Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

action protection animale

Charente : Les gendarmes découvrent 19 chiens entassés dans un véhicule lors d'un banal contrôle

Publié le par Ricard Bruno

Illustration de chiens dans une cage.

Illustration de chiens dans une cage.

Drôle de surprise ce jeudi pour les gendarmes charentais. Ce jeudi à l’occasion d’une opération de contrôles routiers sur la RN10 dans le sens Angoulême- Poitiers, ils ont découvert dans un utilitaire 19 chiens entassés dans des cages. Le chauffeur de nationalité anglaise convoyait les animaux entre l’Espagne et l’Angleterre, explique Sud Ouest.

Les gendarmes et une responsable du service de santé animale (DDCSPP) ont fait remarquer à cet homme qu’il manquait les papiers de cinq chiens, tous en bonne santé au moment du contrôle.

Des suites judicaires à venir

Face à ce trafic illégal caractérisé, le conducteur a dû payer une consigne de 4.000 euros pour repartir et avant de connaître les suites judiciaires de cette affaire. Les autorités anglaises ont été prévenues.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Affaire Pilarski : la vie de Curtis "derrière les barreaux"

Publié le par Ricard Bruno

Curtis dans les bras d'Elisa Pilarski. Il est accusé de l'avoir tué. DR

Curtis dans les bras d'Elisa Pilarski. Il est accusé de l'avoir tué. DR

Son maître, Christophe Ellul, assure qu’il est « très sociable » et veut lui éviter l’euthanasie. Pourtant selon les expertises judiciaires l’animal aurait massacré sa compagne, Elisa Pilarski, et l’enfant qu’elle attendait. Notre enquête.

Voici son numéro de matricule : 528210004730511. Accusé de meurtre, Curtis attend, « planqué », la sentence au refuge Sacpa de Bonrepos-sur-Aussonelle, en Haute-Garonne. Pour cet American Pitbull Terrier, les journées se suivent et se ressemblent dans ce que l’on pourrait appeler le couloir de la mort. Depuis son transfert au printemps dernier, le « détenu » vit à l’isolement. Confiné dans une cellule de 10 mètres carrés, les visites lui sont interdites. Un régime que l’on réserve en théorie aux prisonniers les plus dangereux. Mais là, il s’agit en quelque sorte d’un traitement « VIP », le protégeant des plus curieux et des paparazzis. Pas la peine donc, pour son maitre Christophe Ellul, de faire valoir son droit de visite. Ce dernier prend des nouvelles quotidiennement auprès des « geôliers ». Il prétend que son chien serait maltraité. Mais selon une expertise judiciaire, il ne présenterait aucun signe de souffrance physique ou mentale. Son état général serait même excellent, son poil brillant, et il aurait même pris quelques kilos depuis le début de sa détention. Reste que ce molosse est capable d’exercer 500 kilos de pression au centimètre carré, soit trois fois la force nécessaire pour briser un os humain. « La seule présence d’un humain, même sans interaction, est à l’origine de comportements moteurs excessifs, bien que visiblement non agressifs. Le comportement de ce chien apparaît mal structuré » conclut le même expert qui a pu voir Curtis récemment.

Dans l’attente d’un procès auquel il ne sera pas convié, « Cucu » comme Elisa l’appelait, vit entouré d’une trentaine d’autres chiens qu’il ne fréquente pas et de peluches qu’il a épargnées jusque-là d’après ses gardiens. Le prisonnier reste donc condamné jusqu’au verdict à s'occuper seul avec son os en plastique.

Retrouvez notre enquête dans le numéro 3734 de Paris Match, en vente dans les kiosques

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

L'être, dit humain, est le virus de la planète !

Publié le par Ricard Bruno

L'être, dit humain, est le virus de la planète !
Partager cet article
Repost0

Il avait tué son cheval en voulant lui "donner une leçon": le cavalier condamné

Publié le par Ricard Bruno

L'étalon Flogas Sunset Cruise. Un cheval de 10 ans qui est mort lors du GPA Jump festival organisé à l’hippodrome de Cagnes-sur-Mer, ici en avril 2019 lors du Jumping de printemps.

L'étalon Flogas Sunset Cruise. Un cheval de 10 ans qui est mort lors du GPA Jump festival organisé à l’hippodrome de Cagnes-sur-Mer, ici en avril 2019 lors du Jumping de printemps.

