Actuellement plusieurs vente aux enchères sont programmées et dans ces dernières plusieurs lots concerne Brigitte Bardot, après
le record de la vente du manuscrit original du film le mépris qui a atteint la somme record de 115.00 euros hors frais, gageons que les nouveaux lots mis en vente atteindront de belles
sommes...et feront la joie des collectionneurs qui acquerront ces lots…
Bruno Ricard
n°177 : sam lévin Brigitte Bardot à contrejour, années 1950 Épreuve
sam lévin Brigitte Bardot à contrejour, années 1950 Épreuve d’exposition argentique des années 1980,
305x266 mm, tampon au dos...Estimation : 300/400 euos
n°178 : leo mirkine Jean-Louis Trintignant et Brigitte Bardot dans Et
Dieu...
leo mirkine Jean-Louis Trintignant et Brigitte Bardot dans Et Dieu créa la
femme...(Roger Vadim) Saint Tropez, 1956 Tirage de presse argentique d’époque, 237x180 mm, légendé, daté, tampon de la production, indications de recadrage. Estimation :
150/200 euros
PUFRI : Glassoïd illustré de Brigitte Bardot. Encadrement métallique d'origine, très bel état, 24,6 x 34,6cm.
Lieu de vente
Samedi 8 juin à 14h00 à Nantes
Maître Philippe KACZOROWSKI et SALORGES ENCHERES-Kaczorowski, Derigny et associés
sarl 8 bis, rue Chaptal
44188 Nantes
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n°193 : 193/ Daniel FRASNAY (né en 1928). Portrait de Brigitte Bardot
Tirage argentique postérieur, 17,4 x 16,6 cm. Timbre humide du photographe au dos.
Estimation : 200/300 euros
Dimanche 2 juin à 14h00 à
BIEVRES
Lieu de vente SALLE MUNICIPALE DE BIEVRES 91570
SALLE MUNICIPALE (ADOSSEE A LA MAIRIE)
91570 Bievres
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n°349 : Une Ravissante Idiote Brigitte Bardot, Anthony Perkins
Une Ravissante Idiote Brigitte Bardot, Anthony Perkins - Un film de Edouard Molinard. Lalande Gentilly 1965 Aff. Entoilée. T.B.E. A - traces de plis 79 x 59 cm
Il y aura également lors de cette vente aux enchères 6 affiches du film culte "Et dieu créa la femme
Les estimations vont de 300 à plus de 1000 euros pièce...exemple d'affiche de 59cm x 39 cm
Numéros des lots : N°345, N°346, N°347, N°348,N°352, N°355
Trois enchérisseurs se sont disputés, à Paris, l'acquisition du manuscrit autographe du scénario «Le Mépris», le film culte du cinéaste franco-suisse Jean-Luc Godard.
Jean-Luc Godard et Brigitte Bardot, lors du tournage du «Mépris».
Le manuscrit autographe du scénario du film culte du cinéaste franco-suisse Jean-Luc
Godard, «Le Mépris», a été vendu 144.300 euros (180'000 francs), mardi chez Artcurial à Paris, dépassant largement
son estimation initiale, a annoncé mercredi la maison d'enchères.
Ce document datant de 1963 était évalué entre 60'000 et 80'000 euros. Trois enchérisseurs, deux collectionneurs français et un américain, étaient en lice pour l'acquisition de ce manuscrit inédit
du scénario du «Mépris», film mythique des années 60 qui réunit à l'écran Brigitte Bardotet Michel Piccoli, sous la direction de Jean-Luc Godard.
Il est adapté du roman éponyme d'Alberto Moravia publié en 1954.C'est un collectionneur français qui l'a finalement emporté.Les autres synopsis et scénarios actuellement connus du «Mépris» sont
des tapuscrits. Il s'agit donc d'un manuscrit unique. Le document comprend 59 pages écrites de la main de Jean-Luc Godard.
Il est suivi de courts manuscrits d'Alberto Moravia, Fritz Lang, Michel Piccoli, Jack Palance et Brigitte Bardot.
