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Ces villages rendus célèbres par les stars...

Publié le par Ricard Bruno

Ces villages rendus célèbres par les stars...

Ce village de pêcheurs avec sa citadelle datant du XVIè siècle vivait sa paisible vie de joli petit port avant que Roger Vadim n'y tourne, dans les années 1950 Et Dieu.. Créa la femme, créant d’une pierre deux coups l'engouement pour sa femme, Brigitte Bardot, et pour ce tranquille havre de paix varois. Si Maupassant venait se reposer de la syphilis sur son yacht au large de Saint-Tropez en 1887, c'est quand la bombe Bardot acquiert en 1958 sa fameuse villa « les pieds dans l'eau » comme elle le voulait, La Madrague, que l'excitation devient incontrôlable. Tandis que les fêtes dans la propriété battent leur plein et que toute la jet-set, des Yé-Yé à la Nouvelle Vague en passant par les Rolling Stones, squatte la côte d'Azur comme jamais, B.B obtient une dérogation pour privatiser sa plage. Elle a beau lever haut les murs et éviter comme elle peut les paparazzi, la mode est lancée : Do you do you Saint-Tropez chantera Geneviève Grad dans Le gendarme de Saint-Tropez (1964) et le village est sur toutes les bouches. Saint-Tropez est mort, longue vie à Saint-Trop ! Depuis, la station balnéaire de la Côte d'Azur est internationalement connue : c'est un peu la Capri française. La Madrague, elle, est devenu un spot incontournable pour les touristes et les toutous aussi, depuis que Bardot en a fait don à sa Fondation.

Source cliquez ICI

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Pharrell Williams, Brigitte Bardot, David Bowie... tous dans le livre "Iconic"

Publié le par Ricard Bruno

"Iconic" aux Editions la Martinière sort aujourd'hui, 8 octobre 2015. Décryptage de quatre icônes de mode avec l'auteur Raphaëlle Orsini.

Hier c'était Audrey Hepburn, aujourd'hui c'est Stromae. Les stars devenues des icones de mode sont regroupées dans Iconic, aux éditions de La Martinière. Ce jeudi 8 octobre 2015 sort ce livre sur "la mode incarnée" écrit par Sandrine Lajus et Raphaëlle Orsini. Le concept ? Nous faire découvrir des binômes formés par les stars et leur objet fétiche. Iconic a départagé les célébrités en quatre catégories : glamour, élégance, cool attitude et inimitables. Raphaëlle Orsini revient pour nous sur les pièces cultes dont elle parle dans ce livre : "La ballerine, le trench, la chemise blanche, le jean brut... sont des chef d’œuvres, ce sont des choses qu'on portera dans 50 ans. Les créateurs n'arrêtent pas de les revisiter. C'est tellement simple que ça en devient extrêmement beau". Enthousiaste, elle ajoute : "Ce qui est bien en mode c'est qu'il ne faut jamais dire jamais !"

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Nos emballages, des ressources ?

Chaque année, 3 millions d’emballages sont recyclés : mais dans votre région, que se passe-t-il réellement ?

Raphaëlle Orsini décrypte pour nous quatre photos du livre Iconic

"Si Steve McQueen a été choisi pour la couverture de Iconic, c'est qu'il continue à incarner l'homme moderne. Celui qui a envie de se réapproprier la mode, un homme mystérieux et viril qui a un look bien à lui. Et puis... il était un control freak de la mode !"

"J'ai une affection pour la Brigitte Bardot des débuts. Elle a marqué des pièces qu'on porte encore aujourd'hui : des ballerines ou l'imprimé vichy, des choses qu'on voit  encore dans les défilés. Cette intemporalité vient, d'après moi, de la simplicité des vêtements."

"Pharrell Williams est un des derniers buzz fashion. Son look a été un tel raz-de-marée sur Internet que lui-même a été agacé. Il s'est dit potentiellement que le zoom sur son chapeau Vivienne Westwood pouvait le desservir. C'est dire l'impact que peut avoir un seul accessoire."

"David Bowie fait partie de ces personnes qui n'ont pas suivi les tendances mais ont crée leur propre style. Des personnalités presque créateurs qui auraient pu créer des collections pendant la fashion week, sur les podiums... David Bowie a ce coté incroyablement créatif qui n'est pas lié à la tendance." La version francophone et moderne de David Bowie ? Stromae ! Raphaëlle Orsini explique : "Stromae est intéressant. Il a eu l'idée de créer un personnage où la mode est essentielle. Je trouve son style très touchant, assez preppy et écolier... Tout en ayant un côté pratique !"

