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le web en parle..

Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !

Publié le par Ricard Bruno

Durant plusieurs numéros du journal "le Monde" du 10 08 2021 au 16 08 2021 a consacré une série estivale à Brigitte Bardot.

Bruno Ricard   

Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
Brigitte Bardot dans le journal le monde durant 6 jours !
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Fondation Brigitte Bardot : #Afghanistan - Kaboul

Publié le par Ricard Bruno

Fondation Brigitte Bardot : #Afghanistan - Kaboul
Fondation Brigitte Bardot : #Afghanistan - Kaboul
Fondation Brigitte Bardot : #Afghanistan - Kaboul
Fondation Brigitte Bardot : #Afghanistan - Kaboul
C’est avec grande tristesse que nous vous annonçons la suspension de notre projet à Kabul en partenariat avec @mayhewinternational.
Toute l’équipe locale est en sécurité et il n’y a aucun chien dans la clinique.
Nous venions juste d’atteindre les 20.000 stérilisations et il en restait encore 10.000 à faire pour atteindre l’objectif de stériliser 80% des chiens errants dans la capitale.
Pour aujourd’hui, nous attendons de voir comment la situation va évoluer sur le terrain et essayons de ne pas perdre complètement espoir.
➡ Nous vous tiendrons informés.
Source : Fondation Brigitte Bardot
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Une vidéo de L214 dénonce l'horreur vécue par des cochons d'élevage, un employé témoigne

Publié le par Ricard Bruno

Une vidéo de L214 dénonce l'horreur vécue par des cochons d'élevage, un employé témoigne

L'association de défense des droits des animaux L214 dévoile ce jeudi des photos et vidéos choquantes captées dans un élevage de truies de l'Yonne. Animaux frappés, dents coupées à la tenaille... On y observe de nombreux actes de maltraitance, dont témoigne à visage découvert un ancien employé de la porcherie, qui souhaite dénoncer ces pratiques.

Encore une... Dans une nouvelle vidéo dévoilée ce jeudi, L214 met en lumière l'horreur vécue par les cochons d'un élevage intensif situé dans l'Yonne. Fait rare, l'association de défense des droits des animaux a également obtenu le témoignage d'un ancien employé de la porcherie mise en cause, qui prend la parole à visage découvert pour dénoncer les conditions de vie atroces des animaux de l’établissement et les sévices qui leur sont infligés.

Dents coupées à la tenaille, porcelets frappés au sol pour les tuer, truies violentées avec des masses ou des tournevis... La vidéo et les photographies obtenues par L214 révèlent de nombreux actes de brutalité, allant jusqu'à la torture.

"Toute la journée ils l'ont frappée avec la masse"

Les images montrent notamment des truies frappées à l'aide de tournevis pour les forcer à avancer, comme l'explique l'ancien employé de l'élevage.

Ce qui m'a choqué, c'est de voir le responsable mettre des coups de tournevis, s'acharner sur les truies quand elles ne voulaient pas avancer ou alors mettre des coups de barre en ferraille sur la tête. Ça ne sert à rien du tout, il n'y a pas lieu d'avoir un tournevis (...) Après ça fait des marques aux pieds, à la tête, sur tout le corps.

Ancien employé de l'élevage dans l'Yonne

"Une fois, il y avait une truie en maternité et les couloirs sont tellement petits qu'elle était coincée", poursuit-il. "Donc il s'est acharné sur elle (...) et ça ne voulait pas avancer donc elle hurlait."

Cet homme, qui se définit comme un lanceur d'alerte, explique aussi avoir assisté à une tentative de mise à mort d'une truie. "Toute la journée ils l'ont frappée avec la masse (...) et n'ont pas réussi", assure-t-il. Lorsque l'employé a décidé d'aller voir comment se portait la truie, "mise à l'écart" pour la nuit, "elle avait des trous partout sur la tête, elle saignait de partout". Le lanceur d'alerte a pris des photos de l'animal en question pour garder une trace de l'horreur : elles sont visibles dans la vidéo de L214.

Des porcelets claqués au sol

Les coups assénés aux truies sont loin d'être les seuls sévices dont L214 révèle l'ampleur. Dans cet élevage, "ils coupent les queues, au fer, à vif", ajoute le lanceur d'alerte, vidéo à l'appui.

(Et si un porcelet ne semble pas en forme à la naissance) ils le prennent, ils le claquent par terre et des fois, ils le mettent dans un seau alors qu'il est encore vivant. On passe des heures après et on voit le seau qui bouge.

