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Laetitia Casta : Article bis...

Publié le par Ricard Bruno

Laetitia Casta : "Si un tournage doit m’emmener loin, les enfants suivront"



Laetitia Casta , qui vient d’achever le tournage de " Gainsbourg ", dans lequel elle interprète la mythique Brigitte Bardot , est une maman épanouie ! Alors qu’elle attend actuellement son troisième enfant, la belle plante explique au magazine Elle sa philosophie de vie : "Je ne planifie rien, je ne calcule rien, je profite seulement de tout."

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le mannequin devenue actrice mord la vie à pleines dents ! "Ma vie professionnelle est pleine ? Ma vie privée l’est tout autant... Mais je ne suis pas une boulimique de travail. Je fais un ou deux films par an, c’est un choix. Et, si un tournage doit m’emmener loin, les enfants suivront." Laetitia Casta, fera toujours passer ses BB avant tout...

Source : http://people.premiere.fr/News-People/Laetitia-Casta-Si-un-tournage-doit-m-emmener-loin-les-enfants-suivront/(gid)/1697356


Publié dans le web en parle

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Laetitia Casta en Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Laetitia Casta pose et se confie à Elle France


Aujourd’hui elle est blonde et elle aime ça. Elle attend son troisième enfant et elle adore ça. Sur les photos, cela ne se voit pas encore mais son ventre rond, moulé dans un t-shirt à rayures horizontales, et fière d’annoncer l’heureux événement :’ Je n’ai rien à cacher’. C’est du mois ce que souligne Marie-Françoise Colombani, journaliste du magazine Elle, dans son introduction de l’entrevue qu’accorde Laetitia Casta au numéro de ce mois-ci du mensuel féminin.
Actrice pleine de talent, pleine de charme, pleine de fraîcheur, maman de deux enfants, amoureuse discrète, gourmande de la vie et capable de s'imposer auprès des plus grands, la comédienne française vient de terminer le tournage de ‘Gainsbourg’, où elle campe le rôle de l’indétrônable Brigitte Bardot.

Source : http://www.eparsa.fr/people/index.php?2009/04/20/2877-laetitia-casta-pose-et-se-confie-a-elle-france-extrait-et-photos

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Brigitte Bardot, en chantant...

Publié le par Ricard Bruno

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Chasse aux phoques : le Canada doit se montrer responsable !

Publié le par Ricard Bruno




Face à l’effondrement du marché de la fourrure de phoque (la valeur d’une peau ne vaudrait pas plus de 15 $), consécutif à la prochaine interdiction européenne d’importer et de commercialiser les produits dérivés du phoque, les autorités canadiennes doivent urgemment se montrer responsables et ne plus soutenir aveuglement une industrie moribonde qui coute, aux Canadiens, bien plus qu’elle ne rapporte.


Les massacres observés ces derniers jours sur la banquise ont renforcé la volonté des instances européennes à ne plus être complices. Alors que les positions étaient encore très partagées début mars, l’augmentation des quotas d’abattage puis les menaces proférées par le Canada envers l’UE ont eu pour effet d’orienter le débat vers une stricte interdiction.

La décision européenne est parfaitement légitime et cohérente, elle répond à l’attente des citoyens et s’inscrit dans la droite ligne du plan d’action communautaire sur la protection et le bien-être des animaux, adopté en 2006, qui a déjà conduit à la prise d’un embargo européen sur les fourrures de chats et de chiens.

Si le Canada devait porter plainte devant l’OMC contre l’Union Européenne, alors il devra également porter plainte contre les Etats-Unis et contre tous les autres pays qui interdisent déjà le commerce des fourrures de phoques.

Pour défendre l’indéfendable, les partisans de la chasse aux phoques ne reculent devant rien, pas même le ridicule. Après avoir prétendu que les phoques étaient responsables de la disparition des morues (le ministère canadien des Océans et Pêches a toutefois fait marche arrière devant l’énormité de cette contrevérité), certains n’hésitent pas aujourd’hui à vanter les vertus miraculeuses que pourrait avoir une hypothétique utilisation de valves coronariennes du phoque en chirurgie cardio-vasculaire humaine… Ceci n’est pas seulement ridicule, c’est profondément scandaleux !

