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Depuis seize ans, une cigogne traverse chaque année 13 000 km pour retrouver sa partenaire femelle paralysée

Publié le par Ricard Bruno

Vous avez perdu foi en l’amour ? Vous vous dîtes que personne ne tient à vous au point de braver terre et mer pour vous retrouver ? Peut-être serez-vous galvanisé en lisant l’histoire de cette cigogne mâle qui, depuis seize ans maintenant, vole des milliers et des milliers de kilomètres chaque année pour retrouver sa partenaire particulière, une cigogne femelle immobilisée, incapable de voler.

Depuis seize ans, une cigogne traverse chaque année 13 000 km pour retrouver sa partenaire femelle paralysée

Elle, c’est Malena. Lui, c’est Klepetan. Tous deux sont… des cigognes. Mais pas n’importe quelles cigognes. Deux cigognes qui entretiennent une histoire d’amour depuis bientôt deux décennies, en dépit des aléas de la vie qui ont handicapé Malena, l’empêchant de voler pour toujours. L’animal a en effet été blessé par des chasseurs, avant d’être recueilli par le veuf croate Stjepan Vokic, qui en a fait son animal de compagnie. Seulement, les cigognes sont des oiseaux migrateurs, qui en tant que tels ont pour coutume de se déplacer à chaque changement de saison.

 
 
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Depuis seize ans, une cigogne traverse chaque année 13 000 km pour retrouver sa partenaire femelle paralysée

Ainsi, Klepetan a pris l’habitude de retourner en Afrique du Sud à la fin de chaque été… mais revient chaque année, à chaque début de printemps depuis seize ans, chez Stjepan, en Croatie pour retrouver son âme sœur cigogne Malena, ne l’ayant jamais oubliée depuis tout ce temps, en dépit des 13 000 km à parcourir. Une bien belle histoire montrant que l’amour est capable de surmonter tous les obstacles, toutes les frontières, toutes les distances. 

Et si les cigognes sont en mesure de faire vivre leur amour malgré tous les désagréments de la vie, pourquoi nous, êtres humains, ne le pourrions-nous pas ?

Depuis seize ans, une cigogne traverse chaque année 13 000 km pour retrouver sa partenaire femelle paralysée
Depuis seize ans, une cigogne traverse chaque année 13 000 km pour retrouver sa partenaire femelle paralysée
Depuis seize ans, une cigogne traverse chaque année 13 000 km pour retrouver sa partenaire femelle paralysée
Depuis seize ans, une cigogne traverse chaque année 13 000 km pour retrouver sa partenaire femelle paralysée
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Annie Peynet Mon père était un amoureux de l’amour

Publié le par Ricard Bruno

La fille de Raymond Peynet est à Saint-Valentin pour la 55e édition de la Fête des amoureux qui rend hommage à son père, décédé il y a tout juste vingt ans.
La fille de Raymond Peynet est à Saint-Valentin pour la 55e édition de la Fête des amoureux qui rend hommage à son père, décédé il y a tout juste vingt ans.

La fille de Raymond Peynet est à Saint-Valentin pour la 55e édition de la Fête des amoureux qui rend hommage à son père, décédé il y a tout juste vingt ans.

