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Bien-être animal : à l’Assemblée, la majorité s’empare du sujet

Publié le par Ricard Bruno

En espérant qu'ENFN ces propositions aillent jusqu'à leur terme, ce n'est pas gagné d'avance, tellement déçu jusqu'à maintenant...

Bruno Ricard

Une proposition de loi vient d’être déposée, soutenue par les trois composantes de la majorité. Une offensive qui ne doit rien au hasard…

 

Le président du groupe LREM à l’Assemblée, Christophe Castaner, a signé la proposition de loi sur le bien-être animal, tout comme ses homologues du Modem, Patrick Mignola, et d’Agir, Olivier Becht.

Le président du groupe LREM à l’Assemblée, Christophe Castaner, a signé la proposition de loi sur le bien-être animal, tout comme ses homologues du Modem, Patrick Mignola, et d’Agir, Olivier Becht.

Voilà un texte qui risque de faire parler de lui. Le 14 décembre, une proposition de loi a été déposée à l'Assemblée nationale pour lutter contre « la maltraitance animale ». Elle est signée par une quinzaine de députés. Surtout, les trois patrons de groupe de la majorité l'ont paraphée : Christophe Castaner pour LREM (ainsi que sa présidente déléguée Aurore Bergé ), Patrick Mignola pour le MoDem et Olivier Becht qui pilote le groupe Agir. Une unité assez rare pour être soulignée. Jusqu'à présent, le bien-être animal avait donné lieu à des tentatives avortées, comme la proposition de loi de l'ex-Marcheur Cédric Villani, jamais examinée…

Cette fois, l'offensive politique paraît bien mieux emmanchée… Le texte doit passer dans l'hémicycle fin janvier. Pêle-mêle, cette proposition de loi préconise l'instauration d'un « certificat de sensibilisation pour toute acquisition d'un futur animal de compagnie », « l'identification des animaux domestiques », la multiplication des refuges et des fourrières, une meilleure « identification des animaux domestiques », « la stérilisation des chats errants ».

Les peines seront alourdies en cas de maltraitance : une peine allant jusqu'à 3 ans de prison et 45000 euros d'amende en cas de décès d'un animal après des actes de barbarie ; 4 ans et 60000 euros d'amende pour la diffusion d'images à caractère zoophile…

Les mesures s'accélèrent

Les montreurs d'ours, les shows de cétacés dans les delphinariums et les numéros d'animaux sauvages dans les cirques seront des pratiques prohibées. En septembre, la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili avait déjà annoncé des mesures du même genre, mais sur le plan réglementaire. En les inscrivant dans la loi, les verrous seront plus solides, argumentent les promoteurs de la proposition de loi.

Barbara Pompili annonce la « fin progressive » des animaux sauvages dans les cirques itinérants

Depuis quelques mois, les mesures s'accélèrent. En août, Emmanuel Macron a décrété une pause de la chasse à la glu, cette pratique traditionnelle consistant à piéger par de la colle des merles et des grives. Convaincus que le bien-être animal est un mouvement sociétal de fond, qui a commencé à décoller aux élections européennes en faisant 2,2 % des voix récoltées par le parti animaliste (soit presque autant que le Parti communiste), les Marcheurs se mobilisent. Une écologie du quotidien où il est bien plus facile d'obtenir des résultats qu'en matière de réchauffement climatique ou d'énergie renouvelable. C'est aussi une façon de lutter contre un fléau bien de chez nous : la France détient le record en Europe d'abandon d'animaux de compagnie.

Source de l'article et vidéo : Cliquez ICI

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Puy du Fou : chats dévorés par les rapaces, daim cuit au barbecue… des employés dénoncent des maltraitances animales

Publié le par Ricard Bruno

Les spectacles du Puy du Fou mettent en scène des animaux lors de représentations souvent grandiloquentes.

Les spectacles du Puy du Fou mettent en scène des animaux lors de représentations souvent grandiloquentes.

Il a accueilli 2,3 millions de visiteurs en 2019, attirés par ses spectacles toujours plus spectaculaires. Le Puy du Fou doit aussi et surtout son succès à ses animaux, omniprésents dans les représentations. Pourtant, dans une enquête, quatre employés dénoncent des actes de maltraitance sur les bêtes du parc.

