux l’évolution et le déploiement de la maladie.

Ces chiens font partie du « protocole histoire naturelle ». Pourquoi continuer d’observer des témoins malades ? Parce qu’il y a « autant de types de myopathies que d’individus », et que la connaissance de la maladie requiert une observation constante d’individus malades différents.

Cette souffrance créée et non soulagée fait partie des aspects dénoncés par les associations de protection animale, qui soulignent l’inutilité de ces protocoles pour une maladie dont l’évolution sans traitement est bien connue.

Un élevage de chiens destinés aux labos

Dans le chenil des chiens myopathes de l’école vétérinaire de Maisons-Alfort, on ne soigne pas, on reçoit des animaux génétiquement modifiés pour naître myopathes sur lesquels on teste différents protocoles. D’où viennent-ils ? D’un élevage qui fait beaucoup parler de lui depuis 2010 : le CEDS, le Centre d’élevage du domaine des Souches, situé à Mézilles, un petit village de l’Yonne.

Depuis 2010, chaque année, une manifestation regroupant associations et militants dénonce cet élevage de chiens destinés aux laboratoires, et accusé de maltraitance dans ses locaux, entre autres à la suite d’un témoignage, devant la justice, d’un ex-employé aujourd’hui décédé.

En 2010, les manifestants étaient 400, en 2012 ils étaient plus d’un millier, faisant surgir dans les médias l’existence de cet élevage familial jusqu’alors peu connu. Un site internet dédié à la fermeture de cet élevage a même été créé. Monique et Michel Carré, propriétaires de cet élevage, ont radicalement refusé de répondre à mes questions.

La responsable de l’expérimentation animale de la DDCSPP (Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations) de l’Yonne a, elle, sèchement coupé court à toute communication.

« C’est pour la bonne cause »

Le leitmotiv des chercheurs que j’ai pu rencontrer est l’incompréhension du grand public pour leur travail. « On craint surtout les intégristes : ils détournent les images et les propos », m’assure un animalier.

Le durcissement de la législation européenne portant sur l’expérimentation animale et le renforcement de la médiatisation de ses pratiques douloureuses ont provoqué un repli draconien des chercheurs. Les laboratoires utilisant des animaux sont devenus impénétrables pour qui n’y travaille pas : « Moins on en parle, mieux c’est », me confirme un animalier.

Pour éviter certaines attaques militantes, le laboratoire Sanofi ne détient plus de primates. Il sous-traite ces expériences à des instituts de recherche publics, m’indique un chercheur du centre de recherche de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière, situé à La Pitié-Salpêtrière.

Un jeune animalier m’explique que sa famille ou ses proches n’ont jamais apprécié son métier. Il se désole :

« Le problème, c’est que les gens sont bien contents après que la recherche fasse des progrès, et nous on a juste le mauvais le rôle ! Maintenant, je ne précise plus que je travaille dans un laboratoire : quand on me demande ce que je fais, je dis juste que je suis animalier. »

Position d’autant plus difficile pour ces animaliers qui avouent à la base avoir choisi ce métier par amour des animaux…

« Evidemment, ce n’est jamais facile de les voir souffrir, ou même de les euthanasier, mais on se dit que d’autres arrivent ensuite. Et puis c’est pour la bonne cause. »

Se passer de la recherche sur les animaux ?

L’expérimentation animale est parfois remise en question pour des raisons scientifiques (la transposition du modèle animal au modèle humain s’avère plus que problématique, voire parfois dangereuse pour la santé humaine), mais ce n’est pas le cas ici de la myopathie de Duchenne, « présente naturellement sur les labradors dans une forme très proche de celle qui affecte l’homme », m’explique-t-on.

Faux dilemme

Dans la plupart des cas, l'idée qu'il faudrait choisir « entre des animaux et des humains » est un faux dilemme. Une immense partie des expériences faites sur les animaux ne concerne pas la recherche sur des maladies, mais la toxicologie, les cosmétiques, les solvants, les colorants, et les armes chimiques et bactériologiques. La recherche sur les médicaments concerne souvent de nouveaux produits, dont la création n’est faite qu’à des fins commerciales.