Le manuscrit appartenait au photographe de Brigitte Bardot, Ghislain (Jicky) Dussart, qui avait réalisé un reportage sur le film pendant le tournage.«Le Mépris» marque la fin du cinéma classique
et l'émergence de nouvelles formes révolutionnaires de récit.
Dans le film, le scénariste parisien Paul Javal (Michel Piccoli) et son épouse Camille (Brigitte Bardot) rejoignent Fritz Lang en tournage pour le compte du producteur de cinéma américain Jeremy
Prokosch, sur le plateau d'«Ulysse», à Capri.
Pendant leur séjour, Paul laisse le riche et séduisant Jeremy seul avec Camille, alors qu'elle insiste pour demeurer auprès de son mari. A tort, elle s'imagine qu'il la pousse dans le lit du
producteur pour obtenir le travail de réécriture du scénario. De là naissent des malentendus, le mépris, et leur couple vole en éclats.
Aujourd’hui avait lieu chez Artcurial entre autre la vente du scénario original du film « Le Mépris»
Le scénario a été
Adjugé pour la somme record de ....115.000 euros(hors
frais)
du jamais vu pour ce genre de document soit près de 150.000 euros avec les frais, l’acheteur anonyme ne s’est pas fait connaître.
Deux photographies originales du film de 25,5cm x 20,5cm et 24cm x 18cm on fait chacune plus de 600 euros, quant à l’affiche 79,5cm x 57 cm du film elle a atteint
plus de 1000 euros !
Je suis reparti pour une fois sans rien avoir acheté...mais je me dis que j'ai dans mes collections sur Brigitte Bardot des pièces exceptionelles comme le poste que
BB utilisa dans le film mythique "Et dieu créa la femme", ce poste et d'autres choses de mes collections sont actuellement exposé au sein de
l'exposition "Golden Sixties" à Liège (Belgique), exposition prolongée une deuxième fois et ce jusqu'à fin septembre 2013...
Le style casual chic est l'apanage des filles branchées, au point d'en devenir leur uniforme. Pour se la jouer cool, notre héroïne B.B mise sur la dentelle avec des touches
sportswear pour une mode fille chic et sage.
Réminiscences boho rock et vintage pour être dans la tendance !
C'était un homme en blanc, barbe assortie, longs cheveux idoines. Il faisait de
lamotoet parlait avec une voix sucrée, comme il chantait. Masculin-féminin,Georges Moustakiétait un homme à femmes, qui l'adoraient. Il en avait épousé une, Yannick, dont il eut une fille,
Pia, née en 1956. Il en avait aimé certaines, il en avait adulé au moins deux : des femmes en noir, Piaf, le moineau, qui l'asservit pour mieux le révéler, et Barbara, l'exigeante,
la"longue dame brune"raccompagnée tard dans la nuit à la sortie des cabarets.
Moustaki était à la fois profondément méditerranéen et superbement atlantique. Mais le secret était ailleurs : "Si je suis autant connu à l'étranger, c'est que je suis très
français", disait l'inventeur d'une tour de Babel dont la clé de compréhension serait l'amour du voyage et de l'humanité. L'auteur-compositeur "à la
gueule de pâtre grec" est mort le jeudi 23 mai, à Nice, des suites d'une longue maladie. Né le 3 mai 1934 à Alexandrie (Egypte), Yussef
Mustacchi (Georges Moustaki) était âgé de 79 ans.
Il confiait faire partie de ces êtres qui, selon la formule du critique et philosophe George Steiner, qu'il
admirait, "n'ont pas de racines, mais des jambes". Mais s'il a pu parcourir le monde avec un appétit sans égal, tout en habitant fidèlement, depuis 1961, l'Ile Saint-Louis à
Paris, c'est qu'il est un enfant de l'Orient cosmopolite.
L'Alexandrie de la première moitié du XXe siècle est un lieu de brassage
culturel. Toutes les nationalités, et religions, s'y croisent. La chanson y est en effervescence – d'autres transfuges viennent enrichir l'histoire de la chanson française, de Georges Guétary, né à Alexandrie, à Claude François, né sur les
bords du canal de Suez, ou Dalida, du Caire... La grande chanteuse Oum Kalsoum, mais aussi Mohamed Abdel Wahab,
Farid el Atrach ou Asmahan, inventent la bande son de l'Egypte moderne, de la chute de la royauté égyptienne à la Révolution nassérienne et panarabiste.