Des valves artificielles sont utilisées en chirurgie, il n’y a donc aucune raison de recourir aux valves d’origine animale. Ce « bricolage », outre le fait d’être éthiquement irrecevable, représenterait un danger réel pour le patient et ne pourrait de toute façon, si l’on se réfère à la réglementation communautaire, être validé au sein de l’UE puisqu’une méthode alternative existe déjà.

Il est donc plus que temps de tourner la page sanglante du massacre des phoques sur la banquise, et dans son dernier appel à Stephen Harper, Brigitte Bardot demande au Premier Ministre canadien de ne plus défendre cette industrie moribonde « qui fait honte au Canada, honte à l’humanité toute entière ».

L’Europe doit encore peaufiner son futur règlement, car si la dérogation autorisant l’importation des produits issus d’une chasse « non cruelle » semble définitivement rejetée par les instances européennes, le débat n’est pas clos quant à l’exemption Inuit qui pourrait être élargie aux autres populations dépendant directement de la chasse.

La Fondation Brigitte Bardot, membre d’Eurogroup for Animals, et l’association IFAW sont intervenues, dès novembre 2008, auprès des instances européennes pour réclamer une définition stricte de l’exemption Inuit qui doit se limiter à une chasse « de subsistance » et ne pas être assimilée à une chasse commerciale. Plusieurs amendements ont été présentés visant à limiter la portée de l’exemption « à l’utilisation coutumière et traditionnelle, par les communautés Inuits, de produits dérivés du phoque pour leur consommation personnelle ou familiale directe ».

Partant de ce principe, la chasse de subsistance n’a pas à faire l’objet d’un commerce international, ce qui justifie d’autant plus l’adoption d’un règlement interdisant strictement, sans dérogation, l’importation et le commerce des produits dérivés du phoque.

Résultat début mai…

Source : http://www.lemague.net/dyn/spip.php?article6031
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La prise de position de la SPA de Merville contre ...

Publié le par Ricard Bruno

La prise de position de la SPA de Merville contre la présence d'animaux dans la cavalcade de demain (notre édition de vendredi) a suscité plusieurs réactions.

 

Nous avons publié dans notre édition d'hier celle du maire de Merville, Jacques Parent, qui ne partage pas l'avis de la SPA.

 

D'autres vont dans le sens de l'association de protection des animaux.

Ainsi, plusieurs membres d'une même famille de Merville dénoncent la présence d'animaux dans ces festivités. « Honte à la municipalité d'avoir permis l'exhibition d'animaux sauvages pour son défilé des festivités de Pâques, peut-on notamment lire dans ces mails. Est-ce que ça leur ferait plaisir de passer leur vie enfermés dans une cage à peine plus grande qu'eux ? D'être liés à des chaînes à chaque sortie ? Non, je ne pense vraiment pas. Alors, pourquoi ces animaux, qui n'ont rien demandé à personne, subissent-il ça ? N'oublions que ce sont des êtres vivants (...).

Pourquoi leur faire subir une telle cruauté ? (...) Laissons vivre en paix le peu d'animaux sauvages qu'il nous reste. Laissons les vivre dans leur milieu naturel. Respectons les si nous ne voulons pas laisser aux générations futures des ossements qui prouveront que nous sommes coupables d'un véritable massacre. » Un autre membre de la famille mervilloise ajoute : « Merville serait-elle revenue au Moyen Âge  ? Même Hazebrouck avec son cortège historique a l'intelligence de ne pas faire venir des animaux de cirque. » Par ailleurs, la fondation Brigitte Bardot a adressé une lettre ouverte sur le même sujet au maire de Merville : « Nous venons d'apprendre la tenue d'un spectacle de montreur d'ours le lundi 13 avril à Merville lors de la cavalcade organisée par votre ville. De nombreuses associations mènent actuellement une action de sensibilisation à ce sujet auprès des organisateurs et nous souhaitons vous faire part de nos arguments. » Il est expliqué que « l'ours est l'une des espèces les plus persécutées par l'homme dans le monde : combats d'ours au Pakistan, fermes d'élevage pour la bile en Chine, ours dansants dans les Balkans, sans compter le lourd tribut qu'il paie aux chasseurs (et ceci même en France !). Depuis de nombreuses années, des campagnes internationales sont menées pour dénoncer l'utilisation scandaleuse de ces animaux dans certains pays où des coutumes moyenâgeuses sont encore pratiquées. Des avancées non négligeables sont obtenues ; c'est le cas en Bulgarie, où la fondation a aménagé le premier parc d'accueil pour ours dansants dans les Balkans, avec le soutien des autorités bulgares ».

