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Henri-Georges Clouzot, scandaleux...

Publié le par Ricard Bruno

 

Lors du dernier jour du Festival Lumière (Lyon, du 14 au 22 octobre derniers), nous avons assisté à la diffusion du Scandale Clouzot, un documentaire de Pierre-Henri Gibert, en clotûre du cycle consacré au réalisateur. L’occasion d’en apprendre un peu plus sur l’œuvre d’Henri-Georges Clouzot.

Après avoir visionnés la quasi totalité des œuvres composant la filmographie d’Henri-Georges Clouzot, ce documentaire offre un éclairage nouveau sur le réalisateur mais aussi sur son œuvre.

Le scandale Clouzot (2017) de Pierre-Henri Gibert – ©Twaleg Production

Constitué d’archives et de témoignages de cinéastes ou de personnes ayant côtoyé le réalisateur, ce documentaire réalisé avec le soutien d’Arte nous raconte un morceau de l’histoire du cinéma français.

Clouzot sous l’occupation

On en apprend notamment plus sur la réalisation du Corbeau sous l’occupation nazie et l’accueil reçu par ce film. Il vaudra à Henri-Georges Clouzot son licenciement par Alfred Greven, à la tête de la société de production Continental-Films pour avoir découragé les délateurs.

À la Libération pourtant, le film fera scandale et l’interprétation qui en sera faites sera toute autre. Vu comme un film vantant les mérites de la délation, il sera censuré et Henri-Georges Clouzot se verra dans un premier temps interdit d’exercer à vie avant que sa peine ne soit alléger qu’à deux ans d’inactivité.

Clouzot, tyrannique

Mais dans ce documentaire, c’est surtout le rapport qu’Henri-Georges Clouzot entretenait avec ses acteurs dont parle Pierre-Henri Gibert.

Les violences faites aux acteurs lors des tournages n’étaient pas chose rare dans le cinéma d’Henri-Georges Clouzot. Ses compagnes, Suzy Delair (L’assassin habite au 21, 1942) et Vera Clouzot (Les Diaboliques, 1955) mais aussi Brigitte Bardot (La Vérité, 1960) et Bernard Blier (Quai des Orfèvres, 1947), personne n’échappait aux gifles et aux violences du réalisateur. Lui-même en témoigne. Pour lui c’était la meilleure façon de rendre les émotions plus réelles. Mettant ainsi ses acteurs sous tension, ils donnaient le meilleur d’eux-même.

Face à cette façon étonnante de voir le cinéma, Pierre-Henri Gibert aborde également la question du rapport dominant/dominé. Cette question, obsessionnelle chez Henri-Georges Clouzot, se retrouve dans bon nombre de ses films. Sachant cela, vous verrez chacun de ses films sous un autre angle.

Le mystère continu

Mettant en évidence le comportement violent du réalisateur, Pierre-Henri Gibert ne fait que nous rappeler une fois de plus qu’être une personne tyrannique n’empêche pas d’être une personne d’un grand talent. Le mystère Clouzot n’en est pas pour autant terminé. C’est un personnage qui intrigue et fascine et qui n’a pas fini de produire cet effet sur les spectateurs. Même si ce documentaire nous en apprends un peu plus sur lui, on n’aura jamais totalement les clefs de ses œuvres. Artiste tourmenté, il poursuivra la perfection sans jamais avoir l’impression de l’atteindre.

Véritable avant-gardiste, il s’accrochait à l’idée d’un cinéma du réel à une époque où la majorité des tournages se réalisaient en studio. Comme un réalisateur de la Nouvelle Vague avant la naissance de la Nouvelle Vague, voilà la façon dont on devrait se souvenir de Clouzot. Un homme en avance sur son temps.

Après la rétrospective Clouzot au Festival Lumière, l’hommage rendu au réalisateur français se poursuivra à la Cinémathèque française à Paris avec l’exposition “Le Mystère Clouzot”, visible du 8 novembre 2017 au 29 juillet 2018.