Les associations de protection animale dénoncent les abus de protocoles utilisant des animaux qui pourraient faire usage des méthodes alternatives sans animaux.

Pourquoi ne pas changer de méthodes lorsque cela est possible ? Selon les chercheurs sur la myopathie :

« Rien ne remplacera jamais la complexité d’un organisme vivant. »

Pourtant, d’autres scientifiques m’ont confié une raison moins avouable, comme l’explique un neurobiologiste :

« On préfère continuer de faire comme on sait faire, avec des modèles vivants, comme on a toujours fait. C’est la vieille méthode qui marche, disons. C’est triste, mais la peur du changement est réelle. »

La reconnaissance de ces animaux invisibles

La collusion entre tous les acteurs de l’expérimentation animale est aussi pointée du doigt par les associations de protection animale. Avant d’obtenir le droit d’expérimenter sur des animaux, les équipes de chercheurs doivent soumettre à des comités d’éthique leur protocole : ce dernier est chargé d’appliquer le principe des « 3R » (réduire, raffiner, remplacer), qui a été mis en place pour éviter l’utilisation d’animaux quand celle-ci peut être évitée. Mais les membres de ces comités sont des chercheurs et, surtout, les protocoles sont pratiquement systématiquement validés. On m’a même attesté que les protocoles commençaient souvent parfois avant d’avoir l’aval des comités, « pour des raisons de délais trop longs ».

Dernier point noir : celui de la reconnaissance des ces animaux invisibles. Les chiens myopathes en sont le meilleur exemple. Confinés dans des animaleries qui ressemblent à des bunkers, ils vivront sans voir la lumière du jour, dans des cages souvent situées en sous-sol, subissant des expériences quotidiennes avant d’être euthanasiés. Les malades, premiers concernés par la recherche, ont eux-mêmes rarement connaissance de ces animaux, qui font pourtant partie des premiers acteurs de la recherche.

Il ne s’agit pas de devoir choisir entre des vies humaines et des vies animales mais déjà de montrer au grand public ce que l’on fait, dans quelles conditions et quel est le prix à payer pour la recherche.

L’association de réflexion sur la maladie de Huntington, Ding Ding Dong, a en ce sens entrepris un projet pour que les malades puissent rendre hommage en quelque sorte aux animaux « sacrifiés » (c’est le terme scientifique) pour la recherche. Une piste pour Le Téléthon ?

Source de l'article : Cliquez ICI :

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21 Amis De Somme Insolites Qui Feront Fondre Votre Cœur

Publié le par Ricard Bruno

Habituellement, on trouve deux chiens ou deux chats qui dorment ensemble pattes dessus pattes dessous. Ou un être humain avec son ami à quatre pattes. Mais parfois, l’impensable se produit, et tout est vrai!

 

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Merci au monde entier...

Publié le par Ricard Bruno

Merci au monde entier...

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Un chien de chasse blesse accidentellement son maître

Publié le par Ricard Bruno

Le chasseur avait posé son fusil sur le tronc d'un arbre le temps de ramasser une bécasse. Son chien, tout à sa joie, bondissait à ses côtés et a alors accroché le fusil. Le coup est parti.

Cet accident de chasse peu commun s'est produit à Mesplède, dans les Pyrénées-Atlantiques. Capture d'écran
 
 
 
Un chasseur a été blessé par un tir de fusil, après que son chien eut accidentellement actionné la détente, lundi matin dans le hameau de Mesplède (Pyrénées-Atlantiques).
«Le chasseur avait posé son fusil contre un arbre pour ramasser une bécasse qu’il venait de tirer», selon Régis Cassaroume, le maire de Mesplède. Le chien a alors accroché l’arme, la faisant tomber, «puis en marchant dessus a actionné la gâchette», a précisé la gendarmerie d’Orthez, confirmant une information de La République des Pyrénées.
Touché à la main et à l'avant-bras

Le chasseur de 61 ans, un retraité originaire d’un village voisin, a été touché la main et à l’avant-bras, et pris en charge par les pompiers, alertés par d’autres chasseurs. Il a été transféré à l’hôpital d’Orthez, où ses jours ne sont pas en danger. Son fils d’une vingtaine d’années, légèrement blessé par des éclats de plomb, a également été conduit à l’hôpital par précaution.