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Publié le par Ricard Bruno

 
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bouquetin illustration bargy bardot 151010

Brigitte Bardot a écrit au chef de l'Etat pour lui demander de gracier 400 bouquetins en train d'être abattus au Bargy (Haute-Savoie). "Cette misérable décision, écrit BB à François Hollande, a été prise en dépit de l'avis défavorable des experts de l'ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation) et du CNPN (Conseil National de la Protection de la Nature)". Et de pointer du doigt le préfet qui, devant les recours déposés par plusieurs associations et qui doivent être examinés le 19 octobre, "d'accélérer le processus d'abattage avant de connaître la décision du tribunal". L'abattage partiel et controversé des bouquetins dans le massif du Bargy en raison de la brucellose, maladie infectieuse qui risque selon les éleveurs de contaminer leurs bêtes, a commencé jeudi matin. "L'opération d'abattage des bouquetins a commencé jeudi matin en application d'un arrêté du 16 septembre", a déclaré une porte-parole de la préfecture. >> RELIRE. L'abattage des bouquetins a commencé dans le massif du Bargy Selon cet arrêté, l'Etat autorise la "capture" et l'"euthanasie" de bouquetins séropositifs à l'enzootie par les agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), en "vue de la constitution d'un noyau sain parmi la population des bouquetins du Bargy, et pour compléter le noyau sain de 61 individus" existant. La préfecture prévoit également l'abattage d'animaux "non testés séronégatifs en 2015 et ne faisant pas partie du noyau sain constitué".

Source : NICE MATIN...

 
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Communiqué de presse du CRAC

Publié le par Ricard Bruno

samedi 10 octobre 2015
Le procès du lynchage de Rodilhan aura lieu les 14 et 15 janvier 2016 à Nîmes

Après plus de quatre ans d’attente, le procès du lynchage de Rodilhan a enfin été fixé aux 14 et 15 janvier 2016 à 9 h, au Tribunal correctionnel de Nîmes.

Les faits

Lors d’une action pacifique d’envahissement de l’arène de Rodilhan (Gard) le 8 octobre 2011, environ 70 manifestants assis enchaînés sur le sable de l’arène avaient été violemment pris à partie par une trentaine d’aficionados descendus des gradins pour les en chasser. Les militants anticorrida ont alors subi sans répliquer pendant près d’une demi-heure un déluge de coups de pieds, coups de poings, jets de lance à incendie à bout portant dans les oreilles, violences sexuelles et autres pratiques délictueuses telles que vols d’effets personnels, le tout sous les yeux du maire de Nîmes et de celui de Rodilhan. Ce dernier est descendu en personne dans l’arène pour participer au lynchage. Une vingtaine d’autres manifestants restés sur les gradins étaient également l’objet de violences et expulsés de l’arène alors qu’ils étaient munis, comme tous, de billets d’entrée. L’ensemble du lynchage a été filmé et diverses vidéos ont été aussitôt diffusées sur Internet, ce qui a donné à ces violences une forte visibilité internationale et a permis d’identifier progressivement les auteurs des violences ainsi que les victimes concernées, dont 70 avaient déposé plainte.

Quatre ans d’attente et d’atermoiements

Plusieurs annonces de dates de procès jamais suivies d’effet ont été faites dans les médias en 2013 et 2014. De fait, l’instruction était considérée comme bouclée fin 2013, puis à nouveau annoncée comme bouclée fin 2014 et enfin à la mi-2015 sans qu’aucune date d’audiencement ne soit donnée pour autant. Aussi, à l’approche d’une nouvelle séance de torture de veaux à Rodilhan le 4 octobre 2015, une campagne intitulée #RodilhanDeniDeJustice a été lancée par le CRAC Europe sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter à partir de la mi-août avec un très fort retentissement. Au bout de trois semaines, suite à une lettre ouverte datée du 31 août, Madame Beccuau, Procureur de Nîmes, a déclaré publiquement que le procès pourrait se tenir en janvier 2016, sans pour autant préciser de date certaine. La pression sur les réseaux sociaux a été maintenue, une seconde lettre ouverte a été adressée à Mme Beccuau et le jour de la nouvelle manifestation à Rodilhan organisée par le CRAC Europe, nos avocats nous informaient qu’il leur avait été proposé les 14 et 15 janvier. Quelques jours plus tard, les avocats de la partie adverse ayant accepté également ces dates, elles étaient confirmées officiellement.

