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brigitte bardot

La comédienne Marie-José Nat est morte à 79 ans

Publié le par Ricard Bruno

Marie-José Nat, figure familière des écrans dans les années 60 et 70 dont le grand rôle est « Élise ou la vraie vie », est décédée jeudi à Paris à l’âge de 79 ans.

Marie-José Nat à Cannes en 1974 avec son mari de l’époque le réalisateur Michel Drach qui lui confia plusieurs grands rôles. PHOTO AFP

L’actrice née en 1940 à Bonifacio d’un père kabyle et d’une mère corse a été dirigée par des metteurs en scène connus comme Henri-Georges Clouzot, Gérard Oury ou Claude Autant-Lara, lors d’une carrière menée autant au cinéma qu’à la télévision.

Son premier rôle important lui est confié par Denys de La Patellière pour Rue des Prairies (1959), où elle est la fille de Jean Gabin. Elle sera aussi la sœur de Brigitte Bardot dans La Vérité (1960) de Henri-Georges Clouzot.

Cette femme aux yeux et aux cheveux très noirs avait reçu en 1974 le prix d’interprétation féminine à Cannes pour Les Violons du Bal de Michel Drach, histoire autobiographique du réalisateur avec qui elle partagea sa vie plus d’une décennie.

Avant cela, il lui avait offert en 1967 un de ses plus beaux rôles dans Élise ou la vraie vie, l’histoire d’une jeune fille qui se lie d’amour avec un militant algérien du FLN (Front de libération nationale, en lutte pour l’indépendance de l’Algérie), qui fit alors polémique.

 

Marie-José Nat a aussi travaillé pour la télévision, comme dans la série à succès Les Gens de Mogador, saga en 13 épisodes, diffusée à partir de 1972.

En 1977, elle tourne avec Victor Lanoux Passé simple, sous la direction de Michel Drach. Plus tard, elle épousera Lanoux.

 

 

Elle s’est remariée en 2005 avec l’écrivain et peintre Serge Rezvani, connu du grand public pour être l’auteur de chansons célèbres, dont « J’ai la mémoire qui flanche » et « Le tourbillon de la vie », interprétées par Jeanne Moreau.

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Adoptez un animal chez Brigitte Bardot !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot

En mars 1980, B.B dans son jardin de Bazoches. Si le domaine est désormais ouvert au public pour les adoptions, seuls les chats ont le droit de rentrer dans la maison de Brigitte Bardot.

A Bazoches-sur-Guyonne (Yvelines), la propriété de Brigitte Bardot est désormais ouverte au public tous les samedis afin de proposer chats et chiens à l’adoption. 

A chaque instant, on a le sentiment qu’elle va surgir de sa maison, pieds nus et cheveux au vent. C’est ici, à Bazoches-sur-Guyonne, dans les Yvelines, que Brigitte Bardot se réfugiait de juin à octobre, fuyant les touristes et les voyeurs qui rôdaient autour de sa demeure tropézienne dès le soleil venu. En 1960, Brigitte Bardot a le coup de foudre pour cette ancienne bergerie blottie dans un farfouillis d’arbres, de fleurs, de marre et de prairie, situé à 40 minutes de Paris. Elle y vit en harmonie avec ses animaux et ses rares amis, puis, en 2006, décide de faire don de sa propriété à sa Fondation qui, à son tour, rachète d’autres parcelles voisines. Ainsi le refuge de Brigitte Bardot est-il devenu celui des rescapés de l’enfer humain.

Aujourd’hui, cette propriété de 4 hectares est un coin de paradis, un lieu de convalescence sans cage, ni box, afin de permettre à près de 700 animaux abandonnés et maltraités de panser leurs plaies et de retrouver confiance en l’homme. Parmi eux, il y a des moutons joufflus et des chèvres câlines sauvés de l’Aïd, une joyeuse troupe de cochons vietnamiens qui a échappé à la mort quand les obsédés de la peste porcine menaçaient. Des chats et des chiens victimes de cruautés, d’autres qui ont fait les frais d’une rupture de couple ou qui ont été laissés sur le carreau suite au décès de leur propriétaire, les héritiers ne voulant pas « s’encombrer ».