Dans la vidéo de Sur le Front, l'émission du journaliste Hugo Clément, ce dernier interroge quatre témoins, salariés du Puy du Fou. Tous racontent des scènes parfois insoutenables, entre un agneau mis vivant au congélateur, des coups donnés à des chevaux, ou encore des chats servant d'appâts pour les rapaces…

Une salariée, restée anonyme, raconte notamment la mise à mort d'un daim échappé d'un enclos, en fin d'année, en 2017. « Il a reçu trois balles dans la tête », affirme-t-elle. « Vous allez trouver cela horrible », poursuit-elle, avant de marquer un temps d'arrêt. « Mais nous avons récupéré le corps et nous l'avons mangé. Ils l'ont emmené, ils l'ont découpé et après nous avons fait un barbecue avec ».

 

Une enquête qui vise « jeter l'opprobre sur tout notre travail »

Un homme raconte encore avoir dû tuer lui-même un mouton souffrant, au motif que les produits pour l'euthanasier étaient « trop chers ». « Je l'ai étranglé », confie alors l'employé. Un autre raconte que des chats, pris dans des pièges à ragondin, posés dans le parc, servent de repas aux rapaces, malgré la présence d'un collier sur l'animal. « Ils relâchaient les chats et envoyaient un rapace pour qu'il le dévore », affirme-t-il.

Confronté à ces témoignages, Nicolas de Villiers, président de l'association du Puy du Fou, et fils de Philippe de Villiers, évoque tour à tour des « erreurs de recrutement », concernant des violences de cavaliers à l'encontre de leurs chevaux, et des changements de méthodes sur l'usage de tranquillisants pour les représentations de dromadaires. « Depuis huit ans, nous avons changé de méthodologie et les dromadaires peuvent désormais aller en scène, sans tranquillisant », assure-t-il, face caméra.

Nicolas de Villiers dément en revanche l'usage de tir de fléchettes sur des tigres, ou de bâton électrique pour dresser les bœufs. Sur les accusations d'animaux tués, le président du parc a décidé de ne plus réagir. Dans son courrier adressé au journaliste, le président du Puy du Fou estime que cette enquête n'a, selon lui, qu'une seule visée, « jeter l'opprobre sur tout notre travail ».

Source de l'article : Cliquez ICI

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SAUVETAGE DE 35 CHEVAUX MALTRAITÉS EN BOURGOGNE

Publié le par Ricard Bruno

Le sauvetage en image ©DR/La Tanière

Le sauvetage en image ©DR/La Tanière

SAUVETAGE DE 35 CHEVAUX MALTRAITÉS EN BOURGOGNE

Le zoo-refuge La Tanière vient de réaliser un nouveau sauvetage périlleux jeudi 3 décembre en Côte-d’Or. Pas moins de 35 chevaux ont été rapatriés par les équipes de La Tanière dans le refuge d’Eure-et-Loir. Une nouvelle victoire pour le bien-être des équidés après 13 ans de procédure.

Cette opération de sauvetage fait suite à une première réalisée un mois auparavant, chez les mêmes propriétaires, dans l’Yonne. Un troupeau de 105 chevaux a été saisi et réparti dans trois associations, la société de protection des animaux (SPA), l’association Brigitte Bardot et le zoo-refuge La Tanière qui acrécupèré 31 étalons. En Côte-d’Or, cette fois-ci, ce sont 41 chevaux qui attendent les équipes du zoo-refuge La Tanière et de la SPA, 35 étalons, 5 juments et un poulain. Si le terrain s’avère plus praticable que celui du premier sauvetage la santé des chevaux est plus dégradée, 7 d’entre eux sont immédiatement pris en charge par les vétérinaires de La Tanière pour que les premiers soins soient donnés.