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Brigitte Bardot: «Je n’ai plus envie de chanter»

Publié le par Ricard Bruno

Le livre, superbement illustré, rappelle les liens entretenus par l’actrice avec la chanson. Brigitte Bardot refuse de parler de nostalgie, et lui préfère les « souvenirs joyeux ».

Brigitte dans le western parodique « Les pétroleuses », en 1971...

Brigitte dans le western parodique « Les pétroleuses », en 1971...

B rigitte Bardot 26 octobre 2017 La Madrague Saint-Tropez. C’est ainsi que BB comme on l’a longtemps appelée signe le courriel envoyé en réponse à nos questions. Car oui, Brigitte Bardot, 84 ans, ne sort plus trop de chez elle et en tout cas pas pour rencontrer la presse. Mais ce livre, Moi je joue, elle l’aime beaucoup et tient malgré tout à le défendre...

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Guyancourt : il livre son amour pour le Golf national en photos...et Brigitte Bardot !

Publié le par Ricard Bruno

Guyancourt : il livre son amour pour le Golf national en photos...et Brigitte Bardot !

A 85 ans, le photographe professionnel Claude Rodriguez vient de publier un recueil de clichés pris depuis 23 ans au lever du jour sur le célèbre parcours.

Et dire qu’il n’a, selon ses propres termes, « jamais tapé dans une maudite balle blanche ! ». À 85 ans, Claude Rodriguez vient pourtant de compiler dans un livre ses plus belles photos du Golf national de Guyancourt où, depuis 1994, il aura passé de nombreuses heures à attendre que les plus belles lueurs du petit matin envahissent les courbes du parcours d’une douce ou étrange clarté.

« La lumière est plus belle et plus cristalline à ces heures-là », estime le professionnel qui habite Malakoff (Hauts-de-Seine) et a débuté dans le métier dans son pays d’origine, la Belgique, à l’âge de 13 ans. Après tant d’années de carrière, le Golf national fut donc le « deuxième coup de cœur » du photographe, le premier n’étant autre que Brigitte Bardot. Car c’est en tant que portraitiste des stars que Claude Rodriguez s’est fait connaître dans les années 1950. Free-lance, il doit effectuer un reportage sur l’acteur allemand Curd Jurgens, en tournage au studio de la Victorine à Nice. Il y croise BB, et ses clichés de celle qui n’est encore qu’une starlette lui ouvrent les portes des plus grandes vedettes et donc, des plus grands magazines.

Guyancourt : il livre son amour pour le Golf national en photos...et Brigitte Bardot !

 J’ai aussi réalisé des courts-métrages, des films publicitaires, des photos de pub, mais dans les années 1980 le métier a changé, j’ai dû changer de voie », explique l’intéressé, qui se rend alors en voyage au Québec (Canada). « Là-bas tout était en accès libre et un jour, je suis tombé sur une pancarte : « propriété privée, défense d’entrer ». » Il entre, bien entendu, et tombe sur un parcours de golf. « J’ai proposé mes clichés au directeur, il a adoré, les a achetées et en a fait des cartes postales. Et moi, j’ai commencé à me consacrer à ce genre de photos, il y avait de la demande. »

Depuis, l’homme a pris sous tous les angles plus de 150 parcours dans le monde, mais est toujours revenu à Guyancourt. « J’ai été très impressionné par l’architecture du Golf national, confie-t-il, je ne sais pas pourquoi, ce sont des choses qui ne s’expliquent pas. Une fois sur le parcours, je tourne, je tourne, et soudain il y a un déclic. Au début on me regardait un peu comme un barjot avec mon échelle. Au fil du temps, les gens du golf sont tous devenus des amis. »

Le livre vous permettra de découvrir plus d’une centaine de photos, conçues comme des tableaux, la plupart étonnantes car reflétant un paysage qu’on croirait sorti des brumes de l’Irlande ou d’une planète inconnue et qui semble s’étendre à l’infini. « Un golf est un endroit pourtant restreint, note Claude Rodriguez, mais le secret est d’en comprendre la personnalité, et alors il se révèle. »

Le livre est disponible sur le site www.parcoursdelumieres.com ou à la boutique du Golf national à Guyancourt. Prix : 55 €.

