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le web en parle

1957, ODETTE JOYEUX-BRIGITTE BARDOT : UNE RENCONTRE PRÉDESTINÉE

Publié le par Ricard Bruno

"Le savoir, le savoir faire et le faire savoir"

En 1954, Odette Joyeux découvre le visage d'une jeune inconnue en couverture de magazine. Elle s'en inspire pour l'héroïne de son roman "La mariée est trop belle". Elle est loin alors d'imaginer que cette inconnue, devenue célèbre, incarnera son personnage au cinéma. Un petit miracle, raconté ici par Odette Joyeux et une certaine... Brigitte Bardot.

Vous souvenez-vous d'Odette Joyeux ? Née le 5 décembre 1914, elle fut une comédienne célèbre des années 30-40. Elle abandonne le cinéma dans les années 50 pour se consacrer à la littérature. En 1954, devenue auteure à succès, elle publie un roman intitulé La mariée est trop belle. L'ouvrage obtient le prix Courteline la même année. En 1956, sortira la suite La mariée ingénue. Sous l'impulsion de Brigitte Bardot, alors jeune égérie du cinéma français, l'œuvre est adaptée pour le cinéma sous le titre : La mariée est trop belle.

Deux femmes prédestinées à se rencontrer...

Derrière ce film se cache une histoire étonnante que racontent ici l'écrivaine et l'actrice, réunies pour une dédicace dans une librairie du faubourg Saint Honoré. Nous sommes le 21 février 1957, à l'occasion de la sortie du film, la journaliste Micheline Sandrel demande des précisions aux deux artistes sur leur travail commun sur l’adaptation de La mariée est trop belle. Une collaboration qui a tout de la synchonicité si chère à Carl Gustav Jung. L'écrivaine raconte en effet que bien avant de rencontrer Brigitte, c'est son visage qui avait inspiré son personnage de Chouchou : "Brigitte qui n'était alors que covergirl avait posé pour la couverture de Elle. Et j'avais trouvé cette photographie extrêmement jolie. Et quand j'écrivais La mariée est trop belle, malgré moi, inconsciemment, je lui donnais le visage de Brigitte."

Mais la synchronicité ne s'arrête pas là. La jeune comédienne confie en effet qu'elle rêvait de porter le livre à l'écran dès sa lecture du livre, alors qu'elle était inconnue :

"Depuis que le livre est sorti, c'était il y a deux ans, je l'avais lu et j'avais très envie de tourner le rôle de Chouchou. Mais à l'époque, je n'étais pas assez connue pour dire : je veux faire ce film."

La journaliste s'exclame : "J'ai l'impression que vous avez eu une excellente idée ! "

Ce que confirme Brigitte Bardot, enthousiaste : "Oh oui alors ! Ce que je l'aime Chouchou […] j'avais l'impression que ça avait été fait pour moi. Même en le lisant, il y a deux ans, j'avais trouvé ça très joli. Très, mignon."

Micheline Sandrel souligne que le temps a passé très vite, entre le moment où elle était inconnue et dans l'impossibilité de mener à bien ce projet, et la sortie du film. L'actrice confirme : "Oui, c'est une sorte de miracle. C'est merveilleux. Je suis très contente d'avoir pu le faire. Parce que quelquefois, je lis des livres et je n'ai pas encore pu les réaliser en film. Et celui-là, je suis ravie que ce soit devenu un film."

Devant la caméra, auteure et actrice semblent partager une réelle complicité. Odette Joyeux confie : "On s'entend très bien. On est très contente l'une de l'autre !". Elle raconte ensuite avoir participé à l'écriture des dialogues et à l'adaptation du film, mais sans avoir le droit de venir sur le plateau : "Ah ça, jamais ! Je n'avais pas le droit. Mais c'est resté très amical. J'ai préféré voir le film entièrement terminé."