UNE OPÉRATION MUSCLÉE

Les équipes de la SPA et du zoo-refuge La Tanière sont arrivés à 8h sur les lieux de la saisie, accompagnées de la gendarmerie pour assurer leur protection.  Quelques jours auparavant, elles étaient venues en repérage pour différencier les mâles et les femelles, mais aussi pour identifier les chevaux qui avaient besoin de soins d’urgence. Le constat vétérinaire est lourd, les chevaux souffrent d’ataxie (atteinte neurologique qui entraine des troubles de l’équilibre), de troubles comportementaux et de problèmes aux yeux, un cheval est complètement aveugle. Certains s’écroulent après seulement quelques minutes d’effort. Tout ceci s’explique par des carences alimentaires et le développement de la consanguinité au sein du troupeau. La population de mâles est trop élevée pour le nombre de femelles. Les chevaux étaient nourris principalement de paille et de farine, habituellement utilisée pour engraisser les bovins. Ils ont donc développé de la graisse mais pas de muscle, ce qui a entrainé de  gros retards de croissance chez la plupart d’entre eux. Les équipes constatent également des plaies ouvertes dues à des morsures de bagarres entre mâles et des pathologies au niveau des pieds en raison du sol humidifié par la gadoue et les excréments accumulés.

UNE PRESSION MAXIMALE

Les équipes sont sous pression. Elles doivent être efficaces pour que l’opération se déroule sans embuche. L’organisation est primordiale, dans un premier temps les chevaux récupérés passent entre les mains de la première équipe vétérinaire qui va constater leur état de santé puis les identifier auprès de l’IFCE (Institut français du cheval et de l’équitation). La plupart d’entre eux sont sans papier et n’ont jamais eu de suivi sanitaire. Puis les vétérinaires de La Tanière prennent le relais pour les vacciner et les vermifuger. Enfin, le chargement dans les camions peut commencer. Mais cette étape ne se déroule pas sans son lot de complications. Les étalons, très peu manipulés, ne se laissent pas faire et donnent du fil à retorde aux équipes sur place. Ces dernières ont « failli abandonner », explique Patrick Violas fondateur de La Tanière, mais finalement tous ensemble ils réussissent à trouver une meilleure organisation pour embarquer les équidés sans trop de difficulté.

Epuisées, les équipes de La Tanière et de la SPA sonnent la fin de l’opération à 16h30. Au total 40 chevaux ont été chargés, les 5 femelles et le poulain partent avec la SPA. Le zoo-refuge La Tanière, quant à lui, prend la route pour acheminer les 35 étalons dans un pré qu’il loue spécialement pour les accueillir.  Parmi eux, 7 passeront dans les locaux des vétérinaires au préalable pour recevoir des soins nécessaires. Une fois arrivés sur les lieux, fatigués les chevaux peinent à sortir du camion et tiennent à peine sur leurs jambes.

Les chevaux sont couverts de plusieurs blessures ©DR/La Tanière

 

UN ACCOMPLISSEMENT TANT ATTENDU  

Le lendemain, les soins se poursuivent, « les équipes animalière et vétérinaire préparent des protocoles de remise en forme par individu, car tous les chevaux n’ont pas les mêmes pathologies et ont beaucoup de carences », nous explique Sophie Fernandes-Petitot une interlocutrice du zoo-refuge La Tanière. Après avoir été remis sur pieds les chevaux seront proposés à l’adoption. Au total le refuge a accueilli 66 chevaux en l’espace d’un mois, majoritairement des étalons. « Cela nous fait plaisir de les voir s’épanouir, les habitants du coin qui ont suivi le sauvetage sont très présents et touchés de voir ces animaux se remettre sur pieds de jour en jour », ajoute-t-elle enthousiaste.

Cette saisie est le résultat de treize années de procédures. Dès 2007 des premiers rapports sont rédigés dénonçant des mauvais traitements, plusieurs propriétaires seraient impliqués.  Les services de l’Etat, après plusieurs poursuites judiciaires, autorisent à récupérer les animaux. Mais le troupeau est trop grand et contient beaucoup d’étalons ce qui complique la tâche, aucune structure n’a assez de place pour tous les accueillir. Il aura fallu que la SPA et le zoo-refuge La Tanière se répartissent les équidés pour pouvoir lancer le sauvetage. Les chevaux peuvent désormais s’épanouir dans leurs nouveaux lieux de vie. Encore un beau sauvetage qui a été réalisé, grâce au travail acharné de plusieurs associations. Le zoo-refuge La Tanière, qui ne touche pas de subvention de l’Etat et fermé au public en raison de la crise sanitaire, fait un appel aux dons pour aider à la prise en charge des soins dispensés aux chevaux recueillis.