Guyancourt : un parcours créé par la Fédération française

Guyancourt. Le parcours de l’Albatros accueille chaque année l’Open de France suivi par près de 60 000 spectateurs.

C’est en 1985, devant le succès grandissant des épreuves de golf en France, que la Fédération française a pris la décision de faire construire « son » golf, celui-ci devant servir à l’accueil de l’Open de France, l’une des plus grandes compétitions européennes, chaque année. Architecte et président de la commission sportive nationale de la FFG à l’époque, Hubert Chesneau propose un premier projet de deux 18 trous (L’albatros et l’Aigle) - un 9 trous (L’Oiselet) viendra bientôt se greffer - puis, ayant déjà travaillé pour la Ville nouvelle, l’idée lui vient d’implanter le futur golf fédéral à Saint-Quentin-en-Yvelines.

L’agglomération, qui désire préserver des terrains de la pression urbaine, se montre favorable à cette installation dont les travaux débuteront à l’été 1987. Chaque jour, 400 camions apporteront la terre nécessaire à la création du relief général. Au total, 2,2 millions de m3 de terre, issus des terrassements des chantiers de l’ouest parisien seront amenés sur place. En 1989, les 9 ha de plans d’eau sont creusés et les premiers semis ont lieu en septembre. Malgré l’énorme orage qui en détruisit une partie le 27 juin 1990, la première épreuve prévue en octobre, la « Ford Classic » a bien lieu, avec, cerise sur le gâteau, l’immense Greg Norman en vedette. Depuis 1991, et à l’exception de 1999 et 2001, l’Open de France y a lieu chaque année, rassemblant près de 60 000 spectateurs. En attendant une foule plus considérable pour les Jeux olympiques de 2024.

Et maintenant, la Ryder Cup !

Montigny-le-Bretonneux. Un chronomètre décomptant le nombre de jours jusqu’au début de la Ryder Cup en septembre 2018 a été installé à la gare de Saint-Quentin-en-Yvelines.LP/L. MT.

Tout est prêt. Le 28 septembre 2018, soit presque vingt-huit ans jour pour jour après son inauguration, le Golf national de Saint-Quentin-en-Yvelines accueillera, pour la première fois en France, la 42e Ryder Cup. Ce match entre les équipes des Etats-Unis et de l’Europe, qui se déroule tous les deux ans depuis 1927, n’est autre que le 4e événement mondial sportif en nombre de téléspectateurs. Le parcours de l’Albatros, qui accueillera donc les meilleurs golfeurs de la planète, a subi un an de travaux pour être remodelé aux normes de cette épreuve… hors-norme. Près de 200 000 spectateurs devraient affluer sur les trois jours, les hôtels et transports de l’agglomération s’attendent à être pris d’assaut. Tous les billets mis en vente le 28 septembre ont déjà trouvé preneurs, mais vous pouvez encore tenter votre chance sur différents sites dont l’officiel, www.rydercup.com.

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Brigitte Bardot offre des photos dédicacées à SOS-Chats à Noiraigue...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot soutient SOS-Chats et écrit régulièrement à la fondation.

Brigitte Bardot soutient SOS-Chats et écrit régulièrement à la fondation.

People - Qui veut une photo dédicacée de Brigitte Bardot? La star, amie de longue date du refuge SOS-Chats à Noiraigue, a fait cadeau de quelques images à la fondatrice, Tomi Tomek, pour qu’elle puisse en tirer profit pour ses protégés.