Source de l'article : Cliquez ICI : http://www.leprogres.fr/france-monde/2015/11/23/un-chien-de-chasse-tire-accidentellement-sur-son-maitre

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Ce Que Pense Cet Enfant Sur Le Fait De Manger Des Animaux Va Profondément Vous Émouvoir

Publié le par Ricard Bruno

Luiz Antonio est un enfant brésilien vraiment spécial. Sa maman souhaite lui faire manger du poulpe avec des pommes de terre, mais avec toute l’innocence du monde, il commence à se demander pourquoi l’on devrait manger et tuer des animaux. À la fin de la vidéo la mère ne retient pas ses larmes. Luiz n’a que trois ans, mais il semble avoir les idées très claires!

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Un Chien Errant Sauve La Vie D’Un Bébé Abandonné

Publié le par Ricard Bruno

Selon les auteurs de la photo, qui a été prise dans un pays du Golfe, l’animal aurait amené l’enfant, vraisemblablement abandonné par sa mère, vers la maison la plus proche. Là, il aurait aboyé pour signaler sa présence. Les cris auraient ainsi alerté les occupants des lieux, qui auraient amené le nourrisson vers l’hôpital le plus proche.
Grâce à ce geste plein d’humanité, la vie du nouveau-né, qui avait toujours son cordon ombilical attaché à son corps, a pu être sauvée d’une mort certaine.

Le chien, lui, a disparu dans la nature. Personne ne sait s’il appartenait à quelqu’un ou s’il était lui même abandonné. Son histoire a en tous les cas marqué les esprits au Moyen-Orient.

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Diesel, symptôme de notre faiblesse...

Publié le par Ricard Bruno

Bonjour

Je suis tombé aujourd'hui sur un article du journal "L'union", article rédigé par Sébastien Lacroix..

Je suis tombé de haut en lisant ce "torchon"...je vous laisse juger de vous même de ses écrits, n'hésitez surtout pas à laissez votre commentaire...

Bruno Ricard

Pour réagir en bas de l'article: Cliquez ICI : http://www.lunion.com/598637/article/2015-11-18/diesel-symptome-de-notre-faiblesse?fb_action_ids=748664988599537&fb_action_types=og.comments

 

129 morts, 352 blessés, et une chienne tuée. Elle s’appelait Diesel et avait été dressée pour accompagner le RAID dans ses missions. Elle a été abattue hier matin par les terroristes dans l’appartement où ils étaient retranchés. Aussitôt, les réseaux sociaux se sont enflammés. Twitter, Facebook ont croulé sous les milliers de petits mots de compassion, les like, les petits cœurs, les « RIP ». Il s’est même trouvé des voix pour s’insurger contre l’emploi d’animaux dans des missions dangereuses !

Là, nous avons un problème. Si, dans un pays en guerre, la mort d’un chien plonge la moitié de la population dans le chagrin et la compassion, c’est que quelque chose ne tourne plus rond. C’était bien la peine de brandir des pancartes « même pas peur » à l’adresse des terroristes. Certes, il est bien triste qu’un chien fasse les frais de la folie humaine, son maître en est sûrement affecté, mais, à côté des 129 morts et 352 blessés, le chien pèse peu. Par respect pour ceux qui ont eu un proche tué ou blessé vendredi, la décence aurait voulu que la mort de Diesel reste anecdotique.

Sans vouloir faire de la provocation, ce n’est pas le sujet, il faut s’interroger sur cette propension à vouloir placer l’animal domestique au niveau de l’homme. Ils ont beau être sympathiques, mignons, utiles parfois, les chiens, les chats, les hamsters restent des animaux. Et, par ces temps de risque maximum, l’homme gagnerait à ne pas leur céder sa place. Car la comparaison est terrible : d’un côté, des barbares pour qui la vie humaine n’a quasi aucune valeur, de l’autre des Français chez qui le chien s’assied à la table familiale, a son fauteuil dans le salon et un abonnement à une chaîne câblée pour chiens. À cette aune-là, le choc des civilisations est terrible. La haine des uns, face à l’aboulie d’une société mi-dépressive, mi-va-t-en-guerre. Les uns sont prêts à tout, les autres pleurent un chien tué au combat. N’offrons pas aux premiers le spectacle de notre faiblesse, car c’en est une, cela renforce leur détermination à nous mépriser.

