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En Savoie, le parc national de la Vanoise lance un projet de protection des oiseaux des domaines skiables

Publié le par Ricard Bruno

Jeune gypaete Barbu au Puy du Fou, le 22 mars 2007

Jeune gypaete Barbu au Puy du Fou, le 22 mars 2007

Le Parc national de la Vanoise (Savoie) lance un projet de préservation des oiseaux vivant dans les domaines skiables en partenariat avec des stations de ski des Alpes, dont l'activité impacte le cycle de vie de certaines espèces emblématiques.

Les porteurs du projet, baptisé "Birdski", font valoir que les aménagements des domaines skiables perturbent la quiétude des grands rapaces, comme le gypaète barbu, et des galliformes de montagne, comme le tétras-lyre.

Ils "peuvent avoir un impact sur les oiseaux: fragmentation des territoires de vie, mortalité par percussion sur les câbles, dérangement lors de phases clés du cycle de vie", indique le Parc national de la Vanoise dans un communiqué.

L'objectif de "Birdski" est d'"améliorer la connaissance et la prise en compte de ces oiseaux emblématiques présents dans les domaines skiables".

Lancé en janvier avec le concours du Conservatoire d'espaces naturels de Haute-Savoie et l'Observatoire des galliformes de montagne (OGM), ce projet s'inscrit dans la continuité du projet d'envergure européenne "Life Gyphelp" en faveur du gypaète barbu.

"Birdski" ambitionne de construire un partenariat avec trente-six stations de ski des Alpes - "dix-sept en Savoie et 19 en Haute-Savoie". Il se poursuivra jusqu'au 31 décembre 2022.

Concrètement, il s'agira de créer des "zones de quiétude concertées pour les tétras-lyre" après avoir identifié des "zones compatibles avec leurs usages" et d'accompagner les stations dans l'équipement de "certains câbles avec des flotteurs pour éviter les percussions d'oiseaux".

Les domaines des Arcs-Peisey et de Val Cenis ont déjà acté leur coopération. Sur ces domaines pilotes, un suivi sera effectué sur des tétra-lyre équipés de GPS en mai 2020 et 2021 afin de "suivre leurs déplacements et leurs comportements".

Source de l'article : Cliquez ICI

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Le confinement n'arrête pas le braconnage

Publié le par Ricard Bruno

Le monde des salopards en profitent pour massacrer tout ce qui bouge, comment notre monde peut il tolérer de tels agissements, c'est un scandale, une HONTE ! 

Bruno Ricard 

Le braconnage d'espèces en danger pourrait augmenter, alors que l'attention des gouvernements est absorbée par la gestion du coronavirus et des mesures de confinement, a averti mercredi l'ONG Wildlife Justice Commission.

"Il existe une crainte importante que les actes de braconnage augmentent pendant le confinement, les réseaux criminels profitant de la fermeture des parcs, de patrouilles réduites dans les aires protégées ou du fait que les ressources dédiées au respect des lois se concentrent sur des problèmes liés au Covid-19", avertit-elle.

Des saisies importantes ont eu lieu en Afrique et en Asie depuis que de larges régions du monde sont soumises au confinement, ou des stocks y ont été repérés. C'est le cas par exemple de plus de six tonnes d'écailles de pangolins saisis en Malaisie le mois dernier, ou encore des stocks d'ivoire au Cambodge, au Laos ou au Vietnam, selon l'ONG.

Pour l'ONG, il est important de renforcer le contrôle aux frontières, alors que les réseaux criminels s'adaptent à la nouvelle situation et que le braconnage pourrait bientôt repartir de plus belle.

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Un photographe immortalise deux manchots se réconfortant après la perte de leur partenaire

Publié le par Ricard Bruno

Un photographe immortalise deux manchots se réconfortant après la perte de leur partenaire

En Australie, un photographe a immortalisé de rares images de deux manchots en train de se réconforter. Chacun avait perdu son partenaire.

Ces images extraordinaires ont fait le tour du monde. Tobias Baumgaertner, un photographe allemand, a réussi à prendre en photo et à filmer deux manchots pygmées en train de se réconforter. Les deux oiseaux, qui ont chacun perdu leur partenaire, étaient enlacés, regardant au loin la ville de Melbourne, en Australie. Le photographe précise que le lien de parenté entre les deux manchots n'est pas connu. Ils pourraient donc être de la même famille, ou amis.

Comme Tobias Baumgaertner l'explique sur son compte Instagram, "J'ai capturé ce moment il y a environ un an. Ces deux manchots pygmées posés sur un rocher surplombant l'horizon de Melbourne se tenaient là pendant des heures, nageoire contre nageoire, regardant les lumières scintillantes de l'horizon et de l'océan. Un bénévole s'est approché de moi et m'a dit que l'oiseau blanc était une dame âgée qui avait perdu son partenaire, et apparemment le jeune mâle de gauche aussi. Depuis lors, ils se rencontrent régulièrement pour se réconforter et rester debout pendant des heures à regarder les lumières dansantes de la ville voisine".