Là encore, les images dévoilées par L214 attestent de telles pratiques : on peut y voir un employé s’emparer d'un porcelet, et le frapper violemment à plusieurs reprises avant de le laisser sur le sol agonisant (voir vidéo ci-dessous).

 

"Sur les images, on peut également voir la zone d’équarrissage où sont stockés les cochons morts, de tout âge. Certains cadavres sont littéralement dévorés par les asticots. Une des bennes, d’où émergent des ossements, en est remplie", déplore également L214.

Aucun contrôle dans l'élevage, selon l'ancien employé

Les photos et les vidéos ont été captées à la porcherie SCEA des Tremblats, où vivent dans des conditions désastreuses 1 800 truies. L'établissement appartient au groupe Provent-SDPR, implanté en Savoie.

L214 souligne que de nombreux actes des employés de la porcherie contreviennent à la réglementation en vigueur. Il est en effet interdit de couper à l'aide de tenailles les dents des jeunes truies. Par ailleurs, les animaux blessés ne sont pas soignés et l'accès à l'eau des truies en maternité ne semble pas garanti, selon les informations obtenues par l'association.

L214 ajoute que des signalements ont bel et bien été effectués par l'employé qui a témoigné, mais n'ont jamais abouti. Le lanceur d'alerte dit être tombé en dépression, avant de porter plainte contre l'élevage.

Ce que je voudrais, c’est que le responsable ne travaille plus dans ce domaine-là, et qu’il ferme la porcherie complètement parce que ça continuera tout le temps.

Employé de la porcherie.

Il explique par ailleurs n'avoir jamais vu aucun contrôle de la part des services vétérinaires malgré les lourds manquements de l'élevage en matière de respect du bien-être animal.

Une plainte déposée, une pétition lancée

De son côté, L214 a annoncé porter plainte auprès du procureur d'Auxerre. Une pétition en ligne, accessible à cette adresse, a également été lancée. L'association y demande une inspection d'urgence dans cet élevage et la prise de sanctions.

"Les truies et les porcelets de cet élevage vivent déjà une vie misérable, comme dans la majorité des élevages de cochons (95 % des élevages de cochons sont de type intensif), ils sont en plus violemment maltraités sans réaction de la direction. Exigeons des sanctions pour cet élevage et une interdiction du claquage des porcelets ainsi que la coupe à vif de leur queue", a fait valoir Sébastien Arsac, directeur des enquêtes et porte-parole de L214.

Ce jeudi, la préfecture de l’Yonne indique que l’exploitant de la porcherie a été "mis en demeure" à la suite d’une inspection de l’élevage, le 1er juin, et la constatation de "non-conformités".

Ce contrôle inopiné, réalisé par les services vétérinaires de la Direction départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations (DDETSPP), "faisait suite à un signalement déposé à la gendarmerie".

"La DDETSPP a informé l’exploitant qu’une nouvelle inspection serait menée pour vérifier la mise en conformité de son élevage", selon la préfecture, qui assure de la "pleine mobilisation" des services vétérinaires de la DDETSPP.

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Centre Corse : Brigitte Bardot, marraine officielle de l'association un Nid à Toi(t)

Publié le par Ricard Bruno

Centre Corse : Brigitte Bardot, marraine officielle de l'association un Nid à Toi(t)
Centre Corse : Brigitte Bardot, marraine officielle de l'association un Nid à Toi(t)

Depuis mars 2018, l'association (dont le siège social est à Ponte-Leccia) gère de nombreux félins en famille d'accueil, a créé une chatterie sur la commune de Castirla (pour de jeunes chats adultes et sociaux en attente d'adoption) et s'occupe également de stériliser et soigner des chats libres dans les villages du Centre Corse.

 

C'est d'ailleurs comme cela que les actions de l'association sont arrivées jusqu'à Brigitte Bardot. Une bénévole qui intervenait dans un des villages de l'intérieur a parlé d'Un Nid à Toi(t) à l'un des habitants. Il se trouve que celui-ci est un ami proche de Brigitte Bardot. Il a donc décidé de lui parler des actions de l'association et de l'engagement de ses bénévoles pour la cause animale.

