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Roger Vadim, prince déchu d’une époque bohème...

Publié le par Ricard Bruno

Clément Ghys retrace le parcours désinvolte et romanesque du cinéaste qui, tel un démiurge, fit naître le phénomène Bardot.

BB et Vadim sur le tournage du «Repos du guerrier» (1962)...

BB et Vadim sur le tournage du «Repos du guerrier» (1962)...

«Certains noms font sourire, écrit Clément Ghys. Ils paraissent décatis, enkystés dans une époque.» Que dit celui de Vadim aux plus jeunes de nos lecteurs ? Rien, sans doute. Et aux plus anciens ? On parierait qu’il fleure bon la douceur de vivre pré-68, starlettes et stations de ski, petits scandales et Ferrari. Ou, comme l’écrit l’auteur, ancien journaliste à Libération désormais à M le magazine du Monde, «la France des loisirs, catégorie supérieure».

Mais pourquoi diable est-ce sur cet homme-là que Clément Ghys a jeté son dévolu d’écrivain, ce Vadim dont il avoue avoir vu, en guise de premiers films, les publicités pour Slim Fast qu’il tourna avec sa dernière épouse, Marie-Christine Barrault ? Ce réalisateur dont il juge le cinéma «suranné, curieux, sans moelle» ? C’est que Vadim, remisé aux oubliettes des gazettes, reste un totem de son époque, le danseur d’un bal où l’auteur aurait aimé se rendre. Ce dernier a beau avoir le nez sur le contemporain, traquant «les signaux qui clignotent et disent quelque chose de notre temps», il ne peut oublier ceux d’hier. «Quand une nouveauté en chasse une autre, je n’arrive pas à oublier les rebuts, explique-t-il. J’y vois la légèreté et la beauté fossilisée.» De fait, malgré le destin romanesque en diable de Vadim, le livre vaut plus pour les obsessions de son auteur que de son personnage, cette manière de traquer une modernité depuis longtemps révolue, celle «des meubles en Formica, de l’argot daté», de se demander pourquoi et d’y répondre de manière calmement touchante.

Remariage. Mais Vadim, donc. Toute l’enfance est intéressante, car inconnue. Son père est diplomate, aristocrate né à Kiev et naturalisé français. Sa mère, née à Marseille, est divorcée lorsqu’elle le rencontre. Roger Vadim Plemiannikov (il se débarrassera de l’encombrant nom de famille en entrant en cinéma) naît à Paris en janvier 1928. Il grandit à Alexandrie, puis en Turquie, et a 9 ans lorsqu’une crise cardiaque terrasse son père, catapultant la famille «des "Mille et Une Nuits" à Emile Zola». C’est le retour en France, l’installation en Savoie, l’ouverture d’une auberge de jeunesse, le remariage de sa mère avec un résistant de quinze ans son cadet.

A la fin de la guerre, tout ce petit monde s’installe à Paris, où Vadim suit les cours de théâtre de Charles Dullin et traîne à Saint-Germain-des-Prés. Il est un «J3», du nom des tickets de rationnement de la guerre réservés aux jeunes. Et comme les autres, il ne songe qu’à s’amuser. Ce qui suit est la partie la plus entraînante du livre, une chronique de l’ascension du héros : l’amitié avec Christian Marquand, personnage totalement oublié dont quelques descriptions, notamment de son intimité avec Marlon Brando, donnent envie d’y aller voir de plus près ; le compagnonnage avec Marc Allégret, qui lui mettra le pied à l’étrier dans le milieu ; la fréquentation mondaine du salon des frères Mille, rue de Varenne. Et le plus important : l’amour naissant entre ce rejeton de la bohème pailletée et une jeune fille «comme il faut» du XVIe arrondissement nommée Brigitte Bardot. Rencontre, mariage, train-train très domestique rue Chardon-Lagache.

Léthargie. On se pince, mais c’est pourtant dans ce petit appartement bourgeois qu’éclora le phénomène Bardot, guidé par Vadim : «Quand elle tire la tronche, il lui assure qu’elle n’est jamais aussi belle qu’ainsi… Quand elle dit un gros mot, il l’encourage.» Suivra Et Dieu… créa la femme, film dont on peine à voir pourquoi il fit jadis tant de tintouin, et que Clément Ghys trouve «un peu long, l’histoire ne tient pas vraiment. Il n’y a pas de ces sous-couches qui font d’un film un sommet». Mais il lui reconnaît ceci, que Vadim a filmé «une jeune fille de son époque, comme elle est parfois, comme elle rêve d’être tout le temps».