Aline Maatouk Renard, du bureau de protection animale de la fondation Brigitte Bardot, en appelle aux « qualités de coeur » du maire de Merville, « afin que vous preniez conscience du caractère indigne et immoral de telles exhibitions dans lesquelles la nature même de l'animal est inhibée, asservie pour le seul plaisir de l'homme ». Elle pose ensuite la question : « Qu'en est-il de la sécurité du public lors de telles exhibitions ? L'ours et les loups, même asservis, restent des animaux sauvages avec des réactions imprévisibles... Faudra-t-il encore une fois qu'un accident mortel se produise pour que les bonnes décisions soient enfin prises ? » •

Source : http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Hazebrouck/actualite/Autour_de_Hazebrouck/Flandre_Lys/2009/04/12/article_c-est-vous-qui-le-dites.shtml
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Une clinique vétérinaire mobile pour aider ...

Publié le par Ricard Bruno

Une clinique vétérinaire mobile pour aider les compagnons à quatre pattes des sans-abri

Cet hiver une clinique vétérinaire mobile a vu le jour à l’initiative de la Fondation Brigitte Bardot. Le but est d’aider les compagnons à quatre pattes des sans-abri.

Il n’est pas rare de croiser dans les rues, des hommes, des femmes… jeunes ou usés par le temps, accompagnés d’un chien ou d’un chat… leurs seuls amis quand ils ont été coupés de toute relation avec la société. Pour eux, ces animaux représentent un tout, pour ne pas dire leur seule raison de vivre. Pour les nourrir, nombreux sont ceux qui sont contraints de partager leur maigre pitance avec leur compagnon de galère voire se priver de nourriture. Pour les aider d’une autre manière, la Fondation Brigitte Bardot a, cet hiver, mis en place une structure pour prendre soins de ces animaux. Une clinique mobile vient à leur rencontre. Alors que les maîtres reçoivent quelques petits conseils utiles pour prendre bien soin de leur animal avec leurs moyens de fortune, celui-ci se régale de croquettes ou de friandises mises à leur disposition. Des consultations vétérinaires gratuites sont également effectuées pour détecter d’éventuelles maladies.


Source : http://www.waliboo.com/chiens/news/une-clinique-veterinaire-mobile-pour-aider-les-compagnons-quatre-pattes-des-sans-abri/37751#comment-2063
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Paris Match : BB la légende...

Publié le par Ricard Bruno




Le 10 février 1951, une inconnue de 16 ans fait la couverture de Paris Match. Le mythe Bardot est en marche. Pour Paris Match, Brigitte Bardot se confie aujourd'hui.

Entretien avec Christian Brincourt - Paris Match

 

Insolente et libre, elle est la jeunesse de la France. Et celle de Match. Brigitte Bardot a 16 ans quand elle fait sa première couverture, en 1951. Une adolescente, un journal à ses ­débuts. Entre les deux, une histoire d’amour qui se concrétisera par un ­mariage avec Roger Vadim, reporter au magazine. Brigitte changera de mari et d’amant, jamais de journal. Avec la grâce d’une star qui n’a jamais caché son âge, elle nous adresse ses vœux toujours espiègles pour un anniversaire qui colle à son destin. ­Carrière éclatante, bonheurs privés, malheurs ­publics, ­Paris Match, aujourd’hui, lui raconte sa vie. Comme Brigitte nous raconte la nôtre et d’abord l’émancipation des femmes dont elle a été, sans l’avoir cherché, le porte-drapeau. Une victoire blonde. Le sourire de nos « glorieuses ».

Paris Match. Le 10 février 1951, Match te consacre pour la première fois sa couverture. Tu as 16 ans et demi, tu es inconnue...
Brigitte Bardot. Je crois me souvenir qu’il s’agissait d’illustrer un ­reportage sur le thème “Restez toujours jeune en appliquant la méthode du Dr Gayelord Hauser”. J’étais ­affreuse sur cette photo, on aurait dit une noix de coco avec une perruque ! Personne ne me connaissait puisque je n’avais jamais fait de cinéma. D’ailleurs, mon nom n’était même pas mentionné sur la couverture.

A cette époque, tu tombes raide amoureuse de Vadim.
Il n’est pas encore journaliste. Papa lui a dit : “Vous n’épouserez ma fille que lorsque vous aurez un ­salaire.” Vadim se présente alors à Hervé Mille et Jean Prouvost, les ­patrons de Paris Match. Il entre au journal comme reporter.