 

 

Les animaux bichonnés par une équipe au coeur d'or

Jusqu’alors fermé au public, le refuge de Bazoches ouvre désormais ses portes tous les samedis pour proposer ses chats et quelques chiens à l’adoption. Installés dans deux chatteries avec lampes chauffantes et accès à l’extérieur, bichonnés par une équipe au cœur d’or (une dizaine d’employés et des bénévoles), les petits félins attendent patiemment leur nouvelle famille. Le plus difficile ? Devoir « choisir » : tous sont des boules de tendresse qui accourent dans vos jambes pour se faire caresser.

Pour fêter ce bel évènement, la Fondation Brigitte Bardot a réuni, le 5 octobre, ses amis les plus fidèles. On comptait ce jour-là de nombreuses célébrités (Arielle Dombasle, Raphaël Mezrahi, Dave, Aymeric Caron…), mais aussi des personnalités politiques (Samantha Cazebonne, Aurore Bergé, Gabriel Attal…), et un seul message à diffuser le plus largement possible : n’achetez pas, adoptez !

Refuge de Bazoches
Chemin de la Buissonnerie
78490 Bazoche-sur-Guyonne
01 34 86 23 70 ou 01 45 05 14 60
adoption.fondationbrigittebardot.fr

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Brigitte Bardot documentaire sur ses 85 ans ! partie 1

Publié le par Ricard Bruno

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Yvelines : venez voir les 700 animaux qui ont trouvé refuge chez Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Le site de la fondation créée par l’actrice, qui habitait elle-même le domaine jusqu’en 2006, ouvre officiellement ses portes au public ce samedi à Bazoches-sur-Guyonne.

 

Bazoches-sur-Guyonne. Ici, pas de cages ni de box : les 700 animaux se promènent en semi-liberté. FONDATION BRIGITTE BARDOT.

Bazoches-sur-Guyonne. Ici, pas de cages ni de box : les 700 animaux se promènent en semi-liberté. FONDATION BRIGITTE BARDOT.

Il fut le refuge tranquille d'une des plus grandes stars du cinéma français mais désormais, ce sont les animaux qui y sont chouchoutés comme des stars. A Bazoches-sur-Guyonne (Yvelines), le refuge de la Fondation Bardot ouvre ses portes au public ce samedi, jour de son inauguration officielle, après deux années de travaux de rénovation.

C'est en 2006 que l'inoubliable interprète d'« Et Dieu créa la femme » (1956), a fait don de cette maison qu'elle avait achetée dans les années 1960 afin de s'y reposer, loin des projecteurs et des paparazzis.

 

« C'était une toute petite maison de campagne, une bergerie sans eau ni électricité, explique Ghyslaine Calmels-Bock, directrice générale de la Fondation. Puis elle l'a rénovée et a pu réunir des parcelles et des bâtiments voisins. Après le don, nous aussi avons acheté d'autres parcelles pour aboutir à ce refuge situé dans un parc de 3 ha. »

«Pour les animaux, c'est un vrai 4 étoiles»

Ghyslaine Calmels-Bock, directrice générale de la Fondation. FONDATION BRIGITTE BARDOT.

Ghyslaine Calmels-Bock, directrice générale de la Fondation. FONDATION BRIGITTE BARDOT.

Un parc, en fait une véritable ferme, où gambadent près de 700 animaux en semi-liberté. Car là est l'originalité des trois refuges de la Fondation, ceux de Bazoches, de Montpont (Dordogne) et de La Mare Auzou (Eure). « C'est un concept atypique : il n'y a pas de cage, pas de box, reprend Ghyslaine Calmels-Bock. Au moment de créer des refuges, Brigitte Bardot avait été très choquée de voir que dans les sites des autres associations, les animaux étaient enfermés. Ici, ils sont accueillis dans un environnement idéal. Ils sont en famille ! Pour eux, c'est un vrai quatre étoiles ! »

Un palace à ciel ouvert qui accueille en ce moment quelque 300 chats à adopter, mais aussi des chèvres, moutons, poules, oies, canards et autres poneys ou ânes. Des bêtes recueillies par la Fondation souvent après un signalement d'abandon ou de maltraitance, mais en tout cas, jamais en situation d'errance. « Nous n'avons pas le droit car nous n'avons pas le statut de fourrière, rappelle la directrice générale. Ce sont souvent des animaux qui arrivent là après une saisie juridique pour cause de maltraitance, parce que leur propriétaire est expulsé ou décédé. Nous entretenons beaucoup de relations avec les services sociaux, les services de police ou vétérinaires. »