Les personnes citées à comparaître

Une vingtaine d’aficionados ont été retenus par Mme la Procureur pour répondre de leurs actes de violence. Jean-Pierre Garrigues, président du CRAC Europe, considéré comme organisateur principal de cet envahissement d’arène non déclaré, sera également cité à comparaître. Les vidéos enregistrées lors du lynchage feront partie intégrante des débats.

Roger Lahana
Vice-président du CRAC Europe

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Aïd el-Kebir : l’abattage clandestin ne doit plus être toléré !

Publié le par Ricard Bruno

Chaque année en France, au moment de l’Aïd el-Kebir -ou Aïd al-Adha-, 200 000 moutons sont égorgés dans des circuits contrôlés (abattoirs pérennes ou temporaires)… mais combien sont sacrifiés illégalement par des particuliers qui s’improvisent « sacrificateurs » ?

Comme en 2014, la Fondation Brigitte Bardot a concentré ses efforts sur les sites clandestins pour saisir les animaux avant leur égorgement (action prioritaire) et poursuivre en justice les contrevenants.

Cette année, les actions principales de la FBB ont été menées à Marseille pour assister la DDPP (services vétérinaires) dans des opérations « coup de poing », validées par le Préfet de Police et menées avec l’ensemble des forces de l’ordre. Objectif : rappeler le cadre réglementaire de l’abattage et ne plus laisser impunies des pratiques illicites.

Approvisionnement

Pour organiser un abattage clandestin, il faut d’abord s’approvisionner en moutons. Ce n’est pas trop difficile car les éleveurs, qui « aiment » tant leurs bêtes lorsqu’il s’agit d’exiger l’éradication des loups, sont bien moins regardants lorsqu’il s’agit de vendre à bon prix un mouton voué au sacrifice.

Des abattoirs sont complices aussi, à Marseille l’un d’eux ayant été pris à vendre des moutons à des particuliers, les services vétérinaires ont mis en demeure le responsable d’arrêter ce trafic pour ne pas s’exposer à la fermeture de son établissement. Pour veiller à stopper l’approvisionnement de sites clandestins, les forces de l’ordre ont mis en place, dans la nuit du 22 au 23 septembre, plusieurs barrages filtrants pour intercepter les véhicules circulant à proximité de l’abattoir… La Fondation Brigitte Bardot était présente, aux côtés des forces de l’ordre, pour saisir les moutons si besoin.

La dissuasion a été efficace puisqu’en dépit de nombreux contrôles effectués durant la nuit, aucun animal n’a été découvert dans les véhicules. L’action de la DDPP a toutefois permis d’annuler la livraison de 500 agneaux destinés à alimenter les marchés parallèles, l’abattoir qui se livrait à ce petit trafic ayant même dû ouvrir un bureau de remboursement pour tenter de calmer la colère des « sacrificateurs » privés de moutons à égorger…

Le mouton dans la baignoire n’est pas un mythe !

Dans les Bouches-du-Rhône, pas moins de 12 lieux d’abattage ont été mis en place pour l’Aïd (2 abattoirs pérennes et 10 abattoirs temporaires), aucun autre département français ne dispose d’un tel dispositif. Pourtant, les abattages clandestins sont encore extrêmement répandus, il est vrai qu’ils ont été bien trop longtemps tolérés par laxisme ou par lâcheté.

Jeudi 24 septembre, premier jour de l’Aïd, plus question de laxisme face aux abattages clandestins, la loi doit être respectée par tous, y compris dans la cité Bassens (quartiers Nord de Marseille) réputée comme zone de non droit…

Le dispositif est impressionnant, les forces de l’ordre sont mobilisées, nous les accompagnons pour libérer les animaux. Un premier groupe de 11 moutons rassemblés dans un enclos, près d’un site d’abattage disposant de « tables » d’abattage et crochets de suspension. Tous les animaux sont chargés dans la bétaillère affrétée par la Fondation.