"BB" a donc accepté volontiers d'être la marraine de l'association - ce qui semble être une première pour une association insulaire - et devrait - si les conditions le permettent - venir rencontrer les bénévoles d'Un Nid à Toi(t) d'ici l'automne prochain.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Oise. Brigitte Bardot s'indigne de l'abattage de 3.000 renards dans une lettre ouverte

Publié le par Ricard Bruno

Ce mercredi, la Fondation Brigitte Bardot a adressé une lettre ouverte à la préfète de l'Oise. La présidente se dit "scandalisée" par l'arrêté prévoyant l'abattage de 3000 renards.

Brigitte Bardot se dit « scandalisée » par l’arrêté publié par la préfecture de l’Oise, dans une lettre ouverte publiée mercredi 18 août 2021. (Illustration

Brigitte Bardot se dit « scandalisée » par l’arrêté publié par la préfecture de l’Oise, dans une lettre ouverte publiée mercredi 18 août 2021. (Illustration

« Cet arrêté est une honte » lâche Brigitte Bardot. Ce mercredi 18 août 2021, la Fondation partage un courrier à l’attention de Corinne Orzechowski, lui demandant de faire marche arrière.

Une semaine plus tôt, la préfète lançait une consultation publique pour l’abattage de 3.000 renards dans le département, d’ici mars 2021. Si cette dernière avait déjà fait réagir les associations et les citoyens – qui s’expriment dans une pétition à plus de 40.000 signatures, c’est au tour de Brigitte Bardot de prendre la défense des bêtes.

 

Oise. Brigitte Bardot s'indigne de l'abattage de 3.000 renards dans une lettre ouverte

« La pression des chasseurs »

« Ces animaux sont une richesse pour la biodiversité et de précieux alliés pour les agriculteurs, écrit Brigitte Bardot, votre arrêté assassin n’est qu’une soumission au lobby de la chasse. »

Pour la préfecture, si l’abattage de ces 3.000 animaux permettrait de réguler leur population et de réduire le risque sanitaire qu’ils représentent pour l’homme et les autres espèces domestiques, la présidente de la Fondation parle d’arguments « ridicules ».

« La Terre ne connaît qu’une espèce nuisible et destructrice, c’est la nôtre ! Le renard doit être protégé et non exterminé car il assure un équilibre naturel » défend Brigitte Bardot, avant de conclure : « j’ose croire que vous ferez preuve de bon sens et que vous déchirerez votre arrêté imbécile. »

 

Une polémique estivale

Cette nouvelle prise de position ravive la polémique entre la préfecture de l’Oise et les associations de défense des animaux.

La semaine passée, alors que la préfecture lançait sa consultation publique, l’association Agir pour le vivant et les espèces sauvages (AVES) relevait qu’un premier arrêté avait été publié le 23 juillet dernier. Mais ce dernier était simplement affiché en mairie, sans consultation publique – ce qui est obligatoire. Il concernait huit secteurs de l’Oise, pour l’abattage de 1.370 animaux. Cette première version de l’arrêté a donc été retirée puis réécrite.

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Brigitte Bardot, naissance d'un mythe

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot en 1952, année de la transformation de la jeune mannequin en actrice.

Brigitte Bardot en 1952, année de la transformation de la jeune mannequin en actrice.

Le cinéma n’était pourtant pas son destin. Danseuse au Conservatoire de Paris, Brigitte Bardot est tombée dans le mannequinat dès l’adolescence. Sa moue boudeuse, sa silhouette féline et son regard effronté en font la mascotte des magazines de mode. Un coup de foudre amoureux va la propulser dans l’œil des caméras. 

« Elle n’est pas jolie, sa lèvre inférieure est trop grosse, elle a de gros yeux et une figure de boniche. » Ainsi parlait Paul Reboux, célébrité littéraire et critique gastronomique. En ces années 1950, les réseaux sociaux n’existent pas, mais on sent déjà poindre l’aigreur des frustrés. Féroce et vulgaire, le vieux monsieur n’a pourtant pas tout à fait tort. Bardot ne correspond pas aux critères de la beauté classique qui bannit les visages poupins. La mode est aux Lana Turner et Marilyn Monroe, le style blonde permanentée, posture de diva. Brigitte Bardot, ça n’est pas du tout cela. Plutôt une sorte de femme-enfant, pas encore fougueuse mais furieusement insolente. D’abord figé devant les objectifs des photographes, le mannequin manque un peu de métier. En redécouvrant les photos de ses débuts, on ne perçoit pas encore la foudroyante sensualité de cette jeune fille aux rondeurs discrètes.

