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SAUVETAGE DANS LA DRÔME : LA FBB PREND EN CHARGE 6 ÉQUIDÉS EN ÉTAT DE SOUFFRANCE

Publié le par Ricard Bruno

SAUVETAGE DANS LA DRÔME : LA FBB PREND EN CHARGE 6 ÉQUIDÉS EN ÉTAT DE SOUFFRANCE
Le 29 avril 2020, à la demande des services vétérinaires de la Drôme, la Fondation a pris en charge 3 ânes et 3 poneys enchaînés dans la boue et nourris de manière aléatoire.
SAUVETAGE DANS LA DRÔME : LA FBB PREND EN CHARGE 6 ÉQUIDÉS EN ÉTAT DE SOUFFRANCE

LES ÉQUIDÉS ENCHAÎNÉS VIVAIENT DANS LA BOUE

Sur ce terrain insalubre, un grand nombre d’animaux étaient détenus dans des conditions incompatibles avec leurs besoins,  manquaient de nourriture et d’eau potable, n’étaient pas identifiés et ne bénéficiaient d’aucun suivi vétérinaire.

C’est en présence de la DDPP et de la Gendarmerie de la Drôme que la Fondation Brigitte Bardot a pris en charge 6 équidés – 3 ânes et 3 poneys – enchaînés en permanence dans la boue.

Ces malheureux animaux ont été soignés par un vétérinaire, puis ils ont rejoint l’Arche de BB pour y vivre enfin une vie paisible aux bons soins de nos animaliers.

SAUVETAGE DANS LA DRÔME : LA FBB PREND EN CHARGE 6 ÉQUIDÉS EN ÉTAT DE SOUFFRANCE

UN SAUVETAGE MULTI-ASSOCIATIONS

Aux côtés de la Fondation, l’OABA (Oeuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoir) a pris en charge une trentaine de chèvres et moutons, 3 cochons nains vietnamiens et des oiseaux de basse-cour vivant dans les mêmes conditions indignes.

Le refuge des Bérauds a quant à lui recueilli 9 chiens qui étaient constamment à l’attache.

Pour faire condamner ces actes de maltraitance innommables, une action en justice est en cours contre le propriétaire des animaux.


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Amazonie: pendant l'épidémie, la déforestation s'accélère

Publié le par Ricard Bruno

Le fermier brésilien Helio Lombardo Do Santos dans un secteur brûlé de la forêt amazonienne près de Porto Velho (nord-ouest du Brésil), le 26 août 2019

Le fermier brésilien Helio Lombardo Do Santos dans un secteur brûlé de la forêt amazonienne près de Porto Velho (nord-ouest du Brésil), le 26 août 2019

Le monde entier est concentré sur la pandémie de coronavirus. Pendant ce temps-là, la déforestation de la jungle amazonienne s'est accélérée cette année, suscitant des craintes que ne se répète la dévastation record de l'année dernière.

De fait, la déforestation en Amazonie brésilienne a atteint un nouveau sommet au cours des quatre premiers mois de l'année, selon des données publiées vendredi par l'Institut national de recherche spatiale du Brésil (INPE), qui utilise des images satellites pour suivre la destruction: ce sont 1.202 kilomètres carrés de forêt qui ont disparu de début janvier à fin avril 2020.

Cela représente une augmentation de 55% par rapport à la même période de l'année dernière, la plus élevée depuis que ces observations mensuelles ont commencé, en août 2015.

Ces chiffres soulèvent de nouvelles questions sur la façon dont le Brésil protège sa part de la plus grande forêt tropicale du monde sous le président d'extrême droite Jair Bolsonaro, un climato-sceptique notoire qui préconise l'ouverture des terres protégées à l'exploitation minière et à l'agriculture.

"Malheureusement, il semble que ce à quoi nous pouvons nous attendre cette année, ce sont des incendies et une déforestation record", a déclaré Romulo Batista, militant de Greenpeace, dans un communiqué.