"LE CULTE DU FRANÇAIS A VITE OCCULTÉ LE GREC, LA LANGUE DE L'EXIL"
Georges Moustaki a deux parents grecs, Nessim et Sarah, "cousins germains, mais originaires de deux îles différentes". L'artisan de la dislocation, c'est Giuseppe (Joseph,
Youssef) "comme moi", le grand-père, une légende dans lafamille, qui fabriquait des gilets brodés pour les notables égyptiens. "Il braconnait, adorait l'huile d'olive. Un jour un bateau est passé, il l'a
pris, est arrivé à Alexandrie. C'était l'Empire ottoman. Il était devenu turc, de papiers." "Je parle mal le grec, expliquait Georges Moustaki. Mes parents sont
nés en Egypte. Pour moi et mes sœurs, le culte du français a vite occulté le grec, qui était la langue de l'exil."
M. Mustacchi dirige la Cité du livre, l'une des plus grandes librairies du Moyen-Orient. Les célébrités y défilent. Et des Italiens, des Turcs, des Orthodoxes, des juifs, des byzantins, des
orientaux... "Ce fut la plus belle de toutes les universités."Pendant la seconde guerre mondiale, les alertes à la bombe envoient le jeune Yussef au paradis – le sous-sol, réservé
aux livres d'enfants.
Devenu Georges, en hommage à Brassens, il le raconte dans un livre, Fils du brouillard, paru en 2000, où se croisent ses souvenirs de Georges et ceux, infiniment plus durs, de
son amiSiegfried Meir, emprisonné à Auschwitz et Mauthausen.
ll y a des villes qui marquent pour toujours : Alexandrie, donc, puis Bruxelles, où Yussef (Joseph) Mustacchi, à 20 ans, a reçu son premier cachet, pour avoirchanté et joué du
piano ("mal") dans un cabaret, La Rose noire. Et puis Paris, adoptée trois ans avant l'escapade belge. Dès 1951, il fréquente le cabaret des Trois Baudets, y découvre Brassens en
première partie d'Henri Salvador. Il chante à l'Echelle de Jacob, Brel est la vedette. Moustaki a connu Brialy (24 ans alors) allongé, "le dos cassé après une chute sur un tournage.
Allongé, mais séducteur". L'apprenti chanteur vit alors en zigzag, fait du gymkhana dans les cabarets : Les Trois Baudets, La Colombe, La Rose noire, Milord l'Arsouille, L'Echelle de Jacob,
Le Port du salut... "Le seul où je n'ai jamais chanté, c'est L'Ecluse. Mais j'allais ychercher Barbara pour dîner sur l'île."
"BRASSENS ÉTAIT MON MAÎTRE, PIAF ÉTAIT MA MAÎTRESSE"
Il a rencontré tout le monde, de Brassens à Dalida. Il a présenté Harry Belafonte àJorge Amado,
qui "adorait les photos entre amis" – Sartre, Beauvoir, des leaders africains, des intellectuels asiatiques... L'enfant de l'Orient cosmopolite adore les familles recomposées.
Il s'emploie à les unir.
Ainsi, dans ses errances consenties, Moustaki se forge-t-il trois histoires, trois espaces géographiques : la France, la Méditerranée, le Brésil. Moustaki, acte I, le français : en 1952, il ose à peine ses
chansons, mais elles se remarquent, et le guitariste Henri Crolla fait le pari qu'elles plairont à la Reine Piaf. Gagné. Il est
timide, elle a de l'oreille, elle lui prend trois chansons, enregistrées en 1958, "Eden Blues", "Les orgues de barbarie", "Le gitan et la fille" – un super 45-tours où ils font
couple, Edith Piaf chante Jo Moustaki. Puis, il lui écrit Milord, dont elle confie la mise en musique à Marguerite Monnot. Dès sa
création en scène, Milord devient un standard. Après quelques autres incunables, et un an de soumission, Georges Moustaki déclare forfait. "Brassens était mon maître,
elle était ma maîtresse."