Les autres moutons ne sont pas visibles mais détenus dans les appartements de la cité, les choses se compliquent… Les forces de l’ordre s’introduisent dans un logement (avec autorisation du procureur) mais face à la violence du « sacrificateur » et de son clan, il est impossible d’accéder au mouton qui, de l’aveu même d’une jeune fille, se trouve dans la baignoire… pour lui, il est malheureusement déjà trop tard.

L’action se poursuit, l’objectif est d’intervenir en priorité pour libérer les animaux en attente du sacrifice. Trois moutons saisis sur un balcon, deux autres récupérés dans les mêmes circonstances, nous en sommes à 16 moutons dans la bétaillère placée sous haute surveillance.

Alors que nous sommes toujours en intervention, une rigole de sang attire notre attention jusqu’au deuxième étage d’un immeuble où le sacrifice bat son plein. Regards et gestes provocateurs des « sacrificateurs » qui semblent se croire au-dessus des lois. Il n’en faut pas plus pour déclencher une intervention immédiate des forces de l’ordre (l’abattage clandestin est un délit) qui, une fois dans l’appartement, détruisent les carcasses à l’eau de javel et lancent la procédure pénale.

Zone de non droit

Deuxième site d’intervention, la Gavotte Peyret à Septèmes-les-Vallons (Nord de Marseille)… Le climat est ici encore plus explosif, nous ne pouvons que constater l’organisation d’un lieu de sacrifice, saisir les moutons est malheureusement impossible, les autorités ne peuvent que négocier leur transport vers l’abattoir pour mettre fin à l’abattage clandestin.

Nos rescapés sont désormais en sécurité…

Comme toujours, intervenir dans ces lieux de mort est une horreur, mais sortir des animaux de cet enfer un réconfort, puis voir ces animaux libérés dans un environnement protecteur est une victoire contre la barbarie.

La Fondation Brigitte Bardot négocie maintenant l’accueil des différents moutons saisis en Ile-de-France durant ces jours de sacrifice, elle fera comme toujours le maximum pour prendre en charge les rescapés du massacre.

Christophe Marie
Directeur Pôle Protection Animale
Fondation Brigitte Bardot

Photos : FBB/Loan Ego

Aïd el-Kebir : l’abattage clandestin ne doit plus être toléré !
Aïd el-Kebir : l’abattage clandestin ne doit plus être toléré !
Aïd el-Kebir : l’abattage clandestin ne doit plus être toléré !
Aïd el-Kebir : l’abattage clandestin ne doit plus être toléré !
Aïd el-Kebir : l’abattage clandestin ne doit plus être toléré !
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Aïd el-Kebir : l’abattage clandestin ne doit plus être toléré !
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TOULON rend hommage à Mylène DEMONGEOT

Publié le par Ricard Bruno

TOULON rend hommage à Mylène DEMONGEOT

Du 29 septembre au 22 octobre 2015

Pour la première fois depuis le début de sa carrière, Mylène Demongeot sera célébrée au sein d’une exposition qui s’annonce exceptionnelle. Pendant trois semaines, la Ville de Toulon et Philippe Mouren, commissaire de l’exposition, mettront en lumière Mylène Demongeot, la femme, libre et combattante, défenseuse, de nombreuses causes animales, écologiques et citoyennes et Mylène Demongeot, l’actrice, belle, lumineuse, drôle, qui a tourné avec les plus grands réalisateurs du cinéma mondial. Une exposition qui s’ouvrira le jour des 80 ans de la comédienne.
> Photographies, affiches de films, objets personnels et pièces de collection illumineront cette exposition inédite qui se tiendra dans les Salons de la Mairie d’Honneur de Toulon. Deux espaces distincts seront identifiés pour mettre à l’honneur celle qui, par « sa beauté plastique et son regard incendiaire » * fit chavirer les spectateurs des salles de cinéma du monde entier.
> Un espace personnel sera consacré à la vie intime de Mylène Demongeot. De sa naissance à Nice en 1935, jusqu’à ses amours, notamment aux côtés de son mari Marc Simenon, et à ses batailles qu’elle mène sur le devant de la scène avec de nombreuses associations humanitaires et animales.
> Ses films, sa carrière cinématographique et ses rencontres avec les personnalités du septième art seront mis en scène au sein d’un deuxième espace d’exposition. Telle une gigantesque rétrospective sur la carrière de celle qui fut l’un des plus grands sex-symbols de ces dernières années, les visiteurs pourront (re)découvrir chronologiquement les quelques 70 films qui constituent la filmographie de Mylène Demongeot.
> Les Sorcières de Salem, Bonjour Tristesse, Les Trois Mousquetaires, L’Enlèvement des Sabines, Fantômas, Signé Furax, 36 quai des orfèvres, Camping, Les toits de Paris, Si tu meurs, je te tue, Elle s’en va… l’Intégrale Mylène Demongeot se tiendra du 29 septembre au 22 octobre 2015 dans les espaces d’exposition de la Mairie d’Honneur de Toulon.