- "Paracétamol pour mal de dents" -

En 2019, pour la première année de Jair Bolsonaro dans ses fonctions, la déforestation a grimpé de 85% en Amazonie brésilienne, avec la destruction de 10.123 kilomètres carrés de verdure. Cette dévastation, à peu près de la taille du Liban, avait créé un émoi mondial quant à l'avenir de la jungle, considérée comme vitale dans la lutte contre le changement climatique.

La destruction a été provoquée par des incendies de forêt record qui ont ravagé l'Amazonie de mai à octobre, en plus de l'exploitation illégale forestière et minière, et de pratiques agricoles sur des terres protégées.

"Le début de l'année n'est pas le moment où la déforestation se produit normalement, car il pleut beaucoup", observe Erika Berenguer, environnementaliste aux universités d'Oxford et de Lancaster. "Par le passé, lorsqu'on voyait la déforestation augmenter dès le début de l'année, cela indiquait que lorsque la saison de déforestation commencera (fin mai), il y aura également une augmentation".

Jair Bolsonaro a autorisé cette semaine l'armée à se déployer en Amazonie pour lutter contre les incendies et la déforestation à partir du 11 mai.

Il l'avait déjà fait l'année dernière après avoir essuyé de cinglantes critiques de la part de la communauté internationales pour avoir minimisé ces incendies.

Les écologistes, de leur côté, estime qu'il serait préférable de soutenir davantage les programmes de protection de l'environnement. Sous la présidence Bolsonaro, l'agence environnementale IBAMA a dû faire face à des réductions de personnel et de budget. Et le mois dernier, le gouvernement a limogé le plus haut responsable chargé de l'application des lois environnementales de l'agence, qui avait peu avant autorisé une descente de police sur des mines illégales, devant les caméras de télévision.

La stratégie militaire du gouvernement ne porte que sur les incendies, sans tenir compte du fait qu'ils sont souvent causés par des fermiers illégaux et des éleveurs qui abattent des arbres puis les brûlent, déplore Erika Berenguer. "C'est comme prendre du paracétamol quand on a mal aux dents: ça va réduire la douleur, mais si c'est une cavité, ça ne va pas la guérir", dit-elle à l'AFP.

- Tragédies jumelles -

L'épidémie de coronavirus dans le pays, qui a fait officiellement près de 10.000 morts parmi quelque 150.000 personnes contaminées, complique encore les choses.

L'Etat de l'Amazonas, largement couvert par la nature, est l'un des plus touchés. Avec une seule unité de soins intensifs, il a été débordé par l'épidémie. Les craintes portent aussi sur les communautés indigènes, historiquement très vulnérables aux maladies venues d'ailleurs.

Et les écologistes craignent aussi que la protection de la forêt soit délaissée en raison de la lutte contre le Covid-19.

Le maire de la capitale de l'Amazonas, Manaus, a fait le lien entre les deux tragédies cette semaine, dans un appel à l'aide. "Nous avons besoin de personnel médical, de respirateurs, d'équipement de protection, tout ce qui peut sauver les vies de ceux qui protègent la forêt", a lancé Arthur Virgilio.