Toute sa vie, il a croqué l’amour. Mondialement connu pour ses dessins des amoureux, Raymond Peynet n’a pourtant jamais mis les pieds dans le seul village de France à porter le nom du saint patron des amoureux. Chaque année, la commune lui rend hommage en illustrant l’affiche de sa Fête des amoureux avec l’un de ses dessins, généreusement prêté par sa fille, Annie. Également dessinatrice, cette dernière veille sur l’œuvre laissée par son père. 
“ Les amoureux de Peynet ce sont mes parents ”Toute son existence a été bercée par les « amoureux ». « Mon père était un amoureux de l’amour. En fait, ces deux personnages qu’il dessinait, c’étaient tout simplement lui et ma mère. La femme était vraiment son portrait. J’arrive même à dater les dessins rien qu’en voyant la coiffure du personnage féminin ! Quand ma mère essayait le chignon, la femme des amoureux portait le chignon. Quand elle laissait libre sa chevelure noire avec sa frange, elle était dessinée ainsi », raconte Annie Peynet, présente depuis hier à Saint-Valentin pour y célébrer la 55e édition de la Fête des amoureux. Le village a fait de Raymond Peynet un « citoyen d’honneur ». Une distinction honorifique qui relève presque de l’évidence tant le destin du dessinateur semble avoir été guidé par l’amour.
« Toute sa vie, mon père a dessiné ma mère avec ses yeux de 20 ans. Il en était très épris. Sa carrière l’a amené à côtoyer de belles femmes, comme Brigitte Bardot, mais pour lui, les autres n’existaient pas. Ils sont tombés amoureux à l’adolescence, se sont mariés et ne se sont plus jamais quittés. Ma mère fut son premier et son dernier amour. » Hasard de la vie, Denise Peynet semble avoir été prédestinée depuis toujours pour rencontrer le « père des amoureux » et devenir sa muse, elle dont le nom de jeune fille n’était autre que… Damour. Drôle de hasard. 
Dès les années 50, les « amoureux de Peynet » ont été déclinés sur bien des supports. « Ils ont même inspiré la chanson de Brassens, “ Les Bancs publics ”. Georges était un ami de la famille. J’étais présente quand il a déclaré avoir écrit la chanson en voyant l’un des dessins de mon père », se souvient Annie. Les « amoureux » valent aujourd’hui au dessinateur d’être mondialement connu, notamment au Japon, où un musée lui est même dédié. Pourtant, ils ne sont qu’une partie de son œuvre. « Ils ont presque occulté ses créations dans d’autres domaines : il a par exemple beaucoup dessiné de décors pour des ballets et des pièces de théâtre ; il maîtrisait également l’art du costume. D’ailleurs, toute sa vie, c’est lui-même qui a dessiné la garde-robe de ma mère… » 

Source de l'article : Cliquez ICI

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Une association intervient à l’hôpital Pierre-Lôo

Publié le par Ricard Bruno

Une fois soignés, les chats peuvent être relâchés ou adoptés.

Une fois soignés, les chats peuvent être relâchés ou adoptés.

Depuis un peu plus d’un an, une association a été créée pour stériliser, identifier et soigner les chats errants qui proliféraient à l’hôpital Pierre-Lôo. Une action qui s’étend désormais au reste de La Charité-sur-Loire.

 

Rien à voir évidemment avec l'offre de soins proposée au sein du centre hospitalier spécialisé. Mais sur l'immense terrain sur lequel se dressent les nombreux bâtiments de l'hôpital Pierre-Lôo, les chats errants ont trouvé un lieu propice à leurs activités, en toute liberté. D'où une prolifération des « moustachus », avec, comme corollaire, des bêtes plus ou moins affamées, galeuses, en triste état. Sans oublier le problème essentiel de l'hygiène sur l'établissement et les risques pour les patients et le personnel.

Depuis plus d'un an, une association a donc été créée et a pris les choses en mains. « Les chats libres du Centre Hospitalier Pierre-Lôo » a pour objet de capturer les animaux afin de les faire stériliser, de les identifier et de les soigner. Ensuite, ils peuvent soit être relâchés, soit être adoptés. Pour ceux qui restent libres à l'hôpital, des petits abris ont même été construits.

« C'est une très belle action qui est menée ici et que nous soutenons », explique Francelyne Hié, directrice de l'établissement. « Lorsque l'association s'est mise en place, ce n'était pas moins d'une centaine de matous qui batifolaient au sein de l'établissement. Les choses se sont bien améliorées, même s'il re

De son côté, Audrey Fassier, co-présidente, renchérit : « Désormais, l'association se propose d'intervenir aussi sur la ville de La Charité. On peut nous contacter sans problème, c'est quelque chose qui nous tient à cœur ».

Une collecte alimentaire samedi

L'association est entre autres soutenue par la fondation Brigitte Bardot. Mais toutes les aides sont les bienvenues. C'est d'ailleurs pourquoi des collectes alimentaires sont organisées. La prochaine aura lieu samedi 16 février au magasin Auchan, de 9 h à 18 h 30.