Le cavalier Irlandais Kevin Thornton qui était poursuivi pour "sévices graves où actes de cruauté envers un animal domestique" a été condamné par le tribunal judiciaire de Grasse à 12 mois de prison avec sursis simple pour la mort de l'étalon Flogas Sunset Cruise à Cagnes-sur-Mer.

Comme peines complémentaires il lui est fait interdiction définitive de détenir un animal quelle que soit sa catégorie, et pendant cinq ans d'exercer la profession de cavalier.

L'étalon gris de 10 ans Flogas Sunset Cruise était mort d'épuisement lors d'une séance d'entraînement sur la piste de galop de l'hippodrome de Cagnes-sur-Mer à l'occasion du GPA Jump festival, le 10 octobre 2016, jour de repos.

Les nombreuses associations de défense des animaux qui s'étaient portées partie civile comme La Ligue Française pour la protection du Cheval, l'Association Stéphane Lamart défense des droits des animaux, l'Association One Voice, la Fondation Brigitte Bardot, l'Association de défense de l'animal, ont obtenu chacune 1.500 euros au titre des dommages et intérêts et 1.000 euros sur le fondement de l'article 475-1 du code de procédure pénal.

La société des courses Côte d’Azur, a obtenu un euro de dommages et intérêts et 1.000 euros sur le fondement de l'article 475-1 du code de procédure pénal.

Absent lors de l'audience du 23 septembre dernier le cavalier de 32 ans, natif de Dublin et résidant en Suisse, "avait voulu donner une leçon, en faisant subir un véritable parcours du combattant à son cheval", avait déclaré Me Bernard Rossanino, avocat de l'hippodrome.

Ce qui fut fatal à la pauvre bête. Le tribunal dans son délibéré de ce jour est allé au-delà des réquisitions du ministère public qui avait requis trois mois de prison avec sursis.

Source de l'article : Cliquez Ici

Partager cet article
Repost0

Bretagne : le même oiseau rare revient chaque année à Dinan pour passer l'hiver

Publié le par Ricard Bruno

Cela fait quatre ans qu'on observe, à Dinan, un tichodrome, joli petit oiseau coloré qui vit en solitaire à la montagne. Il n'avait pas été vu en Bretagne depuis les années 1980.

Un tichodroma est observé chaque année depuis quatre ans, à Dinan. Originaire de la montagne, il vient y passer l'hiver pour se nourrir.Un tichodroma est observé chaque année depuis quatre ans, à Dinan. Originaire de la montagne, il vient y passer l’hiver pour se nourrir. 

Depuis quatre ans, Amaury Louvet s’enthousiasme sur son nouveau compagnon ailé, un tichodrome échelette, petit oiseau à peine plus gros qu’un moineau mais dont la rareté attire, chaque année, des dizaines d’observateurs. Vivant dans les montagnes, l’oiseau vient passer l’hiver à Dinan et retrouve ses habitudes d’une année sur l’autre. Partons à sa recherche.

Vous avez dit rare ? Notre ami tichodrome se fait même très rare. Entre 250 et 500 couples seraient recensés en France sur toute son air de répartition, c’est-à-dire, la montagne et plutôt la chaîne alpine. 

Ce petit oiseau d’une dizaine de centimètres et de quelques grammes ne manque ni de charme ni d’attrait pour tout observateur de la vie animale. Et c’est sans doute ce qui fait déambuler des dizaines d’ornithologues, de photographes, ou de simples amoureux de la nature, chaque hiver, à Dinan, depuis quelques années.

« Il me donne rendez-vous »

Un long bec, des grandes griffes et des ailes soulignées de rouge avec une attitude caractéristique le rendent passionnant à regarder. Ce petit passereau aime explorer les falaises et les vieux murs de bas en haut et peut se laisser tomber régulièrement en piqué et recommencer une nouvelle ascension. 


https://actu.fr/insolite/bretagne-le-meme-oiseau-rare-revient-chaque-annee-a-dinan-pour-passer-l-hiver_37648495.html?fbclid=IwAR0ECWPTaZyE0dblbl_uYjgRTpz1_66tZbf5konyFua9HHIQsnzzXJIwc7Y« C’est rigolo, il me donne rendez-vous. Je l’attendais et j’ai la chance de l’avoir devant chez moi pour la quatrième année consécutive », s’amuse son observateur favori, animateur nature à la Maison de la Rance, Amaury Louvet