A l'arrivée, ce sont des « milliers d'animaux » qui, chaque année, rejoignent un des trois refuges ou des pensions disséminées dans toute la France. « On ne refuse jamais un animal, on a trop peur qu'il soit euthanasié, souligne Ghyslaine Calmels-Bock. Quoi qu'il arrive, on trouve toujours de la place même quand on se retrouve devant un lot de 600 chèvres comme ce fut le cas récemment. »

La Fondation a ainsi proposé à des agriculteurs ou des éleveurs dont l'activité est en baisse, voire en passe de péricliter, d'accueillir ces animaux contre une rémunération. « Les bêtes trouvent une place et cela permet à l'agriculteur de poursuivre son métier », sourit la directrice.

Bazoches-sur-Guyonne. Brigitte Bardot a fait don de sa propriété à sa Fondation en 2006. Le parc s’étend désormais sur 3 ha. FONDATION BRIGITTE BARDOT.

Bazoches-sur-Guyonne. Brigitte Bardot a fait don de sa propriété à sa Fondation en 2006. Le parc s’étend désormais sur 3 ha. FONDATION BRIGITTE BARDOT.

A Bazoches-sur-Guyonne, une dizaine d'employés s'occupent à plein temps du refuge et de ses pensionnaires, aidés en cela parfois par des bénévoles. « Maintenant que les travaux sont terminés, nous allons pouvoir accueillir les élèves des écoles, se félicite Ghyslaine Calmels-Bock. On peut aussi compter sur les résidants d'une maison de retraite toute proche qui nous fabriquent des jouets pour les chats. » Quant au grand public, il pourra désormais venir tous les samedis dans le but de rencontrer les chats à adopter, mais aussi quelques chiens.

Fondation Brigitte Bardot, chemin de la Buissonnerie à Bazoches-sur-Guyonne. Rens. : fondationbrigittebardot.fr

La SPA lance un appel

La Société Protectrice des Animaux (SPA) a constaté une augmentation de 10 % de chiens et chats abandonnés dans ses refuges cet été par rapport à 2018. Pour faire « adopter ces animaux et sensibiliser le public au bien-être animal », l’association organise ce samedi et ce dimanche un week-end « portes ouvertes ». Les membres des refuges proposeront diverses animations au public afin de mieux présenter leurs protégés. Dans le département, trois refuges participent : à Hermeray (situé à La Berthière), Plaisir (bois de Sainte-Apolline, sur la D 134) et Orgeval (1, route Royale).Rendez-vous ce samedi et ce dimanche, de 10 heures à 17 heures.

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Cersei, le lionceau femelle saisi à Marseille l'an dernier démarre une nouvelle vie en Afrique du Sud

Publié le par Ricard Bruno

Kuuma a bien grandi, elle s'appelle désormais Cersei et est âgée de 11 mois. / © Tonga Terre d'Accueil.

Kuuma a bien grandi, elle s'appelle désormais Cersei et est âgée de 11 mois. / © Tonga Terre d'Accueil.

Le lionceau saisi par la douane dans un garage automobile à Marseille l'an dernier partira jeudi prochain en Afrique du sud pour vivre dans une grande réserve. La jeune femelle a été soignée et sociabilisée dans un zoo de la Loire par une association, spécialisée dans le recueil d'animaux sauvages. 

 

Asa découverte par les douaniers marseillais en octobre 2018, la chétive Kuuma n'avait que 3 semaines et ne pesait que quelques kilos. Onze mois plus tard, c'est une magnifique jeune lionne au caractère bien affirmé, rebaptisée Cersei. 

4 lionceaux sur le départ

L'association Tonga Terre d'Accueil basée à Saint-Martin-les-Plaines dans la Loire, s'est occupé d'elle. A son arrivée, son état était très inquiétant. Cersei a été sevrée trop tôt de sa mère et a dû être nourrie au biberon plusieurs fois par jour, pendant plusieurs semaines. 

Une autre jeune femelle et deux jeunes mâles, Horus, Dadou et Théa, saisis comme elle l'an dernier sur le territoire français ont été soignés par Tonga. "C'est la première fois qu'on récupère des lionceaux si jeunes, note Pierre Thivillon, président de l'association.