En juillet 1957, dans les Cahiers du cinéma, Jean-Luc Godard écrira : «Inutile de féliciter Vadim d’être en avance, car il se trouve seulement que si tous les autres sont en retard, lui, en revanche, est à l’heure juste.» Bientôt, Vadim ne le sera plus vraiment, puis plus du tout. Il y aura les années Fonda («l’ère du vinyle, du plastique, du Plexiglas»), puis l’avènement conjugué du féminisme et du porno, qui achèvent de le ringardiser, et l’installation dans une agréable léthargie. Ce n’est pas une raison pour «oublier les fantômes», juge l’auteur. Il a raison. L’histoire peut être écrite pour les perdants magnifiques.

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La statue olé-olé de Brigitte Bardot crée le scandale à Saint-Tropez

Publié le par Ricard Bruno

1) Les puritains ont une réaction totalement ridicule. BB était et est superbe, alors pourquoi ne pas la représenter dans la beauté de sa nudité ? L'art est au-dessus de la pudibonderie. La Vénus de Praxitèle était bien nue. (écrits d'un commentaire en réponse à l'article sur Orange.fr)

2) il y aura toujours des "pisse froid" pour se scandaliser, si la principale intéressée est d'accord je ne vois pas ou est le problème, elle a été en son temps la plus belle actrice française.

3) Bravo , une reconnaissance pour BB. St- Tropez est devenue ce qu'elle est grâce à BB et le cinéma français a su profiter de ses rôles .

Bruno Ricard

La statue olé-olé de Brigitte Bardot crée le scandale à Saint-Tropez

Brigitte Bardot trônera bientôt à Saint-Tropez, sa ville d'adoption. Une statue de bronze représentant l'actrice dans le plus simple appareil y sera installée d'ici la fin de l'été, détaille La Parisien ce mardi.

Et c'est le dessinateur érotique Milo Manara qui a été choisi pour représenter la star époque "Et Dieu créa la femme" de Roger Vadim. Si la majorité municipale soutient le projet de l'illustrateur italien, ce n'est pas le cas de tous les élus, rapportait le quotidien Var Matin en avril dernier. Pour l'opposante Vérane Guérin, la représentation de Brigitte Bardot dans une conque, référence à la Vénus de Botticelli est ainsi d'un "kitsch absolu" tandis que d'autres vont jusqu'à dénoncer "un scandale". Et que pense la principale intéressée de sa future statue d'un montant de 250 000 euros ? BB fait savoir par la voix de son mari qu'elle est "d'accord même si elle n'aspire qu'à rien d'autre que défendre la cause animale".

Source de l'article : Cliquez ICI

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Ces stars révélées au Festival de Cannes...dont Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Juliette Binoche en 1985

Juliette Binoche en 1985

EN IMAGES - Depuis sa première édition en 1946, la Croisette voit les plus grandes légendes du cinéma défiler sur son tapis rouge. Certains acteurs et actrices lui doivent même leur ascension dans le monde du septième art.

● 1953: Brigitte Bardot

Et Cannes créa B.B. Quelques foulées sur la plage en bikini, et Brigitte Bardot devient la starlette préférée des photographes, en 1953. Trois ans plus tard, elle figure à l'affiche du film de Roger Vadim, Et Dieu créa la femme, et devient le symbole de l'émancipation féminine.

Elle remonte les célèbres marches dix ans plus tard, 1967, escortée par une meute de policiers. Son arrivée provoque l'émeute d'une horde de photographes et de fans.

» Lire aussi - Brigitte Bardot: ses cinq films cultes

» Lire aussi - En effeuillant BB

Brigitte Bardot, 18 ans, sur la plage lors du festival de Cannes en 1953.

Brigitte Bardot, 18 ans, sur la plage lors du festival de Cannes en 1953. Crédits photo :

● 1959: Jean-Pierre Léaud

À seulement 14 ans, Jean-Pierre Léaud est l'enfant chéri de Cannes, grâce au film de François Truffaut, Les Quatre cents coups qui remporte le prix de la mise en scène.