"En fin de semaine, je l'ai signalé tout de suite sur les réseaux d'observation ornithologique et, dès le lendemain, il y avait des gens qui le cherchaient !"
Amaury Louvet

 

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Emoi en RDC à la suite d'un reportage sur les gorilles du Rwanda

Publié le par Ricard Bruno

Un gorille du parc national de Kahuzi-Biega dans le nord-est de la RDC le 11 octobre 2019

Un gorille du parc national de Kahuzi-Biega dans le nord-est de la RDC le 11 octobre 2019

Le présentateur-vedette de TF1 Gilles Bouleau a involontairement provoqué une polémique suite à un lancement d'un sujet du journal télévisé omettant la présence de gorilles en République démocratique du Congo.

Et nos gorilles alors ? C'est en substance le cri du coeur lundi en République démocratique du Congo après la récente diffusion par une chaîne française d'un reportage sur les derniers grands singes des montagnes au Rwanda.

"L'espèce est menacée et ne vit plus qu'au coeur des forêts denses du Rwanda", a déclaré le présentateur-vedette de TF1 Gilles Bouleau en présentant ce sujet diffusé sur la chaîne privée française.

"Il n'en existe qu'un millier sur la planète. Et on ne peut les trouver qu'ici", ajoute le commentaire du reportage tourné dans le parc des Volcans au Rwanda, frontalier de l'Est de la RDC.

"Le journal de 20H00 du 19/11/2020 de TF1 en France ignore-t-il que les 800 gorilles des montagnes sont repartis sur trois pays: l’Ouganda, le Rwanda et la RDC ?", s'est insurgé l'Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) dans un communiqué.

Une "erreur incompréhensible"

Les Congolais ont reçu le soutien de l'ambassadeur de l'Union européenne (UE) en RDC Jean-Marc Châtaignier, qui a parlé d'une "erreur incompréhensible". "J’espère que @TF1 corrigera vite sa boulette", ajoute le diplomate européen de nationalité française sur son compte Twitter.

Et l'incontournable ambassadeur des Etats unis à Kinshasa Mike Hammer d'ajouter: "Corrigez-le tout de suite @TF1! (...) Je les ai vus moi-même, ils sont magnifiques !".

Le Rwanda promeut activement ses sites touristiques, en sponsorisant deux clubs de football prestigieux, Arsenal et le Paris Saint-Germain, sous le thème "Visitez le Rwanda". Contrairement à son grand voisin, le Rwanda a mis en place des facilités d'obtention du visa à l'arrivée à l'aéroport de Kigali ou aux frontières depuis le 1er janvier 2018.

 

Le Rwanda bénéficie enfin de la paix et de la sécurité sur son territoire alors que les magnifiques sites touristiques des parc des Virunga et de Kahuzi-Biega dans l'Est de la RDC sont en partie menacés par des groupes armés.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

La FBB est intervenue en urgence en Dordogne...

Publié le par Ricard Bruno

La FBB est intervenue en urgence en Dordogne...
La FBB est intervenue en urgence en Dordogne...
La FBB est intervenue en urgence en Dordogne...

La FBB est intervenue en urgence en Dordogne pour prendre en charge des moutons livrés à eux-mêmes. La situation était alarmante ; présence d'ossements, animaux décédés, mauvais traitements... Les animaux ont des abcès, ils sont non tondus, malades !

Source : Fondation Brigitte Bardot

Image

Image

Image

 

Partager cet article
Repost0

Lettre de Brigitte Bardot à Barbara Pompili

Publié le par Ricard Bruno

Lettre de Brigitte Bardot à Barbara Pompili
Partager cet article
Repost0

Interview exclusive de Brigitte Bardot : « Je pense que cette pandémie n’est pas arrivée par hasard, ni par un pangolin »

Publié le par Ricard Bruno

« La planète est ravagée par une démographie incontrôlée et incontrôlable » Brigitte Bardot soutenant le référendum pour les animaux

« La planète est ravagée par une démographie incontrôlée et incontrôlable » Brigitte Bardot soutenant le référendum pour les animaux

Sa parole est rare et libre. Brigitte Bardot, confinée chez elle, n’a pas changé son quotidien. Elle ne quitte plus depuis des années La Madrague, sa légendaire maison à Saint-Tropez. Sans relâche (dimanche compris), l’icône du cinéma français travaille pour la protection des animaux. Elle ne mâche pas ses mots se révoltant contre l’appât du gain et l’ignorance d’une grande partie de l’humanité.