A l'abri dans une réserve

Les lionceaux ont grandi ensemble et c'est ensemble qu'ils s'envoleront jeudi sur la terre de leurs ancêtres, en Afrique du Sud. Ils vont vivre dans le sanctuaire de la fondation britannique Born Free, au sud du pays, qui accueille déjà une quinzaine de félins.

Le garagiste qui détenait illégalement la jeune lionne n'a pas encore été jugé. "D'habitude les animaux sont bloqués jusqu'au procès mais les autorités marseillaises ont autorisé son départ", se réjouit Pierre Thivillon.

Un placement inespéré

18 fauves sont actuellement en attente de placement à l'association. "Ils ont été saisis dans des cirques, trois lions mâles sont castrés et sans crinière, une lionne est âgée de 20 ans, une tigresse a les pattes tordues, du coup, ils n'intéressent personne", constate amer Pierre Thivillon. 

La chance de Cersei et de ses compagnons de voyage, c'est leur jeune âge. "Ce placement rapide est inespéré. Cela s'est fait grâce à la fondation Brigitte Bardot et 30 Millions d'amis qui nous a mis en contact avec la Fondation Born Free qui a ce sanctuaire en Afrique du Sud."

"Ils ne vont pas être en liberté, ils ne peuvent pas vivre tous seuls, "

explique Pierre Thivillon. Ils ne savent pas chasser, ils ne savent pas se nourrir, mais ils vont être dans une réserve contrôlée par des humains, où ils seront nourris".

"Je n'imaginais pas quand on a créé Tonga qu'un jour, des fauves recueillis en France pourraient aller vivre dans la nature, se réjouit-il. C'est arrivé pour ces quatre jeunes lionceaux et nous espérons que pour eux tout se passera bien".  

Des nouvelles bientôt en vidéo

"Jean-Christophe, notre vétérinaire, part avec eux. Il filmera le voyage et leur vie", rassure Pierre Thivillon, très heureux d'avoir mené à bien ce projet.

Créée en 2007, Tonga Terre d'Accueil recueille des animaux sauvages saisis par les autorités françaises auprès de particuliers, de cirques ou de laboratoires qui les détiennent illégalement ou leur font subir de mauvais traitements.

L’association rappelle que la possession d'un animal sauvage est interdite par la loi. "Les gens achètent ces lions à des cirques qui font de la reproduction, raconte Pierre Thivillon, par ignorance et stupidité. Ils s'imaginent qu'ils peuvent élever un lionceau et qu' il restera gentil, alors qu'adulte il pèsera 200 kilos et n'en fera qu'une bouchée".

Source de l'article : Cliquez ICI

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Cersei, le lionceau femelle saisi à Marseille l'an dernier démarre une nouvelle vie en Afrique du Sud

Publié le par Ricard Bruno

Kuuma a bien grandi, elle s'appelle désormais Cersei et est âgée de 11 mois. / © Tonga Terre d'Accueil.

Kuuma a bien grandi, elle s'appelle désormais Cersei et est âgée de 11 mois. / © Tonga Terre d'Accueil.

Le lionceau saisi par la douane dans un garage automobile à Marseille l'an dernier partira jeudi prochain en Afrique du sud pour vivre dans une grande réserve. La jeune femelle a été soignée et sociabilisée dans un zoo de la Loire par une association, spécialisée dans le recueil d'animaux sauvages. 

 

Asa découverte par les douaniers marseillais en octobre 2018, la chétive Kuuma n'avait que 3 semaines et ne pesait que quelques kilos. Onze mois plus tard, c'est une magnifique jeune lionne au caractère bien affirmé, rebaptisée Cersei. 

4 lionceaux sur le départ

L'association Tonga Terre d'Accueil basée à Saint-Martin-les-Plaines dans la Loire, s'est occupé d'elle. A son arrivée, son état était très inquiétant. Cersei a été sevrée trop tôt de sa mère et a dû être nourrie au biberon plusieurs fois par jour, pendant plusieurs semaines. 

Une autre jeune femelle et deux jeunes mâles, Horus, Dadou et Théa, saisis comme elle l'an dernier sur le territoire français ont été soignés par Tonga. "C'est la première fois qu'on récupère des lionceaux si jeunes, note Pierre Thivillon, président de l'association.