Lors du 69e Festival de Cannes, il reçoit la palme d'or d'honneur dans La Mort de Louis XIV, d'Albert Serra, présenté hors compétition.

» Lire aussi: Cannes: la Palme d'or d'honneur décernée à Jean-Pierre Léaud

» Lire aussi: François Truffaut, l'homme qui aimait Jean-Pierre Léaud

Jean-Pierre Léaud au Festival de Cannes pour le film Les 400 coups de François Truffaut.

Jean-Pierre Léaud au Festival de Cannes pour le film Les 400 coups de François Truffaut. Crédits photo :

● 1963: Claudia Cardinale

La belle italienne est révélée en 1963 aux côtés d'Alain Delon dans Le Guépard, de Luchino Visconti, un film qui remporte la palme d'Or.

Cette année, elle est l'emblème de Cannes, figurant sur l'affiche de la 70e édition du festival, dansant sur les toits de Rome en 1959.

» Lire aussi - Claudia Cardinale: «Le Guépard, le tournant de ma carrière»

» Lire aussi - Claudia Cardinale: «Cannes n'est que du cinéma, ne l'oublions pas»

» Archives: Souvenir cannois du Figaro: en 1963, un guépard arpente la Croisette

Claudia Cardinale dans la scène de la valse dans «Le Guépard».

Claudia Cardinale dans la scène de la valse dans «Le Guépard». Crédits photo :

 1964: Catherine Deneuve

Catherine Deneuve est la révélation du drame musical Les Parapluies de Cherbourg de Jacques Demy, récompensé par la palme d'or. Depuis, Mademoiselle Deneuve est devenue Cannes: six décennies de présence ininterrompues et une palme d'or d'honneur, un prix d'interprétation spécial, une vice-présidence de jury.

Alors que Laurent Lafitte, maître de cérémonie du 69e Festival de Cannes, prononce son discours d'ouverture, le voilà soudain interrompu par Catherine Deneuve qui entre en scène et l'embrasse fougueusement.

Catherine Deneuve dans «Les parapluies de Cherbourg» en 1964.

Catherine Deneuve dans «Les parapluies de Cherbourg» en 1964. Crédits photo :

● 1976: Robert de Niro

Robert de Niro, lui, entre dans la lumière avec Taxi Driver, un film de Martin Scorcese. Bien que hué lors de la projection, le film, qui lance aussi la carrière de Jodie Foster, remporte finalement la palme d'or lors de la cérémonie de clôture.

Cette année, pour la 70e édition, il fait part de son souhait de présider à nouveau le jury, un rôle déjà endossé en 2011.

Jodie Foster (13 ans seulement!) et Robert de Niro à Cannes pour leurs rôles dans «Taxi driver».

Jodie Foster (13 ans seulement!) et Robert de Niro à Cannes pour leurs rôles dans «Taxi driver». Crédits photo :

● 1985: Juliette Binoche

En 1985, l'actrice monte les marches pour Rendez-vous, d'André Téchiné. Nue sur l'affiche de ce film primé pour sa mise en scène, elle devient l'une des comédiennes les plus sollicitées.

» Archives - Souvenir cannois du Figaro: en 1985, la révélation Juliette Binoche se confie

L'actrice Juliette Binoche pour le film «Rendez-vous» en 1985.

L'actrice Juliette Binoche pour le film «Rendez-vous» en 1985. Crédits photo :

● 1991: John Turturro

Désigné meilleur acteur pour son rôle dans Barton Fink, John Turturro remportera l'année suivante, cette fois en tant que réalisateur, la caméra d'or pour Mac.

Barton Fink de Joel Coen avec «John Turturro» en 1991.

Barton Fink de Joel Coen avec «John Turturro» en 1991. Crédits photo :

● 1992: Sharon Stone

La grande révélation de Cannes, c'est elle. Cette année-là, Sharon Stone présente le film Basic Instinct de Paul Verhoeven, aux côtés de Michael Douglas. L'actrice devient la star du cinéma et enchaîne les nominations : Casino de Martin Scorcese, qui lui vaut un Golden Globe et une nomination aux Oscars mais aussi Total Recall, Sliver et Mort ou vif.