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Brigitte Bardot à Emmanuel Macron courrier du 17 12 2020

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot à Emmanuel Macron courrier du 17 12 2020
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Le jour où Brigitte Bardot a dansé avec une Étoile de l’Opéra de Paris

Publié le par Ricard Bruno

Le jour où Brigitte Bardot a dansé avec une Étoile de l’Opéra de Paris

En collants et tutu, Brigitte Bardot fait un pas de deux avec l’un des plus grands danseurs de l’Histoire de l’Opéra de Paris. Un trésor d’archives.

Personne ne peut ignorer que Brigitte Bardot sait danser. C’est même une scène de déhanchements torrides qui a participé à son incroyable célébrité. En 1956, Roger Vadim réalise Et Dieu créa la femme. L’histoire de la sulfureuse Juliette qui fait chavirer tous les cœurs dans le port de Saint-Tropez. Il met alors en scène la jeune Brigitte Bardot, 22 ans, qu’il a épousée quatre ans plus tôt. Une union qui n’avait pas manqué de faire jaser, mais ce n’était rien comparé au tapage que fera ce film. Grâce à ce rôle, Brigitte Bardot devient l’icône BB, est immédiatement propulsée au rang de star internationale, mais aussi de sex-symbol. La fameuse scène de danse a justement façonné cette image. Ce mambo enfiévré avait, à l’époque, bousculé tous les tabous, faisant monter au front les milieux conservateurs. Il sera d’ailleurs repris comme un symbole d’émancipation féminine par plusieurs associations. De son côté, Brigitte Bardot avait avoué l’avoir totalement improvisé, ne se doutant pas de l’impact qu’aurait cette scène : « Le mambo que j'y danse a été totalement improvisé. J’ai laissé libre cours à mon instinct. J'ai dansé comme j’en avais envie, envoûtée par la musique, c’est tout ! Ça vous épate hein ? »

 

Deux ans après la sortie de ce film, au succès mondial, Brigitte Bardot prouve de nouveau qu’elle sait très bien danser… mais dans un tout autre contexte. À l’occasion d’une émission de variétés, diffusée pour le réveillon de la Saint Sylvestre, le 31 décembre 1958, l’actrice revêt collants, ballerines et tutu, pour un instant hors du temps. Pour ce numéro, elle est accompagnée de Michel Renault. Lui aussi est une super-star dans son domaine. Avec son superbe corps, aux courbes antiques, et sa technique parfaite, il s’était fait une place privilégiée dans le monde de la danse. À 18 ans, il avait été nommé étoile de l’Opéra de Paris, un « record de jeunesse dans l'histoire de la maison » soulignait Le Monde.

« Un autre souhait Brigitte ? », demande le présentateur de l’émission à l’actrice. « Non, maintenant, c’est moi qui vais vous offrir un cadeau », répond celle-ci, avant que ne soit diffusé ce moment féérique, conservé par l’INA, et récemment retrouvé par le site de l’Opéra de Paris.

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Abattage rituel : l’étourdissement préalable peut être imposé dans l’UE au nom du bien-être animal

Publié le par Ricard Bruno

La Cour de justice de l’UE était interrogée sur un décret pris en 2017 par la région flamande en Belgique, imposant cet étourdissement préalable. Elle a jugé que le texte ne « méconnaît pas » la liberté des croyants juifs et musulmans.

 

L’étourdissement préalable d’un animal lors de son abattage peut être imposé dans l’Union européenne sans qu’il nie pour autant la liberté des cultes et les rites traditionnels juifs et musulmans, a estimé, jeudi 17 décembre, la Cour de justice de l’Union européenne. La juridiction établie à Luxembourg était interrogée sur un décret pris en 2017 par la région flamande en Belgique, imposant cet étourdissement préalable au nom du bien-être animal. Elle a jugé que le texte ne « méconnaît pas » la liberté des croyants juifs et musulmans.