Peu à peu, tu commences à être connue. A Cannes, tu sors d’un carton sur le pont d’un porte-avions américain. Match te photographie, ce sont tes premières parutions.
Dans l’ancien immeuble du journal, rue Pierre-Charron, j’étais chez moi. C’était ma deuxième maison. Je connaissais tous les recoins de la rédaction. J’étais reçue comme la femme de Vadim mais aussi comme la copine qui partageait tous les petits secrets des reporters. Combien de fois ai-je dormi dans un grand canapé pendant les nuits de bouclage ! Oui, Match, ce fut mon havre, ma grotte, avant et après ma célébrité. Ce fut ma famille, tendre et complice, et surtout fidèle.

Sur une célèbre photo de toi, assise, les jambes croisées haut, en collant noir, les cheveux sur les épaules, on peut lire ta dédicace : “De la part de Bri, la petite fiancée de Match”.
Ce sont les photographes qui avaient trouvé ce joli surnom. Il faut savoir à quoi ressemblait le journal dans les années 55-60. C’était le foutoir intégral pour les gags et les blagues de potache. La rigueur de l’information et la chasse au scoop n’empêchaient pas la rigolade permanente. Je me souviens d’un soir de bouclage, un lundi, où pour détendre l’atmosphère je suis montée sur la grande table de la rédaction en soulevant mes jupons et en ­esquissant quelques pas de danse sous les hurlements des garçons et des directeurs, assez surpris !

Tous étaient un peu épris de toi ?
Oui, ils me faisaient la cour et j’adorais ça ! C’étaient des frères pour moi. Lorsque je m’engueulais avec Vadim [rires], j’allais me faire consoler par tous ces beaux mecs qui m’emmenaient boire un verre à La Belle Ferronnière, l’annexe de la rédaction, la brasserie en bas du journal. Leurs notes de frais étaient salées comme la mer Morte ! Mais Match était le magazine qui se détachait des autres en montant des coups imparables et exclusifs.

Avec le triomphe de “Et Dieu créa la femme”, ta célébrité transforme-t-elle tes rapports avec Match ?
Pas du tout ! Célèbre ou pas, je m’en foutais royalement. Je tenais à rester moi-même avec mes copains, j’étais toujours leur petite fiancée, la rigolote qui passe dire bonjour à ses petits frères et à leur Leica en bandoulière. Nous avions nos codes, nos fous rires. Dédé Lacaze, le ­rédacteur en chef, deviendra mon témoin, le jour de mon mariage avec Charrier.

A l’époque, un calcul très sérieux ­révèle que les magazines français t’ont consacré 3 millions de lignes et ont publié 30 000 photos de toi.
C’est terrifiant et inimaginable aujourd’hui et pourtant c’est la réalité. J’ai été traquée, manipulée, agressée, planquée jour et nuit. Tu peux en témoigner puisque tu étais à mes côtés. J’ai été la proie de photographes qui venaient de l’autre bout du monde, alors j’ai choisi Match et mes copains pour des ­parutions bien élaborées et exclusives qui carbonisaient la concurrence. Concurrence qui, bien ­entendu, se vengeait en écrivant des horreurs sur moi.

Ton accouchement, en janvier 1960, a sans doute été le paroxysme du phénomène Bardot.
Alors que mon gynécologue me demandait de sortir, de prendre l’air, de marcher les deux derniers mois de ma grossesse, je suis restée enfermée, avenue Paul-Doumer, cernée par 200 journalistes qui planquaient jour et nuit dans les escaliers, sur le palier des étages, dans leurs voitures, sur le toit de l’immeuble. Les volets fermés, avec mon gros ventre, j’ai tourné en rond pendant deux mois sous la menace de téléobjectifs sortant de toutes les chambres de bonne, louées depuis des semaines, qui entouraient le 7e étage de mon immeuble.

Il faut savoir que la première photo de toi et de ton bébé atteignait plusieurs millions de francs à l’époque.
Ce fut une naissance d’une incroyable violence, à tous points de vue. J’avais l’impression que j’allais mourir ou devenir folle. Nicolas en a subi les retombées. Quarante-neuf ans plus tard, je sais que la plus grande injustice que j’ai infligée à mon fils, c’est que je lui en ai voulu de naître dans des conditions pareilles. C’est pourquoi, dans mon bouquin, j’ai écrit ces lignes si dures concernant sa naissance. Je me ­disais : pourquoi dois-je mettre au monde un enfant qui me bouffe la vie à ce point-là ? Je sais que, pour lui, ce fut une injustice incroyable.