» Archives: Souvenir cannois du Figaro: en 1992, Sharon Stone embrase la Croisette avec Basic instinct

Sharon Stone, Michael Douglas et Jean Tripplehorn au Festival de Cannes le 11 mai 1992 pour le film «Basic Instinct» .

Sharon Stone, Michael Douglas et Jean Tripplehorn au Festival de Cannes le 11 mai 1992 pour le film «Basic Instinct» . Crédits photo :

● 1999: Émilie Dequenne

Émilie Dequenne n'a que dix-sept ans lorsqu'elle remporte le prix d'interprétation féminine pour son rôle dans Rosetta. Un film des frères Dardenne récompensé par la palme d'or.

Émilie Dequenne remporte le prix d'interprétation féminine pour son rôle de «Rosetta».

Émilie Dequenne remporte le prix d'interprétation féminine pour son rôle de «Rosetta». Crédits photo :

● 2000: Monica Belluci

C'est grâce au film Suspicion de Stephen Hopkins que Monica Bellucci foule pour la première fois le tapis rouge, en 2000. Cette année, elle est maîtresse de cérémonie pour la seconde fois. En 2006, elle faisait déjà partie du jury, sous la présidence de Wong Kar-wai.

Monica Bellucci pose sur le tapis rouge avec les acteurs Gene Hackman (à gauche), Morgan Freeman (derrière) et le réalisateur Stephen Hopkins (à droite).

Monica Bellucci pose sur le tapis rouge avec les acteurs Gene Hackman (à gauche), Morgan Freeman (derrière) et le réalisateur Stephen Hopkins (à droite). Crédits photo :

● 2013: Adèle Exarchopoulos

Fait exceptionnel durant le Festival de Cannes, Adèle Exarchopoulos partage en 2013 et à seulement 19 ans, la palme d'or avec sa partenaire à l'écran Léa Seydoux et son réalisateur Abdellatif Kechiche pour La vie d'Adèle. Depuis, l'actrice joue aux côtés des plus grands. À vingt-trois ans, elle a déjà treize ans de carrière derrière elle, avec vingt films et six prix d'interprétation.

Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos embrassent le réalisateur, Abdellatif Kechiche, après avoir reçu la palme d'or pour La vie d'Adèle.

Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos embrassent le réalisateur, Abdellatif Kechiche, après avoir reçu la palme d'or pour La vie d'Adèle. Crédits photo :

● 2017: Marine Vacth

Récompensée en 2013 dans Jeune et Jolie de François Ozon, Marine Vacth est très attendue cette année dans son dernier film, L'amant double, pour la 70e édition du Festival. Sera-t-elle la révélation de cette année?

Marine Vacth arrive sur la Croisette pour la projection du film  Jeune et jolie (2013) .

Marine Vacth arrive sur la Croisette pour la projection du film Jeune et jolie (2013) . Crédits photo :

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Brigitte Bardot et Roger Vadim ce soir à 22h40 sur France2 émission "Stupéfiant"...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot et Roger Vadim ce soir à 22h40 sur France2 émission "Stupéfiant"...

Au sommaire : *Les robots vont-ils remplacer les artistes ?* L'intelligence artificielle semble pouvoir envahir le marché de l'art et l'industrie culturelle. *Vadim : l'homme qui créa B.B.* Roger Vadim qui a révélé Brigitte Bardot dans «Et Dieu créa la femme» il y a 60 ans, était aussi un roi du marketing. *L'interview : Marion Cotillard* Héroïne du nouveau film d'Arnaud Desplechin, Marion Cotillard sera la star de la soirée d'ouverture du festival de Cannes. *«La Brigade du Stup» : Carlo Scarpa* le designer italien est notamment l'architecte des splendides magasins Olivetti de la place Saint-Marc, à Venise. *Château La Coste : l'art sans modération* Le Château la Coste est aujourd’hui un lieu incontournable des amateurs d'art. *Capsule-temps : Les Beatles* Retour sur une archive mythique : en 1968, Paul, John, Ringo et George débarquent en Inde.

Source de l'article : Cliquez ICI

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COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA FLAC

Publié le par Ricard Bruno

PROJECTION-DÉBAT SUR LA CORRIDA EN PLEIN FESTIVAL DE CANNES !

 
COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA FLAC

Fédération anticorrida basée à Agde dans l'Hérault.