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SOUFFRANCE MUETTE

Publié le par Ricard Bruno

SOUFFRANCE MUETTE

SOUFFRANCE MUETTE

" Ils ne défileront pas dans la rue…
Ils n’écriront pas une pétition sur internet…
Ils ne signaleront pas leur mécontentement dans les urnes…
Ils ne formeront pas un parti politique…
Ils ne se grouperont pas pour prendre le pouvoir à des mains corrompues…
Ils ne constitueront pas un lobby pour faire voter des lois…
Ils gémiront peut-être mais on les fera taire immédiatement en les assassinant…
Qui ?
Les animaux.
Leur souffrance demeure muette : c’est à nous de leur donner la voix.
Ils ne réclament pas leurs droits : c’est à nous de les imposer.
Le silence de leur peine m’est intolérable.
La violence se montrant toujours plus rapide que la justice, il a fallu des siècles pour faire respecter le droit des femmes et des enfants : faudra-t-il des millénaires pour faire respecter ceux des animaux ?
L’histoire du lion Cecil, tué au Zimbabwe par un dentiste américain pour se faire plaisir alors que l’espèce menace de disparaître – moins 40 % en vingt ans - me révolte. Je me contenterai de n’évoquer que ce seul cas car, si je me lançais, l’énumération des ignominies occuperait des milliers de pages, me donnerait la nausée et m’ôterait la force d’essayer d’aimer encore les hommes.
Parlons en, signons des manifestes, rendons contagieuse la prise de conscience, défendons nos frères vivants qui ont un bâillon sur la bouche.
Ils ne défileront pas dans la rue…
Ils n’écriront pas une pétition sur internet…
Ils ne signaleront pas leur mécontentement dans les urnes…
Ils ne formeront pas un parti politique…
Ils ne se grouperont pas pour prendre le pouvoir à des mains corrompues…
Ils ne constitueront pas un lobby pour faire voter des lois…
Ils gémiront peut-être mais on les fera taire immédiatement en les assassinant…
Ils sont muets et ce n’est que dans leurs yeux tournés vers nous que l’on peut percevoir leur cri. "
Eric Emmanuel Schmitt.

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Des scientifiques tentent de découvrir pourquoi les loutres jonglent avec des pierres!

Publié le par Ricard Bruno

Des scientifiques tentent de découvrir pourquoi les loutres jonglent avec des pierres!

Réputées joueuses, les loutres ont souvent été observées en train de jongler avec des pierres. Des scientifiques anglais tentent de trouver la raison à ce comportement.

De nombreuses espèces de loutres sont connues pour jouer avec des cailloux. Elles les lancent en l'air, les attrapent, les roulent sur leur poitrine et leur cou, et les mettent même dans leur bouche. Mais les scientifiques n'avaient jusqu'à maintenant aucune explication sur ce comportement. Afin d'essayer d'expliquer ce phénomène, Mari-Lisa Allison, spécialiste des animaux à l’université d'Exeter, a étudié avec des collègues le comportement des loutres dans trois parcs animaliers du Royaume-Uni. L'équipe a enregistré environ 12 heures d'observations pour chacune des 48 loutres, dont 6 loutres à pelage lisse et 42 loutres cendrées. Les résultats de leur étude a été publiée dans la revue Royal Society Open Science.

La scientifique explique que les loutres jongleraient davantage quand elles ont faim. "Cela semble être le moteur immédiat du comportement. Elles jonglent avec une pierre parce qu'elles ont faim, elles attendent qu'on les nourrissent et deviennent excitées. Mais des recherches supplémentaires sont nécessaires. La fonction ultime est encore un mystère."

 

Après avoir fait différents exercices avec les loutres, les scientifiques se sont aperçus que plus les loutres sont jeunes, plus elles jonglent avec les cailloux. Cela pourrait suggérer que jongler avec les cailloux aide ces animaux à développer leur motricité. Ce comportement est également fréquent chez les loutres âgées. Jouer avec les cailloux pourrait cette fois jouer un rôle dans la prévention du déclin cognitif. Quant aux loutres en âge de se reproduire, elles passent leur temps à s'occuper de leurs bébés, "elles n'ont pas le temps de jongler avec des rochers". Mais d'avantage de travail est nécessaire pour confirmer ces hypothèses.

Les chercheurs ont également découvert que les loutres jonglaient plus fréquemment lorsqu'elles n'avaient pas été nourries pendant deux heures ou plus. Cela pourrait donc indiquer que jouer avec les cailloux serait une "recherche de nourriture mal dirigée. Ayant faim, les loutres reproduiraient avec les cailloux les mouvements qu'elles feraient pour extraire la viande de crustacés". Enfin, les scientifiques ne pensent pas que les loutres vivant en captivité ont ce comportement à cause du stress. Quant aux loutres sauvages, elles sont plus insaisissables et imprévisibles, ce qui rend l'étude de leur comportement plus difficile.