Aujourd’hui, tu as deux petites-filles de 17 et 20 ans qui, paraît-il, te ressemblent. Les vois-tu ? Es-tu une bonne grand-mère ?
Non, je ne suis pas une bonne grand-mère. Elles vivent en Norvège avec leur père, elles ne parlent pas français, et nous n’avons pas l’occasion de nous voir. Pourquoi tricher ? Tu le sais, j’ai toujours dit ce que je pensais et pensé ce que je disais. Je n’ai jamais cru aux liens du sang.

Revenons à tes années Match. Les couvertures s’enchaînent, les initiales BB occupent toute la planète.
Tout cela m’a fait tellement peur que j’ai tenté de me foutre en l’air très sérieusement. J’étais un animal traqué qui n’avait plus la force de fuir, de vivre, tout simplement.

Tu te réfugies, alors, dans l’amitié…
C’était primordial. Heureusement qu’il y a toujours un ami au bout du fil car la solitude est là, ­insidieuse et présente. Les clins d’œil de Match, à travers quelques sujets drôles, se succèdent. Ainsi, sur le tournage de “Viva Maria !”, je revois Gérard Géry, le photographe du journal, qui a l’idée de mettre sur mon plateau de petit déjeuner un lapin nain buvant mon jus d’orange. Résultat : une double page. C’est Philippe d’Exea, pigiste au journal, qui photographie cent douzaines de roses, offertes par Gunter Sachs pour me faire la cour, tombant du ciel sur La Madrague par hélicoptère. C’est Ghislain [Jicky] Dussart qui me photographie nue pour Match et qui réalise les plus belles photos de ma vie. Nous avions, lui et moi, la légèreté complice et la force de l’amitié. Il me manque tant ! Anne, son épouse, est toujours près de moi. Jicky m’a aidée à fuir le monde ­déchaîné des paparazzi et autres chroniqueurs qui, durant trente ans, ne m’ont laissé ni trêve ni repos.

Cela dit, quand tu faisais un strip-tease habillée en bonne sœur, c’était limite provoc !
Je tournais “Les novices” avec ma copine Girardot. Claude Azoulay m’a proposé, pour Match, dans un fou rire général, de retirer mes vêtements de nonne, un à un. C’est ainsi que, sur une plage, je lui ai montré mes petites fesses connues du monde entier, avec un détail rigolo : j’étais à poil avec ma cornette sur la tête. Photos jamais parues dans Match à cause des lecteurs cathos, mais “Playboy” les a publiées et elles ont fait le tour du monde.

Que faut-il pour qu’une photo te rende belle ?
La faire en m’aimant. Une femme reste le reflet que lui donne l’homme. Alors l’alchimie passe. Si la confiance s’installe, la ­tendresse suit. Le regard fait le reste, c’est la démarche d’un amant sur papier glacé.

Quelle est la photo que tu souhaiterais voir publier après ta mort ?
Celle avec le bébé phoque, qui symbolise tout de ma vie. De la célébrité à l’isolement sur la banquise, la solitude que j’ai si souvent affrontée et, enfin, la protection animale.

Et si Dieu recréait la femme, que lui dirais-tu ?
Qu’il me donne enfin du pouvoir pour mes combats, et qu’il change l’homme. Point final

Source : http://www.parismatch.com/People-Match/Cinema/Actu/60-ans-de-Paris-Match-Et-Match-crea-BB-85772/
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Emission "l'objet du scandale" le dimanche 5 avril 2009 : Réagissez !

Publié le par Ricard Bruno

Chers amis de combat,
 
nous vous proposons de réagir suite à la diffusion de l'émission "l'objet du scandale" le dimanche 5 avril 2009. Le communiqué de presse ci-dessous rappelle les faits.
 
Suite à cette diffusion, nous avons demandé au médiateur de France 2 d'inviter Christian Laborde (auteur de "Corrida Basta", pamphlet contre la corrida qui sortira le 9 avril en librairie) qui fut déprogrammé à la demande des amis aficionados de Guillaume Durand, et Marie-Claude Bomsel, vétérinaire qui a participé à l'émission et qui a été en très grande partie censurée au montage.
 