Pensez-vous que la pandémie proviendrait du pangolin acheté sur les étals du marché de Wuhan ? Qu’il s’agit d’un virus qui se serait échappé du laboratoire P4 de l’institut de virologie de Wuhan, ou qu’il y aurait une autre origine ?

Je pense que cette pandémie n’est pas arrivée par hasard, ni par un pangolin (pauvre petit animal encore victime !), peut-être à la suite de manipulations mal surveillées dans un labo, où il se passe tant d’abominables expérimentations, mais ce virus est arrivé à temps avant que la planète n’explose, ravagée par une démographie humaine incontrôlée et incontrôlable. L’être humain n’ayant pour prédateur que lui-même, il se multiplie à l’infini sans aucun contrôle des naissances, il envahit, détruit, ravage, s’infiltre en prédominance sur tout ce qui l’empêche de se multiplier. Le livre de Jean-Claude Hermans « Cinq Milliards d’Hommes en trop » explique avec détails les atroces blessures que tous ces êtres font subir à la planète dévastée.

 

Il y a trop d’hommes, trop d’animaux sur la planète ?

Il y a trop d’humains c’est certain. Il n’y a plus assez d’espèces animales qui hélas disparaissent quotidiennement. L’équilibre est rompu.

 

Cette pandémie derrière nous, les hommes seront-ils moins superficiels, plus solidaires du sort des autres êtres humains, des animaux ? Ou rien ne changera ?

J’ai un réel mépris pour une grande partie de cette humanité déshumanisée qui porte en elle dans ses gènes d’origine toute la cruauté, la barbarie qui ressort actuellement, malgré ce que la « civilisation » a essayé de contraindre. Rien ne changera, l’appât du gain sera le plus fort, la cupidité, la bêtise et l’ignorance rendront le monde fou.

 

La fondation Brigitte Bardot a-t-elle de nouvelles priorités depuis le premier confinement ?

Ma fondation continue à sauver toutes les espèces d’animaux mises en péril par le confinement. Nous sommes actuellement responsables de la vie de près de 7 000 animaux toutes espèces confondues. C’est un sacerdoce qui demande à mes équipes un courage hors du commun.

Vous préconisez la fermeture des animaleries au profit de l’adoption. En ce moment, peut-on adopter des chats et des chiens dans vos refuges ?

Les animaleries sont un commerce de honte ; les pauvres animaux qui viennent des pays de l’Est ou des forêts amazoniennes ou indiennes ne s’adaptent pas aux cages et aux traitements carcéraux qu’on leur fait subir pour du fric ! Ils meurent par milliers. C’est scandaleux. Sur rendez-vous téléphoniques, il est possible d’adopter nos chiens et chats, mais nous sommes extrêmement rigoureux quant au suivi.

 

Vous avez rencontré Emmanuel Macron en juillet 2018, à sa demande. Sans réponse de sa part, vous lui avez écrit à plusieurs reprises, l’avez « engueulé ». Où en êtes-vous avec le Président ?

Ne me faites pas perdre mon temps avec Macron. Il protège les chasseurs, leur octroie des avantages que l’Union européenne réprouve.

 

Quelles sont les cinq mesures urgentes pour la cause animale que vous souhaiteriez voir adopter en France afin que notre pays ne soit plus parmi les mauvais élèves de l’Europe ?

Depuis 47 ans je demande que les sacrifices d’égorgements Rituels Halal et Casher ne bénéficient plus d’une dérogation autorisant cette mort lente extrêmement douloureuse qui ne fait qu’envahir les abattoirs alors que les lois françaises et européennes EXIGENT que les animaux soient ETOURDIS avant le couteau. C’est scandaleux que des Musulmans imposent leurs traditions à un pays comme la France qui a tous les moyens modernes pour que la mort ne soit plus une torture, un supplice.

Depuis 47 ans je demande aussi l’abolition de l’hippophagie en France. Qu’on arrête enfin de manger du cheval, cet animal qui comme le chien est si proche de l’homme, a aidé les hommes à survivre jusqu’à l’arrivée du moteur. 