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Un zoo néo-zélandais réussit à faire éclore des œufs de la plus grande araignée du monde

Publié le par Ricard Bruno

Avec une envergure moyenne de 30 cm, l'espèce Theraphosa blondi est l'une des plus grandes mygales au monde.

Avec une envergure moyenne de 30 cm, l'espèce Theraphosa blondi est l'une des plus grandes mygales au monde.

Pour la première fois, le zoo de Wellington en Nouvelle-Zélande est parvenu à faire éclore 13 petits appartenant à l'espèce Theraphosa blondi. Avec une envergure moyenne de 30 centimètres, cette mygale est considérée comme la plus grande araignée du monde.

En Nouvelle-Zélande, le zoo de Wellington vient de célébrer l'arrivée de nouveaux pensionnaires et pas des moindres. Ceux-ci ont huit pattes, un abdomen orangé et ne mesure que quelques centimètres. Mais ils constituent une première encourageante pour la structure néo-zélandaise, le fruit d'un programme de reproduction démarré il y a quelques années plus tôt.

Les 13 nouveaux pensionnaires sont en effet de petites mygales appartenant à l'espèce Theraphosa blondi. Et c'est la première fois en vingt ans qu'un parc animalier parvient (officiellement) à faire éclore de telles araignées. "C'est une avancée considérable pour nous dans la mesure où nous sommes le premier zoo d'Australasie à élever cette espèce", s'est réjoui le zoo de Wellington sur Facebook.

Il faut préciser que Theraphosa blondi, plus connue sous le nom de mygale de Leblond ou mygale Goliath, n'est pas une espèce anodine. Elle se classe parmi les plus grandes araignées répertoriées à travers le monde, avec une envergure de 30 centimètres pattes comprises - soit environ la taille d'une assiette - pour une masse pouvant atteindre 170 grammes.

Cette espèce évolue dans les forêts tropicales d'Amérique du Sud, notamment au Guyana, au Brésil et au Venezuela. Contrairement à ce que laisse penser son surnom - araignée mangeuse d'oiseaux -, cette mygale se nourrit principalement de vers, de grenouilles et d'insectes. Mais sa taille peut lui permettre de s'attaquer à de petits mammifères voire des oiseaux si elle en croise sur son chemin.

Ces mensurations ne sont toutefois pas les seules armes de cette mygale comme en a témoigné en 2014 l'entomologiste Piotr Naskrecki après avoir croisé la route d'un spécimen au Guyana. L'araignée possède aussi une imposante paire de chélicères, du venin neurotoxique (non mortel pour l'humain) ainsi que des poils urticants qu'elle n'hésite pas à projeter sur le moindre intrus.

 

Car Theraphosa blondi est plutôt du genre timide et insaisissable. "Je travaille dans les tropiques en Amérique du Sud depuis de très nombreuses années et au cours des 10 à 15 dernières années, j'ai croisé la route de l'araignée à peine trois fois", avait confirmé à l'époque le spécialiste. L'espèce est néanmoins considérée comme relativement commune dans la nature. Comme en captivité.

Une reproduction complexe

L'imposante araignée fait en effet partie des espèces victimes du trafic de faune sauvage. Et des spécimens sont régulièrement capturés dans la nature pour servir d'animaux de compagnie. "Les goliaths sont classés dans la catégorie Non évalué par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) donc nous ne connaissons pas leur situation dans la nature", a précisé le zoo de Wellington.

L'espèce Theraphosa blondi est endémique des forêts sud-américaines et se rencontre notamment au Guyana.

L'espèce Theraphosa blondi est endémique des forêts sud-américaines et se rencontre notamment au Guyana.