Nous vous proposons de soutenir cette demande en écrivant au médiateur de France 2 et en envoyant copie de votre message au directeur de France 2, à la directrice de l'information de France 2 et au directeur de France télévision (mails ci-dessous).
 
Merci d'avance pour votre participation et pour la diffusion la plus large possible de ce message.
 
Bien à vous
Pour l'équipe
Jean-Pierre Garrigues
Vice-président du CRAC Europe
 
 
 
Christian-Marie Monnot
 
le directeur de France 2 est François Guilbeau:
 
le directeur de France Télévision
Patrick de Carolis
 
la directrice de l'info
Arlette Chabot:
 
 
 
=============================================
 
 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

 

« SÉVICES PUBLICS » : QUAND LA MAFIA DES ARÈNES IMPOSE SA LOI SUR L’ANTENNE DE FRANCE 2 AVEC L’AIMABLE COMPLICITÉ DE GUILLAUME DURAND…

 

 

 

Lors de la préparation de son émission du dimanche 5 avril 2009 (enregistrement le 31 mars), Guillaume Durand avait invité Christian Laborde à l’occasion de la sortie de son livre, Corrida, basta !, le 9 avril prochain. L’auteur de ce pamphlet avait accepté l’invitation, mais, le 26 mars, sous la pression du petit monde de la mafia tauromachique, Christian Laborde est déprogrammé. Et dans le même temps, André Viard, torero raté, chroniqueur taurin, supposé artiste qui peint « avec le sang des taureaux », se vante sur son site Internet : « Nous avons obtenu qu’aucun représentant des associations anti-taurines ne soit invité, ce qui d’un point de vue stratégique, représente une grande victoire… » Ainsi, Claire Starozinski, fondatrice de l’Alliance Anticorrida, et Jean-Pierre Garrigues, du CRAC Europe, ont été récusés par les tortionnaires des arènes. De la même façon, ce personnage se vante d’avoir obtenu la déprogrammation de Christian Laborde. Nous serions trop « violents »…

 

Mais, au fait, où se situe la violence ? Dans nos propos, quand nous dénonçons la torture tauromachique ? Faut-il une nouvelle fois rappeler que l’alinéa 7 de l’article 521.1 du Code pénal parle de « sévices graves et d’actes de cruauté » ? Faut-il rappeler que Mme Muriel Marland-Militello, députée UMP, a déposé une proposition de loi pour l’abolition de la corrida le 27 septembre 2007 et que plus de 50 députés l’ont rejointe ? Qui pratique des sévices graves et des actes de cruauté pour le plaisir, si ce n’est des tortionnaires et des sadiques ? Est-il possible dans ce pays, face à des individus qui se réclament de la démocratie, d’appeler enfin les faits par leur nom ? Et faut-il enfin rappeler que le torero, en dehors de sa zone de « tradition locale ininterrompue », est un vulgaire délinquant qui risque deux ans de prison et 30 000 euros d’amende ? Et, bien entendu, tout cela n’a pas été évoqué un seul instant dans « L’Objet du scandale », ce dimanche 5 avril 2009, à l’heure du thé. Il est vrai que l’émission se voulait « festive et conviviale ». On comprend mieux comment le petit monde de la tauromachie a pu sans aucun problème choisir qui pourrait s’exprimer ou pas pour dénoncer la barbarie des arènes. Entre Guillaume Durand et Bernard Dombs, alias Simon Casas, tortionnaire en chef des arènes de Nîmes, bises et tutoiement étaient de rigueur en ce jour d’enregistrement, le 31 mars 2009. Guillaume Durand, qui trouve la corrida « magnifique » et qui précise qu’il n’en a vu qu’une seule. Une seule, vraiment ? Cette émission a par ailleurs été le lieu de beaux exemples de désinformation. Lors de l'enregistrement, l'historienne Elisabeth Hardouin-Fugier avait expliqué, chiffres à l'appui, que Simon Casas mentait en prétendant que la corrida était en expansion. Son intervention fut coupée au montage...

 

Alors que 53 villes se sont déclarées anticorrida en Catalogne espagnole, alors qu’un référendum d’initiative populaire a recueilli plus de 100 000 signatures pour obtenir un débat parlementaire et qu’un vote aura lieu cette année avec pour résultat la probable abolition définitive de la corrida en Catalogne espagnole, en France, nous en sommes encore là… Quelle est donc l’éthique de l’animateur d’une chaîne de télévision publique qui laisse les amateurs de torture décider pour lui ? Quelle peut être sa crédibilité ? Et quel est donc le rôle du service public ?