Odette Joyeux et Brigitte Bardot refusent de conclure l'interview par la lecture d'un extrait du livre, l'auteure déclare : "je ne peux pas. Je ne sais pas quoi lire. Vous devriez aller voir le film !"

Finalement Odette Joyeux finit par accepter et lit quelques lignes de circonstances : "Nous sommes restés un bon moment bien installés dans le silence et comme la conversation, le gâteau s'est éteint."

Le reportage s'achève en musique sur des images des nombreux fans venus réclamer une dédicace et un autographe des deux complices.

Tournage de l'émission "Le comédien et l'homme", 1951

Mini bio...

Odette Joyeux, est une actrice française, née le 5 décembre 1914 et morte le 26 août 2000. Elle fut également écrivain et romancière. Après avoir étudié la danse à l'école du Ballet de l'Opéra de Paris, elle commence une carrière au cinéma en 1930 et, parallèlement, au théâtre avec Louis Jouvet, dans Intermezzo en 1933. Mariée à l'acteur Pierre Brasseur en 1935, c'est la mère de Claude Brasseur. Elle épouse en secondes noces Philippe Agostini en 1958. 

Elle va s'éloigner du cinéma pour se consacrer à la littérature. Auteure de plusieurs romans, de pièces de théâtre et d'essais, en 1994, elle écrit ses mémoires. Odette Joyeux est morte d'une attaque cérébrale le 26 août 2000. Elle est enterrée au cimetière de Grimaud (Var) aux côtés de son mari Philippe Agostini.

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Discographie Brigitte Bardot : "Je danse donc je suis"...

Publié le par Ricard Bruno

Discographie Brigitte Bardot : "Je danse donc je suis"...
Paroles
JE DANSE DONC JE SUIS
Je dan-se, donc je suis
Tu dan-ses et je te suis
Mais si je te suis
Ce n'est pas pour'c que tu penses
C'est pour la dan-se
Pas pour la vie
Ne prends pas cet air triste
et ne prends pas la peine
De pren-dre tout ton temps
à me dir' que tu m'aimes
Je ne me fi-xe pas
je ne prends pas ra-cine
Je ne suis pas de cell's
qu'un re-gard as-sas-sine
Je vie
C'est pour la dan-se
Pas pour la vie
C'est pour la dan-se
Pas pour la vie
2
Je danse donc je suis
Tu danses et je te suis
Mais si je te suis
Moi je te suis pour la danse
Faut pas qu'tu penses
Que c'est acquis
C'est à toi de jouer et de savoir me plaire
Je ne dis pas qu'un jour il ne puisse se faire
Que la danse finie je reste prise au piège
Qui sera celui-là peut-être toi, qu'en sais-je
3
Je danse donc je suis
Tu danses et je te suis
Mais si je te suis
Ce n'est pas pour c'que tu penses
C'est pour la danse
Pas pour la vie
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Murray Head : une vie rythmée par le cinéma

Publié le par Ricard Bruno

Murray Head : une vie rythmée par le cinéma

Brillant dès son plus jeune âge, Murray Head a débuté sa carrière sur les chapeaux de roues. Sur scène comme sur les plateaux de cinéma, rien ne l’arrête. Retour sur sa carrière cinématographique.

Murray Head : un enfant de la balle

Une mère comédienne, un père réalisateur de documentaire et un frère acteur, Murray Head a toutes les prédispositions pour se lancer dans le cinéma. Pour l’anecdote, son frère n’est nul autre que Anthony Stewart Head, un acteur devenu célèbre grâce à la série à succès "Buffy contre les vampires", mais aussi les films "Sweeney Todd" et "L'Amant de Lady Chatterley". C’est donc tout naturellement que Murray Head accepte son premier rôle à l’âge de 23 ans. Il joue alors Judas Iscariote dans l’opéra rock "Jesus Christ Superstar". Ce sont les premiers pas d’une longue carrière dans le cinéma. Talentueux pour le chant, il contribue en 1966 à la bande originale du film "The Family Way", en interprétant le titre "Someday soon". Énergique et talentueux, il ne se contente pas d’une apparition cinématographique. Murray Head devient acteur dans la série "St Ives", notamment dans deux épisodes. Puis, il fait ses premières apparitions sur la scène cinématographique française aux côtés de deux grosses pointures des années 60, Jean Rochefort et Brigitte Bardot. Bien entouré, il interprète le rôle de l’assistant de Dickinson dans le long métrage "À cœur joie".