Contact. Érika Boisson et Audrey Fassier au 03.86.69.40.40 (standard de l'hôpital).

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Aidez-nous à stériliser les chats des rues !

Publié le par Ricard Bruno

Aidez-nous à stériliser les chats des rues !

Chaque année en France, des milliers d’animaux errants sont en souffrance, parfois maltraités, souvent capturés, mis en fourrière puis euthanasiés. 

 

Après avoir fait évoluer la législation afin que les chats stérilisés puissent être relâchés sur leur lieu de capture (le code rural l’autorise désormais), la Fondation Brigitte Bardot finance la stérilisation de milliers de chats pour arrêter leur reproduction et contrecarrer les campagnes de « capture euthanasie » qui sont encore monnaie courante en France.

 

La prolifération des animaux errants peut entraîner des conséquences dramatiques : transmission de maladies infectieuses, bagarres, rejet par la société du fait de leur surpopulation...

 

La FBB a fait opérer 160 000 chats ces 20 dernières années en France. En 2018, 11 000 chats ont été stérilisés grâce à la Fondation, pour un montant de près de 600 000€.

 

Des accords ont été passés avec près de 2 000 municipalités afin de garantir la sécurité des animaux stérilisés.

 

Pour l’année 2019, notre objectif est de stériliser 15 000 chats des rues !

 

Aidez-nous à poursuivre nos missions, en faisant un don dès aujourd’hui.

 

Soutenez, vous aussi, le travail remarquable des bénévoles présents chaque jour sur le terrain pour mener à bien ces opérations.

 

Toutes nos actions ne sont rendues possibles que grâce à votre générosité, sous forme de dons ou de legs. Un immense merci à vous !

Fiscalité des dons pour les particuliers

66% de réduction fiscale : un don de 75€ ne vous revient qu’à 25€ !

Vous recevrez un reçu fiscal sous 3 semaines.

Vous préférez envoyer vos dons par chèque

 

Si vous préférez envoyer vos dons par chèque cliquer ici sinon utilisez le paiement sécurisé par carte bancaire ci-dessous.

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Aveyron. Condamné à 18 mois ferme pour avoir tiré dans la tête de son chien

Publié le par Ricard Bruno

Un commissariat de police, à Paris (photo d'illustration).

Un commissariat de police, à Paris (photo d'illustration).

Un jeune homme a été jugé ce mardi 12 février par le TGI de Rodez (Aveyron) pour des actes de cruauté sur son chien. L’animal avait été retrouvé par une passante, une balle dans la tête. Il avait été euthanasié dans la foulée. L’homme a été condamné à 18 mois de prison et devra payer 11 700 euros à plusieurs associations de protection animale.

Un jeune homme d’une vingtaine d’années a été condamné à 18 mois de prison ferme ce mardi 12 février pour de graves sévices sur son chien, rapporte le quotidien Centre-Presse AveyronL’affaire remonte au mois d’octobre 2018. Une promeneuse de passage en forêt d’Aubin (Aveyron) avait découvert le malheureux animal, errant, très gravement blessé.

Une balle de calibre 22 logée dans la tête

Le jeune Beauceron croisé Malinois présentait plusieurs fractures au niveau des vertèbres. L’examen vétérinaire avait révélé la présence d’une balle de calibre 22 fichée dans la tête de l’animal. Le chien avait finalement été euthanasié.

Le principal suspect, un jeune homme d’une vingtaine d’années, avait été interpellé quelques jours plus tard à son domicile. L’homme, qui venait d’acquérir l’animal, a reconnu les faits lors de sa garde à vue.

Un suspect en cavale

Au cours de cette audition, les enquêteurs ont découvert que le suspect était en fuite : il était censé purger une peine de sept mois d’emprisonnement après avoir été condamné pour incendie volontaire. L’homme a immédiatement été placé en détention.

Il comparaissait ce mardi 12 février devant le tribunal de grande instance de Rodez pour répondre des sévices infligés à son chien. Six associations animales s’étaient constituées parties civiles dans ce dossier, dont la Société Protectrice des Animaux (SPA), l’association 30 Millions d’Amis et la fondation Brigitte Bardot.

