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brigitte bardot

Emission "Cousu main"...Robe Vichy Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Emission "Cousu main"...Robe Vichy Brigitte Bardot...
M6
Cousu main

     

    France - 2017 - 95'

    Tous publics [C1] - Couleur

    Résumé

    Cette troisième semaine du grand concours des couturiers amateurs est placée sous le signe des vêtements vintage ! Dans l'épreuve du vêtement imposé, les couturiers devront réaliser la fameuse «robe BB», popularisée par celle qui fut probablement la plus grande star de son époque, Brigitte Bardot. Pour l'épreuve de customisation, ça se corse ! Nos couturiers amateurs vont devoir créer un chapeau à partir de tissus d'ameublement... et assorti à la robe réalisée lors de la première épreuve ! Alors qui tirera son épingle du jeu cette semaine ? À vos fils, à vos aiguilles, cousez !

    Source de l'article : Cliquez ICI

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    Brigitte Bardot : Viva Maria Vosges Télévision du 05 09 2017

    Publié le par Ricard Bruno

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    Et Dieu... créa la femme - la critique du film + le test Blu-ray

    Publié le par Ricard Bruno

    Ce film vieillot ne vaut que par la découverte d’une Bardot insolente de beauté et de liberté.

                  

    •  Réalisateur : Roger Vadim
    •  Acteurs : Brigitte BardotJean-Louis TrintignantCurd JürgensJane MarkenIsabelle Corey
    •  Genre : DrameRomance
    •  Nationalité : Français
    •  Editeur vidéo : TF1 Studio
    •  Date de sortie : 28 novembre 1956
    •  Durée : 1h35mn
    •  Box-office : 3 831 979 entrées (France)
    • Sortie DVD et Blu-ray : le 5 septembre 2017

      L'argument : Juliette, une jeune femme d’une beauté redoutable, n’attire que convoitises autour de sa personne. Trois hommes se disputent son cœur indécis.

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      Notre avis : Et Dieu... créa la femme a d’abord été un succès aux USA, succès de scandale, qui a ensuite réveillé la France conservatrice et révélé Brigitte Bardot, mais aussi Jean-Louis Trintignant. Mais le scandale vieillit mal. Ce qui marque aujourd’hui, ce sont moins les quelques scènes osées que les défauts du film, et en particulier son rythme anémique. Mais on aura également du mal à se passionner pour une intrigue flottante, ou à être fasciné par une interprétation passable : du raide Curd Jürgens à ce pauvre Jean Tissier réduit aux utilités, en passant par des seconds rôles presque tous gauches, c’est un festival de dialogues plus ou moins récités. Il faut dire que ceux-ci sont d’une lourdeur pachydermique ; on ne compte plus les sentences (« l’avenir, c’est ce qu’on a inventé de mieux pour gâcher le présent ») ou les naïvetés et maladresses. Nombre de séquences sont également poussives : la bagarre le jour du mariage est ainsi un modèle de comique involontaire.

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      Et pourtant quelque chose accroche, quelque chose qui tient de la fascination d’un homme pour une femme, celle de Vadim pour Bardot. Le film n’est jamais meilleur que dans ces courts moments de liberté où elle danse, marche sur la plage, ou est allongée nue (de dos, cela va de soi). Quand le cinéaste oublie sa volonté de raconter pour se perdre dans la contemplation amoureuse, quand il se contente de la filmer en train de vivre. Au bout du compte, on a le sentiment que le film raconte l’histoire en abyme de l’emprisonnement d’une actrice et de son personnage, captive d’une famille vieillotte ou d’un mari inconsistant, mais aussi d’un métrage dont elle tente de faire exploser les conventions. Et elle y parvient fugacement, quand elle se moque de l’argent ou de la politesse.

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      Certes, il y aussi, pour peu qu’on y soit sensible, un charme nostalgique qui se dégage d’une France provinciale encore très figée. De même l’aspect sociologique nous renseigne-t-il sur des mentalités et des préjugés sans doute toujours sensibles à l’époque. Mais tout cela pèse peu par rapport à l’insolente liberté d’un corps rétif aux règles de la société, de cette voix mutine, pourtant capable de force et de détermination. Bref, c’est pour Bardot qu’on regardera encore Et Dieu … créa la femme, malgré la fadeur qui s’en dégage.

