Mes créations sur BB...
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Une carcasse d'éléphant victime des braconniers à Samburu, au Kenya, le 16 août 2012
C'est le plus important massacre de pachydermes au Kenya depuis vingt ans. Une famille de onze éléphants a été tuée samedi par des braconniers, a annoncé mardi 9 janvier le Service de la faune kényane (KWS), affirmant être "aux trousses" des auteurs. Les corps criblés de balles, dont celui d'un éléphanteau de 2 mois, ont été découverts dans le Parc national de Tsavo, au sud-est du Kenya. Leurs défenses ont été tranchées.
"Nos premières constatations montrent que les braconniers étaient au moins dix", a indiqué Patrick Omondi, chef du programme éléphants au KWS. "Nous n'avons pas perdu autant d'éléphants en une seule et unique tuerie depuis le début des années 1980. C'est un signal clair que les choses empirent", a-t-il affirmé.
Derrière ces massacres, la hausse de la demande d'ivoire en Asie, utilisée dans la médecine traditionnelle et la fabrication d'objets décoratifs. En Chine, on attribue à l'ivoire des vertus médicinales, contre l'impuissance notamment, et la possession d'objets taillés dans la précieuse corne est considérée comme un signe de richesse.
Ce commerce, interdit depuis 1989, a conduit à une augmentation importante du braconnage d'éléphants d'Afrique. "Un kilo d'ivoire peut atteindre jusqu'à 2 500 dollars [1 900 euros] au marché noir", a précisé Patrick Omodi.
Début janvier, les douanes de Hong Kong ont saisi plus d'une tonne de défenses d'éléphants en provenance du Kenya, d'une valeur totale d'un million d'euros. C'est la troisième prise de ce type en provenance de ce pays ou de Tanzanie en moins de trois mois.
"Cet argent (venu du commerce illégal) finance des gangs extrêmement organisés dotés d'armes sophistiquées", a déploré Patrick Omodi. Comme l'expliquait Le Mondeen avril 2012, les braconniers sont en effet "de mieux en mieux équipés". Au Cameroun, l'armée a même été déployée dans le parc national de Boubandjida, pour faire face à "la menace de braconniers soudanais montés à cheval et armés de mitraillettes", racontait Reuters, en décembre.
Car le Kenya n'est pas le seul terrain de chasse illicite pour ces tueurs de pachydermes. Au Tchad, en République démocratique du Congo, et dans une trentaine d'autres pays, les populations d'éléphants sont décimées, selon l’ONG International Fund for animal welfare, dont les membres retrouvent régulièrement près des carcasses "des douilles témoignant de l’utilisation d’armes de guerre automatiques ou semi-automatiques".
Le braconnage des éléphants a atteint son pire niveau depuis une décennie et le volume des saisies d’ivoire enregistré a atteint celui de 1989, indiquait la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, dans un rapport publié en juin.
En 2011, environ 40 tonnes d'ivoire illégal ont été saisis dans le monde, selon l'agence Reuters. En décembre 2012, les autorités malaisiennes ont réalisé la plus grosse saisie d’ivoire de l’histoire, a rapporté Le Télégramme : "24 tonnes en une seule fois, soit quatre fois la quantité saisie depuis le début de l’année". Environ 1 500 défenses ont été confisquées, estimées au total à 20 millions de dollars (15 millions d'euros). "2012 devient la pire année pour le trafic d’ivoire depuis vingt-quatre ans", c'est-à-dire depuis l'interdiction du commerce.
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Moment de douce complicité entre un petit trisomique et une femelle labrador...
Brigitte Bardot sera bien représentée dans cette nouvelle édition du salon du livre et papiers anciens! Alors collectionneurs ou curieux je vous conseil ce beau salon pour débusquer la pièce manquante à votre collection.
Bruno Ricard
THEME SUGGERE
"La Nouvelle vague ... Les Années 60
..."
De Bardot au Biafra, il a photographié pour Match tous les drames et toutes les icônes. Notre hommage à Jean-Claude Sauer, décédé à l’âge de 77 ans.
Souvenez-vous. Cet enfant famélique aux yeux grands ouverts et aux membres décharnés, si malingre qu'un appareil photo posé à côté le fait paraître plus minuscule encore… pauvre enfant d'Afrique avec sa petite vie à l'intérieur, fugace, fragile tellement qu'un souffle suffirait à l'éteindre... Il est des images qui soulèvent la compassion et arrêtent les guerres. Celle-ci en était une. Biafra 1968. Il y a aussi ce G.I. casqué et en armes avec un bébé dans les bras qui avance avec précaution, embarrassé par son précieux fardeau… Viet Nam 1972. Jean Claude Sauer, c'était çà: le regard et la tendresse. Il s'en défendait. La pudeur a de ces coquetteries!
Photographe de Match, voilà l'identité qu'il revendiquait. Pendant quarante ans, elle lui a servi de passeport, d'alibi, de viatique. Et elle lui a fait une vie où tout était possible, au nom du
devoir de témoigner. Il allait à la guerre comme on s'en va pratiquer un sport de gentlemen. Et sur le terrain, il avait tous les courages avec son appareil photo pour seul bouclier. Algérie,
Biafra, Viet Nam, Yémen, Afrique, Moyen Orient, il a couvert tous les conflits de sa génération. Lors de la guerre des six jours, il pense sa dernière heure arrivée. " J'allais mourir là, en terre
sainte, racontait-il. Je portais sur ma chemise mes initiales brodées J.C. et moi aussi j'allais avoir 33 ans!" Voilà comme il conjurait sa peur.