« J’ai tiré sans regarder »

À la barre, le prévenu a plaidé la légitime défense : « Ce chien devenait méchant, il avait attaqué une jeune fille. Il m’attaquait moi également, a-t-il expliqué. J’ai tiré sans regarder, je pensais qu’il était mort sur le coup. J’ai vomi après mon geste ».

Le substitut du procureur a requis 14 mois de prison ferme. Le tribunal s’est montré plus ferme en condamnant le prévenu à 18 mois de prison ferme, une interdiction de détenir un animal et 11 700 euros de dommages et intérêts à verser aux parties civiles.

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Procès de l'abattoir d'Alès On est passé à côté du dossier de la souffrance animale

Publié le par Ricard Bruno

Quatre avocats de la partie civile étaient opposés à Me Isabelle Mimran.

Quatre avocats de la partie civile étaient opposés à Me Isabelle Mimran.

Le directeur de l’abattoir d’Alès était convoqué ce lundi 11 février au tribunal pour trois infractions.

À la barre du tribunal de police, le directeur de l’abattoir d’Alès explique : "On ne fait pas n’importe quoi. On est en permanence sous contrôle. Tout est validé par les services de l’État." Le parquet d’Alès a pourtant relevé des dysfonctionnements au sein du service. Trois infractions contraventionnelles liées à des matériels non conformes. À ce titre, le procureur François Schneider a requis trois amendes à 750 € chacune.

Pour Caroline Lanty, l’avocate de l’association de défense des animaux L214, "C’est un procès a minima. Un rapport des enquêteurs avait établi 175 irrégularités. Huit autres personnes auraient pu être poursuivies. Il y a un déficit du contrôle de l’État. La sécurité sanitaire est bien assurée, mais la phase qui précède l’acte de mort de l’animal, n’intéresse pas les autorités."

Et le mauvais traitements dans le cadre des abattages rituels...

Me Frédéric Ortega, pour la SPA, a une autre lecture de l’affaire : "Nous passons à côté du dossier. Ce n’est pas le procès du directeur, c’est le procès de la souffrance animale qui est bafouée. Ce qui aurait dû être jugé, ce sont les mauvais traitements dans le cadre des abattages rituels. Comment peut-on passer à côté des 175 infractions constituées pour n’en retenir que trois ?"

Me Lionel Marzials, conseil de l’Alliance anticorrida et de la Fondation Brigitte Bardot, analyse : "La législation européenne impose l’étourdissement avant la saignée. Mais en France, il existe une dérogation, par décret, qui permet d’échapper à ce texte. C’est en contradiction avec le principe de laïcité qui doit prévaloir. Ce décret est problématique, mais ce n’est pas devant ce tribunal qu’on peut le contester. "

"Les poursuites ont été minimisées ?"

Afin de dépassionner les débats, Me Isabelle Mimran, avocate du directeur, a opté pour une plaidoirie très technique. Reprenant chaque infraction, elle a insisté sur le manque de constatations matérielles pour condamner : "Les vidéos ne sont pas une preuve suffisante, elles n’ont pas fait l’objet d’une expertise. On ne sait pas si les images ont été montées, manipulées ou s’il s’agit d’une scène d’un seul tenant. Les poursuites ont été minimisées ? Pour les témoins, il y a de nombreuses possibilités procédurales pour faire les faire entendre. Rien n’interdit à la partie adverse d’effectuer une citation directe, mais ils s’en sont bien gardés, par insuffisance de la preuve." Et de réclamer la relaxe. Le délibéré sera rendu le 8 avril prochain.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Si Dieu existe, que voudriez-vous l’entendre vous dire après votre mort ?

Publié le par Ricard Bruno

@capture YouTube, Ina

@capture YouTube, Ina

L’Institut national de l'audiovisuel (INA) rediffuse régulièrement sur ses comptes sociaux des scènes cultes de la télévision. Cette semaine, c’est un étonnant montage de séquences de l’émission « Bouillon de culture » où il est question de Dieu que les internautes ont pu découvrir.