Murray Head : son amitié avec Patrick Dewaere

Issu de la même génération que le jeune premier français, Patrick Dewaere, il se lie d’amitié avec ce dernier. Les deux amis partagent une passion pour le cinéma. Murray Head apprend beaucoup aux côtés de son ami. Ce dernier était une révélation du cinéma français, probablement un des acteurs les plus brillants. Malheureusement, Patrick Dewaere s’enlève la vie à l’apogée de son succès, alors qu’il n’a que 35 ans. Le chanteur Murray Head en est très affecté. Il lance alors un nouvel album nommé "Shade". À cette occasion, il dédie une chanson à son ami de toujours "Shades of the prison house". En 1992, ce titre deviendra la B.O. du film documentaire posthume consacré à Dewaere, réalisé par Marc Esposito.

Les années 80 de Murray Head

Pour le jeune chanteur, les années 80 sont tout aussi fructueuses que les années 70, où son talent devient indiscutable avec l'album "Say It Ain’t So". Il se lance dans la comédie musicale avec "Chess". Il y interprète notamment un de ses titres, "One Night in Bangkok". Le succès de la chanson dépasse celui du music-hall. L’adage dit qu’on ne peut espérer avoir le beurre, l’argent du beurre et la crémière. Ceci ne s’applique pas à Murray Head, puisqu’en plus de décrocher un rôle dans "Sur la route de Nairobi" et "Un été d'orages", il est aussi engagé pour composer les bandes originales des deux films. Le chanteur a le vent en poupe, et tout ce qu’il touche se transforme en or.

De succès en succès

Murray Head a la recette de la réussite. Son parcours se déroule sans accrocs. Dans les années 90, il continue d’alterner les métiers d’acteur et de chanteur. Ou mieux encore, il porte les deux chapeaux. Anglophone et francophone, il peut chanter aussi bien en français qu’en anglais. Le Québec et Luc Plamondon – le producteur de Starmania – lui ouvrent grand les portes. Il lance notamment le titre "Une Femme, un Homme". Ce n’est que le début de sa collaboration avec le producteur québécois. Quelques années plus tard, il jouera dans le spectacle "Cindy", en référence au conte "Cendrillon". Cet album fait partie des plus connus du chanteur. Il a rencontré énormément de succès dans la francophonie. Il remporte même un disque d’or. Murray Head est aussi un amoureux de la littérature. Au nom de cette passion, il interprète "India Song", un titre composé à partir de textes de Marguerite Duras. Il s’aventure également sur un nouveau terrain, la scénarisation, avec l’écriture du script des "Enfants du siècle". Ce long métrage relate la vie amoureuse de George Sand et Alfred de Musset. Le résultat est prometteur. Par ailleurs, il côtoie les plus grands du cinéma. Il donne notamment la réplique à Fabrice Luchini dans "Beaumarchais, l'insolent".