 

 

                                          A Alès, le 5 avril 2009

 

Pour l’équipe

Jean-Pierre Garrigues

Vice-président du CRAC Europe

                    www.anticorrida.com
                    Tél. 06 75 90 11 93

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Communiqué de presse du" CRAC" Europe

Publié le par Ricard Bruno

« SÉVICES PUBLICS » : QUAND LA MAFIA DES ARÈNES IMPOSE SA LOI SUR L’ANTENNE DE FRANCE 2 AVEC L’AIMABLE COMPLICITÉ DE GUILLAUME DURAND.

 

 Lors de la préparation de son émission du dimanche 5 avril 2009 (enregistrement le 31 mars), Guillaume Durand avait invité Christian Laborde à l’occasion de la sortie de son livre, Corrida, basta !, le 9 avril prochain. L’auteur de ce pamphlet avait accepté l’invitation, mais, le 26 mars, sous la pression du petit monde de la mafia tauromachique, Christian Laborde est déprogrammé. Et dans le même temps, André Viard, torero raté, chroniqueur taurin, supposé artiste qui peint « avec le sang des taureaux », se vante sur son site Internet : « Nous avons obtenu qu’aucun représentant des associations anti-taurines ne soit invité, ce qui d’un point de vue stratégique, représente une grande victoire. » Ainsi, Claire Starozinski, fondatrice de l’Alliance Anticorrida, et Jean-Pierre Garrigues, du CRAC Europe, ont été récusés par les tortionnaires des arènes. De la même façon, ce personnage se vante d’avoir obtenu la déprogrammation de Christian Laborde. Nous serions trop « violents ».

 

Mais, au fait, où se situe la violence ? Dans nos propos, quand nous dénonçons la torture tauromachique ? Faut-il une nouvelle fois rappeler que l’alinéa 7 de l’article 521.1 du Code pénal parle de « sévices graves et d’actes de cruauté » ? Faut-il rappeler que Mme Muriel Marland-Militello, députée UMP, a déposé une proposition de loi pour l’abolition de la corrida le 27 septembre 2007 et que plus de 50 députés l’ont rejointe ? Qui pratique des sévices graves et des actes de cruauté pour le plaisir, si ce n’est des tortionnaires et des sadiques ? Est-il possible dans ce pays, face à des individus qui se réclament de la démocratie, d’appeler enfin les faits par leur nom ? Et faut-il enfin rappeler que le torero, en dehors de sa zone de « tradition locale ininterrompue », est un vulgaire délinquant qui risque deux ans de prison et 30 000 euros d’amende ? Et, bien entendu, tout cela n’a pas été évoqué un seul instant dans « L’Objet du scandale », ce dimanche 5 avril 2009, à l’heure du thé. Il est vrai que l’émission se voulait « festive et conviviale ». On comprend mieux comment le petit monde de la tauromachie a pu sans aucun problème choisir qui pourrait s’exprimer ou pas pour dénoncer la barbarie des arènes. Entre Guillaume Durand et Bernard Dombs, alias Simon Casas, tortionnaire en chef des arènes de Nîmes, bises et tutoiement étaient de rigueur en ce jour d’enregistrement, le 31 mars 2009. Guillaume Durand, qui trouve la corrida « magnifique » et qui précise qu’il n’en a vu qu’une seule. Une seule, vraiment ? Cette émission a par ailleurs été le lieu de beaux exemples de désinformation. Lors de l'enregistrement, l'historienne Elisabeth Hardouin-Fugier avait expliqué, chiffres à l'appui, que Simon Casas mentait en prétendant que la corrida était en expansion. Son intervention fut coupée au montage...

 

Alors que 53 villes se sont déclarées anticorrida en Catalogne espagnole, alors qu’un référendum d’initiative populaire a recueilli plus de 100 000 signatures pour obtenir un débat parlementaire et qu’un vote aura lieu cette année avec pour résultat la probable abolition définitive de la corrida en Catalogne espagnole, en France, nous en sommes encore là.

 Quelle est donc l’éthique de l’animateur d’une chaîne de télévision publique qui laisse les amateurs de torture décider pour lui ? Quelle peut être sa crédibilité ? Et quel est donc le rôle du service public ?

Source : CRAC Europe

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