Mais "il est probable que leurs nombres soient en déclin à cause des captures pour le trafic d'animaux", a-t-il poursuivi. Selon la structure interrogée par One News, les données faisaient état de 88 spécimens officiellement répertoriés dans les zoos à travers le monde en 2018. Néanmoins, aucune structure n'avait semble-t-il mis en place de programme de reproduction de l'espèce jusqu'ici.

C'est à partir de neuf spécimens, mâles et femelles, que l'équipe néo-zélandaise a commencé à travailler. Mais former des couples s'est révélé être une tâche complexe. "C'est un véritable jeu de hasard que les individus soient prêts au même moment et qu'ils soient compatibles", expliquait il y a deux ans, Dave Laux, responsable des reptiles et des invertébrés au zoo.

 

L'équipe a également dû faire face à une autre difficulté : l’agressivité des femelles. "Vous avez toutes les difficultés de la reproduction classique d'araignées [...] et vous devez vous assurer que tout le monde est adéquatement nourri pour que personne ne devienne un dîner plutôt qu'un partenaire", poursuivait-il. Après deux ans d'efforts, le zoo de Wellington semble finalement avoir trouvé la technique.

Treize petits, des goliaths miniatures "de la taille d'une pièce de 10 cents", ont finalement éclos. C'est relativement peu lorsqu'on sait que les mygales peuvent produire des sacs contenant jusqu'à 150 œufs. Mais c'est une première victoire pour le parc néo-zélandais. "Nous sommes assez fiers. C'est extrêmement gratifiant de récolter enfin les fruits de notre travail", a confié Dave Laux au New Zealand Herald.

"C'est une espèce absolument fantastique avec laquelle nous sommes très fiers de travailler", a-t-il poursuivi. Les petits devraient être visibles des visiteurs lorsque le zoo rouvrira ses portes.

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Exposition Brigitte Bardot et Alain Delon

Publié le par Ricard Bruno

Bonjour à tous

Je n'avais rien dit jusqu'à présent mais je suis en pleine préparation d'une nouvelle exposition concernant Brigitte Bardot et Alain Delon, exposition initiée par Henry-Jean Servat, qui m'a sollicité pour le prêt de plusieurs objets pour cette exposition qui devait dans un premier temps se tenir en juillet à Saint-tropez, cette exposition se fera bien mais par contre pour les dates, on attends...

Merci à mon ami BD'O

Bruno Ricard 

Exposition Brigitte Bardot et Alain Delon
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Sur la banquise blanche - Pierre de La Galite...

Publié le par Ricard Bruno

Bonjour à tous, un artiste que je viens de découvrir "Pierre de La Galite", écoutez bien les paroles de cette très belle chanson "Sur la banquise blanche", il a été très inspiré par Brigitte Bardot, ses mots sonnent juste et sont percutants...

Bruno Ricard 

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VIDÉO DE CHIENS ENTERRÉS VIVANTS AU MAROC : LA FBB EST SCANDALISÉE ET DEMANDE AU GOUVERNEMENT D’INTERDIRE CES TUERIES !

Publié le par Ricard Bruno

VIDÉO DE CHIENS ENTERRÉS VIVANTS AU MAROC : LA FBB EST SCANDALISÉE ET DEMANDE AU GOUVERNEMENT D’INTERDIRE CES TUERIES !

Sur les réseaux sociaux, une vidéo horrible montrant des chiens enterrés vivants au Maroc suscite une indignation internationale. La Fondation Brigitte Bardot demande au gouvernement marocain l'interdiction immédiate de ces tueries !

UNE VIDÉO CHOQUANTE, DES ACTES INACCEPTABLES

Madame Brigitte Bardot et sa fondation sont scandalisées par les tueries et les vidéos envoyées du Maroc, et en particulier des chiots enterrés vivants à Boumalne Dades dans la province de Tinghir.