Ce qui se dégage de ses postures sages et timides, c’est son éducation bourgeoise et catholique. Car Bardot est née dans une famille aisée, bel appartement de sept pièces avenue de La Bourdonnais, dans le VIIe arrondissement de Paris. Son père est ingénieur, P-DG de sa propre usine, les Établissements Bardot à Aubervilliers. Elle a une petite sœur, Mijanou, de quatre ans sa cadette, aussi blonde et claire que Brigitte est châtain aux yeux noisette. L’actrice dira plus tard qu’elle se sentait ingrate, mal-aimée, avec un appareil dentaire et une mère qui critique ses « baguettes de tambour » (ses cheveux raides). « J’ai tellement manqué d’amour dans mon enfance. » Il faut dire que la mère ne semble pas pétrie de tendresse pour ses deux filles. Quand, à 7 ans, l’aînée casse un vase précieux, la mère, furieuse, lui ordonne désormais de la vouvoyer, installant dès lors une distance. Si la famille illustre assez justement l’esprit conventionnel et borné, Mme Bardot a tout de même la bonne idée d’inscrire sa fille au cours de danse de Mme Bourget, rue Spontini. Une révélation. Brigitte se réconcilie avec son corps.

En juin 1952, pour sa deuxième couverture de Paris Match : « La nouvelle Leslie Caron », titre le magazine. À l’intérieur, un reportage à Louveciennes, la maison de campagne du clan Bardot.

En juin 1952, pour sa deuxième couverture de Paris Match : « La nouvelle Leslie Caron », titre le magazine. À l’intérieur, un reportage à Louveciennes, la maison de campagne du clan Bardot.

Naturellement, elle a la grâce. À tel point qu’à 14 ans, grâce aux relations de sa mère, bonne cliente des couturiers, elle présente en tutu les chapeaux de Jean Barthet. Au défilé, elle « danse » chaque modèle. Dans le salon capitonné, quelques journalistes côtoient les clientes. La rédactrice en chef de l’hebdomadaire « Jardin des modes » la remarque immédiatement et demande à sa mère l’autorisation de la photographier pour sa une. Hésitation… Dans ce milieu, « cover girl » sonne un peu comme « call girl ». Quand le journal sort, c’est Hélène Lazareff à « Elle » qui la réclame afin d’incarner en couverture « la nouvelle génération ». Les parents acceptent « à condition qu’elle ne soit pas payée et que notre nom n’apparaisse pas ». La ravissante adolescente de 16 ans sera donc « BB ». Le magazine se vend très bien, la jeune fille commence à intéresser les rédactrices et les photographes de mode. C’est le début de ce qu’on n’appelle pas encore le prêt-à-porter mais la confection, c’est-à-dire des vêtements fabriqués industriellement. Brigitte pose aussi bien en jupe crayon, ballerines et chemisier boutonné qu’en robe de bal, épaules dégagées, de chez Jacques Heim ou Pierre Balmain. Les longueurs cachent le genou et les cheveux sont domptés en chignon.

Lors d'une réception, Gary Cooper, Kirk Douglas, Walt Disney tombent sous son charme juvénile et gracieux

C’est alors que le cinéma va faire irruption dans sa vie. Roger Vadim, l’assistant de Marc Allégret, la repère. Il la contacte et lui fait passer un essai pour le casting des « Lauriers sont coupés ». Catastrophe. Son élocution mécanique et sa voix enfantine ne plaisent pas du tout au maestro, qui la recale. De toute façon, le film ne se fera pas ; mais les deux jeunes gens s’éprennent l’un de l’autre. Brigitte a 16 ans, doit passer son bac (qu’elle n’aura pas le temps de décrocher) et se heurte à l’opposition farouche de ses parents qui lui interdisent de revoir « ce saltimbanque ». Elle est désespérée et fait une tentative de suicide un soir en leur absence en ouvrant le robinet du gaz dans la cuisine. La mère, saisie d’une intuition, revient sur ses pas et trouve sa fille inanimée. L’affaire est sérieuse. Les parents réfléchissent… Et vont célébrer le mariage – très bourgeois – à ses 18 ans.

 

Entre photos de mode et petits rôles, BB réussit, grâce à Vadim, à se faire inviter au Festival de Cannes où elle joue les starlettes sur la plage. Elle va même bluffer le gratin américain par son sex-appeal lors d’une réception sur le porte-avions « USS Midway ». Gary Cooper, Kirk Douglas, Walt Disney tombent sous son charme juvénile et gracieux. Ensuite, l’ouragan « Et Dieu… créa la femme », tourné à Saint-Tropez avec trois francs six sous, va déferler sur la planète. Et sonner le glas du « wonder couple » : partenaires à l’écran, Brigitte et Jean-Louis Trintignant tombent amoureux… sous les yeux du mari metteur en scène ! C’est, pour Bardot, le début d’une gloire qui ne la lâchera plus. Elle a imposé son naturel à l’écran et libéré une jeunesse qui n’attendait qu’elle.