Il avait le style maison où on pouvait passer de la guerre aux peoples, des peoples à l'aventure, puis aux grands de ce monde, à la mode ou au sport. Match, c'était çà.
Picasso, Bardot, de Gaulle, Deneuve, un débutant nommé Johnny, un autre appelé El Cordobès, Hemingway, les Beatles, Romy Schneider, Arafat, Montand Signoret, Yul Brynner et Juan Carlos le roi d'Espagne… Il aimait la compagnie des stars, et les stars le lui rendaient bien. "Pas besoin de planquer, disait-il, je suis un paparazzi qui prend rendez-vous." Sa séduction passait par l'humour, l'ironie et la dérision. Et nous ses compagnons, on aimait quand il exagérait. Il était capable de claquer toute sa provision de reportage pour une chasse au grand Koudou quelque part en Afrique ou un dîner somptueux dans un palace parce que seul le meilleur lui semblait à la hauteur de son journal dont il se faisait le perpétuel ambassadeur. Il allait chercher ses costumes à Londres et ses fusils ne pouvaient être que de Purdey ou des Remington… Il avait tous les défauts puisqu'il aimait les cigares, les grands vins, la chasse, la corrida et la course automobile. Il cultivait l'élégance et l'extravagance et pourfendait la médiocrité comme Don Quichotte s'attaquait à des moulins à vent. Il y avait du romantisme dans ce perpétuel itinérant. Il était de la génération des photographes qui restaient angoissés jusqu'à ce qu'ils aient enfin leurs tirages sous les yeux. C'était aux temps anciens de l'argentique que plus personne ne peut comprendre aujourd'hui.
Faire équipe avec lui était un bonheur, une récréation, et l'assurance d'aller au bout de notre mission, de n'abandonner jamais, et surtout de rire de tout, mêlant le sérieux et le dérisoire. Jusqu'à la fin, il est resté cet ancien jeune homme impatient, ardent et flamboyant comme en attente d'un éventuel reportage à venir. Quand les yeux d'un photographe se ferment, une étincelle quitte le monde et le monde n'est plus pareil. Adieu cher Jean Claude, illustre photographe de Paris-Match. Tu viens d'atteindre les rivages de l'au-delà , là où vivent ceux que les anciens appelaient "le peuple des plus nombreux". Ta gouaille va faire fureur. Les sentiers du paradis sont peuplés de stars très fréquentables.
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C'est l'histoire de Capitan (Capitaine en espagnol), le chien le plus fidèle du monde. Elle commence en 2005 quand Miguel décide d'offrir un chien croisé avec un Berger Allemand à son fils Damian. Celui-ci est ravi, la femme de Miguel, Veronica, un peu moins. Elle appréhende le travail supplémentaire que représente le chien. Jusqu'ici l'histoire est assez banale, mais c'est l'année d'après, en mars 2006, à la mort de Miguel, qu'elle prend une tournure plus surprenante.
Peu après l'enterrement, le chien disparaît de la maison. Les jours passent et toujours aucune trace de lui "Je croyais qu'il était mort ou qu'il avait été adopté par une autre famille", se rappelle Veronica dans le journal La Voz. Jusqu'au jour où Damian se rend au cimetière. Capitan se tient là, près de la tombe de Miguel. "Quand il a vu mon fils, il s'est mis à aboyer comme s'il pleurait". Damian tente alors de ramener Capitan avec lui, à la maison. En vain. "Si tu es bien ici, reste ici et veille sur mon père", lui dit Damian. Une demande que le chien a pris très au sérieux.
Depuis 6 ans, il vit au cimetière sous la bienveillance de Marta, la vendeuse de fleurs. Touchée par la fidélité du chien, elle s'occupe de lui, le nourrit, l'emmène chez le vétérinaire en cas de besoin. "J'ai essayé d'amener Capitan à la maison mais il n'a pas voulu rester, il est retourné près de son maître". D'après le propriétaire du cimetière, la journée, le chien se balade aux alentours et chaque jour à 6 heures, il vient se coucher près de la tombe de Miguel. Admiratif de son comportement, il en a fait son coéquipier et gardien du cimetière. De son côté, Veronica, qui n'aimait pas beaucoup Capitan quand il vivait chez elle, s'est attachée à lui depuis la mort de son mari : "Je l'aime beaucoup, c'est un peu comme si Miguel continuait de vivre à travers lui".
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La presse en parle aussi ailleurs :
Les menaces d’exil russe de Brigitte Bardot pour sauver les deux éléphantes du Parc de la Tête d’Or de Lyon commencent à porter leurs fruits...
Ce lundi soir, à Saint-Tropez, la résidente de la Madrague informait d’une lettre adressée par François Hollande.
Le chef de l’Etat confirme avoir pris bonne note des demandes de contre-expertise et de la proposition de la Fondation Bardot de recueillir les animaux malades.
François Hollande ajoute demeurer "attentif à cette question", qu'il a confiée au ministre de l’Agriculture pour "approfondissements". Stéphane le Foll doit rencontrer ce mardi les représentants de la Fondation à Paris.
"BB" voit là un signe "encourageant" tout en mettant "un grand point d’interrogation sur la suite des événements". L’euthanasie des éléphantes, qui pourraient être atteintes de tuberculose, est pour l’heure suspendue.
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