Cette brutalité, ce manque d’éthique et de compassion vont rester gravés dans la mémoire des gens au Maroc et à l’international. Les réseaux sociaux sont remplis par ces tueries abominables et cela va gravement nuire à l’image du pays. 

Suite à la lettre de Brigitte Bardot au Roi du Maroc, le ministre de l’Intérieur s’était engagé à adopter une méthode efficace et éthique pour la gestion des chiens et chats, la seule par ailleurs valable qui consiste à stériliser, vacciner et identifier.

La Fondation Brigitte Bardot est venue de nouveau en novembre 2019 pour rencontrer les autorités à Rabat et Tanger, et les efforts et la collaboration entrepris semblent aujourd’hui compromis.

Dans un moment de crise internationale où on a besoin de solidarité et de compassion avec les plus faibles, et en l’occurrence avec les animaux des rues qui sont les victimes de notre irresponsabilité, on voit ces tueries ! La FBB est complètement scandalisée et révoltée par ce manque d’engagement et demande de poursuivre les personnes qui étaient présentes dans la vidéo à Boumaine Dades, ainsi que les commanditaires,  et attend une réponse urgente du gouvernement notifiant l’arrêt des tueries.

PÉTITION : SIGNER ICI

 


 


 

 

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La famille de renards pourra rester au cimetière du Père-Lachaise

Publié le par Ricard Bruno

La famille de renards pourra rester au cimetière du Père-LachaiseLa famille de renards pourra rester au cimetière du Père-Lachaise

Une bonne nouvelle, ENFIN pour une fois,... cette famille de renards pourra tranquillement rester au cimetière du Père-Lachaise, ils sont privilégiés par rapport aux 600.000 de leurs confrères assassinés chaque année en France.

Bruno Ricard 

Les photos d'une famille de renards ayant élu domicile dans le cimetière parisien avaient fait le tour de la toile. Leur sort, un temps incertain, est désormais réglé. Ils pourront rester où ils sont.

La semaine dernière, un couple de renards et ses quatre petits avaient été aperçus en train de déambuler au milieu du célèbre cimetière du Père-Lachaise. Le conservateur du cimetière parisien, Benoît Gallot, avait réussi à prendre en photo les renardeaux, âgés d'environ un mois et demi. Si les renards ont déjà été observés dans d'autres cimetières et dans d'autres villes, c'est la première fois qu'on en voyait au Père-Lachaise. Une situation qui s'explique par l'absence de visiteurs, dans ce lieu qui accueille normalement trois millions et demi de touristes par an.

Mais le sort de la petite famille était incertain. La ville de Paris envisageait ainsi de déplacer les petits canidés, une idée qui n'a pas du tout plu aux associations de défense des animaux. "Le risque qu’ils soient écrasés s’ils sortent du cimetière a été évoqué par la mairie pour envisager de les déloger. Mais ce n’est pas un argument, car ce risque existe partout. Il faut que l’humain arrête d’intervenir en permanence sous couvert de bien-être animal", a déclaré Amandine Sanvisens, cofondatrice de Paris Animaux Zoopolis, au journal Libération.

De son côté, Pierre Rigaux, administrateur de la Société française pour l’étude et la protection des mammifères, expliquait au journal que "la présence de renards en ville est courante. Londres, par exemple, abrite une population abondante. Déplacer cette famille serait insensé et présenterait des risques réels pour elle, notamment pour les petits. Au-delà du problème de leur capture, ils seraient très perturbés dans leurs habitudes et pourraient entrer en conflit territorial avec d’autres individus".

La ville de Paris a fini par trancher. Et bonne nouvelle, la petite famille de renards pourra continuer de se balader dans le cimetière, au milieu de ses célèbres voisins, comme Jim Morrison, Edith Piaf, ou Oscar Wild. Considérés comme nuisibles, les renards sont environ 600 000 à être tués chaque année en France.

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