A l’origine de l’affaire, le Consistoire central israélite de Belgique (CCIB), rejoint par d’autres organisations juives et musulmanes, avait contesté devant la justice belge la légalité de ce décret flamand ayant pour effet d’interdire l’abattage d’animaux selon les rites traditionnels juif et musulman. Ledit décret de 2017, entré en vigueur deux ans plus tard, posait comme exigence l’étourdissement des animaux avant leur abattage « afin de réduire leurs souffrances ».

La Cour constitutionnelle de Belgique s’était tournée vers la Cour de Luxembourg pour avoir son avis sur la question soulevée par les requérants de la violation de l’article 10 de la Charte des droits fondamentaux dans l’UE.

« Juste équilibre »

La Cour de Luxembourg a jugé que l’adoption dans l’UE de législations nationales protégeant d’abord le bien-être animal pouvait effectivement constituer « une limitation » à l’exercice de la liberté de conscience et de religion garantie par l’article 10… Mais que cette limitation n’était pas « disproportionnée ». « La Cour conclut que les mesures que comporte le décret permettent d’assurer un juste équilibre entre l’importance attachée au bien-être animal et la liberté des croyants juifs et musulmans de manifester leur religion », dit la CJUE dans un communiqué.

Selon elle, le législateur flamand s’est appuyé sur « un consensus scientifique » établissant que « l’étourdissement préalable constitue le moyen optimal pour réduire la souffrance de l’animal au moment de sa mise à mort ». En outre, poursuit le communiqué, « la Cour constate que le décret n’interdit ni entrave la mise en circulation de produits d’origine animale provenant d’animaux qui ont été abattus rituellement lorsque ces produits sont originaires d’un autre Etat membre ou d’un Etat tiers ».

« Déni de démocratie »

« L’Europe ne protège plus ses minorités religieuses », a déploré dans un communiqué le Comité de coordination des organisations juives de Belgique (CCOJB), qui contestait le décret flamand. Son président, Yohan Benizri, a vu dans l’arrêt de la CJUE « un déni de démocratie », rappelant que, dans ses conclusions rendues en septembre, l’avocat général de la Cour avait soutenu « la préservation de rites essentiels » pour certaines religions.

La Fondation Brigitte Bardot a, au contraire, salué cette décision, considérant que la position de l’avocat général était « une scandaleuse régression, en décalage avec la prise en compte du bien-être animal ».

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Issoudun : il met son chien dans un sac et le jette par la fenêtre

Publié le par Ricard Bruno

Une fois de plus le monde animal paye un lourd tribu de la folie humaine , un salopard a jeté son chien par la fenêtre, ce pauvre chien n'a pas survécu il a du être euthanasié, cet homme a été condamné à six mois d’emprisonnement avec un sursis probatoire de deux ans, une obligation de soins, une interdiction de posséder des animaux...ben voyons des peines toujours aussi légères, je voudrais tout de même rappeler que le traité de Rome entre autre a reconnu le statut d'être sensible aux animaux...

Bruno Ricard 

Le berger hollandais, un chien réputé pour son intelligence. © (Photo d’archives)

Le berger hollandais, un chien réputé pour son intelligence. © (Photo d’archives)

Issoudun. Demeurant au premier étage d’un immeuble, un homme avait mis son chien dans un sac, avant de le jeter par la fenêtre. Il a été condamné.

 

Tribunal correctionnel de Châteauroux. Les faits avaient ému les habitants d’un immeuble, d’un quartier… En pleine nuit lors de ce 22 avril, « entre deux et trois heures du matin, détaille le président Florin, un résident a entendu un chien couiner au pied de l’immeuble ». Il regardait par la fenêtre et apercevait un berger hollandais manifestement blessé, sortant d’un sac-poubelle. « Il semblait en état de choc et a néanmoins, réussi à quitter les lieux. » Il était retrouvé quelques heures plus tard, sérieusement blessé, notamment au niveau de la tête.