A l'abri dans une réserve

Les lionceaux ont grandi ensemble et c'est ensemble qu'ils s'envoleront jeudi sur la terre de leurs ancêtres, en Afrique du Sud. Ils vont vivre dans le sanctuaire de la fondation britannique Born Free, au sud du pays, qui accueille déjà une quinzaine de félins.

Le garagiste qui détenait illégalement la jeune lionne n'a pas encore été jugé. "D'habitude les animaux sont bloqués jusqu'au procès mais les autorités marseillaises ont autorisé son départ", se réjouit Pierre Thivillon.

Un placement inespéré

18 fauves sont actuellement en attente de placement à l'association. "Ils ont été saisis dans des cirques, trois lions mâles sont castrés et sans crinière, une lionne est âgée de 20 ans, une tigresse a les pattes tordues, du coup, ils n'intéressent personne", constate amer Pierre Thivillon. 

La chance de Cersei et de ses compagnons de voyage, c'est leur jeune âge. "Ce placement rapide est inespéré. Cela s'est fait grâce à la fondation Brigitte Bardot et 30 Millions d'amis qui nous a mis en contact avec la Fondation Born Free qui a ce sanctuaire en Afrique du Sud."

"Ils ne vont pas être en liberté, ils ne peuvent pas vivre tous seuls, "

explique Pierre Thivillon. Ils ne savent pas chasser, ils ne savent pas se nourrir, mais ils vont être dans une réserve contrôlée par des humains, où ils seront nourris".

"Je n'imaginais pas quand on a créé Tonga qu'un jour, des fauves recueillis en France pourraient aller vivre dans la nature, se réjouit-il. C'est arrivé pour ces quatre jeunes lionceaux et nous espérons que pour eux tout se passera bien".  

Des nouvelles bientôt en vidéo

"Jean-Christophe, notre vétérinaire, part avec eux. Il filmera le voyage et leur vie", rassure Pierre Thivillon, très heureux d'avoir mené à bien ce projet.

Créée en 2007, Tonga Terre d'Accueil recueille des animaux sauvages saisis par les autorités françaises auprès de particuliers, de cirques ou de laboratoires qui les détiennent illégalement ou leur font subir de mauvais traitements.

L’association rappelle que la possession d'un animal sauvage est interdite par la loi. "Les gens achètent ces lions à des cirques qui font de la reproduction, raconte Pierre Thivillon, par ignorance et stupidité. Ils s'imaginent qu'ils peuvent élever un lionceau et qu' il restera gentil, alors qu'adulte il pèsera 200 kilos et n'en fera qu'une bouchée".

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Brigitte Bardot Nouveautés

Publié le par Ricard Bruno

Ce disque sorti très récemment (août 2019) a été autorisé par Brigitte Bardot...disponible uniquement sur le site de la FNAC Prix : 16 euros
Ce disque sorti très récemment (août 2019) a été autorisé par Brigitte Bardot...disponible uniquement sur le site de la FNAC Prix : 16 euros

Ce disque sorti très récemment (août 2019) a été autorisé par Brigitte Bardot...disponible uniquement sur le site de la FNAC Prix : 16 euros

Ce disque aussi sorti en août 2019 n'a pas été autorisé par Brigitte Bardot
Ce disque aussi sorti en août 2019 n'a pas été autorisé par Brigitte Bardot

Ce disque aussi sorti en août 2019 n'a pas été autorisé par Brigitte Bardot

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Pour un ministère de la protection animale

Publié le par Ricard Bruno

Durant une corrida à Nîmes (Gard), en 2010.

Durant une corrida à Nîmes (Gard), en 2010.

Un collectif de personnalités artistiques et de responsables d'association demande au gouvernement le retrait de l'attribution «protection animale» au ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation.

Tribune. Alors que 3 Français sur 4 souhaitent l’abolition de la corrida, que cette pratique est qualifiée d’acte de cruauté et de sévice grave par le code pénal, lequel l’interdit sur 90 % du territoire français et sanctionne les auteurs de cette infraction à deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende, Didier Guillaume, ministre de l’Agriculture, assistait le 14 août à une corrida dans les arènes de Bayonne. Le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation a pourtant la protection animale sous sa responsabilité. Elle fait partie de ses attributions au titre du décret du 24 mai 2017. La présence du ministre à cette corrida, où six taureaux ont été mis à mort, témoigne sans conteste du profond mépris qu’il a pour la protection animale, ce qui est incompatible avec sa mission.