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      Les suppléments :
      Outre la bande-annonce, la galette propose un documentaire sur Vadim de 56 minutes, sage biographie informée mais assez plate, au commentaire très écrit. Ce sont davantage les images d’archives qui en font le prix (dont quelques scènes inédites aussi courtes que provocantes), le caractère hagiographique étant pesant. Mais ceux que ça passionne sauront tout de la vie sentimentale du réalisateur.

      L’image :
      La restauration 4K est une merveille ; entre les couleurs pimpantes, l’absence de scories et la définition impeccable, c’est un plaisir des yeux incomparable. La profondeur de champ est en particulier un test remarquable, réussi haut la main.

      Le son :
      Là encore, malgré l’âge, la piste mono DTS-HD retrouve de l’ampleur et de la finesse et même les chansons (qui ont mal vieilli) sont d’une fraîcheur
      étonnante.

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    L214, Brigitte Bardot... même combat

    Publié le par Ricard Bruno

    Merci à Bernard D...pour cette information
    L214 : 15 000 euros d’amende requis pour avoir caché des caméras dans un abattoir

    Le directeur avait déposé plainte pour « violation de domicile » et « tentative d’atteinte à l’intimité de la vie privée ». Le jugement a été renvoyé au 9 octobre.

    C’est le premier procès de militants de l’association L214. Après avoir dénoncé des dizaines de cas de maltraitance animale, puis fait condamner un abattoir et l’un de ses salariés en avril au Vigan (Gard), l’ONG de défense des animaux était appelée à la barre, du côté des prévenus cette fois. Deux de ses militants ont été jugés, lundi 4 septembre, par le tribunal de grande instance de Versailles, pour s’être introduits dans l’abattoir de Houdan (Yvelines) et y avoir placé des caméras.

    Les faits remontent à la fin de l’année 2016, quand Sébastien Arsac, cofondateur de l’association, et Tony Duhamel avaient caché quatre caméras GoPro dans l’établissement, dont ils voulaient « dénoncer les souffrances infligées aux animaux », après le signalement d’un lanceur d’alerte. Ils avaient installé l’une d’entre elles sur une nacelle qui plonge les cochons dans un puits où ils sont asphyxiés à l’aide de CO2 – une méthode d’étourdissement des animaux avant la saignée légale mais décriée. Trahis par la chute de l’engin, ils ont été interpellés par la gendarmerie en flagrant délit, alors qu’ils venaient récupérer leur matériel dans la nuit du 12 au 13 décembre 2016.

    Lire aussi :   Une vidéo dévoile la souffrance des cochons gazés dans les abattoirs

    « Juste, légitime, moral »

    Le directeur de l’abattoir, Vincent Harang, a alors déposé plainte pour « violation de domicile » et « tentative d’atteinte à l’intimité de la vie privée par fixation, enregistrement ou transmission de l’image ». Ces infractions sont passibles d’un an de prison et 15 000 euros d’amende pour le premier chef d’accusation, et d’un an de prison et 45 000 euros d’amende pour le second. A l’issue de l’audience correctionnelle, le procureur de la République a requis une amende de 15 000 euros, dont 10 000 euros avec sursis. Le jugement a été renvoyé au 9 octobre.

    Devant le tribunal de Versailles, trois heures durant, les deux prévenus ont reconnu les faits, tout en les justifiant. « Nous voulions révéler l’utilisation de gaz aversif pour étourdir les cochons, qui entraîne des réflexes de suffocation et d’agonie, ainsi qu’une rampe d’accès mal conçue qui oblige les ouvriers à utiliser la violence pour faire avancer les bêtes », explique Sébastien Arsac, 44 ans, tout de noir vêtu. « C’est quelque chose qui me paraît juste, légitime, moral. Qui me tient à cœur », abonde Tony Duhamel, 36 ans, aujourd’hui au chômage.