Le chien a été euthanasiéEt puis « il était d’une grande maigreur », s’étonne le président en parlant à son propriétaire qui est à la barre, ce lundi. Le prévenu qui habite au premier étage, sujet à des troubles psychiatriques, nie catégoriquement les faits. « Il s’est sauvé, mais comme tous mes voisins veulent que je parte, alors ils ont dit ça. Mais c’est pas vrai… »

Le président rappelle que juste après les faits « un témoin a vu votre chien blessé, sortir de ce sac-poubelle au pied d’une des fenêtres de votre appartement ». Et au petit matin, « il y avait une tâche de sang sur le sol ». Le président de l’association, Collectif animal 36 a expliqué à la barre, avoir recueilli l’animal. « Il était en très mauvais état avec des suspicions de fractures du crâne, de la colonne vertébrale, une hémorragie interne… Nous avons tout fait pour le sauver, mais il est devenu incontinent et le vétérinaire a dû l’euthanasier. »

Pour le ministère public représenté par Wiebke Trumm, substitut du procureur, « l’animal qui hurlait a bien été jeté dans ce sac et le tout, projeté sur une rampe d’accès. Il y avait des traces de sang au sol et son maître n’a aucune explication crédible à donner. » Son maître ? Un homme au passé chargé comptant à 29 ans, trente et une condamnations.

Sur le banc de la défense, Me Nathalie Gomot-Pinard s’est demandée « où était la vérité ? Une pétition circule pour que mon client quitte cet immeuble de l’Ophac et n’était-ce pas l’occasion d’ajouter des éléments à sa charge. » Et puis, « il a le sentiment d’être rejeté par la société, alors qu’il est évident qu’il souffre d’une altération du discernement ».

À l’issue de ces échanges, cet homme a été condamné à six mois d’emprisonnement avec un sursis probatoire de deux ans, une obligation de soins, une interdiction de posséder des animaux pendant trois ans et devra indemniser le Collectif animal 36 pour les frais de gardiennage et d’euthanasie pour un montant de 991 €.

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Brigitte Bardot s'adresse à vous ! "Vous avez sauvé des vie...c'est le plus beau des cadeaux..."

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot s'adresse à vous ! "Vous avez sauvé des vie...c'est le plus beau des cadeaux..."
Brigitte Bardot s'adresse à vous ! "Vous avez sauvé des vie...c'est le plus beau des cadeaux..."
Brigitte Bardot s'adresse à vous ! "Vous avez sauvé des vie...c'est le plus beau des cadeaux..."
Brigitte Bardot s'adresse à vous ! "Vous avez sauvé des vie...c'est le plus beau des cadeaux..."
Brigitte Bardot s'adresse à vous ! "Vous avez sauvé des vie...c'est le plus beau des cadeaux..."
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Brigitte Bardot s'adresse à vous ! "Vous avez sauvé des vie...c'est le plus beau des cadeaux..."
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Une jeune Montpellieraine sauve la vie des animaux destinés à l’abattoir

Publié le par Ricard Bruno

Lorène Poinsot d'Addario est à l’origine de la plateforme "Sauvons".

Lorène Poinsot d'Addario est à l’origine de la plateforme "Sauvons".

Lorène Poinsot d’Addario, une jeune Montpelliéraine de 26 ans, a créé le 12 novembre une plateforme, "Sauvons", pour mettre en lien propriétaires d’animaux et particuliers. Le but ? Éviter l’abattoir aux animaux de fermes.

"Cette plateforme a un double enjeu, explique la jeune femme. Le premier, référencer un maximum d’animaux pour faciliter les recherches de particulier. Le deuxième, s’il ne s’agit pas d’adoption, permettre aux professionnels de vendre leurs animaux plutôt que de les envoyer à l’abattoir. Cette solution permet au producteur de donner une nouvelle vie à son animal sans perte économique."

"Cette plateforme a un double enjeu. Le premier, référencer un maximum d’animaux pour faciliter les recherches de particulier. Le deuxième, s’il ne s’agit pas d’adoption, permettre aux professionnels de vendre leurs animaux plutôt que de les envoyer à l’abattoir. Cette solution permet au producteur de donner une nouvelle vie à son animal sans perte économique."

"Sauvons" est aussi une association. Elle récolte des dons qu’elle redistribue à des refuges ou particuliers afin de les aider à financer les frais qu’engendre l’adoption, ou l’achat, d’un animal. "Il peut s’agir des frais de vétérinaires, construction d’un abri, achat de nourritures, etc."

 

Afin de bénéficier des dons, il suffit d’envoyer la facture du service ou de l’achat à l’association.

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