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action protection animale

La fondation Brigitte Bardot s'insurge via une campagne d'affichage dans la Manche

Publié le par Ricard Bruno

Une vaste campagne d'affichage contre les cirques avec animaux sera visible à Saint-Lô et à Cherbourg dès la fin juillet 2018. - Fondation Brigitte Bardot

Une vaste campagne d'affichage contre les cirques avec animaux sera visible à Saint-Lô et à Cherbourg dès la fin juillet 2018. - Fondation Brigitte Bardot

La fondation Brigitte Bardot annonce une vaste campagne d'affichage nationale contre les cirques avec animaux. Les villes de Cherbourg et Saint-Lô en feront partie.

Afin d'éveiller les consciences, la Fondation Brigitte Bardot lance une vaste campagne d'affichage, partout en France, et notamment dans les rues saint-loises et cherbourgeoises. Accompagnée du message " Offrez-lui la liberté ! N'encouragez plus les cirques avec animaux ", cette opération a pour but de sensibiliser sur la cause animale. À ce jour, 28 pays interdisent totalement la présence d'animaux, sauvages ou non, dans les cirques.

Retrouvez ces affiches à Saint-Lô à partir du 24 juillet 2018, et à Cherbourg à partir du 26 juillet 2018

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Thierry Hély : la corrida est le dernier vestige des jeux du cirque

Publié le par Ricard Bruno

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Une « maison de retraite » pour tigres et lions vient d’ouvrir à Trets...

Publié le par Ricard Bruno

Depuis le 16 juin 2018, le parc animalier de la Sainte-Victoire a ouvert ses portes au public dans la commune de Trets (13). Cinq tigres et lions y ont trouvé refuge après une vie de cirque. Sandrine Le Bris, ancienne dompteuse et fondatrice des lieux, espère d’ici l’année prochaine pouvoir en accueillir sept de plus.

Le parc animalier de la Sainte-Victoire a pris place sur un terrain de 2,5 hectares en périphérie du centre-ville de Trets, à environ 25 minutes d’Aix-en-Provence. Les cinq fauves sont dispatchés en trois groupes qui disposent chacun d’un enclos extérieur de 120 m².

Au total, le parc peut accueillir 12 félins mais ses propriétaires, Sandrine Le Bris et Thomas Patermo, veulent d’abord améliorer les installations avant de les faire venir. « Il nous faut des permis de construire car nous souhaitons monter des bâtiments en dur. Je veux accueillir les nouveaux fauves dans de bonnes conditions », explique Sandrine Le Bris. Ici, pas de spectacles de cirque puisque les animaux sont à la retraite. Ils peuvent être admirés par les visiteurs ou sollicités pour des ateliers pédagogiques qui ont pour but de faire découvrir au public les différentes espèces de félins et leurs caractéristiques.

Le parc compte pour le moment cinq félins et peut accueillir jusqu’à 12 fauves...

Le parc compte pour le moment cinq félins et peut accueillir jusqu’à 12 fauves...

Un refuge qui coûte cher

Depuis qu’elle a monté sa structure, Sandrine Le Bris est fortement sollicitée par des cirques français, mais aussi italiens et espagnols, qui souhaitent lui laisser leurs félins. « Je recueille des animaux qui sont soit trop vieux pour travailler encore dans les cirques, soit que les propriétaires ne font plus travailler. Parfois, c’est aussi parce que le cirque met la clef sous la porte. Mais je ne peux pas non plus être Mère Theresa du cirque », alerte Sandrine Le Bris. Car l’entretien, les soins ou encore les installations du parc coûtent cher. Le budget nourriture rien que pour les cinq fauves actuels s’élève par exemple à presque 1 000€ par mois.

C’est pourquoi la nécessité d’ouvrir le parc au public s’est imposée, afin de faire entrer des recettes financières et d’alléger les frais. Pour les prochains pensionnaires, leurs propriétaires seront également mis à contribution pour payer la nourriture et les soins vétérinaires des félins. « Un ami va me laisser ses lions, un autre ses tigres blancs. J’espère pouvoir les accueillir dès l’année prochaine », confie Sandrine Le Bris.