Publié dans le web en parle

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Avignon : on leur refuse un logement à cause d’un yorkshire

Publié le par Ricard Bruno

Jean-Marie Frugier, vit à l’hôtel depuis une dizaine de jours. Jean-Marie Frugier, vit à l’hôtel depuis une dizaine de jours.

 
 

En arrivant dans le Vaucluse il y a une dizaine de jours, Jean-Marie Frugier, 78 ans, accompagné de son fils Stéphane, 45 ans, sa compagne et sa fille de 4 ans, pensaient pouvoir y couler des jours heureux. Mais depuis qu’ils sont arrivés de la Réunion, les galères s’accumulent. Impossible pour eux d’avoir un logement.

La dizaine de propriétaires qu’ils ont pu contacter leur a refusé de les avoir comme locataire. « Ah… des “on vous rappellera”, ça on en a eu », déplore Jean-Marie Frugier. Certains sont prêts à accepter la famille, mais pas Dingo. Un yorkshire de 7 ans haut comme deux pommes. La loi est pourtant claire en la matière. En principe un locataire a le droit de détenir un animal domestique. Le propriétaire est en droit de le refuser uniquement s’il s’agit d’un chien dangereux… La famille Frugier lance une bouteille à la mer. Dans l’espoir que la roue tourne en leur faveur d’ici peu. Car, père et fils vivent à “l’Hôtel de l’Île” sur la Barthelasse, à Avignon. La compagne de Stéphane Frugier et sa fillette ont quitté la chambre pour trouver une place dans un foyer.

« Nous avions un peu d’argent de côté. Il est parti dans nos frais d’hébergement et dans une voiture parce que je commence un travail comme carrossier demain (aujourd’hui, Ndlr). Pour l’instant on en est à plus de 4000 euros », comptabilise Stéphane Frugier. Et de ne pas croire que leur situation va perdurer.

L’état de santé de son père pourrait en dépendre. Peu bavard, une grosse veste en laine sur les épaules, il est démoralisé. Ex-patron de restaurants à Paris où il accueillait régulièrement célébrités et politiques, il est ensuite parti en voilier jusque dans l’océan Indien. Il a fini par s’amarrer à La Réunion pour profiter de sa retraite. C’est sur cette île qu’il est devenu le maître de Dingo. Depuis ils font route ensemble.

« La seule solution serait de me jeter dans le Rhône avec mon chien »

À bout psychologiquement, il a envisagé de se séparer de son ami fidèle avant de se raviser. « Il suffit de quelques détails pour que la vie devienne infernale. La seule solution serait de me jeter dans le Rhône avec mon chien », lâche le retraité… « Ne dis pas ça papa, on va s’en sortir, reprend son fils. On ne demande pas l’aumône mais que l’on nous accepte comme nous sommes. Nous avons le droit d’avoir un abri. ».

Hier soir, par soucis d’économie, ce dernier envisageait de laisser son père à l’hôtel et d’aller dormir dans sa voiture. « Avec une couverture, ça devrait aller ».

Source de l'article : Cliquez ICI : http://www.ledauphine.com/vaucluse/2015/09/23/on-leur-refuse-un-logement-a-cause-d-un-yorkshire

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"Il a écrasé notre chien sous les yeux de ma fille et a pris la fuite"

Publié le par Ricard Bruno

Shany, le fidèle compagnon d'Alexia et de sa famille, n'avait pas encore un an. C'était le cadeau de Noël de la petite fille qui avait toujours rêvé d'avoir un chien.

Shany, le fidèle compagnon d'Alexia et de sa famille, n'avait pas encore un an. C'était le cadeau de Noël de la petite fille qui avait toujours rêvé d'avoir un chien.