PROJECTION-DÉBAT SUR LA CORRIDA EN PLEIN FESTIVAL DE CANNES.

Le 24 mai prochain, à Cannes, une projection-débat sur la corrida aura lieu en présence de personnalités.  http://flac-anticorrida.org/projection-debat-sur-la-corrida-en-plein-festival-de-cannes/

 

Parmi les personnalités invitées :  Pedro ALMODOVAR, aficionado notoire et Président du Jury. Ainsi que Pierre LESCURE, président du Festival de Cannes. Dans un esprit de dialogue et d'ouverture, le monde taurin a été également convié à cet évènement. En particulier, les deux figures emblématiques de la corrida en France : le directeur des arènes de Nîmes, Simon CASAS et l'ancienne torera, Marie SARA.

Avec un invité surprise...

Nous précisons que le film anticorrida du cinéaste Jérôme LESCURE qui précédera le débat, avait été soutenu à sa sortie par l'Hôtel NEGRESCO.

LE PARLEMENT EUROPEEN/EELV est impliqué officiellement dans cette projection-débat.

A cette occasion, un hommage sera rendu à Danielle DARRIEUX, membre du comité d'honneur de la FLAC, qui vient de fêter cette année son centenaire. http://flac-anticorrida.org/danielle-darrieux-soutient-flac/

 

Lors de cette soirée, le film extraordinaire aux millions de vues dans le monde entier de l'agence de communication BETC, sera projeté sur écran géant. http://flac-anticorrida.org/une-grande-agence-de-communication-et-la-flac-condamnent-la-corrida/

Entrée libre.

Lieu de rendez-vous pour les médias :

Hôtel Cannes Palace

14 avenue de Madrid

06400 Cannes

Contact : Thierry Hély : 06 23 94 84 83

                 Roger Lahana :  06 11 54 02 83

 

Merci.

 

Thierry Hély

Président de la FLAC

www.flac-anticorrida.org

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Paparazzi : le court-métrage de Rozier à Cannes Classics...

Publié le par Ricard Bruno

Il existe aussi en marge du film le Mépris et du documentaire Paparazzi, quelques minutes totalement inédites d'images tournées à Capri, ce petit passage inédit sur Brigitte Bardot est inclus dans un autre documentaire "Tentazioni proibite" dont je suis de part le monde un des rares à le posséder....

Bruno Ricard

Paparazzi : le court-métrage de Rozier à Cannes Classics...
Paparazzi : le court-métrage de Rozier à Cannes Classics...

Réalisateur : Jacques Rozier

Voix : Michel Piccoli, Jean Lescot, David Tonelli

Le Festival de Cannes va projeter ce court métrage sur l’intrusion de photographes peu scrupuleux lors du tournage à Capri du Mépris de Godard, avec Brigitte Bardot.

L'argument : En mai 1963, Brigitte Bardot tournait en Italie "Le Mépris", sous la direction de Jean-Luc Godard, d’après le roman d’Alberto Moravia. Parallèlement au "Mépris", un autre film fut tourné, qui raconte la guerre froide que se livraient à Capri, Brigitte Bardot et trois Paparazzi.

Notre avis : Federico Fellini avait immortalisé ce corps de métier dans La Dolce vita. Jacques Rozier, figure emblématique de la Nouvelle Vague (Adieu Philippine), enfonce le clou en piégeant les piégeurs sur le tournage du condisciple Godard, celui d’À bout de souffle et de Pierrot le Fou, alors à l’apogée de son inspiration créatrice. Icône médiatique et sociétale, Brigitte Bardot qui avait quelques années auparavant fauché à Martine Carol sa couronne de sex-symbol du cinéma français, et par ailleurs actrice inspirée (La Vérité de Clouzot), est ici filmée comme la déesse de Capri, faisant la moue entre deux prises de vue, et dont le corps livré à la meute des photographes, officiels ou clandestins, est l’objet de toutes les convoitises et transactions.

 

Paparazzi : le court-métrage de Rozier à Cannes Classics...