Comme son nom l'indique, le manchot pygmée est l'espèce de manchot la plus petite, lui qui mesure au maximum 43 cm. En raison de son plumage bleu, il est également surnommé petit manchot bleu. On le trouve notamment sur le littoral de la Nouvelle-Zélande et le sud de l'Australie. Vivant dans de grandes colonies, ce manchot est en général monogame, formant le même couple d'une année sur l'autre.

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Maltraitance : la Fondation BB tire la sonnette d’alarme

Publié le par Ricard Bruno

Maltraitance : la Fondation BB tire la sonnette d’alarme

La Fondation Brigitte Bardot a adressé une lettre au ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, afin de lui demander d’agir le plus rapidement possible contre les actes de cruauté, dont le nombre n’a cessé d’augmenter durant le confinement.

 

L’association explique ainsi : Le confinement semble multiplier les violences à l’égard des personnes sensibles, mais aussi envers les animaux victimes de mauvais traitements et, semble-t-il, d’actes zoophiles. Mais face aux témoignages reçus, il nous est impossible de diligenter des enquêtes auprès de nos bénévoles, non autorisés à se déplacer, et nous rencontrons les plus grandes difficultés à mobiliser les forces de l’ordre, équipes municipales ou services vétérinaires.

 

Maltraitance : la Fondation BB tire la sonnette d’alarme

La Fondation Brigitte Bardot dénonce également des suspicions d’abattage clandestin, après avoir recueilli plusieurs témoignages allant en ce sens. L’organisation demande ainsi à Didier Guillaume de prendre les mesures nécessaires pour enrayer cette vague de violence le plus rapidement possible. La Fondation conclut ainsi sa lettre :

 

 

Nous sommes conscients des difficultés rencontrées sur le terrain pour organiser les actions prioritaires, mais celle-ci en est une. C’est pourquoi nous lançons cet appel à l’aide, nous ne voulons pas être simplement informés des actes de cruauté perpétrés sur les animaux mais être en mesure d’agir, comme nous l’avons toujours fait, pour venir en aide à toutes ces victimes silencieuses.

 

Plusieurs cas d’actes de cruauté ont en effet été rapportés depuis le début du confinement, en mars 2020. Un homme a notamment abattu ses deux chiens d’un coup de fusil alors que les animaux se trouvaient sur le balcon de son appartement.

 

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Discographie Brigitte Bardot : "Jamais trois sans quatre"...

Publié le par Ricard Bruno

Paroles
Embrasse-moi tout l'été pour me plaire
Enclace-moi tout l'été pour danser
Comment passer un été sans embrasser?
Moi, je ne peux pas m'empêcher de danser
Il faut que j'embrasse
Le premier qui passe
Le premier qui m'emmènera danser
Et par une danse
Que je récompense
Le premier qui voudra bien m'embrasser
Embrasse-moi tout l'été pour me plaire
Enclace-moi tout l'été pour danser
Mais le premier n'a pas voulu m'embrasser
Quant au second il ne savait pas danser
Vienne le troisième qu'il danse et qu'il m'aime
Je le croyais quand il est arrivé
Il était sans rire sûr de me séduire
Il est venu mais ça n'a rien changé
Embrasse-moi tout l'été pour me plaire
Enclace-moi tout l'été pour danser
Toi qui n'as rien fait pour venir m'embrasser
Toi qui voulais m'empêcher d'aller danser
Bien que tu m'agaces
Tu as pris la place
Des trois premiers que j'ai vite oubliés
Jamais trois sans quatre
À quoi bon se battre?
Nous aurons tout l'hiver pour nous aimer
Embrasse-moi tout l'été pour me plaire
Enclace-moi tout l'été pour danser.
Discographie Brigitte Bardot : "Jamais trois sans quatre"...
Discographie Brigitte Bardot : "Jamais trois sans quatre"...Discographie Brigitte Bardot : "Jamais trois sans quatre"...
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Les femmes...

Publié le par Ricard Bruno

Les femmes...

Synopsis

Un romancier à court d'inspiration engage une secrétaire à tout faire pour l'aider à trouver de nouvelles idées érotiques.

Fiche technique

Distribution

Les femmes...
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Shalako...

Publié le par Ricard Bruno

Shalako...

Synopsis

Une partie de chasse dirigée par un baron et une comtesse européens pénètre dans la réserve de chasse des Apaches et très vite, se retrouve en mauvaise posture. Ce comité de notables, va recevoir l'aide d'un ancien colonel de l'armée, surnommé Shalako, pour échapper aux Apaches...

Fiche technique

Distribution

Autour du film

Voir aussi

Bibliographie
Shalako...
Shalako...Shalako...
Shalako...Shalako...
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Un jour, un objet : Tam Tam

Publié le par Ricard Bruno

Tam Tam, tabouret en polypropylène d’Henry Massonnet. Stamp Edition

Tam Tam, tabouret en polypropylène d’Henry Massonnet. Stamp Edition

En 1969 Brigitte Bardot était au top (elle l'est toujours actuellement, mais dans un autre registre celui de la protection animale avec sa fondation éponyme)...même e posant pour un magazine avec ce fameux tabouret "Tam Tam" elle déclencha la folie des achats de ce tabouret devenu iconique....