Les fauves ne sont pas les seuls locataires du parc animalier. À leurs côtés, on trouve aussi des chèvres, des poules, des cochons, des oiseaux… Dont certains sont en liberté. Des animaux non pas achetés par le parc, mais là encore récupérés.

Le parc animalier compte aussi d’autres animaux en plus des fauves...

Le parc animalier compte aussi d’autres animaux en plus des fauves...

Une « maison de retraite » pour tigres et lions vient d’ouvrir à Trets...
Un lieu qui rouvre le débat sur la place des animaux dans les cirques

Sandrine Le Bris le reconnaît : la situation des animaux de cirque à la retraite est préoccupante car il est difficile de leur trouver un nouvel endroit où vivre. La faute au manque de place : des lieux de retraite comme le parc animalier de la Sainte-Victoire ne sont pas nombreux et les zoos ne peuvent pas toujours récupérer les animaux. « C’est en plus très compliqué de mélanger les tigres entre eux à cause des incompatibilités d’humeur », souligne Sandrine Le Bris. « Le tigre est d’ailleurs originellement un animal solitaire. En le mettant en groupe, on crée une situation qu’il ne veut pas », ajoute Franck Schrafstetter, président de l’association Code animal, spécialisée dans la relation entre l’homme et l’animal, plus particulièrement au travers de la captivité.

L’association, aux côtés de 21 autres organisation comme 30 millions d’amis, la fondation Brigitte Bardot ou encore l’association C’est assez !, a rendu en juin 2018 à Nicolas Hulot, ministre de la ministre de la Transition écologique et solidaire, une proposition pour progressivement en venir à la suppression des fauves dans les cirques. « Selon nous, cela doit passer par une identification et une stérilisation des animaux. Il faut laisser les derniers tigres et lions sur les pistes car il n’y a de toute façon pas assez de place pour les accueillir en quartier d’hiver. Et malgré nos convictions, nous pensons aussi aux métiers du cirque, qui ont hérité de cette tradition, et qui ne peuvent pas du jour au lendemain l’arrêter. Il faut leur donner la possibilité d’évoluer progressivement », explique Franck Schrafstetter.

Quant au lieu de retraite pour les félins, le défenseur des animaux voit l’initiative comme plutôt « intéressante ». Toutefois, selon l’association, des conditions doivent être respectées pour assurer le bien-être des animaux : « Il ne faut pas qu’il y ait de spectacle, pas de dressage, que l’animal ait un lieu de repli, à savoir un endroit où il peut se cacher du public si l’envie lui en prend… ». Sandrine Le Bris espère que d’autres lieux comme le sien ouvriront dans le futur.

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Caen: Le tortionnaire de chats condamné à un an de prison ferme après de nouvelles plaintes

Publié le par Ricard Bruno

L'homme âgé de 50 ans a été condamné pour avoir mutilé 27 chats (illustration).

L'homme âgé de 50 ans a été condamné pour avoir mutilé 27 chats (illustration).

Un père de famille de 50 ans, accusé d’actes de torture et de barbarie sur des chats, comparaissait pour la seconde fois ce mercredi 18 juillet à Caen (Calvados). L’homme, ingénieur et cadre dirigeant d’une grande entreprise de l’agglomération caennaise, avait déjà écopé de 18 mois de prison, dont neuf mois ferme, lors d'un premier procès en juin dernier.

Mais en découvrant l’affaire, de nouveaux plaignants se sont manifestés, indique France Bleu Normandie. Ce mercredi 18 juillet, le tortionnaire comparaissait à nouveau pour les mêmes faits de barbarie sur des félins.

Crocs arrachés et pattes brisées

Selon les éléments évoqués lors du premier procès, ce père de quatre enfants a torturé des chats entre mai et juin 2018. Il sévissait dans plusieurs communes au nord et à l’est de Caen. Au total, il est soupçonné d’avoir mutilé plus de 27 félins.

« La nuit, dans la rue, il leur brisait les pattes. Certains chats ont même eu la mâchoire fracturée et les crocs arrachés (…). Le prévenu installait parfois des cages de capture pour attraper les chats », rapporte France Bleu. Des actes d’une violence inouïe que le prévenu, inconnu des services de police, n’était pas parvenu à expliquer. Le père de famille s’est contenté d’indiquer que son traitement contre la maladie de Parkinson « l’empêchait de dormir ».