SOS-Chats, à Noiraigue, met en vente sur sa page Facebook quelques images de Brigitte Bardot. Une première série était en vente jusqu’à mardi. Une seconde a été proposée dès mercredi. «C’est un cadeau direct de Brigitte», explique Tomi Tomek, fondatrice du refuge.

Sollicitée, BB a répondu présent. Les photos sont mise à prix pour la somme minimale de 100 francs. Tomi Tomek pense pouvoir obtenir 1200 fr. ou plus de cette action. «Nous avons déjà vendu des photos de BB avec signature à la main à 400 ou 500 francs. Elle les signe toujours à ‘La Madrague’ ou elle habite avec ses animaux ou dans sa petite maison un peu plus loin dans la montagne de Saint-Tropez.»

SOS-Chats conserve plusieurs courriers autographes de BB, qui est une de leurs fans. Mais ces lettres ne sont pas à vendre.

L’argent récolté,  assure la fondatrice de SOS-Chats, sert uniquement à payer des factures vétérinaires, de la nourriture ou du sable. Les photos qui ne sont pas vendues sur Facebook seront proposées plus tard sur le site internet. La fondation, faut-il le rappeler, est d’utilité publique et tous les dons qu’elle reçoit sont déclarés.

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Conflits : des vétérinaires au secours des animaux...

Publié le par Ricard Bruno

Un commando vétérinaire spécialisé dans les zones de guerre a effectué une opération à Alep, en Syrie. Les animaux ont été exfiltrés vers un refuge, en Jordanie.

Le "Magic World" ressemble à un décor glaçant. Situé en pleine zone de combat, le zoo de la ville d'Alep (Syrie) a été déserté. Il contenait une dizaine de bêtes déshydratées et mal nourries, lorsque les sauveteurs d'une association sont arrivés sur place en juillet dernier. Eux aussi étaient épuisés par des années de guerre. Un ours brun assoiffé fait partie des 13 rescapés du zoo, qui comptait 140 pensionnaires avant la guerre.

14 animaux sauvés

Pour venir en aide aux animaux, ces hommes et ces femmes ont risqué leur vie. Le transport des animaux s'est déroulé sous la menace des bombes. L'opération commando a finalement été un succès et les animaux ont été transférés en 48 heures, de l'autre côté de la frontière. Ils ont trouvé refuge dans un sanctuaire, construit spécialement pour eux, en Jordanie. Parmi les nouveaux pensionnaires du centre, une tortue de Gaza, un ours d'Irak et des hyènes de Syrie. Un vétérinaire a tissé des liens avec Simba, le lion de Mossoul (Irak), rescapé d'un zoo tenu par Daech. "Au moment où j'allais l'endormir, une voiture suicide a explosé non loin de nous. J'étais sous pression, et lui aussi !" témoigne le Docteur Amir Khalil en souriant. En Syrie, beaucoup des animaux sont morts de faim, abandonnée par les djihadistes. Seul le lion Simba et Loula, une oursonne, ont survécu. Selon Amir Khalil, ce sont des habitants qui ont nourri les animaux en cachette. Douze heures après leur arrivée en Jordanie, un lionceau est né. Les soigneurs l'ont appelé "hajir", ce qui signifie "immigré" en arabe.

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Philippe Manoeuvre hier au salon du disque et de la BD...

Publié le par Ricard Bruno

Philippe Manoeuvre hier au salon du disque et de la BD Invité, Philippe Manoeuvre a captivé les visiteurs avec milles anecdotes dont il a le secret et le savoir.

Vinyle de Nougaro ou coffret collector de la saga Lanfeust de Troye sous le bras, les chineurs mélomanes et bédéphiles se sont croisés toute la journée, hier, à la halle au Blé.

Parmi la cinquantaine d’exposants, impossible de passer à côté de l’un des premiers stands, juste à droite après l’entrée : un étal d’une dizaine de mètres de long sur lequel trônaient fièrement des centaines d’articles à l’effigie de notre BB nationale.