    « Ce n’est pas le procès de l’abattoir », a voulu recadrer le procureur, Michel Pelegry, estimant que « l’abattage des porcs s’est fait dans le total respect de la réglementation en vigueur, le jour des faits. » Et de citer notamment un rapport de la Direction départementale de la protection des populations des Yvelines d’avril 2016, « qui n’a pas relevé de dysfonctionnement majeur » – mais de nombreuses non-conformités mineures et moyennes.

    « Salariés menacés de mort »

    L’avocat de l’abattoir, de son côté, s’est attaqué aux méthodes de L214. L’association, qui compte aujourd’hui 38 salariés, 600 000 « likes » sur sa page Facebook et plus de 3 millions d’euros de chiffre d’affaires, est devenue célèbre grâce à ses vidéos-chocs dénonçant l’exploitation animale. « Elle fait des montages d’images quand cela l’arrange. On ment, on agresse, on viole. Oui, on viole la loi pénale », s’est insurgé Me Nicolas Cassart, raillant « l’antispécisme » de l’association qui, selon lui, « défend un égalitarisme entre les hommes et les animaux ». « Pourquoi se déguiser en militaire à la petite semaine, se cagouler, et fuir quand les gendarmes sont là, s’il n’y a pas de violation de domicile ? », a-t-il plaidé.

    Il a réclamé près de 219 000 euros de dommages et intérêts, au titre du préjudice subi par l’entreprise et son directeur. « Des salariés ont été menacés de mort, et l’abattoir, le dernier d’Ile-de-France, qui fait un travail de proximité, a perdu des clients », a-t-il justifié. « La crainte d’être épiés par une caméra cachée, jetés en pâture au moindre manquement, crée une atmosphère anxiogène pour les salariés », a renchéri Amélie Bouviala, l’avocate de la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles d’Ile-de-France, qui s’est également constituée partie civile.

    Pour la défense, qui a plaidé la relaxe, l’atteinte à la vie privée ne peut concerner que des personnes physiques et non des personnes morales – à savoir l’abattoir. « Or M. Harang n’est pas visible sur ces images, qui ne montrent que des cochons. Il n’y a donc pas d’incursion dans l’intimité de la vie privée », assure Me Caroline Lanty, l’une des deux avocates de L214. Par ailleurs, argue-t-elle, la violation du domicile d’autrui n’est pas « caractérisée du point de vue du droit pénal en l’absence de menaces, de violences ou de contraintes ». Ces deux points font par ailleurs l’objet d’une question prioritaire de constitutionnalité soulevée par la défense – qui avait conduit à ajourner une première audience en juin – et d’une demande en nullité des poursuites.

    Plainte de l’association

    Sa consœur Me Hélène Thouy a, pour sa part, défendu une « action nécessaire et légitime » : « Face aux défaillances et à la complaisance des services vétérinaires, les prévenus ont été contraints d’intervenir en présence d’animaux qui subissent des souffrances considérées comme inutiles. »

    L’association, de son côté, avait porté plainte pour maltraitance contre l’abattoir auprès du même tribunal de grande instance de Versailles, en février. Les premières images de l’intérieur de l’établissement qu’elle avait diffusées montraient des employés qui donnaient de violents coups aux cochons et utilisaient un aiguillon électrique pour tenter de les faire avancer jusqu’au dispositif de gazage.

    Lire aussi :   Une vidéo révèle des actes de maltraitance dans un abattoir de cochons

    Interrogé par France 2, qui lui mettait sous les yeux les images volées, le directeur Vincent Harang avait déclaré : « C’est choquant. Là, il y a une souffrance réelle. Si j’avais vu ça, ça ne se passerait pas bien. Le gars, il a du mal. Le problème, c’est sa colère, il n’est plus dans son état normal. »

    Source de l'article : Cliquez ICI
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    Rare documents "Brigitte Bardot" le 31 octobre 1963 au sujet des paparazzis

    Publié le par Ricard Bruno

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    Deux abattoirs clandestins de moutons découverts à Sénas et Mouriès

    Publié le par Ricard Bruno

    Quelque 300 moutons avaient déjà été saisis dans les Bouches- du-Rhône, avant le début de la fête musulmane de l'Aïd el-Kébir