Il compose alors pour toutes les vedettes du moment (Colette Renard, Dalida,Yves Montand, Cora Vaucaire, Juliette
Gréco, Tino Rossi, Barbara...). Il défend ensuite sous son nom son répertoire en français sur une demi-douzaine de 45-tours ("La carte du tendre", "Dire qu'il faudra mourir un jour", "La mer m'a donné"...). Devant l'insuccès, sa maison de disques lui rend son contrat. Il commence à percevoir ses droits d'auteurs. "J'ai pris alors une sorte de retraite, j'avais gagné de l'argent et, avec Piaf, je sortais d'une histoire tellement formidable que
tout, à côté, me paraissait secondaire..." Dix ans dilettante : devenir un crack aux échecs ou au ping-pong, filer à
Amsterdam pour un tableau... "Je n'avais aucune urgence. Mais, petit à petit, je suis passé de la Jaguar à la 4 L, réduisant chaque fois mes besoins pour ne pas avoir à travailler."
1967, c'est l'année Barbara. Pour elle, il écrit "La longue dame brune", et elle le somme de chanter avec elle cette chanson qui les lie, lors d'une tournée épuisante. Dans sa retraite aux dorures fléchissantes, Moustaki reçoit un coup de fil : "Une invitation
pour un récital à la cafétéria du théâtre de Caen. J'accepte. Peu après, Barbara m'appelle, me dit : 'Je vais à Caen demain, viens avec moi, il y a quelqu'un qui y chante et que tu vas
adorer'."C'était Serge Reggiani, à qui Moustaki donnera ensuite "Sarah", "Votre fille a vingt ans", "Ma liberté"... des carrés d'as qui
le ramèneront à la vie publique.
"Pendant un an, j'ai programmé des concerts de jazz à Caen : Gato Barbieri,Michel Portal, Aldo
Romano, Eddy Louiss, Daniel Humair, Martial
Solal."Pour lui, Moustaki a composé une chanson de liberté, que les maisons de disques refusent. Elle sort enfin en 1969. Elle précède les envies d'ailleurs des orphelins de
Mai 68.
LA FIDÉLITÉ TOUJOURS AU RENDEZ-VOUS
La ballade gréco-latine plaira jusqu'à Salvador de Bahia, la ville de tous les saints, au Brésil, l'un des points de passage préférés de
Moustaki."J'y suis arrivé par Jorge Amado, après un court séjour à Rio, où en 1972 la chanteuse Nara Leaom'avait invité au
Festival de la chanson populaire", expliquait-il. En 1973, il adaptera en français "Aguas de Março", un hymne bossa-nova, suivant les traces du pionnier Pierre Barouh. Trente ans
après, "Moustaki", l'album sorti en 2003, commence par un hommage à Barbara écrit sur la musique Odeon, un choro célèbre du compositeur brésilien Ernesto Nazareth. Chez
Moustaki, la fidélité est toujours au rendez-vous. Pour Vagabond, en 2005, Georges Moustaki a enregistré à Rio de Janeiro, entouré
de Paula Morelenbaum et du pianiste et compositeurFrancis Hime.
Alors qu'il compose pour la fine fleur de la variété française, Georges Moustaki continue d'essayer une
carrière personnelle. Il le fait d'abord sous un nom d'emprunt, Eddie Salem, son orchestre et ses chanteurs arabes, avec en 1960 un répertoire oriental-égyptien – puis grec (Les enfants du Pirée)
– et quelques rocks parodiques. En 1966, il part en Grèce pour la première fois et y rencontre l'actrice et chanteuse Melina Mercouri, qui transformera par la suite en le chantant en grec "Le Métèque" et "En
Méditerranée", en hymnes de résistance face à la dictature des colonels. Puis, il chante "La Pierre" du compositeur grec Manos Hadjidakis, "L'homme au cœur blessé", "Nous sommes deux", sur
des musiques de Mikis
Théodorakis. Toujours proche de l'Orient, il chante avec Areski "J'ai vu des rois serviles", joue dans Mendiants et orgueilleux, film adapté du roman d'Albert Cossery, et ainsi de
suite – en 1996, sur Tout reste à dire, c'est le flûtiste turcKudsi Erguner qui répond
présent pour un poème chanté de Yunus Emre (XIIIesiècle).