Bruno Ricard 

Nous voilà confinés… et entourés des mêmes objets chaque jour. Pour vous changer les idées, on jette un autre œil sur eux. Aujourd’hui, Tam Tam. Certains tapent sur des bambous, d’autres sur ce tabouret-sablier né en 1968 devenu depuis l’emblème d’un design populaire et pratique.

Il y a des objets que l’on croit connaître par cœur, comme s’ils avaient toujours fait partie du décor. C’est le cas du Tam Tam. Icône populaire à la célèbre forme de sablier, nombreux sont ceux qui ont tenté un rythme de percussion dessus. Pourtant, l’histoire de ce siège, créé à la fin des années 1960, est plus chaotique que ce que l’on imagine. Ce tabouret en polypropylène naît en 1968, dans l’Ain, des mains du designer et entrepreneur français Henry Massonnet (1922-2005). C’est la grande époque du « tout-plastique » dans le secteur du design et le créateur vient de mettre au point un nouveau procédé de moulage dans sa société familiale, Stamp, consacrée à la fabrication de peignes.

Henry Massonnet griffonne alors un tabouret pratique et transportable à destination de ces clients pêcheurs pour qui il imagine déjà des glacières. En trois clics, les deux éléments coniques et creux sont assemblés et l’assise montée. Du jamais-vu. Logiquement, le succès du Tam Tam dépasse très vite le simple bord des rivières pour devenir très populaire. Coup de projecteur imprévu en 1969, Brigitte Bardot prend la pose dans son salon pour le magazine Ici Paris avec plusieurs modèles. En dix ans, plus de 12 millions d’exemplaires sont vendus, au prix de 15 francs, et le Tam Tam devient objet culte. Dans la foulée, il entre dans les collections du Musée d’art moderne de New York en 1970 et son créateur au Guinness Book.

Mais la crise pétrolière de 1973 met à mal l’industrie du plastique et cette longue et mauvaise passe aura raison du tabouret. Henry Massonnet en arrête la production en 1980. Pendant vingt ans, les moules originaux n° 169 prennent la poussière. Mais, au début des années 2000, Sacha Cohen, un passionné de son design, s’active pour faire reprendre la production française au sein même de l’usine Stamp, toujours située à Nurieux, dans cette région de l’Ain surnommée « Plastic Vallée ».

Les grandes enseignes de décoration s’enthousiasment de ce retour et mettent le Tam Tam dans leurs catalogues, d’Habitat aux centres Leclerc (à partir de 19 euros). Des copies chinoises viennent aussi inonder le marché. En 2019, 200 000 pièces originales ont encore été vendues. Ses déclinaisons se sont multipliées et, désormais, un site Internet, Mytamtam.fr, permet de modeler le tabouret à son goût, avec des coloris pop, fluo ou des motifs arty. Une étonnante renaissance.

Source de l'article : Cliquez ICI

 

 

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Brigitte Bardot, Audrey Hepburn… Deux icônes, deux danseuses

Publié le par Ricard Bruno

Avant de devenir l'actrice française la plus célèbre des années 60, Brigitte Bardot se prédestinait à une carrière de danseuse classique. Admise au Conservatoire de Paris, la jeune fille enchaîne entre ses leçons de danse, les séries de mode pour le magazine Elle et ses premières auditions pour le cinéma, qui finira par l'adopter et l'ériger au rang de bombe sexuelle, notamment grâce à Et Dieu… créa la Femme, de Roger Vadim, son Pygmalion. Une décennie avant elle, c'est une autre jeune fille, brune et gracile qui se passionne pour la danse classique avant de forger sa légende à Hollywood. Dès l'âge de 5 ans, Audrey Hepburn a des rêves de danseuse étoile. Elle chausse ses pointes entre Londres, la Belgique et le Pays-Bas, où elle fait ses classes au Conservatoire d'Arnhem. Mais souffrant de graves carences pendant la guerre, Audrey mettra un terme à sa future carrière de ballerine. De ses années de danseuse, l'actrice en gardera une silhouette longiligne, une taille de guêpe et un port altier, loin des canons de beauté de l'époque, qui lui ouvriront les portes d'Hollywood.

Deux icônes, deux danseuses. Une passion qu'elle ne cesseront jamais d'habiter tout au long de leur carrière. Dans la vie, comme à l'écran. On se souvient du mambo sensuel de Bardot dans Et Dieu… créa la Femme qui rend fou Jean-Louis Trintignant, et le spectateur, ou encore de la millimétrée transe jazzy d'Audrey Hepburn dans Funny Face. Même Repetto a donné le nom de Bardot à sa célèbre ballerine, créée en 1956 pour l'actrice, qui souhaitait une ballerine de ville aussi légère et confortable qu'un chausson de danse sur le tournage de Et Dieu… créa la Femme.

A l'occasion de la Journée internationale de la Danse, Vogue a sélectionné une série de clichés des deux icônes pratiquant quelques pas de danse.

Retrouvez aussi sur Vogue.fr :
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