Les années 2000

Dans les années 2000, Murray Head reprend le succès "Le Sud" de Nino Ferrer, et rencontre l’accueil escompté. Après toutes ces années, le chanteur ne se contente toujours pas de la scène musicale, malgré sa notoriété. Il continue d’être un artiste touche-à-tout. Au Royaume-Uni, il apparaît dans plusieurs séries anglaises, et est toujours reçu avec autant d'enthousiasme par le public. Son parcours est tout aussi fantastique qu'atypique. Tous ses admirateurs peuvent d’ailleurs en connaître les moindres détails grâce à son autobiographie "En passant", sortie en 2011. Pour ceux qui apprécient particulièrement Murray Head en tant que chanteur, vous pouvez vous repasser sa discographie jusqu’à son dernier album studio en date, "My Back Pages". Depuis, il a sorti une compilation, "Scrapbook". Et, nul doute qu’il n’a pas dit son dernier mot, et qu’il réserve encore de nombreuses surprises à ses admirateurs. Le chanteur britannique est loin d’avoir tiré sa révérence.

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A Paris, une famille de renards photographiée au cimetière du Père Lachaise

Publié le par Ricard Bruno

A Paris, une famille de renards photographiée au cimetière du Père Lachaise
A Paris, une famille de renards photographiée au cimetière du Père Lachaise

En fin de semaine dernière, un couple de renards et ses quatre petits ont été aperçus pour la première fois en train de déambuler au milieu du célèbre cimetière du Père Lachaise, à Paris (XXe arrondissement). Une situation qui s’explique en partie par la désertion du public des lieux.

Jim Morrison, Edith Piaf, Oscar Wild… et au milieu, un couple de renards et ses quatre petits. Une scène bien réelle, immortalisée au cimetière le plus connu au monde, celui du Père Lachaise, situé dans le XXe arrondissement de Paris.

Ils sont loin, les trois millions et demi de visiteurs annuels des lieux. Depuis le début du confinement, nombreux sont les clichés montrant la faune "reprendre ses droits", à la reconquête des espaces urbains. Les images prises au cimetière sont l’œuvre du conservateur du domaine, Benoît Gallot. Elles ont été reprises dans un tweet de Pénélope Komitès, adjointe à la mairie de Paris, en charge des espaces verts, de la nature, de la biodiversité et des affaires funéraires.

Confinement et zéro phyto

Ces clichés constituent une première pour ces lieux, même si l’adjointe au maire précise dans les colonnes de nos confrères du Parisien que des renards avaient déjà été aperçus dans plusieurs cimetières en banlieue parisienne, notamment à Ivry.

Le point commun de ces deux cimetières ? Leur ville n’utilise plus de produits phytosanitaires dans l’entretien de leurs espaces verts depuis 2015. Résultat : des espèces sont réapparues, essentielles pour la bonne santé de ces écosystèmes.

Il ne manquait donc plus que les mesures de confinement pour voir gambader en toute sérénité cette famille de renards, un animal qui pointe rarement le bout de son museau en présence d’humains.

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Besançon: naissance exceptionnelle d'un petit singe Langur de François

Publié le par Ricard Bruno

Le petit singe Ligur de François né au zoo de Besançon, dans les bras de sa mère, le 27 avril 2020 à Besançon

Le petit singe Ligur de François né au zoo de Besançon, dans les bras de sa mère, le 27 avril 2020 à Besançon

Un bébé Langur de François est né le 18 mars au zoo du muséum de la Citadelle de Besançon, une naissance "exceptionnelle" pour cette espèce de singes en danger d'extinction, vivant en Chine et au Vietnam, a indiqué lundi l'établissement.

Sous le regard de son père, Johan, et bien agrippé à sa mère, Ping, le petit mâle à la tête rousse effectue ses premières sorties dans son enclos, alors que le zoo de Besançon demeure désert et paisible en raison du confinement.

"Il s'agit d'une naissance exceptionnelle pour ces primates dont il ne subsisterait que 2.000 individus dans la nature, et 133 en institutions zoologiques dans le monde", indique le muséum dans un communiqué.

Le Langur de François, du nom d'un consul de France en poste dans le sud de la Chine au XIXe siècle, est une espèce "menacée par la destruction de son habitat naturel" - par l'agriculture et l'exploitation minière - et par "la chasse alimentant la pharmacopée chinoise traditionnelle", précise-t-il.