Depuis 47 ans je demande l’arrêt des élevages concentrationnaires, des atroces conditions de vie des cochons coincés dans des barreaux de contention où ils ne peuvent même pas se tourner, les poules encagées par dizaines dans des espaces de 30 sur 20 cm qui pondent dans une gouttière électrique, qui ne voient jamais le jour, mais qui supportent jour et nuit la lumière artificielle qui leur permet de pondre et de repondre jusqu’à épuisement, c’est alors l’abattoir.

Depuis 47 ans je demande l’arrêt définitif des élevages d’animaux à fourrure -visons, renards, lapins - qui supportent un enfer, encagés dans des conditions inhumaines, atroces.

Depuis 47 ans je demande aussi l’arrêt des oies et canards destinés au foie gras, cette torture qu’on leur fait subir.

STOP, STOP !!!

 

Ils sont 141 parlementaires à soutenir une loi instaurant un référendum pour les animaux. Pas loin d’un million de citoyens soutiennent aussi ce projet de référendum dont des célébrités (Juliette Binoche, Lambert Wilson, Pascal Obispo…) et des patrons médiatiques (Xavier Niel, Marc Simoncini, Jacques-Antoine Granjon). Le compte n’est pas atteint puisqu’il faut qu’au moins 185 parlementaires et 4,7 millions de personnes s’engagent. Cela vous semble-t-il jouable ?

Il nous manque l’autorité d’un Président conscient de toutes les souffrances inutiles, un Président qui mette un terme définitif à toutes les atrocités que subissent les animaux. Ce n’est pas difficile, mais il faut avoir le cœur et l’envie de donner un bel exemple au monde.

 

En dehors du Parti animaliste, quels sont les partis politiques, les personnalités politiques, les artistes ou journalistes qui défendent le mieux, selon vous, la cause animale en France ?

Il y a un public important révolté par toutes ces abominations que laisse faire le gouvernement. C’est par le peuple qu’on arrivera à faire évoluer les choses.

 

Comment organisez-vous vos journées ? Quelle est votre journée type en ce moment ?

Je travaille pour ma Fondation tous les jours même le dimanche comme aujourd’hui. Il n’y a que ça qui me permette de survivre.

 

Vous semblez assez solitaire dans votre maison de la Madrague à Saint-Tropez.

Je fuis les êtres humains, j’aime travailler seule entourée de mes animaux dans une nature vraie et sauvage.

Interview exclusive de Brigitte Bardot : « Je pense que cette pandémie n’est pas arrivée par hasard, ni par un pangolin »

Une ONG très active en France et dans 70 pays  

 

Interview exclusive de Brigitte Bardot : « Je pense que cette pandémie n’est pas arrivée par hasard, ni par un pangolin »

 

Créée en 1986 par Brigitte Bardot, et reconnue d’utilité publique en 1992, la Fondation Brigitte Bardot (FBB) emploie aujourd’hui 130 salariés répartis entre son siège et ses trois refuges situés à Montpon (Eure), à Bazoches (Yvelines) et à La Mare Auzou (Normandie).

La FBB est une ONG qui a pour mission la protection de l’animal domestique et sauvage en France et à l’international. Le Dalaï Lama est membre d’honneur. Elle apporte une aide importante aux refuges, mène des actions de sauvetage d’animaux maltraités, des campagnes de stérilisations d’animaux errants, des opérations de lobbying, des combats juridiques contre la maltraitance…

Les ressources de la Fondation s’élèvent à 21,6 millions € en 2018 dont 16,7 M€ de legs et 2,2 M€ de dons. 83 % des ressources sont attribuées à l’aide directe aux animaux, 5% pour les frais de fonctionnement et 12% pour les frais de recherche de fonds.

La Fondation accueille 3 000 animaux dans ses refuges, 4 000 sont placés dans 116 pensions ou familles d’accueil. Elle verse des aides à des particuliers en difficulté (1 300 chiens et chats) et à 224 associations pour des soins vétérinaires et alimentaires. La FBB bénéficie d’un réseau actif de 75 000 donateurs et de 600 délégués et enquêteurs à travers toute la France. Les ressources de l’association sont utilisées pour 91% en France et 9 % à l’étranger dans 70 pays.

La FBB soutient le référendum pour les animaux. www.referendumpourlesanimaux.fr. Tout citoyen peut d’ores et déjà signer en faveur du référendum sur le site.

Fondation Brigitte Bardot 28, rue Vineuse 75116 Paris Tél. : 01.45.05.14.60

www.fondationbrigittebardot.fr     fbb@fondationbrigittebardot.fr

Partager cet article
Repost0