Avec une note de 2,2/20 sur le site Politique & Animaux, qui évalue les personnalités politiques en fonction de l’impact favorable ou non de leurs décisions sur les animaux, Didier Guillaume s’inscrit dans une désormais longue tradition de complaisance à l’égard de la souffrance animale. Il affirme en outre «ne pas connaître un chasseur qui ne soit pas un protecteur du bien-être animal»… (1) Le ministre n’envisage ainsi pas d’interdire la castration à vif ni la coupe des queues des porcelets (2), malgré les souffrances considérables qu’elles engendrent et alors même que des alternatives sont en vigueur dans d’autres pays. Il a augmenté le nombre de loups pouvant être abattus. Il s’est également opposé à l’abolition de la chasse à la glu, qui piège même les oiseaux en voie de disparition, ce qui constitue une infraction à la directive européenne Oiseaux et a valu à la France d’être récemment mise en demeure par la Commission européenne pour qu’elle se mette en conformité. De la part d’un ministre en charge de la protection animale, cela est extrêmement inquiétant et lui ôte toute crédibilité dans la poursuite de cette attribution.

Il apparaît aujourd’hui manifeste que monsieur Didier Guillaume ne peut plus rester en charge de la protection animale. La compétence «protection animale» doit donc lui être retirée pour être confiée à un ministre qui en aurait la charge exclusive. Plus généralement, il est  indispensable que la protection animale, qui dépend à l’heure actuelle du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, fasse l’objet d’un ministère indépendant, libéré de tout conflit d’intérêts avec les lobbys de l’agriculture, de l’élevage, de l’alimentation ou de la chasse. 89 % des Français jugent la question animale importante, 77 % sont favorables à la création d’un ministère de la protection animale. La volonté affichée du gouvernement de faire du bien-être animal une priorité trouverait là une application concrète, loin des seules déclarations d’intention. Par conséquent, nous, signataires de cette tribune, demandons au président de la République, Emmanuel Macron, et au Premier ministre, Edouard Philippe :
– le retrait de l’attribution «Protection animale» au ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation ;
– la nomination d’un(e) ministre de la Protection animale reconnu(e) pour son engagement et son expertise en matière de protection des animaux.