Condamné à la peine maximale

Devant la gravité des faits, la procureure de la République de Caen a requis la peine maximale : deux ans de prison dont un an ferme et 30 000 euros d’amende, avec obligation d’indemniser les victimes. Le tribunal l’a suivie dans ses réquisitions.

Une peine saluée par les 23 victimes qui s’étaient portées partie civile, dont des propriétaires de chats et de nombreuses associations parmi lesquelles la SPA, la Fondation 30 millions d’amis et la Fondation Brigitte Bardot. Fin juin, le quinquagénaire avait fait appel de sa première condamnation. On ignore pour l’instant s’il fera appel de la seconde.

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Nouveau procès pour un tortionnaire de chats à Caen

Publié le par Ricard Bruno

Déjà condamné à 18 mois de prison, dont neuf mois ferme, un homme comparaît une nouvelle fois ce mercredi 18 juillet pour avoir torturé des chats dans l'agglomération de Caen. En découvrant l'affaire en juin dernier, plusieurs nouveaux plaignants se sont faits connaître.

Nouvelle comparution devant la justice pour un homme accusé d'avoir torturé des chats dans l'agglomération de Caen (illustration)

Nouvelle comparution devant la justice pour un homme accusé d'avoir torturé des chats dans l'agglomération de Caen (illustration)

Il a déjà été reconnu coupable d'avoir torturé des chats dans l'agglomération de Caen en juin dernier. Ce cadre dirigeant dans une grande entreprise de l'agglomération caennaise a fait appel de sa condamnation à 18 mois de prison dont neuf mois ferme en première instance le 27 juin 2018. Ce mercredi 18 juillet 2018, il comparaît à nouveau car, en découvrant l'affaire en juin, plusieurs nouveaux plaignants se sont faits connaître. Treize victimes sont réunies pour ce nouveau procès qui a débuté en fin d'après-midi ce mercredi. Dix associations ou autres sont également parmi les plaignants (SPA, fondation 30 millions d'amis, Fondation Brigitte Bardot, conseil de l'ordre des vétérinaires...). Cette fois-ci, les faits les plus anciens remontent à juin 2017. Le prévenu installait parfois des cages de capture pour attraper les chats.

Mâchoire fracturée et crocs arrachés

D'après les faits présentés lors du procès de juin et pour lesquels il a déjà été jugé, cet homme a torturé des chats pendant deux mois, du 4 mai au 18 juin 2018, dans plusieurs communes au nord et à l'est de Caen. La nuit, dans la rue, il leur brisait les pattes. Certains chats ont même eu la mâchoire fracturée et les crocs arrachés. Lors de l'audience de juin, lui qui n'avait jusque là jamais eu affaire à la justice, n'a pas réussi à expliquer son geste.

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Chat massacré dans l'Hérault, à Cournonsec : l’affaire requalifiée

Publié le par Ricard Bruno

Prince était un jeune mâle âgé de 18 mois.

Prince était un jeune mâle âgé de 18 mois.

La SPA va se porter partie civile. Le jugement est prévu en septembre au tribunal de grande instance de Montpellier.

Il y a quelques jours, le drame avait défrayé la chronique à Cournonsec et ému bien au-delà de la commune. Car dans le village situé à l’ouest de Montpellier, un jeune chat aurait été massacré à coups de pelle par un sexagénaire qui l’avait trouvé dans son jardin.

 

Dans quelques semaines, le suspect devrait être présenté devant le tribunal correctionnel de Montpellier où l’affaire, qui a été requalifiée, sera jugée pour actes de cruauté sur cet animal.

La SPA devrait se porter partie civile pour ce jugement pénal et le propriétaire de l’animal, qui a déposé la plainte auprès de la gendarmerie de Saint-Jean-de-Védas, sera présent dans le prétoire.