Alexia, 12 ans, est inconsolable. Lundi, une voiture a roulé sur sa jeune chienne, alors qu’elle la promenait avant le collège. Le conducteur ne s’est pas arrêté. Une plainte a été déposée.

Lundi à 8h30, Alexia, 12 ans, comme tous les matins avant d’aller au collège, promène sa chienne, Shany, avenue Émile-Henriot. Elle sort de chez elle et s'engage sur la route pour aller de l’autre côté vers un petit jardin, lorsqu’une voiture arrive, "à toute vitesse", écrase la chienne et continue sa course sans s'arrêter. 

Le jour-même, une plainte est déposée contre X au commissariat de Saint-Augustin. La SDA (Société de défense des animaux) a décidé de se porter partie civile. La mère d'Alexia, Pricilias, explique que le chauffard aurait pu aussi renverser sa fille. 

Pricilias, la mère d'Alexia témoigne

Alexia a toujours voulu avoir un chien. Shany était rentrée dans la famille en décembre. C’était le cadeau de Noël de ma fille. Le toutou de la famille! Tout le monde la connaissait dans le quartier. Cette chienne était adorable, obéissait au doigt et à l’œil. Elle était très affectueuse.

Ma fille est inconsolable. Et mon fils aussi. Il en est même tombé. Il a quatre ans et demi, souffre de troubles autistiques et ne cesse de réclamer Shany. 

"Elle a tiré sur sa laisse pour se poster devant ma fille"

C’est vrai qu’il n’y a pas de passage piéton, mais ma fille faisait toujours très attention, elle traversait toujours à cet endroit-là. De plus, elle est très grande, elle fait 1,70m, donc elle est visible. Et, lors du choc, elle était déjà engagée sur la route. 

Tout s’est passé très vite. La chienne a tiré sur sa laisse pour se poster devant ma fille, comme si elle avait senti le danger. La voiture est arrivée, a roulé sur la chienne, lui est passée dessus et a continué sa course sans s’arrêter. 

C’est impossible que le conducteur ne se soit rendu compte de rien. Shany faisait quand même une bonne vingtaine de kilos. Il a laissé ma fille sur le bitume, la chienne en sang. Alexia est alors remontée à la maison, en état de choc et couverte de sang, pour le dire à son père. 

"Complètement traumatisée"

Elle est partie en cours, juste après l'accident. Elle a fait ça comme un robot, complètement traumatisée. On n’a pas osé la dissuader… Mais au bout de quelques minutes, le collège nous a appelés pour nous dire qu’elle n’allait pas bien du tout.

On l’a gardée à la maison mardi. Elle est allée en cours mercredi matin. Ça lui a fait du bien, les professeurs ont été très humains avec elle. Et voir ses amis l’a un peu réconfortée.

On a pris rendez-vous chez un psychologue sur conseil de notre médecin. Et moi, je ne cesse de me dire que ça aurait pu être ma fille sous les roues.

Un appel à témoins 

Elle ne sait pas si c’était un homme ou une femme qui conduisait. Et n’a bien évidement pas pu noter la plaque d’immatriculation. Tout est allé trop vite. Mais il y a deux caméras, dont une à deux mètres de l’accident. C’est impossible qu’ils ne retrouvent pas celui qui a fait ça, on est confiant

Nous avons lancé un appel à témoins sur Facebook. On a été contacté par une jeune fille qui allait à la fac de droit. Elle est passée juste au moment où ma fille était remontée à la maison pour prévenir son père. Elle a vu le chien en sang à terre. Elle va se renseigner à la fac pour savoir si quelqu’un a vu quelque chose.

Une mère de famille a failli se faire écraser avec ses deux enfants par la même voiture décrite par ma fille. Dans le même quartier. A priori une Audi A4, gris métallisé, peut-être cabriolet.

Ne pas laisser ce crime impuni 

On ne veut pas d’argent, bien évidemment, il faut de la mesure dans cette affaire. Mais on veut que ce chauffard soit retrouvé, et qu’il regarde ma fille dans les yeux et lui présente des excuses. Qu’il comprenne qu’il a ôté une vie et, qu’en plus, ça aurait pu être ma fille. Qu’il comprenne le mal qu’il a fait et le danger qu’il représente.

Ma fille ne dort plus, elle n’arrête pas de pleurer. Elle culpabilise. Elle n’arrête pas de me dire: "J’ai vu son dernier regard et du sang partout... Ca aurait pu être moi."