Signataires : AFAAD, Association en faveur de l’abattage des animaux dans la dignité ; Anouk Aimée, actrice ; Nathalie Baye, actrice ; Alliance anticorrida, association pour l’abolition des corridas ; Souad Amidou, actrice ; Pamela Anderson, actrice ; Yaël Angel, juriste, documentation technique du Parti animaliste ; Animal Cross, association de protection des animaux ; AJD, Animal, justice et droit ; Association Droits des animaux, association pour la reconnaissance des droits des animaux ; Association et refuge GroinGroin, refuge pour animaux de ferme ; Association Gorilla, association pour la protection des gorilles et primates ; ASPAS, association pour la protection des animaux sauvages ; Association Stéphane-Lamart, association dédiée à la défense des droits des animaux ; AVES France, association pour la protection des espèces menacées ; Laurent Baffie, humoriste ; Brigitte Bardot, actrice et fondatrice de la Fondation Brigitte-Bardot ; Phil Barney, chanteur ; Nathalie Baye, actrice ; Valentin Bernard, coprésident du Parti animaliste ; Christine Berrou, humoriste, comédienne, auteure ; Claude Boucher, association LI-ZA (association de protection animale et d’adoption) ; CNDA, Confédération nationale défense de l’animal (réseau des refuges indépendants) ; Florence Burgat, philosophe et directrice de recherche à l’INRA ; C’est Assez !, association engagée dans la défense des cétacés captifs ; Code animal, association spécialisée dans la relation entre l’espèce humaine et l’animal sauvage ; Mario d’Alba, acteur et compositeur ; Pascal Danel, chanteur et compositeur ; Hélène de Fougerolles, actrice ; Mylène Demongeot, actrice ; Sophie Dol, vétérinaire ; Michel Drucker, animateur et producteur de télévision ; Isabelle Dudouet-Bercegeay, cofondatrice et coprésidente du Parti animaliste ; Anny Duperey, actrice ; Fédération CREL, association de défense des lévriers ; FLAC Anticorrida, Fédération des luttes pour l’abolition des corridas ; Fondation Brigitte-Bardot, fondation vouée à la protection des animaux ; Sophie Forte, comédienne et scénariste ; Galgos sans famille, association de sauvetage des lévriers espagnols ; Marc Giraud, naturaliste, écrivain et journaliste spécialisé en zoologie ; Laure Gisie, coprésidente du Parti animaliste ; Global Earth Keeper, ONG qui vise à renforcer les lois internationales sur la protection animale et environnementale ; Chantal Goya, actrice et chanteuse ; Olivier Gracia, écrivain et éditorialiste politique ; Astrid Guillaume, coprésidente de la Société française de zoosémiotique ; Audrey Jougla, auteure et professeure de philosophie, fondatrice de l’association Animal Testing (association pour rendre visibles les animaux de laboratoire) ; Florence Juralina, coprésidente du Parti animaliste ; Virginie Lemoine, humoriste et actrice ; L214 Ethique et Animaux, association de protection animale œuvrant pour une pleine reconnaissance de la sensibilité des animaux et l’abolition de pratiques ; Martine Lelouch, actrice ; Gérard Lenorman, auteur, compositeur, interprète ; Caroline Loeb, actrice, animatrice de radio, chanteuse, metteuse en scène ; Douchka Markovic, cofondatrice et coprésidente du Parti animaliste ; André Ménache, vétérinaire ; Raphaël Mezrahi, humoriste et acteur ; Nicoletta, chanteuse ; No Corrida, association anticorrida ; One Voice, association pour les droits des animaux et le respect de toute vie ; Paris Animaux Zoopolis, défense des intérêts des animaux, sans distinction d’espèces ; le Parti animaliste, parti politique pour les animaux ; Peta France, association dédiée à établir et à protéger les droits de tous les animaux ; Laurent Petitguillaume, animateur de télévision et de radio ; Matthieu Ricard, docteur en génétique cellulaire, moine bouddhiste tibétain, auteur et photographe ; Firmine Richard, actrice ; Sylvie Rocard, écrivaine ; Michel Sardou, chanteur ; Dany Saval, actrice et présidente de l’association LI-ZA ; Sea Shepherd France, ONG internationale de défense et de protection des océans ; Henry-Jean Servat, écrivain et journaliste ; Agnès Soral, actrice ; SPA, Société protectrice des animaux ; Laurent Spielvogel, acteur, metteur en scène et humoriste ; Stone, chanteuse et actrice ; Hélène Thouy, cofondatrice et coprésidente du Parti animaliste ; Corinne Touzet, actrice ; Une histoire de galgos, association de sauvetage des galgos et podencos martyrs d’Espagne ; Isabelle Yvos, coprésidente du Parti animaliste.

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Ces chansons qui font l'actu. "Harley Davidson" par Brigitte Bardot : l'emmêlement des mythes

Publié le par Ricard Bruno

1967 : le 45 original de "Harley Davidson" par Brigitte Bardot. (Disc AZ - Universal)

1967 : le 45 original de "Harley Davidson" par Brigitte Bardot. (Disc AZ - Universal)

Depuis 1967, une bonne part du mythe de la Harley Davidson est associée à la plastique légendaire de Brigitte Bardot et à sa troublante voix de chanteuse.

Une Harley Davidson FLH Electra Glide 1200 a aussi joué d’une double valeur mythologique il y a quelques jours, pusique c'est pour 730 000 euros que cette moto a été vendue aux enchères – un prix qui ne s’explique que parce qu’elle a été achetée par Elvis Presley le 11 août 1976, un an et quelques jours avant sa mort.

Dans le second épisode de Ces chansons qui font l’actu diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :  

Brigitte Bardot, Harley Davidson, 1967

Anna Karina, Roller Girl, 1967

Jane Birkin, Kawasaki, 1973

IAM, Harley Davidson, 1993

Serge Gainsbourg, Harley David Son of a Bitch, 1984

Eric Burdon & The Animals, San Franciscan Nights, 1967

Jethro Tull, Too Old To Rock'n'roll: Too Young To Die, 1976

Ugly Kid Joe, Jesus Rode A Harley, 1995

Johnny Hallyday, Que ma Harley repose en paix, 1998

Young Thug, Now, 2018

Brigitte Bardot, Harley Davidson, 1967

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