Il se produit enfin en vedette, à Bobino à Paris en janvier 1970. Il est chaleureux, liant. Il chante des anciennes chansons, jamais enregistrées, comme "Donne du rhum à ton homme". Les chansons
de l'album qui paraît début 1978 jalonnent une année de déplacements (San Francisco, New York, Mexico, Tokyo, Québec, Eilat, Paris). "Vieux sage" dans "Si je pouvais t'aider", il retrouve sa fraîcheur dans
une "Elle est elle" quasi juvénile (avec la voix de sa fille Pia Moustaki, née en 1956 – en 1988, naîtra son fils, Laurent. "Solitaire, sans état d'âme et sans souffrance / Mavoile est gonflée de mystère / Ma cale est
remplie d'innocence." Un inlassable de la chanson.
En 2003, Moustaki publie "Moustaki", qui comporte la première chanson qu'il a composée, "Gardez vos rêves" et, pour la première fois, son propre enregistrement de Milord, composée
jadis pour Edith Piaf. Jean-Claude Vannier donne à l'album un ton contemporain. Le dernier album de Moustaki faisait le point sur cette question française. Pour "Solitaire", Moustaki fait main
basse sur toute la jeune génération. Vincent Delerm, Cali pour des duos, Vincent Segall pour les arrangements. Dédié à Henri Salvador, l'album rend
hommage à l'âge d'or la chanson française, et à l'amour. Il y reprend ses chansons "gold" : "Sans la nommer", "La liberté et la fleur au fusil", "Ma solitude", "Donne du rhum à ton homme". En
2005, avec Vagabond, il revient sur son amour pour la bossa-nova, en 2008, il intitule un disque de duos Solitaire... Le paradoxe Moustaki.
Moustaki avait chanté partout dans le monde. De Rio à l'Olympia, de Bobino auJapon, du Québec à l'Algérie, l'homme en blanc et à la voix suggestive, avait rassemblé. Fidèlement, car les fidélités se créent dès l'enfance. Et quelle leçon entirer ? Réponse de l'enfant d'Alexandrie : "Je déclare l'état de bonheur permanent / Et le droit à chacun à tous les privilèges. Je dis que la souffrance est chose
sacrilège / Quand il y a pour tous des roses et du pain blanc."
Vincent Roux figure tropézienne, immortalisa
notamment BB.
Par legs testamentaire à l’église, le peintre
Vincent Roux avait demandé l’édification d’une «chapelle». Des proches dénoncent sa vente par le diocèse au mépris de ses dernières volontés
Herbert Von Karajan ne négligeait pas ses grandes soirées mondaines. La symphonie qui se joue autour du peintre Vincent Roux, disparu en 1991, est tout autre ces jours-ci à Saint-Tropez. La
mémoire de celui qui immortalisa BB, qualifié de « grand homme de foi», est au centre d'une vive polémique.
En cause, une chapelle édifiée grâce à un legs de l'artiste, dont le terrain vient d'être vendu pour un projet immobilier. Dans cette affaire, l'association pour la promotion de l'œuvre de
Vincent Roux (APPOVR), s'oppose au diocèse de Fréjus-Toulon qui n'aurait pas respecté les dernières volontés du peintre...
Don de 3 MF à l'église
La présidente Michèle Cornut-Caral, copie du testament en main est très claire. «Avant sa disparition, Vincent Roux avait, entre autres, donné une
partie du produit de la vente de sa villa - soit 3 283 000 francs - pour qu'une chapelle dédiée à la Sainte Vierge et à Saint-Vincent, patron des vignerons, soit érigée dans le golfe, assortie
d'une petite cure».