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Bardot, l’adieu au cinéma, le combat pour les animaux

Publié le par Ricard Bruno

Bardot, l’adieu au cinéma, le combat pour les animaux

Ce 7 décembre 1967, ni Brigitte Bardot, qui se rend pour la première fois au palais de l’Elysée, ni le général de Gaulle, qui la reçoit, ne savent qu’ils se trouvent au sommet de leur montagne. Devant eux, le vide. Un gouffre impossible à concevoir quelques mois avant la tourmente de Mai 68. Si tous deux ne comprennent pas ce qui se joue, s’ils vacillent, ils ne tombent pas. Alors que personne n’ose imaginer que la fête puisse se terminer, les deux personnalités françaises les plus célèbres dans le monde, choisiront de se retirer. A leur façon.

Interrogée en 1964 sur Europe 1, l’actrice tient à ajouter : « Il y a une personne que j’aimerais rencontrer, c’est de Gaulle. » A Hollywood, lors de la tournée de promotion de Viva Maria ! (1965), de Louis Malle, quand on lui demande si le général est son genre d’homme, elle répond spontanément : « Pour la politique, oui. » Le photographe Raymond Depardon, qui tourne autour de ce tandem au début des années 1960, résume l’affaire : « Pour un photographe débutant, il y avait deux personnes qui dominaient tout à cette époque : le général de Gaulle et Brigitte Bardot. »

« Cette jeune personne est dotée d’une simplicité du

meilleur aloi », confie le général de Gaulle"

La veille de la réception à l’Elysée, l’actrice et son troisième mari, le playboy allemand Gunther Sachs, dînent chez Guy et Marie-Hélène de Rothschild, en compagnie du couple Claude et Georges Pompidou. Quel est le protocole ? Comment s’habiller ? La star française

abreuve de questions le premier ministre. Séduit, attentif, celui-ci lui conseille de faire comme elle se présente à lui. « Vous êtes ravissante », assure-t-il. Ce soir-là, l’actrice porte un pantalon noir et veste noire avec dorures et galons – un costume à mi-chemin entre l’habit du dompteur et l'uniforme militaire...

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Avec Godard, Bardot dans la peau d’une autre

Publié le par Ricard Bruno

Avec Godard, Bardot dans la peau d’une autre
Avec Godard, Bardot dans la peau d’une autre...

 

« Brigitte Bardot, en toute liberté » (5/6). Sur le tournage du « Mépris », en 1963, en Italie, l’actrice, devenue star, s’aperçoit vite que le réalisateur la filme en cherchant à retrouver son épouse, Anna Karina. Ce rôle sera l’une des dernières grandes apparitions de BB avant son choix de quitter le cinéma.

Ce 5 août 1962, Brigitte Bardot profite de l’étirement des journées d’été dans sa maison de Bazoches (Yvelines) quand la radio annonce que Marilyn Monroe a été retrouvée morte à son domicile. Un « suicide probable », selon le médecin légiste, dû à une overdose de barbituriques. Brigitte Bardot se décompose et, prenant conscience du fil invisible qui la relie à la star hollywoodienne, se tourne vers Jean-Max Rivière, son ami et le compositeur de ses chansons, et lui demande : « Que vais-je devenir ? »

Bardot croise Marilyn Monroe le 29 octobre 1956 dans les toilettes du cinéma Empire, sur Leicester Square, à Londres, à l’occasion d’un gala annuel, où des personnalités du cinéma sont présentées à la reine. BB doit l’invitation à la productrice anglaise de Rendez-vous à Rio (1955), un film obscur dans lequel elle tient un petit rôle au côté de Dirk Bogarde. Elle répond d’autant plus favorablement à la proposition que ses camarades de Paris Match l’ont avertie que Marilyn serait là.