 

Appel à "une sanction exemplaire"

Maître Pierre Paliès représentera la Société protectrice des animaux. L’avocat, qui vient d’être saisi ce jeudi, réagit : "à l’évidence, l’acharnement avec une pelle sur un chat qui provoque jusqu’à, semble-t-il, sa décapitation ne peut en aucun cas être considéré comme un homicide involontaire ou volontaire mais comme un acte de cruauté (envers un animal). Ces actes relèvent du tribunal correctionnel."

Le conseil de la SPA de Montpellier précise qu’il attend de ce jugement "une sanction exemplaire. Il est absolument inadmissible que des gens se comportent de cette façon-là. Ce comportement doit être sanctionné très sévèrement."

L’audience est programmée mercredi 12 septembre au tribunal de grande instance de Montpellier.

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L’association Elephant Haven poursuit les travaux de son sanctuaire à éléphants près de Bussière-Galant

Publié le par Ricard Bruno

Le chantier du refuge pour les éléphants de cirque

Le chantier du refuge pour les éléphants de cirque

Le projet de « maison de retraite pour éléphants de cirque » est encore en chantier près de Bussière-Galant, mais se construit petit à petit.

A l’annonce de ce projet en 2016, la nouvelle avait fait grand bruit. Il faut dire que l’idée d’ouvrir Elephant Haven, un sanctuaire à éléphants dans le village de Saint-Nicolas-Courbefy, en a surpris plus d’un. Ce projet unique en France, l’est même à l’échelle européenne. Des parcs similaires existent en Asie, en Afrique et aux États-Unis, mais pas sur notre continent. Petit à petit, les travaux se poursuivent et déjà, l’étable qui accueillera les trois premiers pachydermes prend forme.

Retour sur un projet atypique

À l’origine il y a Sofie Goetghebeur et Tony Verhulst. Originaires de Belgique, ils ont tout deux travaillé dans un zoo à Anvers durant plus de 20 ans. « Je m’occupais déjà des éléphants, c’est comme ça que nous est venue l’idée d’ouvrir un sanctuaire », explique Tony. Débutent alors les recherches pour trouver un site, et surtout un climat adéquat. « Finalement, le Limousin était la meilleure alternative, poursuit Sofie ».

En mai 2016, l’achat du terrain est acté dans le village de Saint-Nicolas-Courbefy. 29 hectares et un crédit sur 20 ans plus tard, ils entament les procédures administratives. Et surtout, le couple tente de rassembler des donations pour faire avancer le projet. Durant l’été 2017, Sofie et Tony obtiennent enfin l’autorisation d’accueillir leurs trois premiers éléphants.

Encore beaucoup de travail

Mais si sur le papier les ressortissants belges peuvent faire venir des pachydermes, le terrain n’est pas encore prêt. « Nous en sommes encore à la première phase du projet, qui est la construction d’une étable pour les accueillir », détaille Sofie. Depuis le 23 avril dernier le chantier de la structure intérieure a démarré. Il s’agit de créer des boxes où les éléphants pourront venir.

« Nous avons reçu des donations de grandes associations, telles que la fondation Brigitte Bardot, la SNDA (Société Nationale pour la Défense des Animaux), One Voice et la WAP (Société Mondiale de Protection des Animaux) », poursuit Tony. Au total, ce ne sont pas moins de 570.000 euros apportés par ces ONG. Une fois cette partie terminée il faudra encore s’attaquer à la structure extérieure, pour l’isoler et installer un système de chauffage.

Des bénévoles motivés

En même temps que l’étable, il faut également construire la clôture électrique du premier parc de 4 hectares. Un chantier participatif a donc vu le jour. Joss, soigneur animalier, est un bénévole récurrent. « Lorsque j’ai su que ce projet était en cours je suis venu voir, et depuis je les aide régulièrement ».

Le jeune homme malgré la chaleur, s’attelle à organiser les impressionnants piliers en béton armé. Car on ne peut lésiner sur la sécurité, surtout avec des éléphants pouvant atteindre les 7 tonnes. « Maintenant on évite de donner une date sur l’arrivée du premier animal, explique Sofie. Nous espérons avoir bientôt terminé, mais sans savoir précisément quand ».