Elle le sera effectivement sur un terrain appartenant à la paroisse tropézienne, en bordure de la route des Salins. L'édifice, bien que surmonté d'une croix et bénéficiant de tout le nécessaire
pour accueillir des fidèles, demeurera hélas une coquille vide.
Encadrée de vignes, la chapelle à la façade défraîchie fait grise mine en 2013. Comme abandonnée. Un panneau de chantier atteste de la vente du terrain de 5 600 m2 et de la division en deux de la
parcelle pour un futur projet immobilier des SARL tropéziennes Lou et Revieur (lire par ailleurs).
Croix volatilisée
À l'heure où l'État fait le tri dans son patrimoine immobilier pour renflouer ses caisses, l'église ne semble donc pas en reste. Mais aucune « faute » à se faire pardonner du côté du diocèse
varois qui au terme de « chapelle » préfère celui de simple « maison». Sans existence religieuse donc. « L'appellation est erronée et c'est une affaire privée», indique l'économe diocésain avant de raccrocher.
Michèle Cornut-Caral qui brandit une photo de 2009 représentant la bâtisse surmontée d'une croix n'est pas de cet avis. « Ce symbole sacré du
christianisme est bien la preuve de l'existence d'une chapelle. Et d'ailleurs c'est le terme qui figure dans le testament pris en compte à l'époque par l'église. Aujourd'hui elle le renie»,
constate Michèle, attristée de voir comment l'église « profite de la charité chrétienne» du peintre. Vente oblige, la croix en question
s'est volatilisée... Cela désacralise-t-il pour autant la « chapelle Saint-Vincent » ?
La voiture fût célèbre en son temps mais pas autant que la star qui reste quoiqu’on en dise l’une des plus grandes stars françaises de tous les temps.
Pour revenir à la voiture, la Renault Floride fût dessinée par Pietro Frua et construite à partir de 1958 (très bonne année et pas uniquement pour le Bordeaux !). Le moteur de
845 cm3 est le Ventoux « spécial » de la Dauphine
Gordini. La boîte de vitesses est à trois rapports (4 rapports en option). Les freins sont à tambours à l’avant et à l’arrière, les roues à voile plein et
l’électricité est en 6 volts. Pas très sexy tout ceci …
Il faudra donc attendre 1962 pour que la Floride s’offre de gros changements : un nouveau moteur 956 cm3 à cinq paliers de 48 ch (monté quelques mois plus tard sur
la Renault 8, c’est le fameux moteur Sierra plus connu sous le nom de ‘Cléon-Fonte’ qui sera fabriqué dans l’usine Renault de Cléon pendant 50 ans), quatre freins à
disques (une première sur une voiture française), boîte à trois vitesses entièrement synchronisée, électricité en 12 volts, fermeture des ouïes latérales et apparition de crevés de
capot sur la partie arrière car le radiateur est désormais placé derrière le moteur.
Ce qui nous fait dire que Brigitte Bardot état assise sur un modèle 1962 ou 1963 puisque dès l’année suivante, la Floride deviendra Caravelle dans sa version cabriolet avec le ‘Cléon-Fonte’ monté
à 1108 cm3.
S’il y a bien une icône dans le monde de la beauté, c’est
Brigitte Bardot. Blonde comme les blés, à la bouche pulpeuse et aux yeux noisettes, elle aura su conquérir le monde d’un seul battement de cils. BHV ouvre son vanity et vous livre ses secrets de
beauté.
La chose primordiale chez BB, c’est son Eye-Liner. Elle l’étale en fine couche sur la paupière tout en lui donnant plus de volume vers l’extérieure.
Le Khôl n’est non plus oublié avec un trait fin à la base des yeux. Ensuite, ses cils sont allongés par du mascara qu’elle applique pour les noircir et les séparer afin d’agrandir son regard.
Niveau teint, BB le hâle légèrement pour un effet ultra-naturel ce qui met en exergue sa bouche pulpeuse. Elle accompagne celle-ci d’un rouge à lèvre rose souligné par un crayon de la même couleur.
Enfin, côté cheveux, elle n’hésite pas à adopter l’effet « saut du lit » grâce à un spray.