Source : Cliquez ICI : http://www.varmatin.com/faits-divers/il-a-ecrase-notre-chien-sous-les-yeux-de-ma-fille-et-a-pris-la-fuite.2276700.html

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Il sauve un chien mutilé. Mais le lendemain, il se retrouve face à ÇA! Attention les images sont choquantes!

Publié le par Ricard Bruno

Wilson Martins Coutinho habite Rio de Janeiro, au Brésil, et dédie sa vie au bien-être des animaux. Il s’est fait connaître dans le monde entier pour avoir sauvé la vie de dizaines de chiens errants. Lorsqu’il intervient pour une urgence, il se retrouve généralement face à des cas horribles, où la douleur des animaux est difficilement imaginable. Mais cette fois-ci, il a dû faire face à un cas vraiment atroce.

Alors qu’il fait le tour des quartiers à la recherche de chiens errants de Rio de Janeiro, il trouve un petit chien qui est dans un état tellement misérable que Wilson, pourtant habitué à voir des chiens mutilés, a le choc de sa vie. Les images parlent d’elles-mêmes.

Le chien est dans un état déplorable. Il a une énorme inflammation sous la mâchoire. Mais le pire : il a de si gros trous dans le cou, qu’il est possible d’y enfoncer ses doigts. Le pauvre animal a été ébouillanté et lutte chaque jour depuis ce drame pour survivre malgré ce supplice.

Wilson n’a jamais vu un chien dans un tel état. Il décide de nommer la chienne Anja et l’emmène immédiatement chez lui pour la soigner le plus rapidement possible. Il n’y a pas une minute à perdre !

Les prochaines images sont difficilement supportables. Il est difficile d’imaginer les douleurs que cette chienne a dû supporter. Heureusement qu’elle a croisé le chemin de cet ami des animaux, qui est déterminé à la sauver.

À peine arrivés à la maison, Wilson anesthésie Anja, qui s’endort directement. Il peut enfin commencer son travail.

Il commence par désinfecter les plaies et coupe une partie des poils d’Anja afin de pouvoir s’occuper correctement des blessures. Wilson se retrouve alors face à quelque chose d’indescriptible.

 

Anja a des puces et des tiques plein les trous! Wilson les enlève un à un et lui fait un bandage. La torture prend fin pour elle !

En se réveillant, Anja a déjà repris du poil de la bête et montre qu’elle est une battante. Wilson se réjouit de la voir déjà manger de si bon appétit et espère qu’elle se rétablira rapidement.

Pour la première fois, Anja a un toit sûr et peut dormir à l’abri et au sec sur une couverture confortable. Les blessures l’ont épuisée et elle s’endort directement, sans craindre quoi que ce soit pour sa vie. Mais attention : les prochaines images sont vraiment difficiles à regarder !

Le lendemain, Wilson veut à nouveau désinfecter la plaie. Et là, c’est le CHOC : des vers ont infesté la blessure et se sont incrustés profondément dans les trous. Avec l’aide d’une amie, Wilson doit les enlever un à un.

Ils désinfectent une nouvelle fois la plaie et remarquent qu’après seulement 24 heures de traitement, l’inflammation a déjà diminué. Anja est décidément une vraie battante !

 

Pour la récompenser de s’être si gentiment laissée soigner, Anja reçoit une double ration de nourriture. Jusqu’au dernier morceau !

Chaque jour, Wilson nettoie la blessure de la petite chienne. Et l’horrible inflammation qu’elle avait sous la mâchoire et dans le cou n’est bientôt plus qu’un mauvais souvenir.

Puis, quelque chose, que personne n’avait espéré, se produit un jour : les blessures d’Anja guérissent complètement. La petite chienne a puisé dans toutes ses forces, si bien qu’elle n’a plus aucun asticot dans son cou et qu'elle ne garde même pas de cicatrice de ses blessures. Les poils n'ont plus qu'à repousser normalement !

Wilson souhaite garder la petite chienne jusqu’à ce qu’il lui trouve une famille convenable. Et comme on peut le voir, la petite coquine n’a rien contre l’idée de rester auprès de son héros quelques jours de plus. Une vraie chienne avec un coeur en or!

Si l’histoire d’Anja vous a touchée, n’hésitez pas à la partager avec vos amis. Car les gens comme Wilson sont encore trop rares dans ce monde !

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