Des centaines d’articles à l’effigie  de Brigitte Bardot

Disques, cartes postales, affiches, poupées et même le buste miniature de Marianne, que Brigitte Bardot incarna au sommet de sa gloire, en 1968.
De l’autre côté, un passionné, Bruno Bellanger, luthier à Saint-Menoux (Allier), exposait fièrement une vingtaine de guitares vintage dont une magnifique Nline, guitare entièrement réalisée à la main, évoquant Excalibur, fameuse épée du roi Arthur.


Venait ensuite le local de l’étape, Bernard Capo, tout sourire, attablé derrière la pile de ses ouvrages, dédicaçant sa dernière BD, le Saint et l’assassin, ajoutant un de ces petits croquis dont il a le secret pour le plus grand plaisir de ses fans.

De nombreuses anecdotes

Et juste à ses côtés, une légende, le journaliste et écrivain Philippe Manœuvre. Ray Ban vissées sur le nez, incontournable cuir de rocker sur le dos, celui qui a été popularisé par l'émission La nouvelle star multipliait les anecdotes, tout en grattant un petit mot rock’n’roll à ceux qui avaient envie de découvrir la Discothèque secrète ou les 111 trésors cachés du rock, titre de son dernier ouvrage.

Bernard Capo et Philippe Manœuvre en séances de dédicaces... 
 

Un livre dont le pape du rock’n’roll a révélé les secrets et la genèse à des visiteurs pendus aux lèvres de cette bible vivante de la musique, intarissable en matière d’anecdotes toutes plus étonnantes les unes que les autres.

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Âgée de 30 ans, la chienne la plus vieille du monde rend son dernier soupir...

Publié le par Ricard Bruno

Brian McLaren, un fermier, a perdu son âme-soeur ce Dimanche : sa meilleure amie, Maggie, une femelle berger australien kelpie. Maggie était âgée de 30 ans à sa mort. Elle était très probablement la chienne la plus vieille au monde.

 7 News
7 News

Brian a expliqué que Maggie ne faisait pas vraiment son âge, du moins jusqu’aux deux dernières années de sa vie. Il a raconté ceci au Weekly Times:

“Elle avait 30 ans, et elle se déplaçait encore sans trop de problèmes ; la semaine dernière, elle marchait de la ferme au bureau, elle grognait après les chats, et tout et tout.”

Dans une vidéo publiée par 7 News l’année dernière, Brian expliquait que Maggie passait naturellement la moitié de sa journée à dormir, et l’autre à le suivre un peu partout dans la ferme.

 7 News
7 News

Brian avait aussi expliqué à 7 News qu’il rendait régulièrement visite à sa meilleure amie au beau milieu de la nuit, pour s’assurer qu’elle respirait encore. Il s’attendait presque à ce qu’elle lui survive.

Nos prières vont à Brian et à sa famille durant ce moment difficile et tandis qu’ils font le deuil de leur animal domestique préféré.

Vous pouvez voir Brian en train de parler de sa chère Maggie dans la vidéo ci-dessous :

Cliquez ICI pour voir l'article et lien de l'article

Publié dans le web en parle, ACTUALI

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Menus verts : l’appel de BB a-t-il été entendu les restaurateurs ?

Publié le par Ricard Bruno

Sans avoir signé la charte, Didier Vialard propose, sur sa carte, de nombreux plats végétariens

Sans avoir signé la charte, Didier Vialard propose, sur sa carte, de nombreux plats végétariens

La lettre envoyée cet été par Brigitte Bardot aux restaurateurs pour mettre à leur carte un menu vegétarien commence à être entendu dans le Golfe. 11 établissements ont franchi le pas.

Végétarienne convaincue, Brigitte Bardot a pris sa plus belle plume cet été pour suggérer à 200 restaurateurs du Golfe, d’inclure dans leur carte un menu 100 % végétarien.