Le jeune mâle est le premier de son espèce à voir le jour à la Citadelle, dont le jardin zoologique est le seul établissement français à présenter ces Langurs. Cette naissance est la quatrième de cette espèce en captivité en Europe et la cinquième dans le monde.

Ses parents, Ping, cinq ans, et Johan, 15 ans, sont tous deux nés au Royaume-Uni et sont arrivés à la Citadelle respectivement en 2018 et 2012.

D'après les soignants du zoo, le pelage roux du bébé Langur de François à la naissance disparaîtra après quelques semaines pour devenir aussi noir que celui de ses parents.

A l'état sauvage, cette espèce vit dans les collines karstiques de la région du sud-ouest de la Chine jusqu'au nord-est du Vietnam. Ils vivent en bande d'une douzaine d'individus en moyenne, dirigées par les femelles, qui élèvent les jeunes ensemble.

Ces singes vivent dans des grottes creusées par les pluies dans les falaises de calcaire, et se nourrissent essentiellement de feuilles, bourgeons, écorces et racines.

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La chasse à la baleine en Islande annulée pour le deuxième été consécutif

Publié le par Ricard Bruno

 La chasse à la baleine en Islande annulée pour le deuxième été consécutif

Les baleines vivant au large de l'Islande peuvent être rassurées. Pour la deuxième année consécutive, elles ne courent aucun risque d'être chassées.

Célèbre pour ses paysages à couper le souffle, l'Islande est le lieu idéal pour observer les baleines. Mais le pays est aussi connu pour chasser ces mammifères marins. La chasse commerciale y a en effet repris en 2003. En 2018, les baleiniers islandais ont ainsi harponné 146 rorquals communs et six baleines de Minke. Début 2019, le ministre islandais de la pêche a accordé un nouveau quota de chasse à la baleine de 209 rorquals communs et 217 baleines de Minke par an pour les cinq prochaines années.

Sauf qu'en 2019, les deux principales compagnies ont jeté l'éponge. Hvalur hf n'avait pas obtenu ses permis à temps, et IP Útgerð ehf jugeait l'activité pas assez rentable. Et les deux entreprises ne chasseront pas non plus en 2020. IP Útgerð ehf , spécialisé dans la chasse de la baleine de Minke, a même décidé de ranger ses harpons pour de bon. "Je ne chasserai plus jamais les baleines, je m'arrête pour de bon", a déclaré à l'AFP son directeur général, Gunnar Bergmann Jonsson. Il explique que la chasse, qui n'a lieu que l'été, est devenue trop coûteuse car la zone côtière où la pêche est interdite a été étendue, obligeant les baleiniers à aller encore plus loin au large.

 

Quant à Hvalur hf, unique entreprise à harponner le rorqual commun, la chasse a été reportée à l'année prochaine, à cause de problèmes d'exportation et du coronavirus. Son directeur général, Kristjan Loftsson, a déclaré au quotidien Morgunbladid que la concurrence était trop forte avec le Japon. Le pays asiatique, qui est le principal acheteur, a également repris la chasse commerciale des baleines en 2019. Et ses exigences de sécurité alimentaire sont plus strictes sur la viande importée que sur les produits locaux, rendant les exportations islandaises plus difficiles. Kristjan Loftsson a ajouté que les mesures de distanciation sociale mises en place par les autorités pour lutter contre le virus auraient été difficiles à mettre en place dans les usines de transformation de la viande de baleine.

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À cœur joie

Publié le par Ricard Bruno

À cœur joie

À cœur joie est un film franco-britannique réalisé par Serge Bourguignon, sorti en 1967 avec Brigitte Bardot et Laurent Terzieff. On remarque la présence dans un petit rôle de Murray Head. Le guitariste et chanteur David Gilmour a aussi chanté les deux chansons de la bande originale.