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Chien du Raid tué : une pétition demande des funérailles nationales

Publié le par Ricard Bruno

Une chienne d’assaut du Raid, prénommée Diesel, a perdu la vie ce matin lors d’une confrontation avec l’un des terroristes traqués à Saint-Denis. Le décès de l’animal provoque une vive indignation sur la Toile, de nombreuses personnes estimant qu’il aurait pu être évité.

« Diesel, malinois de 7 ans, a été tuée par les terroristes dans l’opération en cours à Saint-Denis », a indiqué le compte Facebook de la Police nationale ce matin vers 11 heures. La chienne était spécialisée dans la recherche d’explosifs.

Depuis 4h20 ce mercredi matin, des tirs nourris retentissaient dans le centre ville de Saint-Denis, à seulement 800 mètres du Stade de France. L’attaque s’est révélée être une opération des forces spéciales françaises, visant à appréhender le « cerveau » des attentats de vendredi dernier. Dans ce cadre, les policiers d’élite étaient aux prises avec plusieurs individus lourdement armés, retranchés dans un appartement.

Des « débris humains » dans la rue

Vers 7h30 du matin, de violentes explosions ont été entendues en direct sur BFMTV. Puis, un témoin habitant en face du bâtiment ciblé a témoigné à l’antenne, déclarant avoir vu une femme se faire exploser. « L’appartement a été soufflé, il y un matelas et de nombreux débris dans la rue, dont des parties de corps humain », a-t-il raconté, disant observer cela depuis sa fenêtre. Ce que les grands médias qui suivaient l’assaut en direct ont oublié de préciser, est qu’une chienne en service a perdu la vie au même moment.

« L’animal a été tué alors qu’elle pénétrait dans le lieu de l’attaque, envoyée dans l’appartement «pour jauger la menace à l’intérieur». Diesel a été tuée par l’explosion de la charge qu’une femme kamikaze portait sur elle, selon nos informations », précisent nos confrères de 20 Minutes. Immédiatement, la nouvelle a scandalisé de nombreuses personnes. Un hashtag #JeSuisChien a été crée pour lui rendre hommage. Sur la page Facebook de la Police nationale, les critiques sont vives.

« Il est inadmissible d’envoyer à la mort des animaux qui font confiance à l’être humain ! », s’offusque ainsi Peter dans un commentaire. « Ce chien a été sacrifié, a été utilisé comme un outil au service de l’homme. Honte à vous », renchérit Maryse. Une autre internaute, nommée Marie, ajoute : « Aux USA ils le font avec une micro-camera. Plus efficace, moins couteux et sans danger pour les animaux ». Une pétition a même été lancée, demandant des « funérailles nationales » pour les chiens policiers (au même titre que celles qui sont accordées à leurs maîtres morts en service). Elle compte déjà 7000 signatures.

« Ramenez le chien, on s’fait un petit Hot Dog »

A l’inverse, certaines personnes se montrent insensibles à son sort, et se disent même choquées qu’un hommage lui soit rendu. « Un hastag pour le chien, sérieux ? L’appartement a été défoncé, vous ne voulez pas créer un hashtag pour l’appartement aussi ? » ; « C’est triste la mort du chien mais le ht c’est un peu trop » ; « Y’a donc vraiment un #JeSuisChien qui circule. Nan mais sérieusement quoi… » ; « Et les insectes piétinés par les terroristes on en parle ? #JeSuisCafard » ; « Vous connaissez l’histoire de Boum le chien…? » ; « Ptdr jsuis mort les gens ils sont + tristes pr le chien que pr les gens mdr bandes d’imbéciles heureux ! » ; « Bon allez maintenant ramenez le chien, on s’fait un petit Hot Dog » ; etc… font partie de ces messages sarcastiques que nous avons relevés sur Twitter.

Et vous, que vous inspire le décès de Diesel ?

Source de l'article : Cliquez ICI

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En hommage à toutes ces victimes innocentes...

Publié le par Ricard Bruno

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