     
    Quelque 300 moutons avaient déjà été saisis dans les Bouches- du-Rhône, avant le début de la fête musulmane de l'Aïd el-Kébir

    Quelque 300 moutons avaient déjà été saisis dans les Bouches- du-Rhône, avant le début de la fête musulmane de l'Aïd el-Kébir

    C'est bien avant tout une affaire de "business". En vendant directement ses bêtes aux familles musulmanes, et en leur permettant de les abattre dans sa ferme pour l'Aïd El Kebir, cet éleveur ovin de Sénas aurait pu empocher près de 40 000 €. Certains bergers réaliseraient de cette façon en un week-end jusqu'à 80 % de leur chiffre d'affaires annuel.

    Selon nos informations, le berger de Sénas, déjà épinglé l'année dernière pour vente et abattage illégaux, était resté dans le collimateur des services de l'État : vendredi matin, une opération de contrôle des gendarmes de Mallemort et des services vétérinaires de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP), a permis de le prendre à nouveau sur le fait. 150 moutons vivants, déjà vendus 250 € pièce, ont été saisis sur décision de l'autorité judiciaire et confiées aux bons soins de la Fondation Brigitte Bardot. Onze carcasses de moutons déjà abattus "au mépris de toutes les règles sanitaires et environnementales" ont aussi été détruites par les services vétérinaires. L'enquête se poursuit et l'éleveur devrait être entendu prochainement.

    Une opération semblable s'est le même jour déroulée dans une exploitation de Mouriès, où 120 moutons et 2 chevreaux ont été saisis. "À chaque fois, explique Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot, présent dans les Bouches-du-Rhône ce week-end, nous récupérons les animaux et les gardons en quarantaine six mois, selon la législation." L'association finance ensuite leur hébergement, le restant de leur vie ("Nous avons des vaches âgées de 20 ans") dans des pensions en Normandie.

    La Fondation Brigitte Bardot a ainsi déjà mis à l'abri quelque 4 000 animaux de ferme : "Cela nous coûte une fortune", reconnaît Christophe Marie.

    Onze sites légaux dans les Bouches-du-Rhône

    Selon lui, le phénomène des abattoirs clandestins aurait tendance à reculer en région parisienne, mais demeure "fort dans les Bouches-du-Rhône".

    Interrogé l'an dernier par nos confrères de La Croix, l'imam Boubekeur Bekri, vice-président du conseil régional du culte musulman de la région Paca et recteur de la mosquée de Nice, tendrait à lui donner raison : il estimait alors que "sur 10 000 bêtes abattues lors de l'Aïd dans la région, 1 000 seulement l'auraient été via un abattoir agréé".

    La proximité des lieux d'abattage, mais aussi la volonté de pratiquer ce sacrifice le jour précis de l'Aïd, semblent toujours peser dans les pratiques familiales.

    Cette année, onze sites autorisés, d'une capacité d'abattage de 10 670 bêtes, ont été répartis sur l'ensemble du département par les services de l'État, en concertation avec la communauté musulmane. Tout abattage réalisé ailleurs est donc illégal et peut entraîner des poursuites judiciaires ; ce délit peut être puni d'une peine de prison et de 15 000€ d'amende.

    Source de l'article : Cliquez ICI

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    Brigitte Bardot : Flyer du film Viva Maria en version restaurée

    Publié le par Ricard Bruno

    Brigitte Bardot : Flyer du film Viva Maria en version restaurée
    Brigitte Bardot : Flyer du film Viva Maria en version restaurée
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    Brigitte Bardot : Document inédit et exclusif ! Brigitte Bardot et Gunther Sachs à l'aéroport de Cointrin

    Publié le par Ricard Bruno

    Brigitte Bardot et Gunther Sachs à l'aéroport de Cointrin le 05 03 1967

    Document exclussif, collection Bruno Ricard 

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    Bardot en couverture de "Corriere della Sera" n°35 du 31 08 2017 (Italie)

    Publié le par Ricard Bruno

    Bardot en couverture de "Corriere della Sera" n°35 du 31 08 2017 (Italie)
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