Le sanctuaire possédera une passerelle et une tour d’observation pour admirer les pensionnaires, sans pour autant les déranger. « Ils seront chez eux ici, ce sera leur maison de retraite », détaille Tony. Un volet pédagogique sera également mis en place, notamment pour les scolaires. Et à terme, Elephant Haven pourra accueillir d’ici quelques années jusqu’à 10 animaux.

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Battue aux loups dans le Béarn : une enquête ouverte...

Publié le par Ricard Bruno

Battue aux loups dans le Béarn : une enquête ouverte

Battue aux loups dans le Béarn : une enquête ouverte

Une enquête de flagrance a été ouverte par le parquet de Pau (Pyrénées-Atlantiques) après une battue « aux loups » à laquelle ont participé une centaine de personnes dans la vallée d'Ossau, dans le Béarn, dimanche. La procureure de la République, Cécile Gensac, a confirmé mardi une information parue dans les médias locaux. Selon Sud-Ouest, ce sont surtout « les fusils décrits et les coups de feu, rares mais audibles, qui ont suscité le courroux de la justice».Une lettre ouverte dénonçant «des élus hors la loi» a été envoyée par l'Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS) au préfet coordonnateur du Plan loup, Stéphane Bouillon, à Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique, et à Gilbert Payet, préfet des Pyrénées-Atlantiques. Sur Twitter, la Fondation Brigitte Bardot a également interpellé le ministre, soulignant qu'il s'agit là d'une espèce protégée. #PlanBiodiversité Battue illégale au loup organisée en vallée d'Ossau (Béarn) par des éleveurs et plusieurs maires... @N_Hulot, quelle réaction/sanction du @Min_Ecologie face à cette volonté de détruire une espèce protégée ? https://t.co/ZkmPDRYAGO-- FONDATION B. BARDOT (@FBB_PORTEPAROLE) 9 juillet 2018 « Une centaine de personnes ont participé à cette opération parmi lesquelles des éleveurs, mais également des maires », s'indigne la lettre.En trois mois, 120 brebis auraient été tuéesSelon un éleveur cité par La République des Pyrénées quelque « 120 brebis mortes en trois mois, c'est plus que la Lozère avec cinq loups ». « Qu'est-ce qu'on attend pour prendre des mesures ? C'est dingue de laisser des animaux aussi dangereux dans des secteurs qui attirent des touristes », poursuit-il. Mais pour l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), ces attaques sont dues à des chiens errants.Dimanche matin, une centaine d'hommes avait participé à une battue « aux loups » au Port-de-Castet ...

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Un veau s'échappe de l'abattoir de Carmaux (Tarn), la Fondation Brigitte Bardot veut l'adopter

Publié le par Ricard Bruno

Photo d'illustration

Photo d'illustration

Le veau de Carmaux aura-t-il la vie sauve ? Lundi, vers 8h30, un jeune bovin s'est échappé de l'abattoir de Carmaux (dans le Tarn), comme le raconte La Dépêche du Midi. Le veau a couru a travers la ville, plus d'un kilomètre, avant d'aller se réfugier derrière l'hôtel de ville. 

C'est là que l'animal a été endormi à l'aide d'un fusil hypodermique et qu'il a pu être ensuite récupérer par son propriétaire. Pas question en revanche, comme le racontent nos confrères, de le conduire immédiatement à l'abattoir : il faut d'abord attendre que le puissant anesthésiant soit évacué de son organisme.

Une histoire qui a ému la fondation Brigitte Bardot. Dans un tweet, la fondation de protection des animaux a proposé ce mardi de récupérer le jeune bovin pour l'intégrer dans son cheptel et lui sauver ainsi la vie. Elle indique être entrée en contact avec l'éleveur, qui semble réserver sa réponse.

 

 

Un veau s'échappe de l'abattoir de Carmaux (81), la FBB propose d'accueillir l'animal dans son cheptel pour lui éviter la mort. L'éleveur a été contacté, la décision de sauver ou non le veau lui revient désormais... https://twitter.com/ladepeche81/status/1016574748086632448?s=19 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/tarn/albi/veau-s-echappe-abattoir-carmaux-tarn-fondation-brigitte-bardot-veut-adopter-1510137.html

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