Synopsis

Une cover-girl mal mariée, Cécile (Brigitte Bardot) trompe son profond ennui dans les bras d'un charmant amant de passage, Vincent (Laurent Terzieff) pour qui elle éprouve bientôt une folle passion.

 

Lieu de tournage

Les scènes du film ont été tournées sur place sur la plage de Gullane en East Lothian en Écosse en septembre 1966. Le casting principal est resté à l’Open Arms dans le village de Dirleton.

 

Fiche technique

Distribution

Réception

  • Le film a été interdit aux moins de dix-huit ans à sa sortie.
  • Le film a été très mal reçu par la critique française qui l'a jugé peu original sur plusieurs points, le scénario du film étant proche de celui de Galia de Georges Lautner aussi scénarisé par Vahé Katcha, les motifs du photographes de mode et des cover-girls à Londres étant déjà au centre du film Blow up de Michelangelo Antonioni sorti deux semaines plus tôt, et enfin certains plans notamment celui du couple sur la plage rappelaient trop fortement ceux d'Un homme et une femme de Claude Lelouch.
  • Avant de se joindre à Pink Floyd et alors qu'il se trouvait à Paris avec son groupe de l'époque Joker's Wild, le guitariste et chanteur David Gilmour a chanté sur les deux chansons de la bande originale du film, Do You Want To Marry Me? et I Must Tell You Why sur une musique de Michel Magne.
À cœur joie
À cœur joieÀ cœur joieÀ cœur joie
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Discographie Brigitte Bardot : "À la fin de l'été"...

Publié le par Ricard Bruno

Paroles
Tu sais
J'en ai fait des voyages
J'en ai vu d'autres plages
Je les ai oubliées
Tu sais
J'en ai vu des orages
On en voit à tout âge
À la fin de l'été
Alors
Je voudrais bien savoir le pourquoi
Qui me fais rester là près de toi
Sous la pluie ce soi
Pourtant
Cette plage est la même
Je ne suis plus la même
Qu'il y a-t-il de changé
Je sais
Tu veux faire des voyages
Oublier notre plage
Et tout abandonner
Et seule
Je suis seule à chercher le pourquoi
Qui t'emporte aujourd'hui loin de moi
Peut-être à jamais
La pluie
Vient mouiller mon visage et confondre les larmes
Que je ne peux cacher
Pourtant
Je vais te dire quand même
Encore plus fort je t'aime
Jusqu'au prochain été.
Discographie Brigitte Bardot : "À la fin de l'été"...

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Discographie Brigitte Bardot : "Ça pourrait changer"...

Publié le par Ricard Bruno

Discographie Brigitte Bardot : "Ça pourrait changer"...
Paroles
Toi qui, sans cesse,
Me fais des promesses
Que tu ne tiens pas,
Toi qui inventes
Des phrases méchantes
Pour te moquer de moi,
Ne souris pas, prends garde à toi.
Crois-moi, la prochaine fois,
Attention !
Yé yé yé yé !
Ça pourrait changer !
Toi qui espères
Me mettre en colère
Pour des riens du tout,
Toi qui m'agaces
Avec des grimaces
En guise de mots doux
Ne souris pas, prends garde à toi.
Crois-moi, la prochaine fois,
Attention !
Yé yé yé yé !
Ça pourrait changer !
Oui, pour toi, cela n'est qu'un jeu,
Mais, moi, je ne joue pas.
Et vraiment, si tu m'aimes un peu,
Alors, arrête-toi !
Et je sais d'avance
Que j'aurai la chance,
Quand le jour viendra,
D'être satisfaite
Devant ta défaite,
Lorsque tu me diras
Ne souris pas, prends garde à toi.
Crois-moi, la prochaine fois,
Attention !
Yé yé yé yé !
Ça pourrait changer !
Attention !
Yé yé yé yé !
Ça pourrait changer !
Attention !
Yé yé yé yé !
Ça pourrait changer !
Attention !
Yé yé yé yé !
Ça pourrait changer !
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