A cette époque, la vedette française vient de découvrir le premier montage de Et Dieu… créa la femme, de son époux Roger Vadim, qui sortira un mois plus tard. Elle s’y trouve « pas mal ». « Pas mal » au sens où elle pense qu’elle ne pourra jamais soutenir la comparaison avec la vedette des Hommes préfèrent les blondes. Dans la salle de l’Empire, l’écrivain Arthur Miller, le mari de Marilyn Monroe, remarque cette Française au visage sortant de l’ordinaire. « Il y avait une fille plutôt petite, à l’air timide, avec de longs cheveux ramenés sur la tête ; comme elle se tenait derrière moi, j’ai pu saisir son nom », raconte le dramaturge, frappé par son étrange « choucroute » – des cheveux en abondance, savamment déstructurés, s’élevant haut sur le visage. La « choucroute » est bannie par Vadim pour Et Dieu… créa la femme afin de permettre à ses cheveux – il lui demande de les teindre en blond – de rester en liberté, comme son personnage.

Dans les toilettes de l’Empire, au milieu de femmes soucieuses de corriger un détail, Bardot ne regarde que Marilyn. Blonde dans une robe dorée, la mèche rebelle coulant sur son cou, indifférente au protocole, laissant la trace persistante du parfum N° 5 de Chanel. « Il émanait d’elle une fragilité gracieuse, une douceur espiègle », remarque Bardot.

Un couple qui se déchire

Elles ne se parlent pas mais une fragilité les rapproche. Marilyn est une actrice surdouée dont le talent indiffère. Bardot affiche un manque de confiance inversement proportionnel à son talent. Quand Antoine Bourseiller lui propose le rôle de Célimène dans Le Misanthrope de Molière, au Théâtre national populaire de Chaillot, à Paris, la comédienne se révèle extraordinaire lors des répétitions, soutient le metteur en scène. Mais la peur de sortir de sa zone de confort la fait renoncer. Si Monroe n’a pas mené sa carrière au bout, Bardot, elle, n’exprimera jamais tout son potentiel.

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Brigitte Bardot : ce jour où elle a été agressée avec une fourchette par une infirmière

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : ce jour où elle a été agressée avec une fourchette par une infirmière

Objet de tous les fantasmes masculins, Brigitte Bardot a multiplié les succès au cinéma, les amants mais aussi les débordements en tout genre. Dans son édition du jeudi 12 août 2021, Le Monde nous raconte la fois où le sex-symbol a été pourchassé par une infirmière.

Belle, libre, sauvage, indépendante, pas étonnant que Brigitte Bardot ait longtemps fait tomber tous les hommes (et les femmes !). L'artiste au sang chaud et à la classe folle a imposé ses formes et crevé l'écran, devenant l'icône de la Nouvelle Vague, le fantasme pur des sixties et l'idole des années yéyés. Rien que ça ! Mais ce succès démesuré a parfois dépassé B.B., qui aurait parfois préféré un quotidien plus paisible sur la plage abandonnée, avec les coquillages et crustacés. Aujourd'hui retranchée dans sa villa de La Madrague, à Saint-Tropez, celle qui oeuvre activement pour sa Fondation a conservé son franc-parler, hérité de la période où elle était assaillie par les photographes et harcelée par les fans. "Une vie confisquée" comme le titre Le Monde, dans son édition du jeudi 12 août 2021, et qui raconte plusieurs épisodes tumultueux du parcours de cette insoumise.

Fourchette dans le bras et jet de tomates

Car Brigitte Bardot appartient parfois au domaine du mythe. Ce qui lui vaut des inimitiés et de la jalousie. Le film Vie privée, réalisé par Louis Mallet, revient notamment sur un épisode malencontreux qui met en lumière la furia de certains fans qui lui gâchaient l'existence. Un jour, alors qu'elle se rend à la clinique pour soutenir une amie, elle se retrouve dans l’ascenseur face à une infirmière dérangée "qui lui plante à plusieurs reprises, dans le bras, la fourchette du plateau-repas destiné à un patient". L’argument de son exaspération ? "Mon fils fait la guerre d’Algérie pendant que vous gagnez votre vie en vous déshabillant !", hurle-t-elle à la naïade. Quelques années plus tard, c'est bombardée de tomates et aspergée de seaux d'eau que l'on retrouve la comédienne, à la sortie d'un restaurant en Suisse après une longue journée de tournage. "La putain, en France !", "Qu’elle aille chez elle faire ses saloperies !", "Qu’on rouvre les maisons closes pour la mettre dedans avec une caméra ! ", entend-t-on au loin. Parfois traitée comme un animal par ses propres congénères, la talentueuse artiste préfère désormais la compagnie de ces derniers.

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