Un montage au vitriol révèle que la star la plus photographiée du monde dans les années 60 n’en demeure pas moins une femme piégée et manipulée. Plus que par sa leçon de morale dénonçant les limites de procédés de journalisme dignes de comportements de charognards, le court-métrage séduit par son ton sixties, son humour décalé, son découpage subtil, et son aptitude à saisir l’air du temps. Il suscite surtout l’envie de (re)découvrir la liberté de filmer du futur auteur de Du côté d’Orouët et Maine Océan. Notons que Cannes Classics propose une restauration de ce court-métrage l’année où est projeté en sélection officielle Le Redoutable de Michel Hazanavicius, d’après le roman d’Anne Wiazemsky, et qui relate les années Mao de Godard…

Source de l'article : Cliquez ICI

Il existe aussi en marge du film le Mépris et du documentaire Paparazzi, quelques minutes totalement inédites d'images tournées à Capri, ce petit passage inédit sur Brigitte Bardot est inclus dans un autre documentaire "Tentazioni proibite" dont je suis de part le monde un des rares à le posséder....

 

Bruno Ricard

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Brigitte Bardot répond à la lettre ouverte des soigneurs de Marineland

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot répond à la lettre ouverte des soigneurs de Marineland

Dans un communiqué publié ce vendredi, la Fondation Brigitte Bardot a répondu aux soigneurs de Marineland, dénonçant la "supposée souffrance du dauphin empêché de se reproduire".

Alors que l'arrêté encadrant les conditions de captivité des cétacés et interdisant leur reproduction n'en finit plus de faire réagir professionnels et associations, la Fondation Brigitte Bardot est montée au créneau.

Dans un communiqué publié ce vendredi, l'association répond à la lettre ouverte des soigneurs de Marineland, dans laquelle ces derniers s'insurgent contre l'interdiction de reproduction de leurs dauphins et orques, estimant que "cette décision est choquante car elle apparaît dans un arrêté défendant le bien-être animal alors qu’elle le met en péril".

>> LIRE AUSSI. Les soigneurs de Marineland s'expriment pour la première fois dans une lettre ouverte

 

"Cette soudaine émotion des soigneurs face à une supposée souffrance du dauphin empêché de se reproduire est surprenante, sachant qu’ils ne manifestent par ailleurs aucune compassion lorsqu’il s’agit d’arracher les jeunes à leur mère pour alimenter les programmes d’échanges entre delphinariums.

Si la hiérarchie au sein du groupe est en effet essentielle pour les cétacés, en bassin il ne s’agit pas d’une famille mais d’individus forcés à cohabiter, sans lien particulier, dans un environnement artificiel qui ne répond à aucun besoin biologique de l’espèce.

Quant à la reproduction, faut-il rappeler qu’elle se fait par insémination artificielle chez les orques ? Si les soigneurs du Marineland d’Antibes se préoccupent soudainement de répondre aux besoins naturels des dauphins qu’ils maintiennent prisonniers, alors qu’ils leur offrent enfin la liberté!

La Fondation Brigitte Bardot soutient l’arrêté de Ségolène Royal et veillera à ce que le prochain gouvernement ne le remette pas en cause."

Source de l'article : Cliquez ICI

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Manuel Macron : Un pro de la corrida !

Publié le par Ricard Bruno

Manuel Macron : Un pro de la corrida !

Marie Sara portera les couleurs de "La République En Marche"  dans la 2e circonscription du Gard, elle a été investie par Emmanuel Macron le nouveau président de la république Française... 

Emmanuel Macron envoie des signes aux défenseurs de la cause animale... Un bras d'honneur pour être clair ! Ré-ouverture des chasses présidentielles de Chambord, sollicitation d'une Femme torera à cheval pour une investiture aux législatives dans le Gard. A ceux qui rejettent mon commentaire avec à la bouche l'avenir de la France dans l'Europe, je dis : justement ! N'a-t-il rien de mieux à faire que de ré-ouvrir Chambord, Est-ce rassembleur pour l'adhésion aux reformes nécessaires, que de traiter par le mépris une majorité très large de concitoyens qui rejettent la tauromachie ? A tous je suggère de ne pas mettre un turbo à l'arrogance déjà installée à l'Elysée, d'y mettre plutôt un régulateur de vitesse, aux législatives !

Merci à Raoul Bareiss qui a écrit ce texte, je n’aurais pas fait mieux !

Bruno Ricard

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Emission "Grands reportages" "Trafic et exploitation des animaux"

Publié le par Ricard Bruno

Emission "Grands reportages" "Trafic et exploitation des animaux"
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