Entre 1991 et 2001 l’animateur de « Bouillon de culture », Bernard Pivot, soumettait traditionnellement à ses invités une version, adaptée par ses soins, du fameux questionnaire de Proust. La dernière des dix questions qu’il posait aux personnalités présentes sur son plateau portait sur Dieu : « Que voudriez-vous entendre vous dire Dieu après votre mort ? ». Une question dont la réponse en disait probablement beaucoup sur la conception que l’interrogé se faisait du divin et de sa miséricorde. L’Ina a rassemblé dans cette vidéo d’une minute trente les réponses d’une dizaine de personnalités parmi lesquelles Jean d’Ormesson, Jack Lang, Brigitte Bardot ou encore sœur Emmanuelle.

Certaines étonnent pour leur auto-dérision, d’autres s’apprécient pour leur esprit. Toutes révèlent que l’amour de Dieu ne laisse personne indifférent.

...

Brigitte bardot à répondu "Je t'aime"...

Source de l'article et vidéo : Cliquez ICI

 

Si Dieu existe, que voudriez-vous l’entendre vous dire après votre mort ?
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Brigitte Bardot en colère

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot a adressé une lettre ouverte au préfet  des Hautes-Pyrénées ,contre l’implantation d’un élevage industriel de porcs à Ossun 

Merci à BDO pour cette information

Brigitte Bardot en colère
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Procès de l’abattoir d’Alès : un scandale !

Publié le par Ricard Bruno

Procès de l’abattoir d’Alès : un scandale !

3 infractions poursuivies sur 175 : L214 porte plainte contre l’État

En octobre 2015, L214 dévoilait des images insoutenables filmées dans l’abattoir régional d’Alès, dans le Gard : gorges cisaillées à vif, vaches suspendues encore conscientes, bovins et moutons saignés sous les yeux de leurs congénères, chevaux mal assommés… La situation des animaux est déjà tragique lorsque la réglementation est respectée : elle est pire lorsque des infractions sont commises.

Enquête à l'abattoir d'Alès

→ Revoir la vidéo d'enquête

Suite à notre plainte, le parquet avait ouvert une enquête au terme de laquelle 175 infractions ont été relevées par les services de police judiciaire, assistés par la Brigade nationale d’enquêtes vétérinaires et phytosanitaires (BNEVP).

Pourtant, seulement 3 infractions ont été retenues par le procureur de la République et ont été jugées ce lundi 11 février devant le tribunal de police d’Alès. Ainsi, le directeur de l’abattoir, seul prévenu dans cette affaire, ne risque que 3 amendes de 750 euros au maximum : la décision sera rendue le 8 avril. Tous les « mauvais traitements » relevés par l’enquête ont quant à eux été écartés : pourtant répétés à de nombreuses reprises, les absences de contrôle de l’inconscience des animaux, les saignées tardives et les cisaillements de la gorge ne seront pas jugés.

Par ailleurs, le dossier pénal n’a été transmis aux avocates de L214 qu’après le délai de prescription de ces autres infractions, ce qui a empêché toute possibilité de poursuites par citation directe.

Face à ces entraves, nous avons décidé de porter plainte contre l’État pour dysfonctionnement des services de la justice.

Nous espérons ainsi faire toute la lumière sur ce scandale pour qu’à l’avenir la souffrance des animaux ne soit plus considérée comme une question dénuée d’importance.

→ De plus amples informations dans notre communiqué de presse

Sans vous, pas de vidéos, pas de procès

Comme nous, vous trouvez cette situation scandaleuse ? Vous pensez que L214 peut faire changer les choses ? Vous souhaitez que nous continuions notre travail ? Nos vidéos sont un moyen efficace d’interpeller le public et les institutions. Aujourd’hui, elles sont également les seules portes d’entrée permettant d’amener ces infractions devant la justice, c’est-à-dire de provoquer des enquêtes judiciaires, des poursuites, des audiences et des condamnations. Soutenez notre action !

 

Source  : L214

POUR SOUTENIR L214 : CLIQUEZ ICI

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