C’était en juin dernier. Depuis, onze établissements ont répondu présents. Un chiffre certes pas énormissime, mais révélateur d’une tendance qui gagne du terrain tous les jours, avec de nombreuses enseignes qui sont sur le point d’adhérer à leur tour ou bien qui proposent déjà...

Suite sur le site de Var matin : Cliquez ICI

 
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Le préfet de Haute-Savoie annonce l'abattage de 20 bouquetins au maximun!

Publié le par Ricard Bruno

Une HONTE ! c'est scandaleux ! Ils détruisent, massacrent la nature et les animaux...

FOUTEZ LEUR LA PAIX !

Bruno Ricard 

Les prélèvements se feront par groupe de quatre à cinq bêtes maximum...

Les prélèvements se feront par groupe de quatre à cinq bêtes maximum...

Après avoir recueilli l'avis (consultatif) des habitants, le préfet de haute-Savoie décide de l'abattage de 20 bouquetins maximum dans le massif du Bargy. Il s'agit de prélever des animaux malades atteints par la brucellose et présentant un risque de transmission aux bovins de ce secteur.

La consultation était surtout une consultation de principe, purement facultative. Au début du mois d'octobre le préfet de Haute-Savoie consulte les habitants sur le projet d'abattage de vingt bouquetins dans le Massif du Bargy.

Ce mardi Pierre Lambert annonce sa décision : il autorise le prélèvement de 20 bouquetins maximum dans le massif du Bargy, d'ici la fin de l'année.

La préfecture précise que ces animaux seront recherchés exclusivement dans les zones où la concentration en animaux séropositifs est importante et parmi ceux présentant des signes cliniques de la maladie.

L’Etat s’engage effectivement à ne cibler que des animaux malades

Les opérations seront conduites sur le terrain de manière graduée et progressive, par les agents de l’ONCFS. Au vu des résultats des prélèvements réalisés, la stratégie sera révisée. Ainsi, une première opération visant quatre à cinq animaux sera effectuée avant fin novembre. Ceux-ci seront testés et s’ils ne sont pas malades, les opérations cesseront.

Les prélèvements se feront très prochainement, avant l'arrivée de la neige, mais les zones concernées restent secrètes.

Les défenseurs de la nature sont mobilisés

On se souvient des mobilisations des défenseurs de l'environnement les années précédentes. En 2015, des militants avaient investi le Massif du Bargy (certains avaient même campé sur place) pour empêcher les agents de l'Office de la chasse et de la faune sauvage de tuer 200 bouquetins. Opération en partie réussie puisqu'au final 70 animaux sur 200 avaient été tués. Brigitte Bardot avait même demandé la grâce présidentielle pour les animaux.

En ce qui concerne cette nouvelle vague d'abattage, la FRAPNA (Fédération Rhône-Alpes de protection de la nature) la juge inutile et contre-productive. "Nous sommes d'accord avec l'abattage d'animaux malades mais il en reste très peu sur le massif, indique Jean-Pierre Crouzat. Le préfet explique qu'il sera prudent, nous restons opposé aux tirs de bouquetins sains."

La brucellose est une maladie infectieuse. Chez le bouquetin, elle provoque de l'arthrite, parfois sévère, et cause de graves lésions aux organes génitaux au point que les animaux sont incapables de se reproduire. La propagation de la maladie notamment aux bovins inquiète beaucoup dans ce secteur de Haute-Savoie avec des pâturages et de fabrication AOP du Reblochon. "Si le Bargy était aussi dangereux, pourquoi les éleveurs laissent-ils leurs troupeaux en liberté jusqu'au sommet ? ", s'interroge la FRAPNA.

Le risque (de contamination) est très faible, voir nul." Jean-Pierre Crouzat, FRAPNA 74

Source de l'article : Cliquez ICI

Publié dans le web en parle, ACTUALI

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